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Exclusif: L'Algérie, la Mecque de la déstabilisation, la Mecque des groupes terroristes, du séparatisme ... l'Algérie finance de façon occulte le (PKK) [Part2]

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Le régime algérien a été et est toujours un «sanctuaire» pour les groupes terroristes, notamment FRAP, le MPAC canarien , l’ETA, le PKK, le Polisario, l'Azawad....

L’algérie vit toujours dans la guerre froide, et est la véritable Mecque des terroristes. Il a toujours aidé les organisations terroriste. l'algérie était soupçonné de financer de façon occulte le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK)

Après avoir déposé les armes en février dernier, le Parti des Travailleurs du Kurdistan (PKK) est sur le point d'officialiser sa dissolution. Une décision que l’organisation basque ETA avait déjà prise en 2018. Le Polisario, une entité armée comme le PKK et ETA, est-il disposé à prendre une telle décision.

Le Congrès américain a récemment révélé les détails d'une proposition de loi initiée par le député Joe Wilson. Ce texte vise à classer le Polisario comme une organisation terroriste étrangères aux États-Unis.

Intitulée «Loi sur la désignation terroriste du Front Polisario», cette proposition met en avant les liens idéologiques et opérationnels que le Front Polisario aurait entretenus avec l'Iran, un État accusé de soutenir le terrorisme, depuis les années 1980. Elle souligne que des combattants du Polisario ont été vus avec des images de l'ayatollah Rouhollah Khomeini, cherchant ainsi à renforcer leur crédibilité révolutionnaire et à obtenir un soutien iranien.

Le texte s'appuie sur des rapports de Jeune Afrique, affirmant que trois officiers du Hezbollah ont formé des membres du Polisario dans les camps de Tindouf en 2018. L'un de ces formateurs aurait été tué lors d'une frappe aérienne israélienne en Syrie en novembre 2023 et avait déjà été sanctionné par les États-Unis pour son rôle dans l'attaque de Karbala en 2007, qui avait coûté la vie à cinq soldats américains.

Le texte explique que l'Iran a intensifié son soutien au Polisario, allant au-delà de la formation pour inclure la fourniture d'armes létales. En 2022, lors d'une diffusion en direct, le "ministre de l'Intérieur" du Polisario, Omar Mansour, aurait déclaré que leurs combattants étaient formés à l'assemblage et à l'utilisation de drones armés. Un an plus tard, des images montrant des munitions de type iranien ont été diffusées sur des réseaux sociaux affiliés au Polisario, confirmées par des experts en armement.

Le Washington Post a également été cité, confirmant en avril 2025 que l'Iran avait formé des membres du Front Polisario et leur avait fourni des drones.

Le texte mentionne également la participation de la branche syrienne du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), reconnu comme organisation terroriste, au "Sommet de solidarité sahraouie" organisé par le Polisario dans les camps de Tindouf du 4 au 7 janvier 2025.
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Les médias turcs accusent l'algérie de soutenir les séparatistes Kurdes du PKK après les avoirs accueillis a une confernce a Tindouf
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L'Algérie s'apprête à ouvrir la porte à un conflit avec la Turquie et la Syrie, après avoir récemment accepté la participation de membres appartenant à l'organisation YPG, qui représente les Kurdes syriens, et de membres de l'organisation PKK, qui représente les Kurdes turcs. Une conférence organisée à Tindouf au début de cette semaine et accueillie par le Front Polisario, le mouvement séparatiste soutenu par l'Algérie, a été témoin de la présence de la militante suédoise pour le climat Greta Thunberg.

Les signes de conflit sont évidents dans les réactions de colère turques face à cette démarche, puisque le site d'information turc « Clash Report » a publié un article sur cette conférence de soutien aux séparatistes kurdes et au Polisario sur le sol algérien, où il affirme, en s'appuyant sur ses sources : que « cette conférence n'aurait pas eu lieu sans l'autorisation « des autorités algériennes, compte tenu du soutien de l'Algérie au Front Polisario ».

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Autonomie ou désignation terroriste

Le texte stipule qu'au plus tard 180 jours après son entrée en vigueur, le Secrétaire d'État devra soumettre un rapport détaillé au Congrès sur le Front Polisario. Ce rapport devra inclure une description de sa direction, de ses opérations militaires, de ses soutiens étrangers, ainsi que de ses relations avec l'Iran, la Russie et d'autres organisations terroristes telles que le Hezbollah, le Corps des Gardiens de la révolution islamique iranien, et le PKK. Le rapport devra également analyser si le Front Polisario a délibérément attaqué des cibles civiles.

Après quarante années de lutte armée, le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) a annoncé ce lundi 12 mai sa dissolution. Une décision historique qui rebat les cartes de la question kurde en Turquie, et qui intervient dans un contexte géopolitique complexe.
Le PKK s'éloigne du Front Polisario
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En détruisant ses armes, le PKK enterre la lutte armée

Des combattants du PKK ont symboliquement déposé les armes dans une cérémonie qui s’est déroulée dans le nord de l’Irak. Un geste fort salué par Ankara comme un «tournant historique», mais qui soulève de nombreuses questions sur la suite du processus de paix.

Le Parti des Travailleurs du Kurdistan a salué une «opération historique et démocratique». Une trentaine de ses combattants et combattantes ont déposé ce vendredi leurs armes sur un bûcher avant de les incendier, en signe de désarmement du mouvement. Ce geste est censé marquer un tournant dans les relations avec autorités turques, contre qui le PKK est en guerre depuis quatre décennies.

Considéré comme terroriste par la Turquie et de nombreux pays occidentaux, le PKK s'apprête à déposer les armes.  Une cérémonie très symbolique s'est déroulée dans le nord de l'Irak.

La cérémonie s’est déroulée dans la matinée à l’ouest de Souleimaniyeh, dans la région autonome du Kurdistan, dans le nord de l’Irak. Elle a eu lieu dans la grotte de Casene, connue pour avoir notamment abrité une imprimerie qui a publié l’un des premiers journaux kurdes.

L'Algérie soutient le PKK sur les plans politique, financier et logistique, en abritant des séparatistes kurdes et en leur fournissant des ressources.

Le PKK a des réfugiés installés en Algérie. Cette population représente un important fonds de commerce pour l'Algérie, garantissant que le conflit perdure encore de nombreuses années.

La couverture et le financement des séparatistes kurdes du PKK en algérie est assurée par un président de la chambre à la Cour suprême, Me. Abidine Mustapha, haut cadre du ministre de la Justice et son frère les deux sont originaires de Aïn El Hadjar, anciennement Centuria à l'époque romaine, est une commune de la wilaya de Saïda.

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Les "Abidines" accordent des permis de travail aux membre du PKK et tous les marchés publics et privés du secteur de réalisation forage des puits d'eau pour s'autofinancer.

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Me. Abidine Mustapha est marié à deux femmes, une Kurde et l'autre Algérienne qui n'est autre que la nièce de Hamza Boubakeur, de son nom réel Aboubakeur ben Hamza ben Kadour, est un homme politique français et religieux musulman né le 15 juin 1912 dans l'oasis de Brezina à El Bayadh (Geryville) en Algérie et mort le 4 février 1995 à Paris 13e.

PH- Hamza Boubakeur
PH- Hamza Boubakeur

Hamza Boubakeur est adhérent de la SFIO et, bien qu'il n'en eut pas l'autorité, Guy Mollet alors président du Conseil le nomme recteur de la Grande Mosquée de Paris, succédant à Si Kaddour Benghabrit en 1957 afin de la soustraire aux convoitises des nationaliste algériens. Si le Conseil d'État conteste cette nomination en 1963, Hamza Boubakeur demeure cependant de fait dans ses fonctions jusqu'en 1982. Il cède alors la Mosquée de Paris à l'Algérie en échange de la récupération de la jouissance des biens nationalisés des Boubakeur en 1962 en Algérie mais cette rétrocession est illégale car la mosquée appartient à une association.

Enfant du sérail, Magistrat, marié à une Kurde...Toutes ces qualités font de Me. Abidine Mustapha la personne idéale comme point focal et la bonne couverture des séparatistes Kurde en algérie avec la bénédiction des généraux algériens.

Les séparatistes kurdes entretenue par l'Algérie, qui avaient trouvé refuge sur son sol, avait un Interlocuteur ("a direct point of contact" ou "a direct contact person") qui traite directement avec  Me. Abidine Mustapha, il s'appelle: Wiyasa Muhammadun Rasulun.

Selon nos sources, Wiyasa Muhammadun Rasulun a totalement disparu des radars. Certains pensent qu'il a été tué par les agents du DRS, d'autres pensent qu'il a pris la poudre d'escampette

Le Polisario peut-il suivre l’exemple du Kurdes du PKK et renoncer aux armes ?

Ces derniers temps, un débat de plus en plus fréquent porte sur la possibilité que le Polisario connaisse un sort similaire à celui du PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan) en Turquie. Il est souvent évoqué la possibilité que le Polisario se dissolve, dépose les armes, abandonne son passé violent et quitte définitivement la scène des conflits armés, tout comme le PKK, qui a renoncé à la lutte armée sous la direction d’Abdullah Öcalan. Deux raisons majeures nourrissent ce débat.

La première tient à l’évolution du discours international. De plus en plus de voix s’élèvent pour qualifier le Polisario d’organisation terroriste. En effet, certains considèrent qu’il ne représente plus les Sahraouis. Ce qui n’a jamais été le cas, car il a toujours été un instrument au profit de l’Algérie, et qu’il incarne une organisation violente, armée, dont les actions sont qualifiées de terroristes. Et récemment des leaders du mouvement ont exprimé leur intention de cibler des projets internationaux dans le Sahara, qu’ils soient américains, français ou émiratis. Ce genre de discours confirme son image d’organisation terroriste, soutenu et armé par l’Algérie.

Un autre facteur de cette situation est la nature du soutien que le Polisario reçoit de la part de l’Algérie. Depuis plus de 50 ans, le Polisario bénéficie de l’aide militaire et logistique de l’Algérie, ce qui soulève de vives préoccupations parmi les pays voisins, notamment dans la région du Sahel, comme le Mali, le Niger et le Burkina Faso. Ces derniers ont d’ailleurs critiqué le rôle de l’Algérie en la qualifiant de « sponsor du terrorisme », en raison de son soutien au Polisario et de ses actions militaires dans la région.

La deuxième raison qui alimente ce débat réside dans la comparaison entre le Polisario et le PKK. Ce dernier, bien qu’ayant une histoire et une culture bien établies, a su évoluer en abandonnant la lutte armée pour se concentrer sur des solutions politiques. Le PKK, après de longues années de lutte, a opté pour une solution pacifique, notamment sous l’impulsion de son leader Abdullah Öcalan, qui reste emprisonné en Turquie depuis plus de 20 ans. Cette transition a permis au PKK de se réconcilier avec une partie de la société turque, contrairement au Polisario, en mouvement factice qui utilise la communauté sahraouie du Maroc comme bouclier pour des revendications irréelles.

Il est donc sage de penser que le Polisario pourrait suivre un chemin similaire, en renonçant à la violence pour rejoindre une solution politique pacifique comme prôné par le Maroc et soutenu en cela par la majorité des Etats membres de l’ONU. C’est sous ce registre que les négociations de Genève, sous l’égide de l’ONU, font état de cette hypothèse d’une solution comme soutenue et proposée par le Maroc et qui pourrait permettre une porte de sortie au Polisario, qui plus ou moins n’est qu’un acteur secondaire, car instrumentalisé par l’Algérie.

Dans ce contexte, le Maroc reste ferme sur sa position : l’autonomie sous souveraineté est la seule issue envisageable. Les derniers développements géopolitiques, notamment l’évolution des relations internationales et les nouvelles alliances qui se forment, laissent penser que le Polisario est à un tournant de son histoire, et que sa dissolution pourrait être inévitable dans les mois à venir.

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