Au suivant: l'algérienne, Hamlaoui Ibtissem, sexe et politique… les dates, les lieux, son parcours.... sont à retracer... [Enquête. By Mohammed Gherrabi]
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- 5 juin
- 14 min de lecture

Au suivant: Hamlaoui Ibtissem, sexe et politique… les dates, les lieux, son parcours.... sont à retracer.
En Algérie, la méritocratie est un concept souvent évoqué, mais sa mise en pratique reste complexe et contrastée.
La méritocratie, en théorie, signifie que les positions et les opportunités sont attribuées en fonction du mérite, des compétences et de l'effort individuel, plutôt que d'être basées sur la naissance ou le statut social.
La méritocratie au pays de « Sidi Hbibi Dellali »

Il est plus qu’urgent que le peu de cervelle qui reste encore fonctionnelle, se mette au travail pour sauver ce qui peut encore être sauvé dans ce pays, ravagé par la médiocrité et l’incompétence.
Ceux dont les yeux brillent d’ambition démesurée et du désir d’arriver très vite, brûlent tous les barrages et narguent tous les codes et procédures connues ou convenues pour réussir avec effort et mérite.
Passer des tests, des concours ou compter uniquement sur son talent pour accéder à un poste donné au sein de l’État ou dans la députation, devient une chimère au pays de « Sidi Hbibi Dellali ». Ceux qui savent donc emprunter les raccourcis professionnels, défendus au reste du mortels, n’ont pas besoin de frapper ailleurs pour arriver.
Si les voies du pouvoir sont impénétrables pour la majorité des Algériens, elles demeurent tout à fait pénétrables pour certains malins de la république. Les principes constitutionnels d’égalité et d’équité des chances, se retrouvent continuellement et outrageusement bafoués. Il leur suffit de frapper à la bonne porte, celle qui donne à toutes les autres portes, toucher les bons relais du système et éviter les relais grillés et les escrocs de salon, vendeurs de rêves et de promesses non tenues.
Pour gagner des raccourcis professionnels, il faut savoir maîtriser le voyage dans le temps, un art très bien connu de nos carriéristes. L’astuce, emprunter un vortex, ce raccourci spatio-temporel, bien connu de certains physiciens de la magouille et prestidigitateurs de la chance forcée et des portes défoncées.
Un vortex qui fait coïncider le but désiré, le poste prisé, à la personne qui le désire, en sautant toutes les formalités d’usage et en faisant sauter tous les verrous qui y font barrage.
Le voyage à travers ce vortex est périlleux mais il en vaut bien la peine. Le sentiment d’être sollicité par tous, procure une jubilation, puissance et importance, difficilement surmontables pour des esprits malades, avides de pouvoir. Pour cela, ils sont prêts à troquer femme, père et mère pour le poste qu’ils considèrent comme un levier de plus, pour défoncer d’autres portes et passer en infraction vers d’autres niveaux de responsabilités, plus importantes encore.
Un pays qui ne respecte pas ses élites, ni l’échelle des valeurs universellement admises et bafouille sans cesse, celle du mérite, au profit de l’allégeance et de la médiocrité, est un pays qui évolue en dehors des standards universels et joue avec son avenir.
Des carriéristes qui, une fois en place, bloquent le passage aux talents et prennent en otage tout un pays, juste pour ne pas être débusqués, détrôner et déchus de leur piédestal immérité. Ils préfèrent donc voir l’Algérie couler avec eux, que de l’avoir réussir sans eux.
Sexe contre emploi, le phénomène s'amplifie

Les faveurs sexuelles en échange d'un poste ou d'un avantage professionnel en algérie constituent une forme de harcèlement sexuel, voire de corruption sexuelle, et sont illégales.
Il faut arrêter de classer l’abus de fonction pour obtenir des faveurs sexuelles comme un simple comportement immoral ou un acte de harcèlement sexuel. Il faut dorénavant le considérer comme un acte de corruption.

Affaire de mœurs, adultère… Le Général-Major Saïd Chanegriha et le Général Abdelghani Rachdi Directeur général de la DGSI.
Empêtré dans un scandale aux relents d’adultère, le colonel Dalil Hamdi alias «Taoufik» avait fait l’objet d’une procédure de divorce engagée contre lui par son épouse.
En effet, le haut de cadre (Dalil Hamdi alias «Taoufik») de la Direction générale de la sécurité intérieure dirigée, par le général Abdelghani Rachedi, entretient des relations intimes avec la députée FLN « Dr » Hamlaoui Ibtissem connue à Alger pour ses accointances avec les services.
Ce scandale est venu ternir l’image d’une institution peu aimée par les Algériens en raison du comportement de ses membres. La DGSI joue un rôle prépondérant dans la répression qui s’abat sur les activistes du Hirak et sur les journalistes. La sinistre caserne Antar (Abla) qui dépend de la DGSI est devenue un lieu de passage pour des dizaines de personnes arrêtées en marge des protestations que connaît aujourd’hui le pays.
Empêtré dans un scandale aux relents d’adultère, le colonel Dalil Hamdi alias «Taoufik» avait fait l’objet d’une procédure de divorce engagée contre lui par son épouse.
En effet, le haut de cadre (Dalil Hamdi alias «Taoufik») de la Direction générale de la sécurité intérieure dirigée, par le général Abdelghani Rachedi, entretient des relations intimes avec la députée FLN « Dr » Hamlaoui Ibtissem connue à Alger pour ses accointances avec les services.
Ce scandale est venu ternir l’image d’une institution peu aimée par les Algériens en raison du comportement de ses membres. La DGSI joue un rôle prépondérant dans la répression qui s’abat sur les activistes du Hirak et sur les journalistes. La sinistre caserne Antar (Abla) qui dépend de la DGSI est devenue un lieu de passage pour des dizaines de personnes arrêtées en marge des protestations que connaît aujourd’hui le pays.
L’OLAF accuse l’Algérie et le Polisario de détournement
Le Croissant-Rouge algérien est le premier acteur de ce détournement des aides humanitaires
Le rapport de l’OLAF, explique dans le menu détail comment le Croissant-Rouge algérien est le premier acteur de ce détournement de l’aide débarquée d’abord au port d’Oran avant de tomber dans les circuits de contrebande polisariens qui profitent de cette manne financière pour acquérir des armes, mais aussi et surtout des biens immobiliers personnels en Espagne.
Des moyens sophistiqués pour localiser les caches de stockage de l’aide détournée
L’ESISC affirme que l’Office européen de lutte anti-fraude a utilisé les moyens les plus sophistiqués pour prouver le détournement par l’Algérie et le Polisario des aides humanitaires destinées aux camps de Tindouf. Selon la même source, l’OLAF est allé jusqu’à dissimuler des balises de géo-localisation dans des containers destinés au Polisario. «A l’arrivée, les découvertes qui ont été faites valaient bien cet effort inédit : ainsi, une fois que l’aide humanitaire arrive à Oran, elle met en moyenne 48 jours pour être finalement acheminée aux camps de Tindouf alors qu’une grande partie des chargements ne parvient jamais aux populations sahraouies dans le besoin».
L’ESISC rapporte que «le récent rapport de l’OLAF détaille comment le Croissant-Rouge algérien est le premier bénéficiaire du détournement de l’aide, suivi par les dirigeants du Front Polisario qui profitent de cette manne financière pour acquérir des armes, mais aussi et surtout des biens immobiliers personnels aux Canaries ou en Espagne». «Les enquêteurs de l’OLAF sont allés jusqu’à localiser avec précision les caches utilisées par les chefs du Polisario pour stocker l’aide détournée avant de la redistribuer sur les marchés subsahariens. Ils ont également identifié les responsables du front Polisario coupables de ces détournements et ont retrouvé une partie des villas de luxe achetées dans le sud de l’Europe», note l’ESISC.
Le site italien informazione.campania.it rapporte le témoignage de plusieurs députés européens qui accusent le duo Polisario-Algérie d’être derrière l’accaparement des aides humanitaires pour des besoins affairistes. Ils exigent du Croissant rouge algérien, seul interlocuteur des donateurs, de livrer à l’UE un rapport détaillé sur les raisons de la disparition des aides destinées aux camps de Lahmada.
Usurpation du titre du docteur en chirurgie
Dans l’intention de tromper les algériens sur la valeur de ses titres, les dates, les lieux, son parcours sont facile à retracer.

Hamlaoui Ibtissem, n’a obtenu aucun diplôme en chirurgie cardiaque.

Article L4162-1
L’usage sans droit de la qualité de médecin, de chirurgien-dentiste ou de sage-femme ou d’un diplôme, certificat ou autre titre légalement requis pour l’exercice de ces professions est puni comme le délit d’usurpation de titre prévu à l’article 433-17 du code pénal.
Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l’article 121-2 du code pénal, de l’infraction définie au présent article encourent l’amende prévue à l’article 433-17 du code pénal suivant les modalités prévues par l’article 131-38 du même code, ainsi que les peines prévues aux 2° à 4° de l’article 433-25 du même code.
Le non-respect des dispositions de l’article L. 4111-5 est assimilé à une usurpation du titre de médecin, de chirurgien-dentiste ou de sage-femme.
Article 433-17
L’usage, sans droit, d’un titre attaché à une profession réglementée par l’autorité publique ou d’un diplôme officiel ou d’une qualité dont les conditions d’attribution sont fixées par l’autorité publique est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende.
Les personnes physiques ou morales coupables du délit prévu à la présente section encourent également la peine complémentaire suivante : interdiction de l’activité de prestataire de formation professionnelle continue au sens de l’article L. 6313-1 du code du travail pour une durée de cinq ans.
Sexe et politique La fonction d’homme – ou de femme – politique implique une excitation non-stop, nerveuse ou physique. «On est tout le temps au milieu des autres, en train de séduire, de décider, d’agir, dans un état d’éveil sensoriel permanent», rappelle le psychanalyste Serge Hefez.
Système des dépouilles "Spoil system" "Clientélisme": Le système des dépouilles est un principe selon lequel le gouvernement, compte sur la loyauté partisane des fonctionnaires, substitue des fidèles à ceux qui sont en place.
Méritocratie "Merit system" : Le système du mérite est le processus de promotion et d'embauche des employés du gouvernement en fonction de leur capacité à accomplir un travail plutôt que de leurs relations politiques.
Un modèle méritocratique est un principe ou un idéal d'organisation sociale qui tend à promouvoir les individus — dans différents corps sociaux; école ; université; grandes écoles; institutions civiles ou militaires; monde du travail; administrations; État, etc. — en fonction de leur mérite (aptitude, travail, efforts, compétences, intelligence, vertu) et non d'une origine sociale (système de classe), de la richesse (reproduction sociale) ou des relations individuelles (système de « copinage »).
Le merit system offre de meilleures garanties de compétence des fonctionnaires. L’exigence d’impartialité rend l’emploi public plus attractif et le système de concours assure une certaine qualité du recrutement. De cette impartialité et cette stabilité naît un esprit de service public. Inversement, Spoil system, le service public perd de son attrait si l’appartenance politique devient une obligation, admise ouvertement ou occultée. Les épurations successives privilégient l’appartenance partisane par rapport à la compétence.
En Algérie des "postes de responsabilité" sont réservée aux fidèles du clan vainqueur dans la lutte pour le pouvoir.
Les critiques de Hamlaoui, pour la plupart d'allégeance, mais aussi d'allégeance à la junte militaire, disent que sa nomination n'est qu'en fait qu'un bon exemple du copinage pratiqué par la junte militaire dans le processus de sélection différents responsables et cadres des caisses noires et des fonds secrets. Toujours selon eux, ce même processus de nomination est beaucoup trop politisé, partisan, et surtout trop tributaire des opinions politiques des "décideurs".

Plusieurs s'interrogent sur les aptitudes de Hamlaoui Ibtissem (étudiante à faible capital scolaire (sortie dernière de sa promotion), à siéger comme présidente du Croissant-Rouge algérien. En effet, Hamlaoui Ibtissem, n'a jamais jamais exercé d'activité professionnelle.

Des faveurs sexuelles en échange de….
C’est, selon Hichem Aboud, la principale qualité pour laquelle s’est retrouvée en deuxième position de la liste des candidats FLN au niveau de la circonscription électorale de la Zone 1 (France – Nord), Ibtissem Hamlaoui, une femme qui adore cette ambiance d’adrénaline et l’attraction que représente le pouvoir.
C’était lors des élections législatives de 2017.
La jeune étudiante était alors toute fraîche du haut de ses 26 ans. Elle semble aujourd’hui bien partie pour succéder à l’ancienne élève de Abou Djerra Soltani, Naima Salhi, si on sen tient à ses dernières déclarations très méprisantes sur les pères, les mères et les enfants d’Algérie qui sortent pour demander un pays qui offre un minima de dignité et un personnel politique un peu plus qualifié et moins corrompu !
La candidature de cette pulpeuse de 26 ans au regard enflammé originaire de Guelma avait d’ailleurs provoqué un tollé au sein de la diaspora FLNistes. Cette dernière l’avait fait savoir à travers l’Association de la Communauté Algérienne Etablie à l’Etranger (ALCALEE) qui avait contesté cette nomination dans une lettre, rapportée par Algérie Focus, adressée à la Haute Instance Indépendante de Surveillance des Elections sur la liste du FLN France-Nord.
Parmi ce qui était reproché à ce choix, le fait que cette demoiselle n’avait jamais été militante du FLN et comme le mentionne Hichem Aboud dans son témoignage, avait une carte de résidence en France valide à peine pour une année.

quand des candidatures aux « élections législatives » sont rejetées pour motif « titre de séjour temporaire » (d’un an) ou « carte de séjour expire dans 8 mois », la justice et l’équité imposent que toutes les autres candidatures similaires le soient aussi, même pour les listes du parti du président de la république.
Or, dans la liste du FLN France-Nord (circonscription électorale Zone 1, voir pièce jointe), nous trouvons à la deuxième position Melle Ibtissem Hamlaoui, née 23/10/1991 à Guelma, qui est arrivée en France en 2015 grâce à une bourse de l’état algérien avec comme condition de retourner en Algérie après la fin de ses études. Donc, Melle Hamlaoui et comme l’indique son titre de séjour N°5903174918 (voir pièce jointe) n’est autorisée à séjourner en France que temporairement. En plus, elle est venue pour faire des études payées par l’état algérien et doit y retourner pour faire profiter l’Algérie de ses connaissances et compétences.

« Dr » Hamlaoui Ibtissem, avait déclaré qu’elle n’arrive pas à faire la sieste à cause des marches (Hirak) du vendredi
Le hirak s’est manifesté par l’engagement d’acteurs individuels impliqués dans une action collective conflictuelle contre un adversaire pluriel afin de revendiquer un changement social. C’est un agir-ensemble intentionnel marqué par le projet explicite des protagonistes de se mobiliser de concert. Il s’est formé sur les cendres d’un pouvoir en pleine décomposition, un pouvoir responsable de la paupérisation de plus en plus grandissante, ressentie sur un mode dramatique.
Saida Benhabyles (fille d’Iblis): espionnage, détournement d’aides humanitaires…via son croissant rouge
La vidéo en question montre le politologue français Eric Dénécé, directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement. Elle évoque la mission en Libye d’une délégation de personnalités internationales en avril 2011, en plein «printemps » arabe. (Saida Benhabyles membre de cette délégation).
Népotisme : comment les dirigeants politiques et militaires placent leurs enfants à Air Algérie
Le népotisme, c’est la première maladie qui menace dangereusement la compagnie nationale Air Algérie. Plus qu’une maladie, un véritable fléau.

Bienvenue à bord de la compagnie familiale Air Algérie (Air Couscous)
La compagnie nationale aérienne serait devenue la propriété familiale des gens proches du régime qui se seraient accaparé des principaux postes dont certains, fictifs, créés sur mesure.
Dans la famille Bouteflika
Le frère du président de la république, Abdelghani BOUTEFLIKA, qui occupe le poste de conseiller juridique au sein d’Air Algérie.
La belle-sœur du second frère du président Saïd BOUTEFLIKA : Madame KRAIBA, travaille à l’agence d’Air Algérie de Paris.
Dans la famille des soutiens à Bouteflika
Le fils d’Aboudjerra SOLTANI, ancien ministre, directeur de l’une des agences d’Air Algérie à Alger.
Le fils de Saïda BENHABILES, présidente du croissant rouge algérien, Chokri, Travaille à l’agence d’Air Algérie à Londres comme directeur d’agence.
Le frère du président du Syndicat National des Magistrats Algériens Djamel AIDOUNI, Ismail AIDOUNI, occupe un poste à l’agence d’Air Algérie à Tlemcen.
Le fils du député Djamel BOURAS, ancien ministre, travaille au bureau d’Air Algérie à l’aéroport de Lille, France.
La fille de président du sénat Abdelkader BENSALAH, Madame SALHI, occupe un poste à l’agence d’Air Algérie à Paris.
Le frère du président de l’UGTA Abdelmadjid SIDI-SAÏD, directeur de l’agence d’Air Algérie à Lille, France.
La Fille de MAHI colonel du DRS, occupe un poste à l’agence d’Air Algérie à Marseille, France.
La fille du colonel à la retraite ATTIA du DRS qui vient d’être nommé comme ambassadeur aux empirâtes, travaille à l’agence d’Air Algérie à Marseille en France (après avoir refusé un poste au consulat de Marseille)
La fille du général à la retraite Abdelmalek GUENAÏZIA Ex chef d’état-major, occupe un poste à l’agence de Genève d’Air Algérie et son mari est directeur financier à la même agence.
La fille du général en retraite Mohamed ATAILIA, travaille au bureau d’Air Algérie à l’aéroport de Genève en suisse.
La nièce de Yahia Guidoum, ancien ministre et sénateur, Imène (22 ans), à l’agence d’Air Algérie à Paris
La nièce de Mohamed Bedjaoui, ancien ministre des Affaires étrangères, à l’agence d’Aire Algérie à Nice, France.
Dans la famille du gouvernement
La femme du ministre de l’industrie et des mines, Abdeslam BOUCHOUAREB, occupe un poste au bureau d’Air Algérie à l’aéroport d’Orly en France.
Le frère du ministre des transports, Amar GHOUL, travaille à l’agence d’Air Algérie de la wilaya de Chlef.
La fille du ministre de l’intérieur, Tayeb BELAIZ, travaille à l’agence d’Air Algérie de Toulouse, France.
Dans la famille des copains
Un proche du PDG d’Air Algérie Mohamed Salah BOULTIF, occupe le poste de directeur de l’agence d’Air Algérie à Lille, France..
Le fils du président de la FAF (Fédération Algérienne du Football) Mohamed RAOURAOUA, occupe un poste à l’agence d’Air Algérie à Nice, France.
La liste serait encore longue.
Charité ordonnée commence par soi-même

Le passé sanguinaire de Saïda BenhabylesSaïda Benhabyles, membre du gouvernement de Belaid Abdesselam 1992, avec son homologue le sanguinaire général Khaled Nezzar, artisan de la décennie noire (250.000 morts!)
Ministre de la défense nationale : Khaled Nezzar. remplacé par Liamine Zeroual, le 10 juillet 1993
Ministre des affaires étrangères : Lakhdar Brahimi. remplacé par Redha Malek, le 3 février 1993
Ministre de la justice : Abdelhamid Mahi Bahi. remplacé par Mohamed Teguia, le 17 novembre 1992
Ministre de l’intérieur et des collectivités locales : Mohamed Hardi
Ministre de l’éducation nationale : Ahmed Djebbar
Ministre de l’industrie et des mines : Abdenour Keramane. remplacé par Belkacem Belarbi, le 3 février 1993
Ministre des moudjahidines : Brahim Chibout
Ministre de l’agriculture : Mohamed Elyes Mesli
Ministre des affaires religieuses : Sassi Lamouri
Ministre de l’habitat : Farouk Tebbal
Ministre de la santé et de la population : Mohamed Seghir Babes
Ministre du travail et des affaires sociales : Mâamar Benguerba. remplacé par Tahar Hamdi, le 3 février 1993
Ministre de la formation professionnelle : Djelloul Baghli
Ministre du tourisme et de l’artisanat : Abdelwahab Bakelli
Ministre de la communication et de la culture : Hamraoui Habib Chawki
Ministre de la jeunesse et des sports : Abdelkader Khamri
Ministre des postes et télécommunications : Tahar Allan
Ministre des transports : Mokhtar Meherzi. remplacé par Mohand Arezki Isli, le 3 février 1993
Ministre de l’énergie : Hacène Mefti
Ministre de l’équipement : Mokdad Sifi
Ministre délégué au trésor : Ahmed Benbitour
Ministre délégué auprès du Ministre de l’intérieur et des collectivités locales, chargé de la sécurité publique, directeur de la sûreté nationale : M’Hamed Tolba
Ministre délégué au budget : Ali Brahiti
Ministre délégué au commerce : Tahar Hamdi remplacé par Mustapha Mokraoui, le 3 février 1993
Ministre conseiller auprès du chef du gouvernement, Ministre conseiller aux affaires juridiques et administratives : Meriem Belmihoub nommé le 25 octobre 1992
Ministre délégué auprès du chef du gouvernement, chargée de la solidarité nationale: Saïda Benhabyles nommée le 25 octobre 1992
Ministre délégué auprès du Ministre de l’économie, chargé de la petite et moyenne entreprise: Réda Hamiani nommé le 25 octobre 1992
Secrétaire d’État auprès du Ministre de l’éducation nationale, chargé de l’enseignement fondamental et secondaire : Tahar Zerhouni nommé le 25 octobre 1992
Secrétaire d’État auprès du Ministre de l’éducation nationale, chargé de l’enseignement supérieur : Tayeb Chérif nommé le 25 octobre 1992
Secrétaire d’État auprès du Ministre de l’éducation nationale, chargé de la recherche scientifique : Malika Allab nommée le 25 octobre 1992
Ministre délégué auprès du Ministre des affaires étrangères, chargé de la coopération et des affaires maghrébines : Abdelaziz Khellef nommé le 24 novembre 1992
Cette chanson me rappelle une certaine Ibtissem Hamlaoui.
Au suivant Au suivant Tout nu dans ma serviette qui me servait de pagne J’avais le rouge au front et le savon à la main Au suivant Au suivant J’avais juste vingt ans et nous étions cent vingt À être le suivant de celui qu’on suivait Au suivant Au suivant J’avais juste vingt ans et je me déniaisais Au bordel ambulant d’une armée en campagne Au suivant Au suivant Moi j’aurais bien aimé un peu plus de tendresse Ou alors un sourire ou bien avoir le temps Mais au suivant Au suivant Ce ne fut pas Waterloo, non, non mais ce ne fut pas Arcole Ce fut l’heure où l’on regrette d’avoir manqué l’école Au suivant Au suivant Mais je jure que d’entendre cet adjudant de mes fesses C’est des coups à vous faire des armées d’impuissants Au suivant Et au suivant Je jure sur la tête de ma première vérole Que cette voix depuis je l’entends tout le temps Au suivant Au suivant Cette voix qui sentait l’ail et le mauvais alcool C’est la voix des nations et c’est la voix du sang Au suivant Au suivant Et depuis chaque femme à l’heure de succomber Entre mes bras trop maigres semble me murmurer Au suivant Au suivant Tous les suivants du monde devraient se donner la main Voilà ce que la nuit je crie dans mon délire Au suivant Au suivant Et quand je ne délire pas j’en arrive à me dire Qu’il est plus humiliant d’être suivi que suivant Au suivant Au suivant Un jour je me ferai cul-de-jatte ou bonne sœur ou pendu Enfin un de ces machins où je ne serai jamais plus Le suivant Le suivant
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