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L'algérie et l'Afrique du Sud, s'opposeront-ils au Statut bien dû d’observateur accordé à Israël à l’UA?... [Dossier]

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  • 23 juil.
  • 7 min de lecture

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L’Algérie faisait quasiment cavalier seul en s’opposant au statut d’observateur au sein de l’UA qu’Israël n’a jamais cessé de réclamer.
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L'Algérie s'opposait et s'oppose à l'adhésion d'Israël à l'Union africaine (UA) en tant que membre observateur. Cette opposition s'est manifestée par des actions concrètes, notamment lors du sommet de l'UA en février 2023, où Israël a été expulsé. L'Algérie est considérée, avec l'Afrique du Sud, comme l'un des principaux acteurs derrière cette expulsion.

L'Algérie considère que la présence d'Israël au sein de l'UA, en tant qu'observateur, est une décision unilatérale de la Commission de l'UA qui ne tient pas compte des préoccupations de certains États membres. L'Algérie a exprimé son inquiétude et son objection à cette décision.

Il est important de noter que l'expulsion d'Israël a été un incident diplomatique majeur, et que l'UA a par la suite suspendu le statut d'observateur d'Israël. L'Algérie, ainsi que d'autres pays, a joué un rôle dans cet événement.

L'algérie, va-elle rebarrer la route au Statut bien dû d’observateur accordé à Israël à l’union Africaine.
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Les expulseurs seront à leur tour expulsés.”... au suivant!!!

De la même façon dont l'Afrique du Sud ont expulsé l'ambassadeur israélien auprès de l'Union Africaine, l'ambassadeur sud africain aux États-Unis déclaré persona non grata.

En effet, les Etats-Unis ont donné soixante-douze heures à l’ambassadeur sud-africain à Washington, Ebrahim Rasool, pour quitter le territoire après avoir été déclaré «persona non grata», vendredi, par le chef de la diplomatie américaine.

Union africaine: L’algérie rejette le statut d’observateur d’Israël…L’algérie entre en Confrontations avec Israël et Rejette son Statut bien dû d’observateur à l’union Africaine. 
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L’Algésario: le «deux en un»; l’Algérie et son appendice polisarien… Antisémitisme viscéral

Après près de 20 ans d’efforts diplomatiques, Israël a obtenu jeudi le statut d’observateur auprès de l’Union africaine (UA). Israël détenait auparavant le statut d’observateur auprès de l’Organisation de l’unité africaine (OUA), mais a été longtemps contrecarré dans ses tentatives de le récupérer après la dissolution de l’OUA en 2002 et son remplacement par l’UA. « Cela corrige l’anomalie qui existe depuis près de deux décennies et constitue une partie importante du renforcement du tissu des relations étrangères d’Israël », a déclaré un communiqué du ministère israélien des Affaires étrangères.

Toutefois, cette accréditation n’a pas été du goût d’Alger qui dans un communiqué ce lundi l’a dénoncé. « La récente décision du président de la Commission de l’Union Africaine (UA) d’accueillir un nouvel observateur qui relève de ses prérogatives administratives n’est pas de nature à altérer le soutien constant et actif de l’organisation continentale à la juste cause palestinienne », a déclaré le ministère algérien des Affaires étrangères dans un communiqué sans nommer expressément Israël.

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 L’ambassadeur d’Israël en Ethiopie, au Burundi et au Tchad, Aleli Admasu, a présenté jeudi 22 juillet ses lettres de créances au président de la Commission de l’UA, Moussa Faki Mahamat. 
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L’ambassadeur israélien Aleli Admasu a présenté jeudi ses lettres de créances au président de la Commission de l’UA, Moussa Faki Mahamat, selon des communiqués de l’organisation panafricaine et de la diplomatie israélienne. «Cela corrige une anomalie qui a perduré pendant près de deux décennies et représente une partie importante du renforcement des relations extérieures d’Israël», s’est félicité dans un communiqué le ministre israélien des Affaires étrangères Yaïr Lapid.

« C’est un jour de fête pour les relations israélo-africaines », a déclaré le ministre des affaires étrangères Yair Lapid. « Cette réalisation diplomatique est le résultat des efforts du ministère des Affaires étrangères, de la division africaine et des ambassades israéliennes sur le continent. »

« Cela corrige l’anomalie qui existait depuis près de deux décennies », a poursuivi le ministre Lapid, « et constitue un élément important du renforcement du tissu des relations étrangères d’Israël. Cela nous aidera à renforcer nos activités sur le continent et dans les États membres de l’organisation. »

Le ministère des affaires étrangères a déclaré que cette évolution permettrait une meilleure coopération dans la lutte contre la pandémie de COVID-19 mais aussi dans la lutte contre le terrorisme.

לראשונה מאז 2002, ישראל הצטרפה לאיחוד האפריקאי במעמד משקיפה. זהו יום חג ליחסי ישראל-אפריקה. ההישג הדיפלומטי הוא פרי מאמץ של משרד החוץ, אגף אפריקה ושגרירויות ישראל ביבשת.— יאיר לפיד – Yair Lapid🟠 (@yairlapid) July 22, 2021
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La Palestine déjà observateur à l’UA

Israël entretient des relations avec 46 pays africains «et a des partenariats de grande ampleur et des coopérations dans de nombreux domaines, y compris le commerce et l’aide», selon le texte. Israël avait ce statut d’observateur au sein de l’Organisation de l’unité africaine (OUA) jusqu’à sa transformation en Union africaine en 2002. La Palestine bénéficie déjà de ce statut d’observateur à l’UA, où elle compte des soutiens.

Réaction d’Israël après son adhésion à l’Union africaine

Le ministère israélien des Affaires étrangères, dans son premier communiqué au sujet de son adhésion à l’Union africaine – tel que publié ci-dessous – a écrit que l’Union africaine comprend 54 pays.

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Ledit communiqué a été modifié par une certaine presse
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Union africaine/ Antisémitisme viscéral: Une semaine après, l’acceptation d’Israël comme membre observateur, l’Algérie revient à la charge.

Après près de 20 ans d’efforts diplomatiques, Israël a obtenu jeudi le statut d’observateur auprès de l’Union africaine (UA). Israël détenait auparavant le statut d’observateur auprès de l’Organisation de l’unité africaine (OUA), mais a été longtemps contrecarré dans ses tentatives de le récupérer après la dissolution de l’OUA en 2002 et son remplacement par l’UA. « Cela corrige l’anomalie qui existe depuis près de deux décennies et constitue une partie importante du renforcement du tissu des relations étrangères d’Israël », a déclaré un communiqué du ministère israélien des Affaires étrangères.

L’Algérie a déjà fait savoir sa désapprobation par le biais d’un communiqué du ministère des Affaires étrangères rendu public dimanche 25 juillet, minimisant la portée de la décision, qualifiée de « non-événement ».

Cette accréditation n’a pas été du goût d’Alger qui dans un communiqué ce lundi l’a dénoncé. « La récente décision du président de la Commission de l’Union Africaine (UA) d’accueillir un nouvel observateur qui relève de ses prérogatives administratives n’est pas de nature à altérer le soutien constant et actif de l’organisation continentale à la juste cause palestinienne », a déclaré le ministère algérien des Affaires étrangères dans un communiqué sans nommer expressément Israël.

Prise sans le bénéfice de larges consultations

D’après Alger, cette décision a été prise unilatéralement par le bureau de la Commission de l’UA sans avoir consulté les Etats membres de l’organisation, en violation des principes de l’acte constitutif de l’UA. « Prise sans le bénéfice de larges consultations préalables avec tous les États membres, cette décision n’a ni la vocation, ni la capacité de légitimer des pratiques et comportements dudit nouvel observateur qui sont totalement incompatibles avec les valeurs, principes et objectifs consacrés dans l’Acte Constitutif de l’Union Africaine », a estimé le ministère.

Un non-évènement

La diplomatie algérienne a également déploré l’« agitation médiatique » qui a entouré l’accréditation qui selon elle « relève davantage du non-évènement ». « Les modes de fonctionnement de l’Union africaine ne permettent aucune possibilité pour les 87 États observateurs extra-Africains d’influencer les positions de l’Organisation continentale, dont la détermination est la compétence exclusive de ses États membres », a insisté le ministère.

Une semaine après, l’Algérie revient à la charge.

Dans une note signée conjointement, quelques ambassadeurs à savoir: Addis-Abeba de l’Algérie, de l’Egypte, de la Tunisie, des Îles Comores, de Djibouti, de la Mauritanie et de Libye, ont signifié à la Commission de l’Union africaine leur opposition à  l’acceptation d’Israël comme membre observateur, estimant que « le président de la commission de l’UA a commis un dépassement procédural et politique »

Seulement 7 pays africains dont l’Algérie s’y opposent

Alger lancait une procédure pour rejeter le projet d'intégrer Israël comme membre observateur de l'Union africaine (UA). Avec d'autres pays, il dénonce une décision unilatérale dans une lettre adressée au président de la Commission de l'UA. Moussa Faki Mahamat est accusé d'avoir décidé, dans son coin, d'intégrer l'État hébreu comme observateur.

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Les signataires soulignent que le président de la Commission a pris « une initiative sur une question politique sensible, à propos de laquelle l’Union africaine, aux plus haut niveau de prise de décision et depuis longtemps, a pris des résolutions claires exprimant sou soutien indéfectible à la question palestinienne et condamnant les pratiques d’Israël sous toutes leurs formes au détriment du peuple palestinien frère et qui sont en contradiction avec les intérêts de l’Union africaine, ses valeurs, ses idéaux et ses résolutions ».

Une attaque à l'encontre de Moussa Faki

Dans une lettre adressée le 2 août au président de la Commission, ils reprochent à Moussa Faki d'avoir pris, sans consultations préalables, une décision sur « une question politique sensible » à propos de laquelle, précise la lettre, « l'Union africaine a pris des décisions claires qui expriment sa position soutenant la cause palestinienne ».

Les sept pays arabes-africains regrettent également que le commissaire n'ait pas respecté « les buts et les principes » de l'acte constitutif de l'Union africaine, ce qui a été « respecté par ses prédécesseurs », rappellent les protestataires, estimant que cela ne sert pas l'intérêt de l'Union africaine.

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Les sept États signifiant par conséquent leur « refus officiel » de l’acceptation par le président de la Commission des lettres de créance de l’ambassadeur d’Israël en date du 22 juillet et demande au même président d’inclure la question dans l’ ordre du jour de la prochaine session du conseil exécutif conformément au règlement de l’octroi de la qualité de membre observateur.

Dans la note, il est reproché au président de la Commission de n’avoir pas pris compte, contrairement à ses prédécesseurs, des figurant idéaux et objectifs dans les statuts de l’UA, des résolutions de déjà prises, des intérêts de l’organisation et des avis des États membres et des critères d’octroi de la qualité de membres observateurs adoptés par le Conseil exécutif en 2005.

Le chef de la milice du polisario rencontre discrètement un ministre israélien en Equateur
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Le chef de la milice du Polisario a rencontré, mercredi à Quito, en marge de l’investiture du président équatorien Lenin Moreno, le ministre du Likud, Ayoub Kara. Une rencontre discrète qui contredit le discours anti-israélien et la profession de foi «pro-palestinienne» du front séparatiste.Mais ce qui est étonnant, c’est qu’en marge de l’investiture du nouveau président équatorien, Lenin Moreno, le chef du Polisario rencontre « discrètement » un ministre du Likoud, en l’occurence Ayoub Kara. Brahim Ghali ne savait peut-être pas qu’il allait être pris en flagrant délit de « tchatche » avec le ministre israélien, comme en atteste ce cliché de leur rencontre diffusé par le très sérieux quotidien israélien « The Times of Israël ».

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Le quotidien israélien rapporte même la teneur d’un tweet du ministre du Likoud où il affirme avoir été « surpris » de l’accueil « chaleureux » qui lui a été réservé à Quito, à l’issue de cette rencontre qu’il a eue en catimini avec le chef de la milice du Polisario. La photo prise de Brahim Ghali avec le ministre israélien démontre que cette rencontre s’est déroulée dans une ambiance décontractée, prouvant ainsi que le chef du Polisario n’était nullement dans la gêne. Loin s’en faut, Brahim Ghali, à l’instar de son prédécesseur, Mohamed Abdelaziz, profitaient de la moindre occasion pour quémander une photo auprès d’un dirigeant étranger.

Seulement voilà, il se trouve que le dirigeant rencontré mercredi est un ministre israélien. Un représentant d’un Etat israélien que le front Polisario, tout comme le régime algérien, ont toujours vilipendé publiquement, affirmant se mettre du côté du peuple palestinien colonisé et opprimé.

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