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Nasser Bourita: Les produits du Sahara inclus dans le nouvel accord Maroc - UE... Colère du "algésario"


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L’Union européenne et le Maroc parviennent à conclure un nouvel accord agricole, deux jours avant l'entrée en vigueur des arrêts en appel d la Cour de justice de l'UE (CJUE) du 4 octobre 2024. Un revers pour le Polisario et ses alliés, surtout en Espagne.
Le chef de la diplomatie marocaine Nasser Bourita

C’est désormais officiel. Les produits en provenance du Sahara occidental sont inclus dans le nouvel accord entre le Maroc et l’Union européenne. Une annonce faite, ce jeudi 2 octobre 2025 à Rabat, par le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger.

«L’accord confirme l’application aux Provinces du Sud des tarifs préférentiels accordés par l’UE au titre de l’Accord d’Association avec le Maroc», s’est félicité Nasser Bourita, dans une déclaration. «Les conditions d’accès au marché européen des produits du Nord seront appliquées aux produits du Sahara marocain», a-t-il précisé.

Toutefois, le chef de la diplomatie marocaine a reconnu que le texte introduisait des ajustements techniques, relatifs à l’information du consommateur sur la provenance des produits. En effet, un étiquetage mentionnant les régions de production au Sud du royaume – Laâyoune-Sakiat el Hamra et Dakhla-Oued Eddahab – sera apposé sur les produits agricoles.

«La signature interviendra incessamment, à Bruxelles»

Pour rappel, la Commission européenne avait proposé aux Vingt-sept l’étiquetage des produits du Sahara, conformément un arrêt de la CJUE du 4 octobre 2024. L’offre présentée, en juillet dernier par Bruxelles, prévoyait d’«inclure des dispositions prévoyant que les produits agricoles importés soient étiquetés comme originaires du Sahara occidental».

Nasser Bourita a révélé que «la signature du nouvel accord interviendra incessamment, à Bruxelles». En attendant la finalisation des procédures internes, «l’accord sera mis en application provisoire dès sa signature», a-t-il assuré.

«Cet accord apporte les clarifications nécessaires, dans le respect des fondamentaux nationaux du Royaume», a-t-il assuré. Il s’inscrit dans la continuité et «la philosophie de l’échange de lettre signé entre les deux parties en 2018», a ajouté le ministre.

Hier, Europa Press a annoncé que le nouvel accord agricole, à titre provisoire entre le Maroc et l’Union européenne, intégrant les produits du Sahara, pourrait entrer en vigueur samedi 4 octobre.

L'agence de presse a indiqué que «plusieurs sources diplomatiques» avaient affirmé que «les Vingt-Sept ont donné mercredi leur accord au niveau des ambassadeurs à la proposition de la Commission européenne de renouveler l'accord» avec le royaume. En effet, les représentants des pays membres de l’UE ont examiné, ce jour-là, le projet d’accord entre Rabat et Bruxelles.

Pour autant, le nouvel accord agricole entre le Maroc et l’UE soulève une vague de protestation en Espagne, parmi des partis politiques et des organisations agricoles proches du Polisario. De son côté, le Front n’a pas encore exprimé sa position.

La semaine dernière, l’administration Trump a, pour sa part, officiellement encouragé les sociétés publiques et privés américaines à investir au Sahara.

L'algésario via [ le contribuable algérien] menace de nouveaux recours judiciaires
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L"«algésario» a exprimé sa vive colère après l’annonce officielle de la finalisation du nouvel accord agricole entre le Maroc et l’Union européenne, dont la signature est attendue dans les prochains jours à Bruxelles.

L'algésario ( la milice du polisario, soutenu par l’Algérie), Face à cette évolution, les séparatistes entendent réactiver leur stratégie contentieuse devant la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE).

Faire vivre un "Etat" avec ses structures politiques et administrative et une grosse armée, coûte très cher. Le Polisario ne souci guère de ses ressources financière. La junte militaire d'Alger tient la bourse pour lui. C'est open bar toute l'année.

Elle s’appuie notamment sur un rapport du «Centre international de surveillance des ressources du Sahara occidental», une structure militante pro-séparatiste, qui dénonce un «accord contraire au droit international».

Le rapport estime que l’absence de «consentement du peuple sahraoui» rendrait l’accord illégal, reprenant les arguments déjà invoqués dans le jugement partiel de la CJUE en 2021. Toutefois, ces décisions ne sont pas définitives et font l’objet d’un appel interjeté par le Conseil de l’Union européenne, appuyé par la Commission européenne et plusieurs États membres, qui considèrent que les accords conclus avec le Maroc bénéficient directement aux populations locales.

Les groupes d’influence pro-polisario, actifs dans certains milieux européens, qualifient le nouvel accord d’ «atteinte aux droits des Sahraouis» et dénoncent une «manipulation économique» visant à légitimer la souveraineté marocaine sur ses provinces du Sud. Mais sur le terrain, de nombreux observateurs soulignent que les retombées économiques de ces accords – emplois, infrastructures, exportations – profitent directement aux habitants des régions sahariennes.

Un revers politique pour les séparatistes

Pour les analystes, la conclusion de ce nouvel accord bilatéral marque un nouveau revers pour le polisario, qui avait célébré avec enthousiasme les décisions antérieures de la CJUE. L’intégration explicite des produits issus des provinces du Sud dans le régime commercial UE-Maroc confirme la continuité du partenariat stratégique entre Rabat et Bruxelles.

Ce développement s’inscrit dans la dynamique internationale croissante en faveur de l’autonomie comme solution réaliste et crédible au différend régional, appuyée par un nombre grandissant d’États membres de l’Union, dont l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Espagne et la France.

Alors que le Conseil de sécurité de l’ONU doit se réunir fin octobre 2025 pour examiner la question du Sahara, la signature imminente de cet accord pourrait renforcer la position diplomatique du Maroc, en soulignant la normalisation de ses relations économiques sur l’ensemble de son territoire et en confirmant sa souveraineté effective sur ses provinces du Sud.

Comment on fait les poches aux Algériens

Tout ce que dépense le Polisario, il le prend dans vos poches chers Algériens qui bossez dur et qui ne trouvez souvent rien à vous mettre sous la dent à cause des pénuries nombreuses.

Vous êtes obligés de faire la queue pendant des heures pour chopper un sachet de lait ou un sac de farine.

Au moment où tu ne peux pas acheter une voiture, le Polisario lui peut en importer autant qu’il veut. Et dans les camps de Tindouf, la pénurie de lait n’existe pas. Celle de la farine non plus.

Puisque le Maroc n’a pas été pas perturbé dans sa marche vers le développement, par l’existence de cette entité depuis les années 70, il reste qui comme victime? C’est vous chères voisines et chers voisins.

Selon des estimations faites par des opposants au pouvoir militaire, le Polisario coûte aux Algériens 1 milliard de dollars par an. C’est un grand stade de football comme celui qu’est en train de construire le Maroc à Benslimane pour la Coupe du monde 2030. C’est une route de plus de 1000 Km comme celle qui vient d’être achevée au Maroc pour relier Tiznit à Dakhla. Or, le Polisario ça dure depuis les années 70. Combien de générations volées!

Au début, des citoyens sont sortis manifester leur colère contre les services publics, plus particulièrement, la Santé et l’Education. On a dit, ok. Ce sont des revendications légitimes, il fallait juste faire les choses dans les règles et respecter la...

Des commentateurs parlent de 1000 milliards de dollars siphonnés par l’entreprise polisarienne.

Le Polisario doit faire vivre un gouvernement avec des ministres payés comme ceux des pays européens, des ambassadeurs, des représentants, des juges, des fonctionnaires, une armée de 10.000 soldats, des voyages, des médias, des fêtes et des cérémonies. C’est un Etat dans l’Etat.

Et ce ne sont que des réfugiés!

Rien que pour cela, cette entité, déjà vue comme terroriste, qui suce le sang des Algériens devrait être déclarée groupement d’imposteurs. Une bande organisée dont le seul but est de faire les poches aux Algériens.

En fait, les Algériens en exil voient dans le Polisario un système financier organisé pour détourner l’argent du peuple. En plus, comme personne ne peut contester le budget de l’armée, le vol se passe dans la légalité des lois de finances.

Au moment où le chef des séparatistes se promène dans le monde dans le jet présidentiel et séjourne dans les hôtels de luxe avec sa cour, les Algériens voient chaque jour la valeur de leur monnaie dégringoler de manière vertigineuse et l’inflation galope devant leurs yeux, sans pouvoir agir.

La perte des Algériens est encore plus grande. Il faut aussi penser aux opportunités ratées par les prises de position du pouvoir militaire d’Alger. Le climat d’instabilité institutionnelle n’est absolument pas favorable aux investissements qu’ils soient locaux ou étrangers. A la moindre mésentente avec un pays, la junte coupe les ponts, interdit des échanges commerciaux.

Quand le Maroc gagne, à la sueur, des positions économiques à l’international, l’Algérie traîne les pieds très loin derrière à cause de qui? De quoi? Du Polisario, parvenu à l’état métastatique. Il n’est plus possible de s’en débarrasser sans dégâts. Parfois on a l’impression que c’est cette entité qui impose ses choix aux Algériens. On s’en rend compte au moment des élections. Un candidat qui veut réussir, doit montrer son allégeance au Polisario.

Et pendant ce temps, les Algériens galèrent comme ils peuvent. Certains ont été engloutis par les flots de la Méditerranée dans leur tentative malheureuse de fuir la junte.

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