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Algérie/Dossier: Saïd Bensdira, « Agent du Mossad »… « Et pour quelques dollars de plus…

Le blogueur algérien Saïd Bensedira, né un 13 mars 1968 à Birine, petite ville algérienne, Said Bensdira, qui attaque le royaume du Maroc et ses institutions sur les réseaux sociaux, est enrôlé en tant qu’informateur des services de la sécurité militaire algérienne à la fin des années quatre-vingt, qui avait l’habitude de recruter dans les milieux universitaire et journalistique…

Sous couvert de journalisme, Bensdira espionnait et espionne activement syndicats d’étudiants universitaires, collègues journalistes, politiciens, dirigeants communautaires, mais également des gens ordinaires. C’est son ex-compagnon au DRS, Karim Moulai, qui le révèle en 2010, alors qu’il était demandeur d’asile en Ecosse, à la télévision écossaise. Tous les moyens sont utilisés pour infiltrer différentes cibles des services: chantage, corruption, intimidation etc.

Possession d’armes à feu et des munitions de guerre, chantage, escroquerie, diffamation, arnaque, falsification et usage de faux, et blanchiment d’argent…

En janvier 2020, et dans le sillage du hirak, le juge d’instruction du tribunal de Bir Mourad Rais (Alger) avait lancé un mandat d’arrêt international contre Said Bensdira, cet agitateur en fuite depuis des années à Londres.


Ce mandat d’arrêt a été lancé suite au démantèlement par les services de sécurité algérienne d’un réseau spécialisé dans le chantage et l’escroquerie que dirigeait Bensedira. Ce réseau comprend deux hommes d’affaires, les frères S.D et S.T et un militaire à la retraite de grade caporal qui ont été arrêtés et placé en détention provisoire à la prison d’El Harrach.

Les trois mis en cause sont poursuivis pour « possession d’armes à feu et des munitions de guerre, chantage, escroquerie, diffamation, arnaque, falsification et usage de faux, et blanchiment d’argent».

Pour les deux hommes d’affaires, ils sont aussi poursuivis pour « non dénonciation de crime et octroie d’indu avantage pour inciter des fonctionnaires à exploiter leur influence et verser de l’argent à Said Bensedira », selon des  sources sécuritaires.

Le démantèlement du réseau de Bensedira a permis aux services de sécurité de saisir d’ « importantes sommes d’argent en dinar et en devise et un véhicule de luxe« .


Suite à des poursuites en justice qui l’atteignent comme celle de 1998, par des citoyens lambda pour fraude, menaces de mort, dont certaines pour ses besoins personnels comme pour contraindre cet Algérien à lui céder un terrain situé à Tipaza, le DRS l’exfiltre en 1999 à Mascate, capitale d’Oman. Il bénéficiera de la couverture de consultant média dans un organe du Conseil de coopération du Golfe.

Agent du Mossad à Alger?.


Se réclamant de la corporation des journalistes qui a été forcé à l’exil, et jouant sur deux tableaux pour s’attirer des sympathies du public, il annoncera bien plus tard que le principal objectif de sa venue à Londres était d’œuvrer à l’unification des mouvements d’opposition politique algériens. En réalité, il est en guerre contre la plupart des personnalités de l’opposition. Dès lors, Bensedira sévira sur les réseaux sociaux. Il menace à qui veut l’entendre de révéler des données privées sur des individus, certifiant détenir tous les « dossiers » sur un large panel qui inclut aussi bien des citoyens algériens, des ministres, Tebboune, le Président de la République, que d’autres pays, particulièrement le Maroc.

Appel au génocide… Appel à raser la Kabylie

Bensdira appelle à tuer 30 millions d’Algériens et à transformer leurs cadavres en savon..

Les militants politiques, les activistes et les défenseurs des droits humains ont dénoncé l’impunité dont jouit Saïd Bensdira depuis son asile en Angleterre. Certains ont lancé une pétition pour son jugement et d’autres ont entrepris des démarches pour déposer plainte contre lui. Ces réactions font suite à l’appel du blogueur à raser la Kabylie, suite aux marches du 20 avril.

Cet appel haineux, qui n’est pas le premier du genre, intervient dans une période où la Kabylie commémore l’assassinat des 128 jeunes tués par la Gendarmerie nationale, en 2001. A l’occasion, Saïd Bensdira a appelé, dans une vidéo sur sa page Facebook, à raser la Kabylie. Cet appel au génocide, qui n’est pas le premier du genre, a secoué la toile.

L’Escadron de la mort: La liste des compagnons de Hadad Abdelkader dit Nacer dit « El-Djen » :

La liste des criminels du DSCA; cette liste ne compte que les plus connus et n’est pas définitive:


Colonel Abdelhamid Hocine dit Hocine Boulahya, originaire de Larbaa-Nathiraten, directeur régional de la DSCA à Constantine où il torture toujours ! Hocine était directeur du service recherche au CPMI Benaknoun avant sa fermeture. Hocine s’est illustré par sa pénétration du réseau FIDA grâce entre autres aux agents: Merzouki Yacine dit Yacine le Kurde qui était membre du Bureau du FIS à Constantine, Saïd Bensdira . Après son arrestation par l’ex. directeur régional Ait ourabi Abdelkader dit Hacene (actuellement responsable de la lutte anti-terroriste au DRS et actuellement général), Merzouki Yacine dit le Kurde a accepté de collaborer et devient un agent très actif au service du DRS ; ses crimes sont innombrables…. !

Said Bensedira, réside actuellement à Londres;  membre supplétif de l’escadron de la mort du CPMI, connu pour sa participation dans le massacre de Bentalha (assassinats, violes, et pillage…).

Sous couvert de journalisme, [Pourtant aucun article de presse ou reportage ne peut être retrouvé à son nom dans les principaux journaux algériens de l’époque]. Bensdira espionnait activement syndicats d’étudiants universitaires, collègues journalistes, politiciens, dirigeants communautaires, mais également des gens ordinaires. C’est son ex-compagnon au DRS, Karim Moulai, qui le révèle en 2010, alors qu’il était demandeur d’asile en Ecosse, à la télévision écossaise. Tous les moyens sont utilisés pour infiltrer différentes cibles des services: chantage, corruption, intimidation etc.

Bensdira visiblement maîtrise l’art de la manipulation en livrant d’abord des informations connues de tout le monde sauf pour des uns qui pensent « précieuses » sur les personnes impliquées dans les affaires de corruption, et en jouant ensuite habilement sur les émotions de son public. Avec lui, beaucoup pensent apprendre des choses qui relevaient jusque-là du secret d’Etat.

Marzouki yassine, dit Yacine le Kurde, de Jijel, responsable du:

  1. Meurtre de deux étudiants de l’université Bab Ezzouar (Hamza Muhammad et Badran Muhammad) a été perpétré.

  2. L’exécution et le meurtre de professeurs d’université,

  3. L’assassinat du journaliste de la télévision publique RTA, Ammar, a été perpétré.

  4. Il a commis l’assassinat du journaliste Ismail Yisfeh.

  5. Responsable de l’inhumation dans plusieurs fosses communes.

En plus de ces agents Hocine réussit à recruter comme agent le nommé Guechi Abdellah originaire de Belcourt et Ben Zaghiba El-Hachemi dit le « Rougi » originaire de Ain Naaja. Ces deux agents ont été primordiaux pour Hocine et Tartague puisque ils étaient des Moudjahidines au sein des rangs du GIA tout le temps même pendant les renommés massacres….. !


Menassria Fathi dit Sami, originaire de Ouanza Tébessa et réside à Alger ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.

Brahimi Louanes dit Mourad, originaire de Larbaa-Nathiraten et habite Meissonnier Alger ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.

Hadad AbdelKader dit Nacer el Djen, membre de l’escadron de la mort du CPMI, certainement le plus sanguinaire et surnommé l’effaceur aussi comme déjà cité.

Barhou Ahmed dit Khaled Douchka originaire de Nedroma et habitant Ain Naaja ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.

Boutemine Omar dit Omar originaire de Skikda et Habitant Chevalley Alger ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.

Younes Zahir, originaire de BirKhadem et Habitant Chevalley Alger ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.

Meziani Mohamed, originaire de Tlemcen ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.

Tazir Mounir dit Zoubir, originaire d’Alger Hydra ; membre de l’escadron de la mort du CPMI, actuellement à Gouraya, Tipaza chargé de sécurité.

Messaoudi Fathi dit Lyés, originaire de Belcourt membre de l’escadron de la mort du CPMI ; il était entre autres chargé de la presse.

Kalem (Ghanem) Abdelkader dit Abbes, Habitant Cheraga et Zeralda ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.

Taboule El-Hajj, originaire de Reghaia ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.

Kerrouche Mohamed dit Ramzi, habitant Chevalley ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.

Bouchbat Moussa dit Samir, habitant Hydra Alger ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.

Raoui Abdelrazak et son frère Tayeb, originaire de Cheraga ; membres de l’escadron de la mort du CPMI.

Souahi Razkine dit Mouadh, originaire de Tébessa ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.

Medkour Brahim dit Habib, originaire de Batna ; membre de l’escadron de la mort du CPMI.

Tous ces officiers supérieurs, officiers et supplétifs… étaient sous l’autorité de Abdelhamid Hocine dit Hocine Boulahya qui était lui sous l’autorité de Tartague Bachir. Les crimes liés à ces énergumènes sont impressionnant et certainement injustifiable.

Et pour quelques dollars de plus, il est prêt a tout faire

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