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Coronavirus : Nous devons tous nous inquiéter du sort de nos sœurs et nos frères sahraouis séquestré

Coronavirus : Nous devons tous nous inquiéter du sort de nos sœurs et nos frères sahraouis séquestrés dans les camps de Tindouf au sud de l’Algérie.

Un virus, auparavant inconnu de la science, est à l’origine d’une grave maladie pulmonaire en Chine et a également été détecté dans l’Algérie. Le bilan du coronavirus continue à augmenter en Algérie où les médecins ont constaté ce mercredi 4 mars neuf nouveaux cas de contamination, ce qui porte le nombre total de malades à 17.

Neuf personnes ont été diagnostiquées positives au Covid-19 en Algérie ce mercredi 4 mars, a indiqué le ministère algérien de la Santé qui précise que le bilan du virus fait désormais état de 17 malades dans le pays. Parmi les malades figurent 16 membres de la même famille habitant la wilaya de Blida, à environ 30 km au sud d’Alger et un Italien qui était la première personne diagnostiquée dans le pays.

L’Institut Pasteur d’Algérie est submergé pour les tests de diagnostic

Au rythme où va la progression du nombre de cas de coronavirus Covid-19, cette unique structure, qui fonctionne avec une équipe réduite, risque d’être submergée par le nombre de prélèvements, surtout que les cas de grippe saisonnière sont également prélevés et analysés.

Interrogé à ce propos, le directeur général de la prévention au ministère de la Santé, le Dr Djamel Fourar, signale que des instructions ont été données pour mettre en place les conditions nécessaires afin de prévoir une décentralisation du diagnostic.

NB: La distance entre Alger et Tindouf est de 1747 Km par la route.

Vidéo: Un médecin algérien révèle une affaire dangereuse sur le Coronavirus en Algérie:

Dispositif pour l’opération d’évacuation des cas suspects Coronavirus au Maroc:

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Dispositif pour l’opération d’évacuation des cas suspects Coronavirus en Algérie:

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Un mur de sable construit autour de Lahmada-Tindouf

La séquence que nous reproduisons (voir vidéo ci-contre) concerne le camp dit «Boujdour», complètement assiégé par ce « Mur de sable » construit sur plusieurs kilomètres et vraisemblablement jonché de mines. Ce «mur de la honte» dressé par l’armée algérienne à hauteur de tous les camps de Lahmada ôte désormais à la population toute possibilité de mouvement, encore moins d’évasion.

Le Polisario agonise. Son parrain et son hébergeur, l’Algérie, est trop occupé par la révolution populaire qui menace la pérennité du régime.

Medi1TV a réussi en collaboration avec une journaliste espagnole, qui n’avait jamais jusqu’alors mis les pieds au Sahara, de filmer les conditions inhumaines dans lesquelles survivent des milliers de sahraouis, privés de leurs droits les plus élémentaires, à savoir la liberté de circuler, la liberté d’expression, l’éducation, la santé et la protection contre la violence.

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