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Industrie: L’incroyable mensonge de la première voiture électrique 100% algérienne... [Dossier]


COP 22 : la Société Marocaine SNTL lance le Pick-Up Intelligent 100% Electrique

2016 - Dans le cadre de la tenue de la 22ème Conférence Climat des Nations Unies (COP22), du 7 au 18 novembre 2016 à Marrakech, la Société nationale de transport et de logistique (SNTL) a lancé mardi 8 novembre 2016, « ASLAN », pick-up 100% électrique avec une conception et un assemblage marocain.

Ce pick-up 100% électrique a vu le jour grâce à un consortium d’entreprises marocaines chapeauté par la SNTL. Ce pickup a été développé sur la base d’une plateforme modulaire et évolutive qui permettra de développer par la suite toute une gamme de véhicules destinés à la mobilité urbaine propre. Il permet à tous ses utilisateurs de profiter des dernières innovations et tendances technologiques, de confort, de puissance et de sécurité. Grâce à son système intelligent doté d’une multitude de possibilités, il est possible de choisir d’optimiser les trajets en envoyant les nouvelles données de livraison au véhicule en temps réel et même suivre et gérer les trajets de la flotte en recevant, en temps réel, l’historique et l’évolution des déplacements en direct du véhicule, sans oublier qu’il est également possible de réguler la température à distance si la marchandise à transporter nécessite un environnement contrôlé. En matière d’autonomie, ASLAN dispose de batteries rechargeables LiFePO4 de 19Kwh disposées de manière équilibrée sur le châssis permettant une meilleure stabilité. Le véhicule peut être chargé sur une prise secteur 220V en moins de 7h chez soi sans nécessité de dispositif technique, en toute simplicité et tranquillité.

100% électrique, ASLAN respecte la nature et l’environnement et se charge chez soi sans nécessiter de dispositif spécifique .Il peut parfaitement être adapté aux trajets urbains avec arrêts fréquents et atteint une vitesse de 129Km/h pour des trajets extra urbains. L’intégration de ce projet au Maroc permettra de donner un point de départ à un écosystème autour du véhicule électrique en harmonie avec la politique du Royaume en matière d’accélération du plan industriel, de transition énergétique et de développement durable.

"Voiture" électrique algérienne: réactions mitigées sur la Toile

Chien qui aboie, dit-on, ne mord pas. Les Espagnols, qui ont leur propre version de l’adage (“perro ladrador, poco mordedor”, c’est-à-dire, littéralement, chien aboyeur, peu mordeur).

Le "ministre" de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique Kamel Baddari a donné lundi 17 avril le coup d’envoi d’un projet de fabrication de la première voiture électrique algérienne.


A rappeler que Abdelmadjid Tebboune, a auparavant exigé par visioconférence l’incarnation de la transition énergétique lors d'une réunion périodique du Conseil des ministres qui s’est penché sur plusieurs sujets, notamment l’impact de la pandémie du coronavirus (Covid-19) sur l’économie nationale et la situation sanitaire, ainsi que le secteur de justice et de l’industrie en juillet 2020. Tebboune a appelé à promouvoir la voiture électrique en Algérie et encouragé l’importation, soulignant que la question de la transformation énergétique dans le plan de travail du ministère compétent occupe une position de premier plan afin de débarrasser progressivement le pays de la dépendance aux hydrocarbures, qui constituent plus de 95 % des revenus extérieurs.

Dans un communiqué publié sur sa page Facebook, Kamel Baddari a salué « des résultats basés sur la recherche et le développement pour répondre aux besoins des citoyens ». Le projet est mené par le Centre de recherche en technologie industrielle (CRTI) de Tipaza.

Sur les réseaux sociaux, l’annonce du projet de la première voiture électrique 100% algérienne a reçu un accueil mitigé. Il est vrai que le véhicule présenté ne ressemble pas vraiment à une voiture électrique, c’est ce que pointent les internautes ayant réagi.

Une page Facebook a mis la photo du véhicule présenté comme la voiture électrique algérienne en 2023 avec une autre photo de la première voiture fabriquée en Allemagne il y a une centaine d’années.

« Ceci n’est ni une voiture ni un chariot. On ne sait même pas comment le nommer, mais pour dire que c’est une voiture électrique 100% algérienne…. », écrit une autre page sur Facebook également.



Comparativement avec d’autres pays comme la Turquie qui ont présenté de vrais modèles de voitures électriques, le ministre de l’Enseignement aurait dû patienter avant de monter dans ce prototype de véhicule électrique algérien, estiment certains.

Le modèle sur lequel travaillent plusieurs équipes du CRTI est un véhicule de quatre places, selon les précisions de Mokhtar Hocine, un des ingénieurs du CTRI dans des déclarations à la presse.

« Nous avons achevé la partie structure tandis qu’une autre équipe a achevé la batterie. Il nous reste les commandes », a expliqué l’ingénieur.

Le véhicule est doté d’un moteur de 6 kilowatts, alimenté par une batterie de 220 volts, selon Mokhtar Hocine qui a ajouté que cette voiture électrique algérienne peut être chargée à domicile, pendant six heures.

Pour ce qui est de l’autonomie de la batterie, elle est de 150 km pour le moment. « Nous travaillons pour une plus grande autonomie de la batterie », a-t-il indiqué.

L’ingénieur présenté comme l’inventeur du concept a évoqué la possibilité de travailler avec des startup pour les composants de la voiture électrique algérienne.

« Notre objectif est de créer des postes d’emploi pour les diplômés des universités et d’intégrer les startup afin de réduire la dépendance à l’étranger », a ajouté Mokhtar Hocine.

Plusieurs intervenants dans le projet

La conception de la structure a été faite en collaboration avec BMS Motos, société spécialisée dans la fabrication de motos, a révélé Abdeslam Benamar, directeur adjoint du CTRI.

« On peut dire que la partie mécanique est complétée à 100 %. Tout ce qui est freins, direction, suspension, on a déjà une base avec laquelle on peut tester le moteur électrique », a-t-il poursuivi en révélant que la batterie a été conçue par les ingénieurs du département d’études du CTRI à Sétif.

Le directeur adjoint n’a pas caché ses ambitions pour la fabrication des voitures électriques ou bien des parties de ce genre de voitures qui devraient remplacer à terme les automobiles à moteur thermique dans de nombreux pays, notamment en Europe.

"Scandale des voitures électriques en Algérie, un cas de plagiat avéré d'un projet français" le jouirnaliste algérien Abdou Semmar
Mali: un jeune malien de 22 ans conçoit une voiture qui porte son nom «Meminta»

C’est dans le journal de télévisé (20h) de la chaîne de télévision nationale (ORTM) que les Maliens ont fait la découverte de Mahamadou Meminta, un jeune malien inventeur amateur qui a su parfaitement concevoir une voiture qui porte son nom de famille «Meminta». Fabriquée sur la base assemblage de pièces de véhicules en fer, le projet a duré 9 mois pour voir le jour tout comme un nouveau-né.


A 22 ans à peine, le jeune Mahamadou Meminta était déjà un amateur de bricolage depuis tout petit comme bon nombre d’enfants. Mais à la différence des autres, Mahamadou Meminta n’a pas abandonné ce bricolage des petites voitures en bois et fer. Aujourd’hui, il a pu mettre au point un assemblage de pièces de véhicules en fer qui marche parfaitement bien comme une voiture normale. Mieux, avec une télécommande pour contrôler le véhicule à distance. Une révolution technologique qui peut bien servir l’industrie automobile mondiale, selon le génie. «Même sans chauffeur, je peux conduire ma voiture à l’aide de la télécommande» a-t-il indiqué.


Fait uniquement pour deux passagers, la nouvelle marque malienne «Meminta» est conçue avec un moteur de tricycle (15cm3), avec toutes les commodités d’une voiture normale. Les phares et les clignotants marches tous très bien et sans aucun problème. En rigolant, le jeune Bozo a prévenu que si la voiture ressemblait à un poisson, ça ne doit étonner. En tout cas, diplômé en Economie et Gestion de la faculté des Sciences Juridiques et Economique de Bamako Meminta est fier de son talent de pouvoir transformer sa création comme il veut. « Ce qui m’encourage, c’est du fait que je peux tout faire sur ma voiture » a-t-il indiqué avant d’ajouter « même si je veux, il va pousser les ailes et tenter de décoller ». Conçue en neuf mois pour le début, Mahamadou Meminta est parvenu, avec ses maigres moyens, de réduire le réassemblage d’une deuxième voiture en cinq mois.


Très ému, Mahamadou Meminta a dédié cette création à l’ensemble de la population Malienne comme pour inviter tout le monde à le soutenir et accompagner dans cette aventure des grands.


Ça c’est l’œuvre d’un petit bozo sur terre après avoir abandonné les activités aquatiques. Que va-t-il devenir lorsqu’il va découvrir la vie sur la colline ?


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