Bataille d'amgala 1976 - "L'arme des humiliés: la vengeance."... Orangina
- gherrrabi
- il y a 7 jours
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Pour oublier l'humiliation, il est possible de se rappeler que "nous nous consolons rarement des grandes humiliations; nous les oublions"
Dans la lignée d’une défaite de tous les principes et d’un modèle algérien, au pied du mur, d’un régime en faillite, Chengriha, ce stalinien rétrograde est lancé dans une fuite en avant… Il porte la marque indélébile du complexe rédhibitoire du Royaume du Maroc comme le totem sur sa "peau"…
On s’épuise désespérément à vouloir comprendre au nom de la simple raison ce qui motive le général Saïd Chengriha, biberonné à un antimarocanisme primaire, devenu le haineux provocateur contre notre pays ! L’homme qui n’accepte pas la défaite, ne se console jamais de la situation humiliante dans laquelle il s’était retrouvé un certain jour de février 1976 au cœur du Sahara marocain libéré par les FAR, alors qu’il était dépêché par Boumediene à Amgala pour espionner l’avancée des FAR et , le cas échéant, empêcher le retour de la province de Saquiet al-Hamra au Maroc…
“Tous les morts ne sont pas sous terre. L'humiliation est pire que la mort.” Massa Makan Diabaté.
L'humiliation est un sentiment de dégradation profonde de la fierté, qui peut engendrer de la rancune
Le fennec anti-marocain Saïd Chengriha ne rate aucune occasion de traiter le Maroc d’ennemi, même quand l’Algérie était ravagée par les feux de forêt. Une hostilité qui remonte à 1976 quand le général, encore peu gradé, a été fait prisonnier par les FAR lors de la bataille d’Amgala.
A l’époque, capitaine de l’ANP ( Armée nationale populaire) , aujourd’hui général de son état affublé du titre de ministre délégué à la défense d’Algérie, auréolé d’un prestige tout à la mesure de sa psychopathologie convulsive et conflictuelle, Saïd Chengriha incarne la haine du Royaume du Maroc. Son parcours se résume à cette disposition mentale, ni plus, ni moins. Et cette haine a des origines qui remontent au mois de janvier-février 1976, lorsqu’il fut fait prisonnier avec les troupes qu’il commandait par les Forces Armées Royales (FAR) lors de la bataille d’Amgala.

Il faut rappeler que Chengrihia a rejoint l’armée au moment où les milices du colonel Boumediene avaient attaqué le village marocain d’Yich, qui fut à l’origine de la guerre des sables en 1963. Même s’il n’y a pas participé, la défaite cuisante de l’armée algérienne face aux FAR l’a affecté psychiquement, comme tous les autres militaires qui ont ressenti la Hogra (mépris).
Encore faut-il rappeler que Chengriha avait un complexe vis-à-vis du haut niveau de formation et d’expérience acquise sur le terrain dans les guerres coloniales par ses collègues officiers. L’homme n’a pas suivi de hautes études et a tout appris à l’école militaire où il s’est imprégné de la seule doctrine qui vaille dans cette institution: la haine contre le Maroc. Une haine qui a dépassé les casernes pour se propager dans les classes des écoles et les enceintes des mosquées.
Cette hostilité envers le Maroc va décupler quand Chengriha participera au sein d’un bataillon lourdement armé à une lâche agression contre l’intégrité territoriale du Maroc en 1976. C’était lors de la fameuse bataille d’Amgala où les héros des FAR avaient infligé une défaire cuisante à l’armée algérienne, dont les échos avaient alors dépassé les frontières. Et pour cause, dans cette bataille, l’armée algérienne a subi des dizaines de morts, de blessés et surtout de prisonniers parmi lesquels se trouvait un certain Saïd Chengriha. Ce fennec anti-marocain, devenu aujourd’hui chef d’Etat major de l’armée algérienne, veut venger la débandade d’Amgala par la guerre des mots. Ce qui ne lui fait pas honneur.
A lire aussi>>> L'Orangina est en effet née en Algérie. Certes à l'époque en 1935 l'Algérie était française








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