Révélations exclusives de Ferhat Mhenni, l'artiste militant que le régime colonial algérien craint...
- gherrrabi
- il y a 3 jours
- 2 min de lecture

Face à cette montée en puissance, Alger multiplie les tentatives de contact avec la direction du MAK, déployant des émissaires militaires et civils dans un contexte de grande nervosité institutionnelle. Cette fébrilité s’explique par un dilemme doctrinal majeur : la reconnaissance internationale du plan d’autonomie marocain pour le Sahara occidental a créé un précédent géopolitique susceptible de s’appliquer au cas kabyle, plaçant le pouvoir algérien dans une contradiction stratégique intenable.
Implication majeure : la question kabyle n’est plus une affaire de politique intérieure algérienne. Elle est devenue une équation géopolitique régionale, dont les ramifications touchent à la stabilité du Maghreb, aux équilibres diplomatiques atlantiques et aux recompositions post-révolutionnaires du monde arabe.
Au-delà des spéculations relayées par certains médias, il convient de rappeler que Ferhat Mehenni est engagé depuis des décennies dans la défense de la cause kabyle, au prix d’innombrables sacrifices personnels, politiques et familiaux.
Tout au long de son parcours, il a plusieurs fois été approché par le régime algérien pour des postes de responsabilité ou d’intégration dans l’appareil d’État, des propositions qu’il a systématiquement refusées, privilégiant la fidélité à ses principes, à ses convictions et à son peuple.
Déclaration du président Ferhat Mehenni
Nous avons été approchés par des émissaires envoyés, par le président algérien Abdelmadjid Tebboune en personne, dans le but de nous dissuader de proclamer l’indépendance de la Kabylie;
Nous avons un projet de liberté, et n'avons jamais commis le moindre acte de violence;
Nous sommes des gens de dialogue mais il y a des principes sur lesquels nous sommes intransigeants.
Sabrina Medjebeur sur Europe 1.
Sabrina Medjebeur a su, défendre le peuple kabyle, trop souvent réduit au silence et qui continue de souffrir sous la dictature algérienne.
Enseignant algérien "agressé" par des gendarmes ... «Il y a Dieu en haut et nous en bas»

Dans une Une vidéo devenue virale en algérie un enseignant algérien, affirme avoir été "insulté", "agressé" et avoir reçu un coup de de tête.
L'enseignant explique avoir été immobilisé par des gendarmes qui, selon lui, ont menacé de le "tuer" et de "le violer". Il dit avoir reçu des coups de tête en plein visage.
Il a précisé qu'avant de le relâcher, un des gendarmes lui a dit qu' «il y a Dieu en haut et nous en bas»...







Commentaires