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Normalisation: La junte militaire algérienne arme ses hommes de main contre le Président mauritanien Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani... Peace & Love... Donald Trump doit réagir... [Dossier]

Depuis les années 1970, des efforts ont été menés pour trouver les conditions permettant d’aboutir à un accord de paix dans le conflit israélo-arabe et plus particulièrement dans le conflit israélo-palestinien. Au fil des ans, de nombreux pays de la Ligue arabe ont signé des traités de paix et de normalisation avec Israël, à commencer par le traité de paix entre l’Égypte et Israël en 1979. Malgré l’échec de la mise en œuvre des accords de paix israélo-libanais de 1983, d’autres traités continuent d'être appliqués, notamment le processus de paix israélo-palestinien (depuis 1991), le traité de paix israélo-jordanien (en 1994), les accords d’Abraham normalisant les relations entre Israël et les Émirats arabes unis, le Royaume de Bahreïn et Israël (en 2020), l’accord de normalisation Israël-Soudan (en 2020) et l’accord de normalisation Israël-Maroc (en 2020). De plus, de nombreux membres de la Ligue arabe ont établi des relations semi-officielles avec Israël.

«Un accord avec Israël est nécessaire»

Parrainés par le président américain Donald Trump lors de son premier mandat à la Maison Blanche, les accords dits d’Abraham en 2020 ont vu le Bahreïn, les Émirats arabes unis, le Maroc et le Soudan établir des liens formels avec Israël.

«Israël est intéressé par une expansion du cercle de paix et de normalisation des accords d’Abraham», a déclaré Gideon Saar lors d’une conférence de presse. Il fait ainsi référence aux accords signés en 2020 sous l’égide des États-Unis.

La normalisation des relations entre Israël et certains pays arabes, bien que ne garantissant pas une paix globale, peut créer des opportunités pour la stabilité régionale et le développement économique. En ouvrant des canaux de dialogue et de coopération, elle peut potentiellement atténuer les tensions et favoriser une meilleure compréhension mutuelle.

Malgré sa déclaration incendiaire sur l’avenir de Gaza, Donald Trump maintient son objectif d’élargir les accords d’Abraham au Moyen-Orient, une réalisation phare de son premier mandat.

Un des objectifs principaux de Trump

Selon lui, un élargissement des accords fait partie des objectifs principaux de Donald Trump. « Nous espérons une normalisation dans un certain nombre de pays que les gens n’auraient peut-être jamais envisagés. […] Ce sera un élément de stabilité au Moyen-Orient. »

Fin mars, le président américain avait d’ailleurs promis devant la presse que des pays rejoindraient les accords. Mi-mai, lors d’un forum sur l’investissement à Riyad, il avait dit espérer que l’Arabie saoudite rejoigne bientôt l’initiative diplomatique. « Mais vous le ferez quand le temps sera venu », avait-il ajouté.

Des régimes (Vert- Kaki) cherchent à le perturber et à le compromettre

Donald Trump doit mettre hors d'état de nuire à certains régimes qui nuisent gravement à ce projet et empêcher certaines hommes de main d'entraver et de causer du tort à un projet en cours.

Normalisation: La junte militaire algérienne arme ses hommes de main contre le Président mauritanien Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani

Le régime algérien, habitué à considérer la Mauritanie et le Sahel comme sa chasse gardée et à instrumentaliser les alliances idéologiques figées de la Guerre froide, se retrouve soudain marginalisé par une dynamique de coopération nouvelle, fondée sur la stabilité, la crédibilité et le pragmatisme. Autant de notions qui semblent aujourd’hui étrangères à une diplomatie algérienne engluée dans ses dogmes.

Alors que le président Ghazouani prend place à la table des partenaires stratégiques de Washington, la rhétorique algérienne s’enlise dans la peur et l’agitation. Cette peur n’est pas feinte: voir la Mauritanie devenir un interlocuteur sérieux des États-Unis, c’est pour Alger la crainte de perdre un levier d’influence dans la région, d’autant plus que Nouakchott a toujours refusé de s’aligner aveuglément sur les diktats algéro-polisariens, notamment sur la question du Sahara marocain.

La souveraineté d'un État, dans le contexte international, se réfère à son pouvoir exclusif et indépendant de s'autogérer et de prendre des décisions sans ingérence extérieure. Cela implique son droit à déterminer ses propres lois, à définir sa politique intérieure et étrangère, et à exercer son autorité sur son territoire et sa population, sans être soumis à une autorité supérieure.

À Nouakchott, on voit dans cette invitation une validation internationale du leadership du président Ghazouani, mais aussi une occasion de renforcer la voix mauritanienne sur les grands dossiers du continent, notamment celui du Sahara, où la neutralité constructive de la Mauritanie tranche avec l’hostilité bruyante et stérile d’Alger.

Ce qui inquiète Alger, au fond, ce n’est pas la coopération entre la Mauritanie et les États-Unis. Ce qui l’effraie, c’est d’être reléguée au second plan d’une nouvelle géopolitique africaine où les discours vides ne suffisent plus, où l’influence ne se décrète plus par la force mais se construit par la crédibilité.

Et dans cette recomposition régionale, la Mauritanie avance à pas sûrs, pendant que le régime algérien s’enferme dans ses vieilles peurs. Une scène qui en dit long sur l’avenir.

L'agent de renseignement algériens déguisés en réfugiés au Royaume-Uni, Ahmed Hasfi, s’en prend directement au  président de la Mauritanie Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani
Israël dit "non" à la normalisation avec l'Algérie

Après l'opération séduction du président algérien Tebboune pour une normalisation des relations de son pays l'Algérie avec Israël, c'est un spécialiste du conflit israélo-palestinien et même porte voix du gouvernement israélien sur les réseaux sociaux qui va analyser cette tentative algérienne et répondre même à cette proposition algérienne.

Edy Cohen est israélien d'origine libanaise, chercheur, journaliste et spécialise du conflit israélo palestinien, licencié en sciences politiques, possédant une maîtrise et un doctorat en histoire du Moyen-Orient. Il va décortiquer cette tentative de séduction de Tebboune pour normaliser les relations de son pays avec Israël là qualifiant de très peu probable d'aboutir puisque Israël ne veut surtout pas se rapprocher d'un pays responsable de l'une des plus grande opération d'expulsion massive de juifs en précisant qu'en plus, l'Algérie est sans poids ni influence sur la scène internationale et il y a donc rien à gagner à normaliser avec un état isolé.

Edy Cohen, influent et même proche de sources importantes dans le gouvernement israélien et même porte voix officieux d'Israël sur la toile a précisé qu'Israël à mieux à faire que de commenter les verbiages d’un président qui change de position comme on changerait de chemise et dont la parole compte pour du beurre.

Il rajoute même que «Si le président algérien croit pouvoir instrumentaliser la question de la normalisation comme un levier de pression ou un atout diplomatique, il se trompe lourdement, car Israël ne reconnait que les intérêts réels et non les surenchères politiques déconnectées de toute réalité».

Le spécialiste du monde arabe précise qu'Israël n'ira jamais normaliser avec un état voyou et antisémite rappelant qu'il y a juste deux semaines, le régime algérien a une nouvelle fois démontrer aux yeux de tous cet antisémitisme en fermant la maison d’édition Frantz Fanon qui comptait un catalogue de 150 titres en dix ans, elle a été fermée par le régime algérien le 14 janvier 2025 juste quelques jours avant l'appel du pied de Tebboune à Israël. Et la raison de cette fermeture est juste la publication d'un livre intitulé «L’Algérie juive». L’auteure de ce livre, l’écrivaine franco-algérienne Hédia Bensahli, a été censuré et rappelé à l'ordre parce qu'elle a osé évoquer l’héritage juif de l’Algérie.

Edy Cohen dit qu'avant même d'essayer de nous faire croire que l'Algérie est de bonne foi quand elle parle de possible normalisation, il faudrait déjà que l'Algérie reconnaisse publiquement les crimes sur les juifs d'Algérie et une révision de la doctrine politique algérienne, qui repose sur le déni, la falsification et l’instrumentalisation idéologique de la question juive» et surtout de présenter ses excuses officielles aux juifs d'Algérie et revoir les législations ayant légitimé la confiscation de leurs biens. Donc avant de bavarder hasardeusement, Tebboune devrait déjà demander l'ouverture d'un canal de communication avec Israël pour une réconciliation sérieuse fondée sur la justice historique, et non sur base des manœuvres diplomatiques creuses.

Pourquoi Israël n'en a que faire de normaliser avec l'Algérie ? Edy Cohen explique que ce pays n'est pas un acteur influent. La normalisation n’a aucune valeur. «L’Algérie manque de poids dans le système régional et reste un État isolé replié sur lui-même, incapable de produire une politique étrangère rationnelle et équilibrée. Et ce sont exactement pour ces raisons qu'ils ont été refusé par les BRICS pour rappeler la célèbre phrase du chef de la diplomatie russe, Serguei Lavrov, qui a défini les critères pour rejoindre les BRICS: «le poids, l’autorité et la position du pays candidat sur la scène internationale». L’Algérie ne cochant aucun de ces critères, elle a été recalée.

Une Algérie toujours prisonnière de la mentalité des années 60', s'enfermant sur elle même avec un régime sans pensée ni vision. Une économie fragile qui s'appuie sur les revenus des hydrocarbures sans jamais avoir réussi à diversifier son économie. Sur le plan militaire, le régime algérien fait croire qu'il est puissant menaçant tout le monde mais sans aucune capacité réelle d'influence !

Les grandes mutations internationales imposent aux pays du monde de redéfinir leurs politiques en mettant de côté les surenchères idéologiques et populistes. Partant de cette réalité, personne n'attend l'Algérie et Israël n'a pas besoin d'établir des relations avec un régime politique qui n'a plus aucune légitimité interne et qui passe son temps à utiliser des slogans creux pour masquer son incapacité et impuissance à assurer le développement et la stabilité de son pays.

Relations Israël-algérie: Pour ceux qui ne le savent pas encore
Faites ce que je dis ! Ne faites pas ce que je fais

Officiellement, l'algérie ne reconnaît pas Israël. Pourtant, les importations d'Israël en provenance d'algérie se sont élevées à 21,38 millions de dollars américains en 2022, selon la base de données COMTRADE des Nations Unies sur le commerce international. Importations d'Israël depuis l'algérie - données, graphique historique et statistiques - a été mis à jour pour la dernière fois en mars 2023.

Ce que la mafia militaro-politico-financière algérienne tente de cacher par tous les moyens.
Officiellement, l'algérie ne reconnaît pas Israël. Pourtant, elle importe des produits et du matériel israéliens en prenant soin de modifier la provenance. Elle lui fournit aussi du gaz via l'Égypte.

L'algérie exporte du gaz vers Israël depuis 2014 avec un accord secret, selon le magazine français "Media Part", très célèbre pour ses dossiers de presse d'investigation, a révélé les détails d'un contrat de partenariat secret entre l'algérie et Israël, en vigueur depuis 2014, avec la médiation égyptienne.Les algériens veulent être plus palestiniens que les Palestiniens en se donnant l’image de parfaits défenseurs de leur cause que beaucoup de pays arabes ont depuis longtemps renoncé à intégrer dans leur politique internationaleCette affaire n’est pas nouvelle car ce n’est la première fois que l’algérie importe du matériel israélien. Seulement d’ordinaire elle est plus prudente car elle prend la précaution d’en modifier la provenance. Il n’est aussi un secret pour personne qu’elle fournit à Israël son gaz via un pays du Moyen-Orient.Cela fait plus de vingt ans, depuis 1994 précisément, que l’algérie et ses grandes entreprises se fournissent auprès d’Israël en médicaments, en matériel médical ou en technologie pourvu qu’il n’y ait pas la mention «made in Israël». Le contrat avait été signé directement entre les autorités algériennes et israéliennes.Alger avait exigé que la fourniture s’effectue via une société basée en France et que les produits soient débaptisés d’un nom bien français. Ainsi, pendant plusieurs années, le «made in Israël» a été remplacé artificiellement par le «made in France».

algérie-Israël : rencontres secrètes... «Si j’ai un malade qui agonise à la maison, que j’ai besoin d’un médicament, que tous les pharmaciens sont fermés à part l’israélien, je ne sais pas ce que vous faites mais moi, j’achète». Abdelaziz Bouteflika

Selon le quotidien israélien Yediot Aharonot, des émissaires de Bouteflika auraient transmis , lors d'une discrète rencontre en Italie avec Dany Yatom, désormais conseiller de Barak et ancien chef du Mossad, une requête portant sur la formation d'une unité spéciale chargée de la protection rapprochée des dignitaires du régime et la fourniture d'équipements de sécurité sophistiqués. Voilà en outre plusieurs années que des sociétés israéliennes fournissent à l'Algérie des médicaments et du matériel hospitalier, expédiés fictivement de Marseille. Quant aux règlements, ils transiteraient par une banque marocaine. "Si j'ai un malade à l'agonie à la maison, et que toutes les pharmacies sont fermées hormis celle que tient l'Israélien, moi, j'achète." Qui donc fit un jour cet aveu à Oran? Un certain Abdelaziz Bouteflika.

En savoir plus sur >> [www.lexpress.fr]

L’algérie reçoit un don de vaccin anti-covid offert par l’Etat d’Israël à l’Algérie.

C’est en tout cas ce qu’affirme, le site d’information "Algeria Times" . En effet, dans un article publié ce 10/mars 2021, « Algeria Times » affirme que l’Algérie a reçu « sous forme de don » un lot vaccin anti-covid offert par l’Etat d’Israël .

Une information confirmé par Edy Cohen, un expert israélien en affaires arabes, chercheur au Centre Begin-Sadat des études et recherches stratégiques et conseiller de Netanyahu. L’Algérie aurait déposé une demande de don de doses de vaccins auprès de l’Etat d’Israël.

« Pour la première fois de l’histoire! Un vol direct d’Israël vers l’ algérie, un avion de l’armée de l’air brésilienne transportant une délégation brésilienne de haut niveau qui s’est rendue en Israël, a atterri à l’aéroport international Houari Boumediene en algérie directement, pour la première fois de l’histoire, depuis Israël! » a tweeté Shimon Aran, correspondant politique et diplomatique arabic news.

algérie & Israël: quelles sont les vraies raisons de l’atterrissage d’un avion d’Air algérie sur le tarmac d’un aéroport israélien…algérie – Israël : Un avion d’Air Algérie atterrit sur un aéroport israélien
L’avion de l’homme d’affaires israélien Dan Gertler en algérie.

L’algérie n’entretient officiellement aucune relation diplomatique avec l’Etat d’Israël, qu’elle ne reconnait d’ailleurs même pas en tant que tel. Il est par ailleurs interdit aux ressortissants israéliens toute entrée sur le territoire algérien. Et bien pourtant, par deux fois, l’algérie a ouvert son espace aérien à un avion israélien:

  1. Le 07 et 09 Février 2020, l’Algérie a ouvert son espace aérien à un avion de type Canadair CL-600-2B16 Bombardier Challenger 604, appartenant à un israélien.

  2. Le 07 février courant avion privé immatriculé M-ABGG dont le numéro de série est 43E9AB, a décollé de l’aéroport Ben Gourion de Tel-Aviv en Israël, en direction du Maroc à 07H50 heure algérienne.

L’aéronef a dû faire un arrêt à Malte, ou il a atterri à vers 10H30 sur le tarmac de l’aéroport International de Luqa dans la capitale La Valette, avant de reprendre son itinéraire, après 30 mn d’escale ”technique”, en direction de l’aérodrome d’Errachidia, au sud-est du Maroc et à 300 Km de la ville algérienne de Béchar. L’avion privé appartient à l’homme d’affaires et Milliardaire israélien Dan Gertler, qui a fait l’essentiel de sa fortune dans le diamant et posséderait via ses sociétés près de 10 % de la production mondiale de cobalt.

L’avion privé appartient à l’homme d’affaires et Milliardaire israélien Dan Gertler, qui a fait l’essentiel de sa fortune dans le diamant et posséderait via ses sociétés près de 10 % de la production mondiale de cobalt.

De faux réfugiés algériens infiltrés au Royaume-Uni. Révocation, fin du statut de réfugié

Des agents de renseignement algériens déguisés en diplomates en réfugiés ... aux quatres coins du Monde sont une réalité fréquente dans le monde de l'espionnage algérien. Ils exploitent leur couverture diplomatique ou leur statu de refugiés pour accéder à des informations sensibles, obtenir des faveurs, et exercer leur influence, tout en bénéficiant d'une protection juridique et d'un certain prestige.

formation InfoMigrants (un site d'information destiné aux migrants), l'Allemagne entame des procédures visant à retirer les permis de séjour des réfugiés qui visitent leur pays.

"Les personnes qui retournent temporairement dans leur pays d’origine mettent en danger leur statut de protection en Allemagne. De nouveaux chiffres ont émergé à ce sujet, alors que les critiques à l'encontre des «vols de reconnaissance» vers la Syrie se multiplient.

Les autorités allemandes ont ouvert les dossiers de plus de 2 000 réfugiés, dont des centaines de Syriens, en vue de retirer leurs permis de séjour. Cette décision fait suite aux révélations selon lesquelles les réfugiés s'étaient rendus dans leurs pays d'origine au cours des derniers mois, une constatation que le gouvernement considère comme une preuve qu'ils n'ont plus besoin de protection.

Selon la réglementation actuelle en Allemagne, les exigences de protection d'un réfugié sont levées s'il se rend dans son pays d'origine.

Qu’est ce qu’un réfugié ?

Le terme « réfugié » est défini dans la Convention de 1951 et dans son Protocole de 1967. Selon l’article 1 (A) (2) de la Convention de 1951, le terme « réfugié » s’applique à toute personne qui « craignant avec raison d’être persécutée du fait de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques, se trouve hors du pays dont elle a la nationalité et qui ne peut ou, du fait de cette crainte, ne veut se réclamer de la protection de ce pays; ou qui, si elle n’a pas de nationalité et se trouve hors du pays dans lequel elle avait sa résidence habituelle à la suite de tels événements, ne peut ou, en raison de ladite crainte, ne veut y retourner ».

Article 14 - Révocation, fin du statut de réfugié ou refus de le renouveler
  1.  En ce qui concerne les demandes de protection internationale introduites après l’entrée en vigueur de la directive 2004/83/CE, les États membres révoquent le statut de réfugié octroyé par une autorité gouvernementale, administrative, judiciaire ou quasi judiciaire à un ressortissant d’un pays tiers ou à un apatride, y mettent fin ou refusent de le renouveler lorsque le réfugié a cessé de bénéficier de ce statut en vertu de l’article 11.

  2. Sans préjudice de l’obligation faite au réfugié, en vertu de l’article 4, paragraphe 1, de déclarer tous les faits pertinents et de fournir tous les documents pertinents dont il dispose, l’État membre qui a octroyé le statut de réfugié apporte la preuve, au cas par cas, de ce que la personne concernée a cessé d’être ou n’a jamais été un réfugié au sens du paragraphe 1 du présent article.

  3. Les États membres révoquent le statut de réfugié de tout ressortissant d’un pays tiers ou apatride, y mettent fin ou refusent de le renouveler, s’ils établissent, après lui avoir octroyé le statut de réfugié, que:

  4. a) le réfugié est ou aurait dû être exclu du statut de réfugié en vertu de l’article 12;

  5. b) des altérations ou omissions de faits dont il a usé, y compris l’utilisation de faux documents, ont joué un rôle déterminant dans la décision d’octroyer le statut de réfugié.

     4. Les États membres peuvent révoquer le statut octroyé à un réfugié par une autorité gouvernementale, administrative, judiciaire ou quasi judiciaire, y mettre fin ou refuser de le

renouveler:

  • a) lorsqu’il existe des motifs raisonnables de le considérer comme une menace pour la sécurité de l’État membre dans lequel il se trouve;

  • b) lorsque, ayant été condamné en dernier ressort pour un crime particulièrement grave, il constitue une menace pour la société de cet État membre.

     5. Dans les situations décrites au paragraphe 4, les États membres peuvent décider de ne pas octroyer le statut de réfugié, lorsqu’une telle décision n’a pas encore été prise.

     6. Les personnes auxquelles les paragraphes 4 et 5 s’appliquent ont le droit de jouir des droits prévus aux articles 3, 4, 16, 22, 31, 32 et 33 de la convention de Genève ou de droits analogues, pour autant qu’elles se trouvent dans l’État membre.

Article 16

Cessation

  1.  Un ressortissant d’un pays tiers ou un apatride cesse d’être une personne pouvant bénéficier de la protection subsidiaire lorsque les circonstances qui ont justifié l’octroi de cette protection cessent d’exister ou ont évolué dans une mesure telle que cette protection n’est plus nécessaire.

  2.  Aux fins de l’application du paragraphe 1, les États membres tiennent compte du changement de circonstances, en déterminant s’il est suffisamment important et non provisoire pour que la personne pouvant bénéficier de la protection subsidiaire ne coure plus de risque réel de subir des atteintes graves.

  3.  Le paragraphe 1 ne s’applique pas au bénéficiaire du statut conféré par la protection subsidiaire qui peut invoquer des raisons impérieuses tenant à des atteintes graves antérieures pour refuser de se réclamer de la protection du pays dont il a la nationalité ou, s’il s’agit d’un apatride, du pays dans lequel il avait sa résidence habituelle.

Article 17

Exclusion

        1. Un ressortissant d’un pays tiers ou un apatride est exclu des personnes pouvant bénéficier de la protection subsidiaire s’il existe des motifs sérieux de considérer:

  • a) qu’il a commis un crime contre la paix, un crime de guerre ou un crime contre l’humanité au sens des instruments internationaux élaborés pour prévoir des dispositions relatives à ces crimes;

  • b) qu’il a commis un crime grave;

  • c) qu’il s’est rendu coupable d’agissements contraires aux buts et aux principes des Nations unies tels qu’ils figurent dans le préambule et aux articles 1er et 2 de la charte des Nations unies;

  • d) qu’il représente une menace pour la société ou la sécurité de l’État membre dans lequel il se trouve.

      2. Le paragraphe 1 s’applique aux personnes qui sont les instigatrices des crimes ou des actes visés par ledit paragraphe, ou qui y participent de quelque autre manière.

     3. Les États membres peuvent exclure tout ressortissant d’un pays tiers ou apatride des personnes pouvant bénéficier de la protection subsidiaire si, avant son admission dans l’État

membre concerné, il a commis un ou plusieurs crimes qui ne relèvent pas du champ

d’application du paragraphe 1 et qui seraient passibles d’une peine de prison s’ils avaient été commis dans l’État membre concerné, et s’il n’a quitté son pays d’origine que dans le but d’échapper à des sanctions résultant de ces crimes.

Article 19

Révocation, fin du statut conféré par la protection subsidiaire ou refus de le renouveler

     1. En ce qui concerne les demandes de protection internationale introduites après l’entrée

en vigueur de la directive 2004/83/CE, les États membres révoquent le statut conféré par la

protection subsidiaire qui a été accordé par une autorité gouvernementale, administrative,

judiciaire ou quasi judiciaire à un ressortissant d’un pays tiers ou à un apatride, y mettent fin

ou refusent de le renouveler, lorsque l’intéressé a cessé d’être une personne pouvant bénéficier de la protection subsidiaire en vertu de l’article 16.

    2. Les États membres peuvent révoquer le statut conféré par la protection subsidiaire octroyé par une autorité gouvernementale, administrative, judiciaire ou quasi judiciaire à un ressortissant d’un pays tiers ou à un apatride, y mettre fin ou refuser de le renouveler lorsqu’il s’avère, après l’octroi du statut conféré par la protection subsidiaire, que l’intéressé aurait dû être exclu des personnes pouvant bénéficier de la protection subsidiaire accordée en vertu de l’article 17, paragraphe 3.

     3. Les États membres révoquent le statut conféré par la protection subsidiaire de tout ressortissant d’un pays tiers ou apatride, y mettent fin ou refusent de le renouveler si:

  • a) après l’octroi de ce statut, il s’avère que la personne concernée est ou aurait dû être exclue des personnes pouvant bénéficier de la protection subsidiaire en vertu de l’article 17, paragraphes 1 et 2;

  • b) des altérations ou omissions de faits dont il a usé, y compris l’utilisation de faux documents, ont joué un rôle déterminant dans la décision d’octroyer le statut conféré par la protection subsidiaire.

   4. Sans préjudice de l’obligation faite à tout ressortissant d’un pays tiers ou apatride, en vertu de l’article 4, paragraphe 1, de déclarer tous les faits pertinents et de fournir tous les documents pertinents dont il dispose, l’État membre qui a octroyé le statut conféré par la protection subsidiaire apporte la preuve, au cas par cas, de ce que la personne concernée a cessé de faire partie ou ne fait pas partie de celles qui peuvent bénéficier de la protection subsidiaire au titre des paragraphes 1, 2 et 3 du présent article.

Le "confrère" algérien, qui a "fui" en février 2020 vers l’Angleterre pour se soustraire à la «justice»....

Ahmed Hasfi, l’un des responsables de la chaîne de télévision privée Ennahar TV appartenant à Anis Rahmani, qui vient de reconnaître une chute vertigineuse, vient de s’établir à Londres et réclame aux autorités anglaises l’asile. "Qui l’eût cru" ? En effet, Ahmed Hafsi, l’ex-rédacteur en chef d’Ennahar TV s’est effectivement enfui vers Londres en compagnie de son épouse qui vient d’être recrutée par une chaîne de télévision panarabe. Ahmed Hafsi a senti le vent tourner et s’est installé à Londres quelques semaines avant l’arrestation et l’incarcération de son patron et mentor Anis Rahmani.

Ahmed Hafsi a joué un rôle incontournable dans les multiples campagnes de diffamation et de dénigrement enclenchées par Anis Rahmani et Ennahar TV. Ahmed Hasfi était le véritable chef d’orchestre de la propagande d’Ennahar TV. Il était le principal rédacteur en chef du groupe Ennahar TV qui fait, désormais, l’objet d’une véritable opération de démantèlement en raison des opérations financières illicites d’Anis Rahmani.

La "situation" qui a conduit à reconnaître l’intéressé comme réfugié n’existe plus

La trompette militaire Ahmed Hafsi attaque les Émirats arabes unis  depuis les camps de Tindouf, les décrivant comme un État sans droits de l'homme et un État qui arrête ses opposants, alors que l'endroit où Hafsi parle n'est pas loin de la prison de Rabouni, où des centaines de détenus sahraouis sont torturés parce qu'ils ont refusé la détention forcée de l'algérie et voulaient rejoindre leur patrie, le Royaume du Maroc, et certains d'entre eux ont été liquidés devant leurs familles et leurs tribus...

Un appel de plus, un de trop, pour commettre des attentats terroristes au cœur du Maroc et particulièrement dans les provinces sahariennes du Royaume. Après la mémorable sortie de l’ex-colonel de l’ANP, Mokhtar Saïd Mediouni, nommé en février 2024 PDG de l’aéroport Houari Boumediene en reconnaissance de ses abjectes attaques marocophobes, c’est au tour d’Ahmed Hafsi, ex-red’chef d’Ennahar. TV, «en exil» à Londres depuis 2020, de donner la réplique en appelant ouvertement la milice terroriste séparatiste « polisario » à commettre des attentats au cœur du Maroc et cibler toute présence étrangère dans les provinces sahariennes du Royaume.

Face à cette grave dérive, une action auprès de la justice britannique s’impose. Le terrorisme est un défi commun, son combat, aussi.

Ahmed Hafsi, version algérienne de l’ex-ministre de Saddam Hussein, Mohamed Saïd al-Sahhaf:

  • Ahmed Hasfi, fustige la mise en accusation de l'ex-ministre de la Défense Khaled Nezzar par la justice suisse pour crimes contre l’humanité

  • Ahmed Hasfi, prédicateur de haine au service d’une junte aux abois👇

Les faux réfugiés nuisent aux vrais

La volonté politique doit rester vigilante afin que les faux réfugiés ne finissent pas par nuire aux vrais.


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