top of page
gherrrabi

En algérie, un grand cafouillage autour d'une organisation caritative «islamiste»... Les États-Unis montent au créneau

Sur les réseaux sociaux, la présidente du Croissant Rouge algérien, Ibtissem Hamlaoui s’en est prise violemment aux militants et activités de l’association El-Baraka, les accusant de collecter des fonds qui pourraient être détournés vers des mercenaires via des courtiers de la guerre...
Une organisation caritative « islamiste » attire l’attention des Américains à cause de la patronne du Croissant Rouge

Les services de l’Ambassade des Etats-Unis à Alger ont lancé d’intenses recherches et une discrète enquête sur les activités financières d’une association caritative affiliée au parti islamiste algérien le MSP, anciennement appelé Hamas jusqu’au début des années 2000, a-t-on pu apprendre auprès de plusieurs sources concordantes. Cette association s’appelle El Baraka et elle s’est démarquée ces dernières semaines par de fortes activités de collectes de fonds, de dons pour les acheminer par la suite jusqu’à Gaza et la Palestine. Portée et dirigée essentiellement par les militants du parti islamiste algérien le MSP anciennement dirigée par Abderrazak Makri, l’un des leaders politiques algériens les plus hostiles aux intérêts des Etats-Unis en algérie, l’association El Baraka a collecté des fonds provenant du Zakat El Fitr, une obligation religieuse dans l’islam, spécifique au mois de Ramadan. Il s’agit d’une contribution financière que les musulmans doivent offrir pour soutenir les plus démunis, notamment ceux qui ne peuvent pas subvenir à leurs besoins alimentaires pendant la fête de l’Aïd El-Fitr, marquant la fin du jeûne. Des sommes colossales auraient été ainsi collectées à cette occasion pour les envoyer directement, via des canaux qui restent obscurs et indéterminés, jusqu’à Gaza où les relais du Hamas palestinien vont ensuite se charger de récupérer ses fonds pour les gérer sans faire preuve d’une grande transparence. Or, les activités très remarquées de l’association El Baraka ont fini par provoquer l’exaspération de la présidente du Croissant Rouge Algérien, Ibtissem Hamlaoui, une personnalité influente au sein du régime algérien qui entretient des liens étroits avec certains conseillers du Président Abdelmadjid Tebboune ainsi qu’avec des hauts gradés de l’institution militaire algérienne. Sur les réseaux sociaux, Ibtissem Hamlaoui s’en est prise violemment aux militants et activités de l’association El Baraka les accusant collecter des fonds qui pourraient être détournés vers « des mercenaires via des courtiers de la guerre».

Les déclarations d’Ibtissem Hamlaoui ont soulevé des doutes quant à la transparence des activités financières de l’association El Baraka. Certains individus, identifiés comme membres de l’association, ont ensuite été accusés par plusieurs journalistes et internautes algériens d’amasser de l’argent et de le transférer au mouvement Hamas, classé comme terroriste par les Etats-Unis et plusieurs pays occidentaux partenaires du régime algérien, notamment en raison de dimension islamiste entièrement assumée de l’association El Baraka.

Ces accusations ont attiré l’attention de l’ambassade américaine à Alger qui a mobilisé ses services et diplomates pour vérifier la véracité de ces allégations, en particulier en ce qui concerne la destination réelle des fonds et leur éventuel soutien aux activités armées du Hamas. Au regard de la position officielle de l’Algérie sur la guerre déchirant depuis des longues semaines la Palestine, cette affaire a pris rapidement des relents politiques inquiétants à Alger car les diplomates américains redoutent une complicité entre l’association El Baraka et l’État algérien dans le transfert de fonds au mouvement du Hamas. En clair, l’ambassade US à Alger veut s’assurer que le pouvoir algérien n’utilise pas cette association islamiste comme « relai intermédiaire » permettant d’acheminer des aides financières conséquentes au Hamas palestinien. Il est crucial de noter que cette affaire faites de rumeurs et allégations très malsaines survient dans un contexte de tensions politiques et sécuritaires dans la région notamment en Algérie où une sensible élection présidentielle anticipée est prévue le 7 septembre prochain. Une échéance qui inquiète fortement les Etats-Unis dont les dirigeants accordent en ce moment à l’Algérie une attention particulière à cause de l’impact d’une éventuelle crise dans ce pays sur toute une région assise sur un dangereux volcan : le Maghreb et l’Afrique du Nord.

L’antisémitisme dans tous ses états…

Le chef du Mouvement de la société pour la paix (MSP), le parti islamiste algérien à la solde de la mafia militaro-politico-financière algérienne, Abderrazak Makri, a qualifié le parti marocain Justice et Développement de « sioniste » et son chef, le Premier ministre Saad Eddine El-Othmani, de « traître » après l’accord de reprise des relations avec Israël.

Ces propos font suite à la rencontre entre M. El-Othmani et une délégation américano-israélienne à Rabat ainsi qu’à la signature de l’accord de reprise des relations, annoncé par le président américain Donald Trump au début du mois.

S’adressant sur Facebook, M. Makri a écrit: « Le chef du gouvernement [marocain] et secrétaire général du parti Justice et Développement devrait se sentir le plus honteux parmi les signataires de l’accord en raison de sa trahison à ses principes et à sa position antérieure, en faveur de la normalisation. »

« Nous pensons que ce parti compte en son sein des personnes crédibles dans le soutien à la lutte des Palestiniens contre l’occupant sioniste, mais si les institutions du parti ont approuvé cette trahison, cela signifie qu’il est officiellement devenu sioniste, » a-t-il poursuivi.

Il a déclaré que la visite du conseiller à la sécurité nationale israélienne à Rabat prouve que la normalisation signifie que le Maroc accepte de coopérer en matière de sécurité avec Israël «et que, par conséquent, il y a un certain danger pour la cause palestinienne».

Le griot des temps modernes

Le commentateur sportif de la chaîne qatarie beIN Sports en arabe, Hafid Derradji, est venu au secours de de l’association El Baraka, En jouant un rôle de Griot, via un tweet:

Au suivant: "Dr" Hamlaoui Ibtissem, sexe et politique… les dates, les lieux, son parcours... sont facile à retracer.

Affaire de mœurs, adultère… Le Général-Major Saïd Chanegriha et le Général Abdelghani Rachdi Directeur général de la DGSI.

En Algérie des "postes de responsabilité" sont réservée aux fidèles du clan vainqueur dans la lutte pour le pouvoir.

Empêtré dans un scandale aux relents d’adultère, le colonel Dalil Hamdi alias «Taoufik» avait fait l’objet d’une procédure de divorce engagée contre lui par son épouse.

En effet, le haut de cadre (Dalil Hamdi alias «Taoufik») de la Direction générale de la sécurité intérieure dirigée, par le général Abdelghani Rachedi, entretient des relations intimes avec la députée FLN « Dr » Hamlaoui Ibtissem connue à Alger pour ses accointances avec les services.

Ce scandale est venu ternir l’image d’une institution peu aimée par les Algériens en raison du comportement de ses membres. La DGSI joue un rôle prépondérant dans la répression qui s’abat sur les activistes du Hirak et sur les journalistes. La sinistre caserne Antar (Abla) qui dépend de la DGSI est devenue un lieu de passage pour des dizaines de personnes arrêtées en marge des protestations que connaît aujourd’hui le pays.

Plusieurs s'interrogent sur les aptitudes de Hamlaoui Ibtissem (étudiante à faible capital scolaire (sortie dernière de sa promotion), à siéger comme présidente du Croissant-Rouge algérien. En effet, Hamlaoui Ibtissem, n'a jamais jamais exercé d'activité professionnelle.

Système des dépouilles "Spoil system" "Clientélisme":  Le système des dépouilles est un principe selon lequel le gouvernement, compte sur la loyauté partisane des fonctionnaires, substitue des fidèles à ceux qui sont en place.

Méritocratie "Merit system" : Le système du mérite est le processus de promotion et d'embauche des employés du gouvernement en fonction de leur capacité à accomplir un travail plutôt que de leurs relations politiques.

Un modèle méritocratique est un principe ou un idéal d'organisation sociale qui tend à promouvoir les individus — dans différents corps sociaux; école ; université; grandes écoles; institutions civiles ou militaires; monde du travail; administrations; État, etc. — en fonction de leur mérite (aptitude, travail, efforts, compétences, intelligence, vertu) et non d'une origine sociale (système de classe), de la richesse (reproduction sociale) ou des relations individuelles (système de « copinage »).

Le merit system offre de meilleures garanties de compétence des fonctionnaires. L’exigence d’impartialité rend l’emploi public plus attractif et le système de concours assure une certaine qualité du recrutement. De cette impartialité et cette stabilité naît un esprit de service public. Inversement, Spoil system, le service public perd de son attrait si l’appartenance politique devient une obligation, admise ouvertement ou occultée. Les épurations successives privilégient l’appartenance partisane par rapport à la compétence.

Usurpation du titre du docteur en chirurgie

Dans l’intention de tromper les algériens sur la valeur de ses titres, les dates, les lieux, son parcours sont facile à retracer.

Hamlaoui Ibtissem, n’a obtenu aucun diplôme en chirurgie cardiaque.

Usurpation du titre du docteur en chirurgie

Dans l’intention de tromper les algériens sur la valeur de ses titres, les dates, les lieux, son parcours sont facile à retracer.

Hamlaoui Ibtissem, n’a obtenu aucun diplôme en chirurgie cardiaque.

Article L4162-1

L’usage sans droit de la qualité de médecin, de chirurgien-dentiste ou de sage-femme ou d’un diplôme, certificat ou autre titre légalement requis pour l’exercice de ces professions est puni comme le délit d’usurpation de titre prévu à l’article 433-17 du code pénal.

Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l’article 121-2 du code pénal, de l’infraction définie au présent article encourent l’amende prévue à l’article 433-17 du code pénal suivant les modalités prévues par l’article 131-38 du même code, ainsi que les peines prévues aux 2° à 4° de l’article 433-25 du même code.

Le non-respect des dispositions de l’article L. 4111-5 est assimilé à une usurpation du titre de médecin, de chirurgien-dentiste ou de sage-femme.

Article 433-17

L’usage, sans droit, d’un titre attaché à une profession réglementée par l’autorité publique ou d’un diplôme officiel ou d’une qualité dont les conditions d’attribution sont fixées par l’autorité publique est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende.

Les personnes physiques ou morales coupables du délit prévu à la présente section encourent également la peine complémentaire suivante : interdiction de l’activité de prestataire de formation professionnelle continue au sens de l’article L. 6313-1 du code du travail pour une durée de cinq ans.

Sexe et politique La fonction d’homme – ou de femme – politique implique une excitation non-stop, nerveuse ou physique. «On est tout le temps au milieu des autres, en train de séduire, de décider, d’agir, dans un état d’éveil sensoriel permanent», rappelle le psychanalyste Serge Hefez.
Des faveurs sexuelles en échange de….

C’est, selon Hichem Aboud, la principale qualité pour laquelle s’est retrouvée en deuxième position de la liste des candidats FLN au niveau de la circonscription électorale de la Zone 1 (France – Nord), Ibtissem Hamlaoui, une femme qui adore cette ambiance d’adrénaline et l’attraction que représente le pouvoir.

C’était lors des élections législatives de 2017.

La jeune étudiante était alors toute fraîche du haut de ses 26 ans. Elle semble aujourd’hui bien partie pour succéder à l’ancienne élève de Abou Djerra Soltani, Naima Salhi, si on sen tient à ses dernières déclarations très méprisantes sur les pères, les mères et les enfants d’Algérie qui sortent pour demander un pays qui offre un minima de dignité et un personnel politique un peu plus qualifié et moins corrompu !

La candidature de cette pulpeuse de 26 ans au regard enflammé originaire de Guelma avait d’ailleurs provoqué un tollé au sein de la diaspora FLNistes. Cette dernière l’avait fait savoir à travers l’Association de la Communauté Algérienne Etablie à l’Etranger (ALCALEE) qui avait contesté cette nomination dans une lettre, rapportée par Algérie Focus, adressée à la Haute Instance Indépendante de Surveillance des Elections sur la liste du FLN France-Nord.

Parmi ce qui était reproché à ce choix, le fait que cette demoiselle n’avait jamais été militante du FLN et comme le mentionne Hichem Aboud dans son témoignage, avait une carte de résidence en France valide à peine pour une année.

« Dr » Hamlaoui Ibtissem, avait déclaré qu’elle n’arrive pas à faire la sieste à cause des marches (Hirak) du vendredi

Le hirak s’est manifesté par l’engagement d’acteurs individuels impliqués dans une action collective conflictuelle contre un adversaire pluriel afin de revendiquer un changement social. C’est un agir-ensemble intentionnel marqué par le projet explicite des protagonistes de se mobiliser de concert. Il s’est formé sur les cendres d’un pouvoir en pleine décomposition, un pouvoir responsable de la paupérisation de plus en plus grandissante, ressentie sur un mode dramatique.

Les cercles vicieux de la corruption en Algérie

La corruption en Algérie est un phénomène économique et social important dont les causes résident dans le système de gouvernance autoritaire du pays, et qui touche tous les secteurs économiques et tous niveaux de la société. En 2020, l’Algérie était à la 104e/180 place du classement «indice de perception de la corruption» de l’ONG Transparency International, loin derrière ses voisins maghrébins la Tunisie (69e) et le Maroc (86e).


 Remettre de l’ordre dans les instances panafricaines et nettoyer les écuries d’Augias ne seront pas une sinécure et prendront du temps, tant les résidus de la mafia militaro-politico-financière algérienne sont encore à la manœuvre et tentent une reconversion en douce…

Djamel Bouras, en flagrant délit de corruption, Djamel Bouras, le célèbre député FLN de la diaspora algérienne, originaire de Lille au nord de la France, et vice-président du parlement panafricain depuis le 10 mai 2018, qui se fait très discret depuis avril 2019. Et pour cause, Djamel Bouras a promis pas moins de 200 mille de financements à plusieurs personnes dont des associations ou des collectifs…



Comments


bottom of page