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Le Maroc des Lumières… Face aux détracteurs non anonymes… Le Maroc et son « africanité d

Le Maroc des Lumières… Face aux détracteurs non anonymes… Le Maroc et son «africanité décomplexée »

Par Karima Kaddouri

Le Maroc devient à la quasi-unanimité une valeur d’exemplarité ! Une pandémie, la gestion de la crise sanitaire par le Maroc a permis un redimensionnement des cartes classiques si chères à nos donneurs de leçons de tous bords et de nombreux horizons.

Les constats :
  1. Le Maroc a confirmé sa volonté de développement et à prouver sa capacité d’instaurer un schéma de développement qui se vaut durable et hautement saluer par nos plus hauts dirigeants du monde.

  2. Notre Maroc grâce à notre altesse Royale Mohammed VI, grâce au développement économique et nos secteurs de pointes devient un porte flambeau olympique qui se veut indéniablement être le souffle, la flamme dont avait besoin l’Afrique pour se redécouvrir une « entièreté » et dont la cherté n’est plus renégociable.

  3. Le Maroc devient à la quasi-unanimité une valeur d’exemplarité !

Le Maroc est aussi salué mondialement et dignement car il a pu montrer sa capacité à gérer à tous niveaux une crise sanitaire, sa crise intérieure sanitaire et pour laquelle

Le Maroc a su gérer la crise sanitaire, avec ses moyens, son absolue conviction que pour s’en sortir il faut se retrousser les manches et trouver une alternative à la dépendance économique et à prouver que les « fatalités » peuvent se dissoudre avec les efforts.

  1. Le Roi Mohammed VI, a su également être proche de son peuple cet été 2021, tant l’affection des Marocains du monde (MDM) pour le pays est aussi non négociable et a su faire face à une adversité polluée par les conflits d’intérêts, lesquels conflits d’intérêts sont à dissocier de la crise sanitaire mais qui portent bien son nom.

  2. Le Maroc et son africanité décomplexée par rapport à tant d’autres voisins, une Afrique tant convoitée mais qui a pendant longtemps été perçue comme l’enfant pauvre du monde, et pendant longtemps déclinée comme un espace en voie de développement.


Nous sommes Maroc, nous sommes africains désormais et certainement aujourd’hui en voie de nous défaire des liens si lourds qui ont bridé son histoire.

Alors le Maroc des Lumières, le Maroc Africain dérange-t-il ?Cette question est in facto une réponse indiscutable !Qui sont nos amis, qui sont nos potentiels ennemis cachés ?

Je reprendrais deux phrases.

La première de notre chère Roi Feu Hassan II :

« L’amitié est une chose nécessaire, un homme qui n’a pas d’amis n’est pas un homme, et je préfère encore personnellement être victime d’une amitié plutôt que d’être l’assassin d’une amitié, je préfère qu’il soit dit, que j’ai été trahi plutôt qu’il soit dit que j’ai trahi une amitié »

Les détracteurs non anonymesQui sont nos potentiels faux amis-ennemis ?Le Maroc fait « saliver » tous nos profiteurs de situations tant la convoitise est devenue maladive.

Cette maladie portera, à mon sens, un nom, « La perversion narcissique » dont le diagnostic médical a, à l’évidence, des symptômes qui n’ont nullement besoin d’une autre expertise.

Cet aspect narcissique produit des pervers narcissiques de toute part et ils se créent pour des raisons différentes :

  1. Certains pays européens et d’ailleurs, utilisent leurs médias pour « propagander » une communication mensongère sur notre pays.

  2. Certains pays et médias sont abreuvés financièrement par des « instances occultes » mais pas si occultes que cela. Une presse qui manque de professionnalisme le plus souvent, où l’intérêt financier et géopolitique d’intérêt prime avant toute objectivité et honnêteté journalistique.

  3. Certains pays convoitent certaines « tranchées géographiques » indiscutablement non négociables !

Les intérêts d’hier, ou même une soif de contrôler aujourd’hui avec les mêmes concessions d’hier sont remis en cause.

Le Maroc devient un moteur de l’Afrique et cela peut déranger car les pervers n’ont plus cette emprise économiste paternaliste.

  1. Les maux de certains dirigeants de pays amis- ennemis sont si grands, et horriblement malade, rejetant leur faiblesse sur l’autre, oui l’autre, tel un être jaloux sur son conjoint. Leur perversité narcissique, tanguant vers une jalousie haineuse même, laisse transparaître une absence de discernement et une absence de responsabilité totale et irréversible.

  2. Les « reseaux-teurs » de fortune, optent pour la solution de facilité et les réseaux sociaux s’avèrent être leur unique moyen d’exister rapidement, à tout prix ; Ils et elles se révèlent dans nos réseaux d’infortune où il y est plus facile de s’inventer un profil, de s’inventer une étiquette. Une étiquette souvent collée et recollée avec du sparadrap usagé et pullulant de leurs propres aphtes buccaux.

  3. Nombreux détracteurs, sont des amis d’un instant et ennemis de toujours. Des malades schizophrènes qui profitent tantôt de ce pays millénaire et tantôt inquiétés par le Maroc en course à grande vitesse pour une destination des Lumières sociales, lumières économiques, et durables, une course dans un train grande vitesse qu’ils ont oublié de prendre en marche.

Et je termine avec cette deuxième phrase :

« Si tu vois ton ami avec ton ennemi, sache que les deux sont tes ennemis, l’un publiquement et l’autre secrètement »

A bon entendeurs !

Le Maroc enflamme les passions et se singularise en Afrique par une « re-naissance » d’une convoitise démesurée.

Karima Kaddouri

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