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L'Hégémonie du Football Marocain... Le «niveau d'aspiration» des Kourghoulis!!!... [Décryptage]

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Les Kouloughlis sont les enfants issus d'une relation extra - conjugale entre des soldats janissaires et des femmes algériennes. L'ascendance est ici attribuée au père, et non à la mère.
Hégémonie du football marocain
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Le football marocain est en pleine effervescence, avec l'équipe nationale qui a récemment battu le Congo pour devenir la sélection avec le plus grand nombre de victoires consécutives et s'est qualifiée pour laLes Kouloughlis sont les enfants issus d'une relation extra - conjugale entre des soldats janissaires et des femmes algériennes. L'ascendance est ici attribuée au père, et non à la mère..

L'hégémonie du football marocain est le résultat d'une stratégie de développement basée sur la modernisation des infrastructures (stades, centres de formation) et le renforcement des équipes nationales à tous les niveaux. Ces efforts ont permis des performances historiques, notamment la quatrième place à la Coupe du Monde 2022, et une forte présence internationale, positionnant le Maroc comme une puissance du football africain et mondial.

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À l’approche de la CAN 2025, le Maroc envoie un signal fort à ses rivaux, et en particulier à l’Algérie. Déjà assuré de sa qualification pour la Coupe du monde 2026, le pays des Lions de l’Atlas a poursuivi sa série impressionnante en battant le Congo 1-0 au stade Prince Moulay Abdellah de Rabat, ce mardi.

Cette victoire marque un 16e succès consécutif pour la sélection marocaine, un record mondial historique qui dépasse désormais les 15 victoires consécutives de l’Espagne en 2008-2009.
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Le match contre le Congo a commencé sur les chapeaux de roue pour le Maroc, avec une domination territoriale écrasante et plus de 80 % de possession dès les premières minutes. Brahim Diaz, décalé à droite, a centré pour Ismael Saibari dès la 2e minute, mais le ballon lui a échappé. Malgré une nette domination, les Lions de l’Atlas ont buté sur la défense congolaise, rencontrant les mêmes difficultés que lors de leurs dernières sorties: transformer la possession en occasions nettes. Plusieurs actions dangereuses ont ponctué la première période. Ez Abde, servi par Achraf Hakimi, manquait le cadre, tandis qu’Eliesse Ben Seghir voyait sa frappe contrée in extremis par les défenseurs.

Les tentatives de tirs de l’ancien Monégasque et de Brahim Diaz n’ont pas trouvé le chemin des filets, laissant le score nul à la pause malgré une nette supériorité marocaine. La seconde période a été celle de la délivrance. La pression constante du Maroc a fini par payer à la 63e minute grâce à la connexion parfaite Hakimi – Youssef En-Nesyri. Le latéral droit du PSG a adressé un centre millimétré vers l’avant-centre de Fenerbahçe, qui n’a laissé aucune chance au gardien congolais Ndinga. Ce but unique a scellé la victoire et offert au Maroc un exploit historique : 16 victoires consécutives, un record mondial. Même après l’entrée d’Ayoub El Kaabi, les Lions de l’Atlas ont manqué de peu de doubler la mise, mais la victoire minimale suffit à souligner leur domination et leur solidité mentale. Cette série record renforce la confiance de l’équipe avant la CAN 2025, prévue du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026. Malgré quelques critiques sur leur difficulté à percer des blocs bas, les Marocains ont montré qu’ils savaient gagner même dans des matches serrés et éprouvants. Avec cette performance, le Maroc se présente comme un adversaire sérieux et redoutable pour l’Algérie et les autres nations africaines. Les Lions de l’Atlas ne se contentent pas de préparer la CAN, ils frappent un grand coup sur le continent, rappelant à tous que leur série victorieuse est loin d’être terminée.

Alger rêve d’un retrait au Maroc

À quelques mois du coup d’envoi de la CAN 2025, censée être la plus belle édition de l’histoire du tournoi, le Maroc poursuit sereinement ses préparatifs. Pendant ce temps, le régime algérien multiplie rumeurs et intox, rêvant d’un retrait de la compétition et du Mondial 2030 au Royaume. Une campagne de désinformation qui révèle davantage la jalousie du régime d’Alger que la réalité du terrain.

La CAN 2025 reste sur les rails, la FIFA et la CAF maintiennent leur confiance au Royaume, et les supporters africains se préparent à vibrer pour un tournoi qui s’annonce mémorable.

Peu d’événements sportifs au monde peuvent se targuer d’attiser les mêmes passions que la Coupe d’Afrique des Nations. En décembre prochain, tous les Africains, ou presque, et une bonne partie des amateurs du ballon rond de la planète auront les yeux rivés sur leur petit écran pour suivre ce qui s’annonce comme la meilleure édition de la compétition phare de la CAF.

Cet engouement qui, d’ordinaire, commence à quelques jours de l’événement, s’est déjà emparé du régime en place à Alger, mais pas pour les bonnes raisons. La junte algérienne n’a qu’un souhait: voir la Confédération africaine de football (CAF) et la FIFA retirer au Royaume la CAN 2025 et la Coupe du monde 2030.

Depuis plusieurs jours, les réseaux sociaux et certains médias d’État algériens, à l’instar du tristement célèbre quotidien El Moudjahid, rivalisent de titres alarmistes: «La CAF songe à retirer la CAN au Maroc», «Le président de la CAF doute de la capacité du Maroc», «Un plan B se prépare pour sauver le tournoi».

Ces manchettes sensationnalistes ne reposent pourtant sur aucun élément concret. Aucune décision n’a été débattue, ni même envisagée au sein de la CAF. Il s’agit là d’un vœu d’un régime hystériquement jaloux des réalisations du Royaume et qui pense qu’à force de marteler ses fantasmes, ils vont s’ancrer dans le réel.

Pour les caciques du régime d’Alger, l’organisation d’événements internationaux est perçue comme un trophée politique, une manière de redorer l’image du pouvoir et de calmer les frustrations d’une population en quête de perspectives.

Le Maroc, lui, a une approche diamétralement opposée. L’investissement massif dans les stades, les académies, les complexes omnisports ou encore les réseaux routiers et ferroviaires qui les relient relève d’une vision stratégique de long terme: faire du sport un levier de développement économique et social.

Le Maroc a, depuis plus de deux décennies, compris que chaque grand tournoi est un accélérateur de chantiers: construction d’infrastructures, formation de jeunes talents, création d’emplois directs et indirects, montée en gamme de l’hospitalité et du transport.

En effet, le Royaume s’est inscrit dans une dynamique continue: ouvrir ses enceintes à l’Afrique et au monde, en phase avec la vision royale d’un pays moderne et tourné vers l’avenir. L’organisation de la CAN 2025, puis du Mondial 2030 avec l’Espagne et le Portugal, est donc le fruit d’une stratégie réfléchie et non une course au prestige.

Violences lors du match Algérie - Ouganda.
Les arbitres sont aussi confrontés à la violence lors du match Algérie - Ouganda

Cette campagne hostile trahit aussi une stratégie politique interne: donner de faux espoirs aux Algériens, en adoucissant leur frustration de voir un pays supposément gazier et pétrolier englué dans l’incompétence, l’impéritie et l’isolement, avec l’espoir illusoire de voir la CAF se tourner vers l’Algérie en vue d’abriter la prochaine CAN. Le régime avait recouru au même stratagème quand il a diffusé pendant des mois l’intox que le match contre le Cameroun qui avait éliminé l’Algérie du Mondial au Qatar allait se rejouer. «Au pays du monde à l’envers», selon la très juste expression des auteurs du livre le plus réaliste sur l’Algérie, il ne faut s’étonner de rien.

Des fans des fennecs néerlandais se sont signalés par un comportement affligeant

En attisant les rumeurs sur un éventuel retrait de la CAN 2025 au Maroc, certains médias algériens visent à faire croire que leur pays reste incontournable sur l’échiquier africain, tout en flattant un sentiment nationaliste.

Mais cette rhétorique peine à trouver un écho au-delà des frontières algériennes. Les acteurs du football africain savent que le Royaume dispose des infrastructures, de la stabilité et de l’expertise organisationnelle nécessaires pour livrer un tournoi d’exception.

Sur le terrain, les manifestations observées au Maroc demeurent pacifiques, malgré quelques débordements attribués à des mineurs fauteurs de troubles.

Insolite: Les bus Algériens différents!

Dans les villes hôtes, les hôtels affichent déjà de bons taux de réservation, les agences de voyage préparent des forfaits spéciaux et la Fédération peaufine avec les autorités locales le dispositif de sécurité et de transport.

À moins de trois mois du coup d’envoi, l’Afrique attend une CAN 2025 qui fera date, portée par la ferveur populaire et la montée en puissance d’équipes ambitieuses.

Cette attente contraste avec le discours pessimiste d’Alger: alors que le continent se projette vers un tournoi spectaculaire au Maroc et rêve déjà d’un Mondial 2030 inédit sur deux rives, le régime d’Alger donne libre cours à sa haine et à sa jalousie maladives.

En fin de compte, l’hystérie médiatique algérienne ne fait qu’amplifier le contraste entre un Maroc tourné vers l’action et le développement et un régime voisin immobile dont les gesticulations expriment sa féroce frustration.

Le rêve algérien - The Algerian dream

Le «niveau d'aspiration» désigne le niveau de but qu'une personne se fixe et par rapport auquel elle évalue sa performance. Il est distinct du niveau d'«expectation», car il s'agit du désir d'atteindre un résultat plutôt que de la prévision de celui-ci. Il est influencé par les succès et échecs précédents.

Le "niveau d'aspiration" se limite à l'ensemble des facteurs personnels et environnementaux qui influencent les désirs d'un individu concernant ses objectifs de vie. Ces facteurs incluent des éléments comme les ambitions parentales, les attentes sociales, la pression des pairs, les valeurs culturelles et la réussite ou l'échec dans des tâches antérieures. Il se distingue de l'« attente » (niveau d'expectation), qui est plus une prévision de résultat qu'un désir d'atteindre un but.

Le bras de fer diplomatique entre Rabat et Alger s'est déplacé sur le terrain sportif

La polémique autour de la CAN 2025 au Maroc est due à une hostilité politique algérienne envers le Maroc, qui se manifeste dans le football, mais aussi par des restrictions de voyage imposées par le Maroc à certains ressortissants algériens. Des incidents ont eu lieu lors de la CAN féminine où les médias et l'équipe algérienne ont évité de mentionner le Maroc. Certains médias algériens ont appelé au boycott de la compétition.

Les compétitions de football entre l'Algérie et le Maroc ont souvent été marquées par des incidents, comme la bagarre générale lors de la Coupe Arabe U17 en 2022, l'annulation d'un match de la Confederation africaine de football (CAF) en 2024 en raison d'un litige sur les maillots, ou encore des polémiques autour des maillots algériens inspirés de motifs marocains. De plus, des tensions politiques ont entraîné des actes de boycott de la part de l'Algérie lors de la CAN féminine au Maroc en 2025, poussant à masquer les logos et à refuser d'utiliser le nom du pays hôte.

La décision du Maroc de renoncer vendredi à un tournoi de football africain en Algérie, faute d'avoir reçu l'autorisation des autorités algériennes pour s'y rendre en avion.

"Il est très malheureux de priver l'équipe nationale marocaine, qui se préparait sérieusement depuis six mois pour participer au CHAN 2023 et défendre son titre", a déploré le président de la Fédération marocaine de football (FRMF), Fouzi Lekjaa.

"Il est malheureux que l'équipe reste des heures durant à l'aéroport en attendant l'autorisation pour prendre part à une compétition africaine", a ajouté M. Lekjaa en recevant le patron de la Fédération internationale de football (FIFA), Gianni Infantino, et le président de la Confédération africaine (CAF), Patrice Motsepe.

Les jeunes espoirs des Lions de l'Atlas, avait remporté les deux derniers CHAN -- tournoi réservé aux joueurs disputant les championnats nationaux -- en 2021 et 2018.

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