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«J’irai à Canossa»: «L'Art de la négociation» - «The Art of the Deal»... Quand le président Trump inspire... [Enquête. By Mohammed Gherrabi]


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"Les stratégies et les tactiques que le président Donald Trump utilise depuis son arrivée à la Maison-Blanche étaient déjà les mêmes il y a trente ans!" Valeurs actuelles

Publiée sous le titre The Art of the Deal, cette première autobiographie s'est vendue à plus de 3 millions d'exemplaires. Derrière le personnage outrancier qui est apparu au grand jour, Donald Trump y révèle des aspects inattendus de sa personnalité : audace, goût pour le bluff, pragmatisme...

Les secrets de sa réussite?

Avoir foi en soi, en ses projets, ne jamais renoncer et tout mettre en œuvre pour atteindre son but. À plusieurs reprises, le magnat de l'immobilier a subi des revers, mais il s'est toujours relevé pour aller plus haut. À l'image des gratte-ciel qu'il a érigés à Manhattan et ailleurs.

Paru alors qu'il avait 40 ans, L'Art de la négociation permet de comprendre comment Trump planifie ses coups, attaque, recule... pour mieux tordre le bras de ses adversaires.

Quand le président Trump inspire

Après un an d’acharnement, d’humiliation et de mensonges, le régime d’Alger finit par libérer le grand écrivain Boualem Sansal. Ainsi en a décidé la présidence algérienne ce mercredi 12 novembre. Non pas par grandeur, ni par justice, mais par nécessité, contrainte et calcul. Tout ça pour ça.

Il n’aura fallu qu’un communiqué officiel du président allemand pour que le pouvoir algérien, à bout de souffle, accepte enfin de relâcher celui qu’il a transformé en otage politique. Une décision arrachée à Abdelmadjid Tebboune par son homologue allemand Frank-Walter Steinmeier, qui a plaidé, lundi, la grâce du grand écrivain franco-algérien «pour raisons humanitaires», n’hésitant pas à faire miroiter l’état de santé du même Tebboune, un habitué des hôpitaux allemands, pour mettre de la pression. Aujourd’hui, l’Algérie dit accepter la demande de l’Allemagne de gracier et de transférer l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal dans ce pays pour qu’il puisse y être soigné, a indiqué un communiqué de la présidence algérienne mercredi.

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Le conseil d'administration du Prix de la paix de l'Association des éditeurs et libraires allemands a désigné l'écrivain algérien Boualem Sansal comme lauréat du Prix de la paix de cette année. La cérémonie de remise des prix a eu lieu le dimanche 16 octobre 2011 en l'église Saint-Paul de Francfort-sur-le-Main.

L'éloge funèbre a été prononcé par Peter von Matt.
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"Sansal vit en Algérie, et ses livres traitent avec passion de ce pays. Pourtant, leur publication y est interdite. Ils sont introduits clandestinement et diffusés en secret. Lui-même n'appartient à aucun parti ni à aucun mouvement. Il est une voix solitaire qui place sa confiance dans la force lente et puissante de la littérature." Peter von Matt - Éloge de Boualem Sansal
Boualam Sansal serait un bâtard selon Tebboune

Boualam Sansal serait un bâtard selon Tebboun. Au pied du mur après l’annonce de la reprise du Hirak, le président algérien est obligé de libérer l’écrivain franco-algérien Boualam Sansal, emprisonné de manière abusive. Mais avec quand même une petite fanfaronnade pour le petit peuple. L’insulte et le dénigrement de l’écrivain qu’il qualifie de bâtard. Et c’était lors d’un discours au Parlement. Sansal ne mérite pas ce traitement de la part de celui qui se considère comme le fils des chouhadas alors que les Algériens affirment que ses ascendants n’ont jamais tiré une balle contre les Français.

Emmanuel Macron s’est entretenu par téléphone avec Boualem Sansal

Emmanuel Macron s’est entretenu ce mercredi soir au téléphone avec l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, gracié et libéré par l’Algérie après un an en prison, a annoncé l’Élysée, sans fournir d’éléments sur cet appel.

L’appel du président français a eu lieu alors qu’il était dans l’avion de retour d’un déplacement à Toulouse, tandis que l’écrivain était aussi en vol vers l’Allemagne pour y recevoir des soins médicaux, après une médiation du président allemand Frank-Walter Steinmeier.

Plus tôt dans la journée, en déplacement à Toulouse, Emmanuel Macron a remercié ses deux homologues, le président allemand Frank-Walter Steinmeier « pour les bons offices de l’Allemagne » et celui algérien Abdelmadjid Tebboune pour « ce geste d’humanité ». « Je prends acte de ce geste d’humanité du président Tebboune et l’en remercie. Je reste évidemment disponible pour échanger avec lui sur l’ensemble des sujets d’intérêt pour nos deux pays », a-t-il ajouté.

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Il a également estimé que cette libération était « le fruit des efforts constants de la France et d’une méthode faite de respect, de calme et d’exigence ». « Notre souci a toujours été d’être efficace pour permettre la libération de Monsieur Sansal », a encore assuré Emmanuel Macron.

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À qui le tour?
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Un tribunal algérien a condamné jeudi à cinq ans de prison l'historien Mohamed Amine Belghit, accusé d' « atteinte aux symboles de la nation » après avoir déclaré que l'identité amazighe était une « création franco-sioniste », a annoncé son avocat. « Cinq ans de prison. Quel que soit le verdict, notre conviction reste inébranlable : nous croyons en son innocence, et nous croyons que la vérité finira par triompher », a écrit Toufik Hichour sur son compte Facebook.

Le parquet du tribunal de Dar El Beida, près d'Alger, avait requis sept ans de prison ferme et 700.000 dinars d'amende (4.600 euros environ) contre Mohamed Amine Belghit. Il avait été écroué après la diffusion sur les réseaux sociaux d'une interview donnée à la chaîne émiratie Sky News Arabia, dans laquelle il affirmait que « la langue amazighe (était) un projet idéologique de création franco-sioniste ».

« Il n'existe pas de culture amazighe. Il n'existe pas une chose qui s'appelle amazighité », avait aussi dit M. Belghit. Ses propos avaient provoqué une vague d'indignation en Algérie. Le tamazight a été reconnu comme langue officielle en 2016 en Algérie, et en 2017 « Yennayer », le Nouvel an berbère, a été ajouté à la liste des fêtes nationales.

M. Belghit a été placé en détention provisoire le 3 mai pour « crime d'atteinte à l'unité nationale par un acte ciblant l'unité nationale aux fins de porter atteinte aux symboles de la Nation et de la République, délit d'atteinte à l'intégrité de l'unité nationale, et délit de diffusion de discours de haine et de discrimination », selon l'accusation. Cet enseignant universitaire, se présentant comme spécialiste du Maghreb, suscite régulièrement des polémiques pour ses propos hostiles à l'identité amazighe et des positions révisionnistes sur l'identité algérienne.

Nouvelles affaires de détenus d’opinion en octobre 2025
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Trois affaires récentes illustrent la répression persistante des voix critiques en Algérie :
  • Annaba: Le journaliste et ex-détenu d’opinion Mustapha Ben Jamaa a été condamné à un an de prison avec sursis et à une amende de 100 000 dinars.

  • Sétif: Le détenu d’opinion Khouthir Nour-Eddine est en attente de délibération, fixée au 20 octobre 2025, concernant sa peine.

  • Béjaïa: L’activiste des droits humains Kamel Baghdad voit sa peine de six mois de prison ferme et 50 000 dinars d’amende confirmée par le tribunal, la délibération étant prévue pour le 19 octobre 2025.

Ces décisions soulignent la pression continue exercée sur les journalistes et militants en Algérie, limitant la liberté d’expression et l’engagement citoyen.

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Le passé revient au présent: L'affaire de l'assassinat du journaliste algéro-britannique, Mohamed Tamalt, refait surface...
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De nombreuses voix s'élèvent désormais pour remettre en question la version officielle de l'assassinat du journaliste algéro-britannique, Mohamed Tamalt, ils réclament aussi l'ouverture d'une enquête independante "approfondie"  pour  faire toute la lumière sur les faits et garantir que les coupables soient poursuivis et à apporter une réponse aux proches de la victime..
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Etre journaliste en Algérie

Journaliste est un métier qui peut s'y révéler dangereux... L'impunité des crimes commis contre des journalistes reste la règle. Attaqués, intimidés et même assassinés, les journalistes s'exposent quotidiennement à des risques et des menaces graves pour avoir fait leur travail : informer le public.

Assassinat du journaliste Tamalt : l’avocat dénonce un crime, demande la réouverture du dossier.

Mohamed Tamalt est un journaliste algéro-britannique, emprisonné en juillet 2016 pour « outrage au président de la République algérienne » et mort en détention quelques mois plus tard, le 11 décembre 2016

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Rappelant sa mobilisation en 2016, lors de l’incarcération du journaliste, Me Mechri affirme avoir multiplié les démarches pour éviter l’irréparable: «J’ai déposé une plainte en 2016 contre le directeur de la prison en tirant la sonnette d’alarme sur l’état de santé de Tamalt, avant son entrée dans le coma» a-t-il indiqué. «C’est aussi en 2016 que j’ai déposé une autre plainte contre le ministère de la Justice de Louh après le décès du journaliste». Comme Kamel Eddine Fekhar, Mohamed Tamalt est décédé en détention après une grève de la faim.

En 2019, avant la démission de l’ancien gouvernement, Me Mechri affirme avoir renouvelé sa plainte contre l’ancien ministre de la Justice. «Dans ma volonté de faire triompher la vérité dans cette affaire, j’ai renouvelé la plainte contre Louh en sa qualité de ministre de la justice pour homicide volontaire ». «Je ne vais pas me taire avant la réouverture du dossier contre le ministre de la Justice car c’est lui le premier responsable et le responsable direct de l’affaire » a-t-il affirmé. «J’attends que justice soit faite et que des affaires similaires n’aient pas lieu », a-t-il conclu.

المتورط الأول في قضية إغتيال محمد تامالت رحمه الله البروفيسور #عبد الرحمان سيدي السعيد ،شقيق مول السانديكة 📌هو من نسق مع الطبيب الشرعي ومدير المستشفى لتزوير الملف الطبي وتقرير تشريح الجثةوأخذ الملف بيده ،ضرك فهمت خوك علاش ما دكوهش للحبس pic.twitter.com/llUeDDNYir
— NEF Freedom (@lejuste2019)September 30, 2020
La mère de Mohamed Tamalt le jour des funérailles de son fils nous raconte

Résident en Angleterre depuis 2002 — il possédait également la nationalité britannique, il écrivait des articles pour le journal El Khabar, pour lequel il avait longtemps été le correspondant à Londres. Il tenait également un blogue et une page Facebook, suivie par plus de 10 000 personnes, où il était très critique contre le pouvoir, s’attaquant de manière virulente à des responsables politiques et notamment au chef de l'État Abdelaziz Bouteflika ou des membres de leur famille.

Il est arrêté à l'aéroport d'Alger le 27 juin 2016 et emprisonné pour « offense aux institutions et au président de la République » à la suite de publications sur son blogue et sa page Facebook. Jugé le 11 juillet 2016, il est condamné à deux ans de prison ferme, pour « outrage à corps constitué » et « atteinte à la personne du président de la République » dans des publications sur son compte Facebook. Sa peine est confirmée en appel le mois suivant, le 9 août. Lors du procès en appel, Mohamed Tamalt se plaint des violences qu'il a subies de la part des gardiens de sa prison.

Dès le jour de son arrestation, il cesse de s'alimenter. Incarcéré à la prison d'El-Harrach, il est transféré après 53 jours de grève de la faim au service des détenus de l'hôpital Lamine-Debaghine (ex-hôpital Maillot) à Bab El Oued, dans la banlieue d'Alger, à la fin du mois d'août. Il y meurt le 11 décembre, à 42 ans, après une grève de la faim de 3 mois suivi de 3 mois de coma. Selon l'administration pénitentiaire, il serait mort d'une «infection pulmonaire».

Sa mort suscite de vive réactions dans les médias indépendants et sur les réseaux en Algérie. Amnesty International comme Reporters sans frontières, appela les autorités algériennes à « ouvrir une enquête indépendante, approfondie et transparente sur les circonstances de la mort » de Mohamed Tamalt et estimant que les actions visant à protéger la réputation des personnalités publiques doivent relever d’une procédure civile et non pas pénale.

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Ses obsèques sont suivies par plusieurs centaines de personnes et il est inhumé au cimetière de Bachdjarah, un quartier populaire d'Alger où il a grandi.

Une "interminable série d’intimidations"
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L’arrestation de Boualem Sansal s’inscrit dans un contexte plus large de répression croissante en Algérie. En décembre 2022, le directeur de Radio M et de Maghreb Émergent, deux médias indépendants, avait été arrêté sans préavis, leurs locaux placés sous scellés.
Boualem Sansal est un critique acharné du pouvoir algérien

L’auteur de 75 ans, qui a obtenu cette année la nationalité française, a été arrêté samedi à l’aéroport d’Alger, en provenance de France, a confirmé l’agence de presse publique algérienne. Les raisons de son arrestation ne sont pas connues. Selon l’hebdomadaire Marianne, il ne donne «plus de nouvelles à ses proches depuis son arrivée à Alger».

  • Prix du Premier roman français et le prix Tropiques.

  • Le Grand Prix RTL,

  • Le Prix du roman arabe,

  • En 2013, l’Académie française lui a décerné le Grand prix de la francophonie.

Juste après avoir condamné le Polisario, l’écrivain franco-algérien, Boualem Sansal, a été arrêté à l’aéroport d’Alger et serait d'après @LePoint accusé «d’intelligence avec l’ennemi».

Ces événements interviennent dans un contexte diplomatique tendu entre la France et l’Algérie, après la reconnaissance française de la marocanité du Sahara et son appui au plan d’autonomie marocain fin juillet.

L’arrestation brutale de l’écrivain algérien Boualem Sansal à l’aéroport d’Alger, suivie de sa disparition inquiétante, projette une lumière crue sur la dérive autocratique du régime d’Abdelmadjid Tebboune. Ancien haut fonctionnaire et intellectuel de renom, Sansal, 75 ans, incarne une opposition ferme à l’obscurantisme et à la répression, ce qui semble avoir scellé son sort dans une Algérie où la liberté d’expression est muselée.

La mafia militaro-politico-financière algérienne, arme sa presse "vert kaki” et ses "mouches électroniques"

La mafia militaro-politico-mediatico-financière algérienne s’emploie par tous les moyens pour attaquer et diaboliser⁎ l'éditeur de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal

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Les "mouches électroniques" montent au créneau
La presse “vert kaki” algérienne.. L’obsession des médias algériens pour le Maroc

Le journal espagnol Atalayar qui a réalisé un reportage sur ce sujet. Dans son introduction, le journal indique que l’obsession algérienne pour le Maroc se mesure au grand nombre d’articles publiés par la principale chaine d’information algérienne et l’APS. En effet, cet appareil de propagande a publié plus de 4.500 articles négatifs sur le Maroc en l’espace de deux ans. Un chiffre confirmé par une analyse faite au niveau des réseaux sociaux indiquant que la plupart des articles de la section internationale de l’APS concernent le Maroc. En vérité, une grande partie des articles consacrés à d’autres pays ne sont mentionnés qu’en raison de leur lien avec le Maroc.

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En arrêtant Ihsane El Kadi, le pouvoir algérien réduit au silence la dernière radio indépendante

Le régime algérien a profité de la torpeur des fêtes de fin d’année pour arrêter l’un des derniers journalistes indépendants du pays, Ihsane El Kadi, directeur de Radio M et du site Maghreb Emergent.

Le journaliste Ihsane El Kadi, directeur de Radio M et du site Maghreb Emergent, a été placé jeudi sous mandat de dépôt, cinq jours après avoir été interpellé. Radio M a été réduite au silence par la même occasion. C’était un des derniers médias indépendants en Algérie, rappelle Saïd Salhi, vice-président de la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme, exilé en Belgique.

L'arrestation d’Ihsane el-Kadi a provoqué un tollé sur les réseaux sociaux et une mobilisation en ligne exigeant sa remise en liberté. Interrogé par France 24, Aïssa Rahmoune, vice-président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’Homme (LADDH) et de la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) confie qu’Ihsane el-Kadi "a lui-même indiqué que cette arrestation est une affaire contre sa personne et contre Interface médias".

Dans un communiqué publié le 28 décembre, le conseil d’administration d’Interface Médias s’est insurgé contre les conditions de l’interpellation de son directeur, "symbole flamboyant d’une Algérie qui refuse opiniâtrement d’abdiquer face à l’arbitraire", et dénoncé "une violation flagrante du code de procédure pénale".

"Tous les actes ayant conduit à la fermeture arbitraire de nos locaux ont été menés en dehors de toute légalité, poursuit le conseil d’administration. La perquisition et la confiscation des équipements se sont faites sans présentation de mandat et sans que des faits délictueux ou criminels n'aient été établis".

Radio M, qui a relayé une pétition appelant à la libération de son directeur, rappelle qu’Ihsane el-Kadi, déjà condamné à 6 mois de prison en juin dernier à la suite d’une plainte du ministre de la Communication contre un article d’opinion, fait face à une "interminable série d’intimidations" depuis au moins trois ans.

"Interpellations, contrôles judiciaires, détentions arbitraires, interrogatoires à plusieurs reprises dans les locaux de la gendarmerie et ceux de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), sont devenues le lot quotidien de sa vie de journaliste", ajoute le média, qui évoque un "acharnement politique, policier et judiciaire sans précédent".

Est-ce la présidence, irrité par son dernier article concernant un éventuel second mandat de Tebboune ou son tweet dans lequel il remettait en doute l’incroyable déclaration de Tebboune qui avançait un chiffre de "20 milliards de dollars récupérés suite à des détournements des oligarques". Il y a un an, Ihsane El Kadi a été aussi convoqué par la gendarmerie pour son article sur le bilan de la première année de pouvoir de Tebboune.

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Le ministre de la "Justice", Garde des sceaux, Abderrachid Tabi menace

La terreur se passe de la justice, c’est bien connu. Et nul besoin de chercher la moindre de ses lueurs dans la dictature mise en place sous Tebboune.

Hommage aux cents journalistes assassinés pendant le décennie noire entre 1993 et 1997 :
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1993 

26.05 – tahar djaout, directeur de ruptures.

03.08 – rabah zenati, entv.

09.08 – abdelhamid benmeni, algérie actualités.

11.09 – saâdeddine bakhtaoui, el minbar (apua).

28.09 – abderrahmane chergou, paris républicain et l’hebdo libéré.

05.10 – djamel bouhidel, photographe le nouveau tell, à blida.

14.10 – mustapha abada, directeur général entv.

18.10 – ismaïl yefsah, entv.

28.12 – youcef sebti, indépendant, écrivain, poète.

1994 

23.01 – rachid kodja, radio.

01.03 – abdelkader hireche, entv.

01.03 – mohamed hassaine, paris républicain, disparu à hammadi.

12.03 – hassan benaouda, entv.

19.03 – yahia benzaghou, aps, cellule communication de premier ministre.

21.03 – abdelmadjid yacef, photographe l’hebdo libéré.

21.03 – rachid bendahou, l’hebdo libéré.

13.04 – mohamed meceffeuk, el watan.

07.06 – ferhat cherkit, el moudjahid.

07.06 – hichem guenifi, radio enrs.

11.07 – yasmina drissi, le soir d’algérie.

20.07 – mohamed lemine legoui, aps à bousâada.

17.09 – leïd-ali ait el-hara radio

26.09 – mouloud baroudi, photographe anaf à tipaza.

26.09 – smail sbaghdi, aps.

12.10 – lehcene bensaadalleh, directeur de el irchad.

16.10 – tayeb bouterfif, radio.

19.10 – farah ziane, rédacteur-en-chef de révolution africaine, à blida.

27.10 – mohamed-saleh benachour, aps, à blida.

27.10 – kaddour bousselham, horizons, disparu à mascara.

30.11 – yasser el-akel el massa.

30.11 – nasser-eddine lekehal, el mass, à boufarik.

30.11 – ahmed issaad, radio, à boufarik.

03.12 – saïd mekbel, directeur de matin.

1995 

06.01 – zineddine aliou-saleh, liberté, à blida.

06.01 – ali aboud, radio chaîne 1.

13.01 – abdelmadjid yahiaoui, echaâb.

01.02 – nacer ouari, entv.

17.02 – djameleddine zaiter, el djoumhouria, à gdyel.

01.03 – mahmoud ouarhoum, aps.

20.03 – rachida hammadi, entv, mourra de ses blessures

le 31. 20.03 – houria hammadi, entv, soeur de rachida, meurt sur le coup.

21.03 – ali boukherbache, el-djoumhouria, directeur de media tv.

27.03 – mohamed abderrahmani, directeur el-moujahid.

03.04 – makhlouf boukhezar, entv, à constantine.

15.05 – azzedine saidj, el ouma.

21.05 – bakhti benaouda, indépendant, écrivain, à oran.

21.05 – malika sabour, echourouk el arabi.

27.05 – mourad hemazi, entv.

18.06 – ahmed takouchet, radio cirta.

02.08 – naïma hamouda, révolution africaine.

21.08 – ameur ouagueni, le matin.

03.09 – saïd tazrout, le matin, à tizi ouzou.

04.09 – brahim guerroui, caricaturiste, el moujahid.

04.09 – yasmine brick, radio chaîne 1.

08.09 – radja brahimi, entv, à dellys.

08.09 – said brahimi, entv, à dellys.

09.09 – rabah lelleli, entv.

15.10 – abdelwahab saadaoui, echaâb.

15.10 – ahmed bouguerra.

16.10 – saida djebaili, el hayat el arabi.

16.10 – ahmed mustapha lezhar, el hayat el arabi.

18.10 – mohamled fettah, entv.

20.10 – nourredine serdouk, liberté.

29.10 – khaled guerdjouma.

03.11 – omar ourtilene, rédacteur-en-chef el-khabar.

04.11 – ahmed khalfoun, aps.

02.12 – hamid mahiout, liberté.

02.12 – hamidou benkherfelleh, liberté.

05.12 – khedidja dahmani, echourouk el arabi.

14.12 – abdelkrim bendaoud, entv.

20.12 – mohamed belkessam, chef de prodection entv.

23.12 – khaled merioud, réalisateur entv. -?.–?- taleb aden, indépendant.

1996 

12.01 – mohamed mekati, el moudjahid.

14.01 – khaled aboulkacem, l’indépendant.

10.02 – abdalleh bouhachek, révolution et travail, à blida.

11.02 – alleoua ait-mebarek, dir. de le rédaction le soir d’algérie.

11.02 – mohamed dorbane, le soir d’algérie.

11.02 – djamel deraza, le soir d’algérie.

11.02 – naïma illoul, entv.

17.02 – achour belghezli, le pays, à tizi ouzou.

17.02 – dalile drideche, le pays, à tizi ouzou.

27.02 – mourad taam, radio.

29.02 – belkacem saadi, entv constantine, à skikda.

04.03 – slim tria, radio.

12.03 – djileli arabdiou, photographe algérie-actualités.

30.03 – yahia amour, entv. 10.04 – el hadi slim, entv.

24.04 – djamel bouchibi, el-moudjahid.

26.07 – farida bouziane, le pays, à draâ ben khedda.

27.07 – boualem touari, entv.

11.08 – mohamed kessab, radio coran et radio-mitidja.

15.10 – mokrane hamoui, directeur commercial echourouk el-arabi.

26.12 – boussaâd abdiche, el moudjahid.

1997 

10.01 – messaoud bellech, el moudjahid.

07.02 – si-ali reguieg, entv.

01.06 – abdelwahab harrouche, el moudjahid.

20.08 – ali tenkhi, entv.

31.08 – zoubida berkane, entv.

journalistes algériens disparus 

1995 

08.03 – djamel-eddine fahassi, radio.

1997 

12.04 – aziz bouabdalleh el alem essiyassi.

journalistes étrangers 

1994 

01.02 – olivier quemeneur, afp, a été tué dans le casbah. Le même jour, yves menari et l’australien scott alle.

A lire aussi>>> De faux réfugiés algériens infiltrés au Royaume-Uni. Révocation, fin du statut de réfugié
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