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Voici les personnalités marocaines les plus médiatisées en Algérie... L’obsession marocaine comme diversion nationale... |Dossier|

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Depuis plusieurs années, les grands organes de presse publics et para-publics algériens — El Moudjahid, Ennahar, TSA, Echourouk ou encore Algérie 360 — consacrent leurs unes et leurs plateaux non pas à la crise économique, à la sécheresse ou aux tensions sociales qui minent le pays, mais au… Maroc.

Dans une campagne aussi calomnieuse que ridicule, les médias "Vert -Kaki" à l’ordre et sous perfusion militaire s’attaquent à des hommes dont les réalisations parlent d’elles-mêmes, éclipsant les maigres ambitions de leurs maîtres séniles. Retour sur une énième tentative désespérée de rabaisser l’inébranlable leadership marocain.

Voici un classement des personnalités les plus médiatisées:
Abdellatif Hammouchi: la cible de L'échec de la junte militaire algérienne à ternir l'image du Royaume et à le déstabiliser
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Il est des hommes dont le nom n’a pas besoin d’écho pour imposer le respect. Abdellatif Hammouchi est de ceux-là. Dans l’ombre, il veille, ferme les brèches invisibles, maintient l’ordre là où le chaos pourrait surgir, porte la confiance du Roi et la sécurité des citoyens sur ses épaules. Son visage est discret, sa parole rare, mais son action, elle, soutient la nation.

Il ne cherche ni la lumière ni la reconnaissance, il agit, il protège, il incarne la vigilance de l’État là où l’insécurité rôde, là où la menace se tapit, là où la stabilité du Maroc se joue. Mais comme souvent, ceux qui veillent dans le silence deviennent des cibles bruyantes.

Madrid honore Abdellatif Hammouchi pour son rôle clé dans la coopération sécuritaire maroco-espagnole
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Le ministre espagnol de l’Intérieur, Fernando Grande-Marlaska, a présidé, mardi à Madrid, la cérémonie officielle de remise de la Grand-Croix de l’Ordre du Mérite de la Garde civile au Directeur général de la Sûreté nationale et de la Surveillance du territoire, Abdellatif Hammouchi.

Cette distinction, la plus élevée décernée par la Garde civile à une personnalité étrangère, consacre la qualité du partenariat sécuritaire entre le Maroc et l’Espagne, ainsi que l’engagement constant du responsable marocain pour la consolidation de la coopération bilatérale dans la lutte contre le terrorisme et le crime organisé.

Lors de la cérémonie, à laquelle ont pris part la Directrice générale de la Garde civile, Mercedes González Fernández, et plusieurs hauts responsables des deux pays, M. Grande-Marlaska a salué les “efforts exceptionnels” de M. Hammouchi pour la modernisation des services de la Sûreté nationale et de la Surveillance du territoire, soulignant que le Maroc s’impose désormais comme un modèle international en matière de sécurité et de prévention des menaces.

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Le ministre espagnol a ajouté que cette reconnaissance traduit la confiance mutuelle entre les deux Royaumes et leur volonté de renforcer leur coopération dans la perspective de la Coupe du Monde 2030, qui constituera, selon lui, un moment fort de rapprochement entre le Maroc et l’Espagne.

Les responsables de la Garde civile ont, pour leur part, mis en avant la coopération exemplaire entre leur institution et le pôle DGSN-DGST, notamment dans les opérations conjointes contre les réseaux criminels transnationaux et les menaces sécuritaires communes.

En marge de la cérémonie, M. Hammouchi a eu des entretiens avec plusieurs responsables espagnols pour examiner les moyens de renforcer la coordination dans la lutte contre le terrorisme, la traite des êtres humains, le trafic de drogues et la cybercriminalité.

Cette nouvelle distinction s’ajoute à une série de reconnaissances nationales et internationales attribuées au Directeur général de la DGSN et de la DGST, notamment en France, dans le monde arabe et au Maroc, saluant son rôle central dans la construction d’une coopération sécuritaire solide et respectée à l’échelle mondiale.

Au Maroc on ne badine pas avec la sécurité des Marocains
La sécurité du pays est une priorité absolue et ne doit pas être prise à la légère. Les autorités marocaines mettent un accent particulier sur la sécurité nationale pour protéger les citoyens.
Les assoiffés de chair et de sang👹 activent le "Plan B" 💣

Quand l’Algérie ne fait pas l’apologie du terrorisme au Maroc, c’est la révolution qu’elle voudrait y provoquer. Le polisario, la bras armé d’Alger, ne semble pas échapper à la règle puisque l’un de ses responsables a affirmé que les entreprises, compagnies aériennes et les consulats étrangers basés dans les provinces du sud marocain « sont des cibles potentielles d’attaques armées » du polisario.

Le polisario qui publie presque quotidiennement des communiqués de guerre et qui s’est retiré unilatéralement du cessez-le-feu après que certains de ses éléments aient mené des actes de piraterie et avaient bloqué le seul passage reliant le Maroc à la Mauritanie pendant presque un mois en 2020, assume avec assurance sa nature terroriste dans un entretien de Mohamed El Ouali Akik au journal britannique The Economist.

« Une attaque plus profonde doit être lancée sur le territoire marocain », a-t-il menacé, en affirmant qu’il s’agit « plus que d’une simple possibilité ».

Face à ces agressions verbales et ces graves menaces explicites de mener des actes terroristes au Maroc et contre des représentations étrangères ainsi que des groupes privés, le gouvernement algérien n’a pas réagi, dévoilant ainsi sa complicité dans les faits.

Ces menaces ne comptent pas rester sans conséquences puisqu’un groupe de citoyens marocains a saisi Interpol pour ces menaces.

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Abdellatif Hammouchi: la cible de L'échec de la junte militaire algérienne à ternir l'image du Royaume et à le déstabiliser

Une campagne de désinformation, imputée à la junte algérienne et à ses relais, vise Abdellatif Hammouchi à travers rumeurs et calomnies.

Les médias algériens semblent incapables de combler leurs vides éditoriaux autrement qu’en attaquant le Maroc et ses figures emblématiques. Cette fois, la cible est Abdellatif Hammouchi, directeur général de la Sûreté nationale et de la Surveillance du territoire, devenu au fil des années un symbole de stabilité et de professionnalisme pour le Royaume sur la scène internationale. Les campagnes orchestrées contre lui ont été qualifiées par la célèbre écrivaine française France Koul de « misérables » et « indignes », truffées de mensonges et révélant avant tout l’incapacité du régime militaire algérien à encaisser les succès diplomatiques et sécuritaires du Maroc.Aujourd’hui, Hammouchi est visé par une offensive médiatique orchestrée, depuis l’étranger, plus précisément par la junte militaire algérienne et ses relais bien huilés à l’extérieur comme à l’intérieur. Ce n’est pas un débat qu’ils veulent soulever, c’est une guerre. Une guerre de l’ombre, une guerre contre le Maroc. On l’aura compris, des forces étrangères à nos valeurs, obsédées par nos failles imaginaires, tentent de briser ce qui ne peut être brisé : l’intégrité, la loyauté, l’honneur.

Bien évidemment, ces attaques ne tombent pas du ciel. Elles sont préméditées, stratégiques, méthodiques. On fabrique des récits, on répand des rumeurs, on invente des conspirations. On s’imagine qu’en faisant vaciller une figure, on pourra fissurer l’Institution. Mais derrière Hammouchi, il y a plus qu’un homme, il y a la DGSN, la DGST, l’appareil sécuritaire tout entier. Et derrière cet appareil, il y a l’État. Le Royaume.

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Or qui peut encore prêter foi à ces accusations infondées ? Qui peut relayer des rumeurs et des insinuations sans preuve, prétendant dévoiler des complots fabriqués de toutes pièces? Jabaroot… Derrière ce mot se cache une mécanique de la calomnie. Pas de faits, pas de preuves, rien que du poison. Il n’y a que la haine servie froide, le venin distillé avec patience, et l’art calculé de semer le doute là où règne la fidélité. C’est la rage des envieux, la patience des ennemis et la tactique de la manipulation. Une arme psychologique, une opération de guerre informationnelle, du sabotage à peine maquillé.

Mais qu’on ne s’y trompe pas. Jabaroot n’est pas la vérité tombée du ciel. C’est une arme de guerre psychologique, maniée dans l’ombre pour diviser et déstabiliser. Alors qui tire ces fils invisibles ? Qui sont ces ennemis qui vivent parmi nous, qui parlent notre langue mais qui ignorent l’amour de notre terre ? Ceux-là qui prétendent dénoncer, ne font que cracher leur poison sur l’Institution qui garantit notre sécurité, et, par extension, sur le Roi et sur le Maroc lui-même. Sauf que le Maroc n’est pas dupe. Le citoyen marocain, aujourd’hui, plus éveillé que jamais, sait reconnaître une campagne de haine. Il sait que derrière les attaques contre Hammouchi, c’est la confiance dans nos institutions qu’on vise. C’est le lien entre le peuple et le Roi qu’on cherche à fracturer. C’est la sécurité du pays qu’on veut ébranler.

Ils oublient que Hammouchi n’est pas seul. Il est l’incarnation d’une mission sacrée, celle de protéger la patrie. Ces attaques ne visent donc pas seulement un homme, elles ciblent un symbole, une Institution et, par extension, le Royaume tout entier. Elles s’attaquent à cette machine silencieuse et rigoureuse qui veille sur nos frontières, sur nos villes, sur nos citoyens. Ceux qui l’attaquent s’en prennent à la muraille, à l’un des remparts du pays. S’attaquer à Hammouchi, c’est vouloir ébranler la confiance que Sa Majesté porte à ses institutions, ciment de notre stabilité nationale. De fait, les accusations « trahison, divulgation de secrets » ne sont que fumée, illusions brandies pour affoler, diviser, fragiliser, salir. Mais la vérité est droite, simple, nue. Compétence, fidélité, rigueur n’ont besoin d’aucune justification.

Ces campagnes utilisent ainsi la rumeur comme projectile, la peur comme levier et le sensationnalisme comme moteur. Mais elles échouent face à la réalité : un État solide, une armature sécuritaire intègre et un peuple capable de reconnaître le dévouement et la compétence. Derrière le masque des accusations, il y a la manipulation, il y a la haine, il y a l’illusion d’une faille dans l’édifice marocain.

Alors assez de faux-semblants. Mettons les mots là où la lâcheté préfère les sous-entendus. Nos services de renseignement ne sont pas des spectres tapis dans l’ombre. Ils sont la colonne vertébrale de la stabilité. Ils sont ce rempart silencieux qui protège, nuit et jour, sans réclamer de lumière ni d’applaudissements. Il est essentiel de rappeler que nos services de renseignement et de sécurité ne sont pas des entités isolées. Le rôle des services marocains est clair et sacré : protéger le Royaume et ses citoyens. Dénigrer ces femmes et ces hommes c’est attiser les braises de la discorde nationale pour servir des agendas étrangers ou satisfaire de pathétiques vanités personnelles.

Il ne s’agit donc plus seulement de Hammouchi mais du Maroc, de son appareil sécuritaire, de sa souveraineté. Quand les ennemis s’attaquent à lui, ce n’est pas un fonctionnaire qu’ils visent mais plutôt l’équilibre du Royaume. Et derrière les rumeurs, il n’y a que ça : une guerre sourde, une guerre qui se fait avec des hashtags, des pseudo-révélations, et des vidéos trafiquées.

Mais que ceux qui orchestrent ces basses manœuvres retiennent ceci : le Maroc ne tremble pas. Il ne cède pas à la peur. Il ne plie pas sous le bruit. Il ne se laisse pas distraire par les aboiements de ceux qui, de loin, rêvent de voir tomber ce qui les dépasse. Le citoyen marocain n’est pas dupe. Il sait lire entre les lignes. Il sait que derrière ces attaques se cache une stratégie rodée, celle de semer la confusion, faire vaciller la confiance, fragiliser l’Institution, pour mieux affaiblir le socle même du pays. Or ce socle, c’est Dieu, la Patrie, le Roi. Ce ne sont pas que des mots mais des fondations, des serments. Et tant qu’ils tiendront, aucune campagne, aussi sale soit-elle, ne pourra fissurer le Royaume.

Abdellatif Hammouchi est ciblé parce qu’il dérange, parce qu’il fait son travail, parce qu’il déracine les réseaux qui vivent du désordre, parce qu’il incarne cette ligne de défense qui ne se courbe jamais. Aussi n’a-t-il pas besoin de se justifier. Son bilan parle pour lui. Son efficacité irrite ceux qui veulent voir le Maroc à genoux. Le message est donc clair et nous ne nous tairons pas. Nous ne céderons pas. Nous défendrons jusqu’au bout ceux qui nous protègent. Défendre Hammouchi et ses services, ce n’est pas défendre un homme, c’est défendre la souveraineté d’un État, la dignité d’un peuple, la Vision d’un Roi. Résister à la désinformation, c’est affirmer notre force collective et notre fidélité à la patrie. Car quand la vérité est attaquée, elle n’a pas besoin de se justifier. Elle se tient droite, elle regarde l’ennemi en face et elle avance.

Oui, le Maroc est fort. Fort de son Roi visionnaire, fort de ses institutions solides, fort de ses citoyens qui refusent la peur et l’intimidation. De facto, les ennemis du Royaume peuvent multiplier les rumeurs, les campagnes de haine et les calomnies. Ils peuvent inventer des histoires, attribuer des intentions et créer des fantômes là où il n’y a que loyauté et compétence. Toutefois, ils ne pourront jamais effacer ce que les Marocains savent et ressentent : le Maroc protège ses fils fidèles, et ces fils fidèles protègent le Maroc.

On n’a donc pas besoin de rappeler qu’Abdellatif Hammouchi n’est pas seulement un haut fonctionnaire. Il est la figure d’un engagement, d’une fidélité et d’une compétence reconnue, même par ceux qui, de l’étranger, cherchent à ébranler le Maroc. Et tant que cet engagement perdurera, aucune rumeur, aucune campagne de haine ne pourra altérer l’image d’intégrité et de dévouement qui lui colle à la peau, ni celle de l’Institution qu’il représente avec loyauté.

Le mot de la fin est que le Maroc ne s’agenouille pas. Il ne se justifie pas devant ceux qui complotent dans l’ombre. Bien sûr que non, il avance, il se renforce, il veille. Et tant que des hommes comme Hammouchi seront là pour le défendre, aucune rumeur, aucune haine, aucune calomnie ne viendra entacher l’honneur du Royaume. Dieu, la Patrie, le Roi ne sont pas de simples mots, ce sont les piliers sur lesquels reposent la stabilité, la sécurité et la prospérité du pays. Et tant que ces piliers tiennent, aucune tempête de mensonges ne pourra ébranler le Royaume.

Le Maroc ne cède pas à la peur. Le Maroc ne cède pas à la désinformation. Le Maroc avance, guidé par la sagesse de son Roi et la fidélité de ses institutions.

Plusieurs plans machiavéliques dressés contre nous!!

Les complots élaborés par les ennemis du Royaume sont systématiquement déjoués...

Terfès utilisé comme prétexte pour détruire Fès?
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Les investigations menées par le Bureau central d’investigations judiciaires ont permis de localiser une cache d’armes dans une zone isolée d’Errachidia, près de l’Oued Guir. Les recherches ont abouti à la découverte de fusils d’assaut et de chasse, de pistolets et d’une grande quantité de munitions, dissimulés dans des sacs en plastique et des journaux maliens. Ces armes étaient destinées à des actes terroristes que devait mener le réseau affilié à Daech au Sahel, démantelé hier mercredi par les services marocains

Les investigations et enquêtes menées par le Bureau central d’investigations judiciaires, relevant de la Direction générale de la surveillance du territoire, dans le cadre de l’enquête en cours sur le démantèlement d’un réseau terroriste affiliée à l’organisation Daech dans la région du Sahel, ont permis de recueillir des informations de terrain, renforcées par des données techniques, concernant une zone montagneuse suspectée d’être utilisée comme base arrière pour le soutien logistique en armes et en munitions destinées aux membres de ce réseau, en vue de l’exécution de leurs projets terroristes, indique un communiqué du pôle DGSN-DGST.

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L’expertise technique et la localisation par satellite, réalisées à l’aide des coordonnées et des données géographiques saisies dans le cadre de l’enquête, ont permis d’identifier la zone suspecte dans la province d’Errachidia, plus précisément sur la rive orientale de l’Oued Guir, au niveau de «Tel Mzil», dans la commune et circonscription de «Oued N’aam», située dans la région de Boudenib, à la frontière orientale du Royaume.

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Les inspections de terrain et les opérations de cartographie ont révélé que la zone suspecte se trouve au pied d’un relief rocheux difficile d’accès en raison de sentiers escarpés non aménagés. Cette situation a nécessité le déploiement de moyens logistiques adaptés afin de faciliter l’accès au site et de mener les fouilles nécessaires ainsi que les enquêtes préliminaires requises.

Conformément au protocole de sécurité et de sûreté applicable aux menaces terroristes, en particulier dans les endroits suspectés de contenir des armes et des matières explosives, le BCIJ a mobilisé des unités cynophiles spécialisées dans la détection d’explosifs, des dispositifs de détection de métaux, un appareil d’analyse et d’identification des substances suspectes, des robots de détection d’engins explosifs ainsi qu’un système de balayage par rayons X.

Les opérations de fouille et de ratissage, qui ont duré environ trois heures, ont permis de découvrir une cargaison d’armes et de munitions enfouie dans un endroit isolé au pied du relief rocheux. Les armes étaient emballées dans des sacs en plastique et des journaux imprimés au Mali, parmi lesquels figuraient des hebdomadaires datés du 27 janvier 2025.

Les armes saisies dans le cadre de cette opération comprennent deux fusils d’assaut Kalachnikov avec deux chargeurs, deux fusils de chasse, dix pistolets de différents calibres ainsi qu’une importante quantité de cartouches et de munitions de divers calibres.

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L’ensemble des armes et munitions saisies a été placé sous scellés et inventorié de manière détaillée, en vue de leur transmission au laboratoire national de la police scientifique pour être soumis aux expertises balistiques et techniques nécessaires, lit-on.

Les investigations menées jusqu’à cette phase de l’enquête indiquent que les armes et équipements saisis ont été fournis et expédiés par un haut responsable de Daech dans la région du Sahel, chargé des relations extérieures, via des réseaux et circuits de contrebande illégaux.

Après avoir sécurisé l’acheminement des armes et munitions et assuré leur dissimulation dans cette base arrière logistique, le dirigeant de Daech a transmis les coordonnées du lieu à l’équipe des «coordonnateurs» du réseau terroriste démantelé hier, mercredi, afin qu’ils s’y rendent pour les récupérer et les utiliser dans l’exécution de leurs projets terroristes.

Parallèlement à ces opérations de terrain, les enquêtes et investigations menées par le Bureau central d’investigations judiciaires se poursuivent sous la supervision du parquet compétent, afin de dévoiler toutes les ramifications de ce réseau terroriste et d’identifier ses liens avec la branche africaine de Daech dans la région du Sahel, conclut le communiqué. Lire la suite>> https://manage.wix.com/dashboard/5fa1244e-ed3a-42d3-8ca3-4cd1a30a3ac9/blog/0d74adee-0339-4ffa-ac41-0b85b5f0ca04/edit

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Faouzi Lekjaa, "L'ennemi classique" de l'Algérie

Ce n’est pas que demain l’Algérie des caporaux va renoncer à ses attaques directes contre le Maroc et ses intérêts. Et au rayon sport, leur « ennemi classique » s’appelle Faouzi Lekjaa.

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Sans surprise, le classement des personnalités les plus visibles dans les médias est dominé par Fouzi Lekjaa est toujours dans la ligne de mire des médias algériens.

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Apparemment, les éternels perdants de la propagande algérienne ont encore trouvé leur cible préférée : le Maroc, bien sûr, et cette fois-ci, son brillant représentant sportif et financier, Fouzi Lekjaa.

Selon la première salve d’inepties relayée par certains médias algériens caresseurs dans le sens du poli, Lekjaa serait au centre de manœuvres obscures au sein de la CAF et de la FIFA. Rien de moins. Sans preuves, sans faits, mais avec une bonne dose d’imagination fertile, ces organes de propagande présentent l’homme d’État marocain comme un manipulateur, prétendument impliqué dans des « jeux d’influence ». À les écouter, Fouzi Lekjaa passerait son temps à tirer des ficelles invisibles pour affaiblir l’Algérie sur la scène sportive.

L’ironie dans cette histoire? L’Algérie n’a pas besoin de Lekjaa pour plomber son propre football. Entre une gestion catastrophique de ses clubs, une équipe nationale aux ambitions hypothétiques et des infrastructures qui s’effondrent plus vite que leurs slogans, la réalité suffit à illustrer leur déclin. Alors pourquoi chercher un bouc émissaire ? Peut-être pour détourner l’attention de leurs propres échecs.

Football et junte militaire algérienne, les liaisons dangereuses
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Dans une autre version plus fantastique, ces mêmes médias accusent Lekjaa de monopoliser le pouvoir au sein des instances sportives africaines et internationales. Sa proximité avec les dirigeants de la FIFA et de la CAF, loin d’être un atout pour l’Afrique, serait vue comme une menace. Évidemment, ces accusations viennent d’un pays qui n’a jamais réussi à obtenir la moindre crédibilité dans ces instances, faute de stratégie ou de compétence.

Ce qui dérange vraiment, c’est que Lekjaa, par son sérieux et son travail acharné, place le Maroc et l’Afrique au centre des débats internationaux. Grâce à lui, le Maroc est désormais un acteur incontournable du football mondial, avec des projets ambitieux comme la CAN 2025, la co-organisation de la Coupe du Monde 2030 et une fédération nationale qui sert de modèle. Pendant ce temps, l’Algérie continue d’essayer de redorer son blason avec des accusations à tort et à travers qui ne convainquent personne sinon eux, en bons loseurs.

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Nasser Bourita, «Moul lmqess» («L’homme aux ciseaux»)
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M. Nasser Bourita a été nommé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Que Dieu L’assiste, en tant que Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, le 5 avril 2017.

Sa Majesté le Roi lui a renouvelé Sa confiance le 09 octobre 2019, en le nommant Ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’Étranger et l'a renommé. M. Nasser Bourita a été reconduit à son poste par Sa Majesté le Roi Mohammed VI le 7 octobre 2021.

  • Formation

Né en 1969 à Taounate, M. Nasser Bourita est lauréat de la faculté des Sciences juridiques, économiques et sociales de Rabat, où il a obtenu une licence en droit en 1991, puis un Certificat d'études supérieures en Relations internationales en 1993 et un Diplôme d’Etudes Supérieures en Droit international public en 1995.

  • Carrière

Diplomate de carrière, M. Nasser Bourita a gravi tous les échelons diplomatiques. Après des années au service central à Rabat, il a servi aux Ambassades du Maroc à Vienne et à Bruxelles. Il a évolué dans les postes de responsabilité au sein du Ministère, de Chef du Service des Organes principaux des Nations Unies, à Chef de la Division des Nations Unies (2003-2006), puis Directeur des Nations Unies et des Organisations Internationales (2006-2009). M. Bourita a été, par la suite, successivement, Chef du Cabinet du Ministre des Affaires étrangères, puis Ambassadeur, Directeur Général des Relations multilatérales et de la Coopération Globale. En 2011, il a été nommé Secrétaire Général du Ministère des Affaires étrangères et de la Coopération ; une responsabilité qu’il a assumée jusqu’à sa nomination, le 6 février 2016, par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Que Dieu L’assiste, au poste de Ministre Délégué auprès du Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale.

«Moul lmqess» («L’homme aux ciseaux») est emblématique à la fois du nombre d’inaugurations de consulats au Sahara, et de l’aspect tranchant du chef de la diplomatie marocaine, qui a porté les coups les plus durs au Polisario et à son parrain algérien, depuis le début du conflit du Sahara.

Nasser Bourita est l'élément déterminant de la politique étrangère volontariste du royaume alaouite ; avec ses bonnes pratiques, sa prudence et sa conscience, le MAE représente la nouvelle doctrine diplomatique lancée par Mohammed VI

Sous l'impulsion du roi Mohammed VI lui-même, la diplomatie marocaine, qui est la première image officielle du pays à l'étranger, vise à entretenir des relations fructueuses et coopératives avec les différents partenaires stratégiques du Maroc en Europe, en Afrique, en Asie et dans les deux Amériques.

C'est exactement la mission qu'assume Nasser Bourita dans la poursuite du maintien de la paix, de la stabilité et de la réalisation de la prospérité et du développement durable pour son pays, ses voisins et l'espace international en général. A cet égard, le marché diplomatique est un secteur clé pour le Maroc en tant que pays aux grandes ambitions internationales.

En charge d'une diplomatie formelle proactive et rationnelle, Bourita défend et négocie la cause numéro un du Royaume : l'intégrité du territoire national en suscitant davantage de soutien au plan d'autonomie sous souveraineté marocaine proposé par le Maroc comme solution durable et pacifique au différend du Sahara occidental.

Bourita: le diplomate assidu du service extérieur

Nasser Bourita est considéré comme un pur produit du service extérieur, où il a perfectionné ses compétences diplomatiques et accumulé de l'expérience dans le domaine des relations internationales et des affaires étrangères.

Bourita a appris auprès des professionnels de la diplomatie formelle marocaine qui ont excellé tout au long de l'histoire du Royaume, ainsi que de ses contacts permanents avec le corps diplomatique étranger, d'une part, et le Cabinet royal, d'autre part.

Diplomate de carrière, Nasser Bourita a franchi tous les échelons diplomatiques avant d'occuper, en 2017, le poste de ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger.

Après un parcours professionnel distingué et des postes diplomatiques successifs, Nasser Bourita a réussi à regagner la confiance du Roi en 2019 pour continuer à défendre les intérêts du pays :

  • Le Service Central à Rabat.

  • L'ambassade du Maroc à Vienne.

  • L'ambassade du Maroc à Bruxelles.

  • Chef du service des organes principaux des Nations unies au MAE.

  • Chef de la division des Nations unies.

  • Directeur des Nations unies et des organisations internationales.

  • Chef de cabinet du ministre des affaires étrangères.

  • Ambassadeur, directeur général des relations multilatérales et de la coopération mondiale.

  • Secrétaire général du ministère.

  • Ministre délégué auprès du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale.

Ce diplomate de 50 ans est connu pour traduire la politique étrangère du roi Mohammed VI dans ses actions et ses décisions. Tout au long de sa carrière au ministère des Affaires étrangères, il a fait preuve d'une compétence, d'une aptitude et d'un talent diplomatique qui ont fait de lui le deuxième archétype de la diplomatie marocaine.

Ce résultat n'est pas le fruit du hasard, mais celui de la volonté forte, de l'énergie renouvelable et de la disponibilité d'un "bosseur" qui a accumulé l'expertise dans les directions et les ambassades et qui continue à respecter la tradition et les usages de la profession diplomatique tout en gardant toute la souplesse nécessaire pour s'adapter à la complexité de l'époque.

Méthode diplomatique par objectifs basée sur une vision réelle

L'approche par objectifs est la méthode que l'actuel MAE a proposé d'adopter lorsqu'il était secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, afin de travailler de manière réfléchie, ciblée et organisée, sans rien laisser au hasard.

Dans le cadre d'une diplomatie moderne, Nasser Bourita, responsable d'une institution ministérielle dont l'objectif est de servir de vigie à l'action extérieure de l'Etat, opte pour une gestion basée sur la planification stratégique afin d'établir des objectifs clairs et mesurables qui s'inscrivent dans une véritable vision à court, moyen et long terme.

L'action diplomatique du MAE s'appuie principalement sur la vision et les orientations stratégiques du souverain alaouite et sur l'appui et les recommandations du conseiller royal et ancien ministre des Affaires étrangères, Tayeb Fasi Fihri, ainsi que du conseiller principal du cabinet royal, Fouad Ali El Himma.

Bourita, selon ces instructions, évalue habituellement le travail diplomatique et mesure le succès de chacune des mesures et décisions prises lors du traitement des dossiers ou du règlement des questions, en fonction des priorités.

"Persévérance, rigueur et équilibre", telle est la marque d'un patron exigeant qui valorise le travail de son équipe et qui compte des jeunes dans son cabinet et des profils plus expérimentés dans les directions.

La nouvelle génération de la compétence et de la méritocratie

Fort d'une longue carrière diplomatique, Nasser Bourita a pu accéder au poste de ministre des Affaires étrangères en étant l'homme qu'il fallait à la place qu'il fallait. Visage public de la nouvelle diplomatie marocaine initiée par le roi Mohammed VI, Bourita a scellé l'ère de la compétence et de la méritocratie sur le marché diplomatique du pays.

Ses réalisations et ses performances au cours des dernières années ont fait de lui un personnage public marocain digne de la fierté nationale après le retour du Maroc au sein de l'Union africaine, la reconnaissance américaine, israélienne, espagnole et française de la souveraineté du Maroc sur le Sahara et l'ouverture d'une série de consulats dans les territoires du sud.

Né en 1969 à Taunat, Nasser Bourita est le troisième enfant d'une famille de cinq enfants. Il a grandi dans le quartier populaire de Yaacoub El Mansour et a suivi ses études primaires et secondaires à l'école publique.

Après avoir obtenu sa licence en droit en 1991 à la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales de Rabat, le jeune Nasser passe avec succès le concours d'entrée au ministère des Affaires étrangères. Pendant son année de formation à l'Académie marocaine des études diplomatiques, il est major de sa promotion et se rend à New York pour un stage aux Nations unies pendant l'été 1993.

Avec une approche terre-à-terre, Bourita, la plus importante figure diplomatique du Maroc, veille à la mise en œuvre de la nouvelle vision stratégique réelle en matière de politique étrangère et au bon fonctionnement de l'un des appareils les plus actifs de l'État.

Traiter correctement les besoins et les dossiers, en fonction de la priorité de chacune des tâches assignées, et savoir réagir rapidement aux demandes d'instructions émanant des ambassades et des directions, tel est le travail quotidien de Bourita. C'est une mission qui ne laisse pas de place à l'erreur et qui est menée à bien grâce à 90 % de transpiration et 10 % d'inspiration.

Bourita est un grand amateur de littérature, de philosophie et d'histoire, ainsi qu'un lecteur assidu d'articles sur des sujets aussi variés que la politique, la gestion, les rapports divers et l'actualité. Le diplomate marocain parle quatre langues (arabe, français, espagnol et anglais) et apprend l'allemand à la maison avec son épouse, diplômée en philologie allemande.

Les réalisations cumulées de Bourita depuis sa nomination

Le changement de la position de la communauté internationale sur la question du Sahara et l'acceptation du plan d'autonomie proposé par le Maroc comme une solution efficace et définitive au conflit a été l'un des principaux défis auxquels Bourita a été confronté depuis sa nomination en 2017 en tant que MAE du royaume alaouite.

Nasser Bourita s'est focalisé sur ce point clé de la politique étrangère marocaine, en consolidant la position du Maroc sur la scène internationale et sa présence en tant que leader en matière d'économie (banques, télécommunications, OCP), de politique (stabilisation du Sahel et accès de l'Afrique de l'Ouest à l'Atlantique), de religion (islam modéré), d'éducation (bourses d'études), d'aide humanitaire et de lutte contre le terrorisme sur le continent africain.

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Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger a réalisé de grandes avancées dans cette mission nationale au cours de sa carrière, faisant preuve d'une bonne gestion et d'une maîtrise de l'appareil diplomatique :

2017 : retour du Maroc au sein de l'Union africaine, après l'avoir quittée en 1984 en réaction à l'adhésion de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) à l'organisation.

2017 : l'adhésion du Maroc à l'initiative chinoise Belt and Road et la signature du plan bilatéral pour sa mise en œuvre en 2022.

2018 : rupture des relations diplomatiques entre le Maroc et l'Iran en raison du soutien du Hezbollah au Front Polisario.

2019 : la signature du partenariat de prospérité partagée euro-marocain pour la protection de l'environnement et la lutte contre le changement climatique et la coopération équilibrée en matière de mobilité et de migration. Un accord qui a été consolidé en 2022 avec le Partenariat vert pour la préservation de la biodiversité également.

2020 : le président Donald Trump a déclaré reconnaître la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental.

Depuis 2020, plusieurs consulats généraux ont été ouverts dans les provinces du sud du Maroc, avec 20 pays africains, arabes et américains, dont les États-Unis, dans les villes de Laayoune et Dakhla.

2020 : normalisation des relations entre le Maroc et Israël dans le cadre des accords d'Abraham. Toutefois, le pays nord-africain n'a jamais renoncé à son soutien à la population de Gaza en tant que fervent défenseur de la cause palestinienne, condamnant les actions israéliennes contre les civils dans la bande de Gaza.

2021 : l'Algérie rompt ses relations diplomatiques avec le Maroc, qui cherche toujours à améliorer ses relations avec son voisin oriental.

2022 : La réunion de la Coalition internationale contre Daesh, organisée à Marrakech en coordination avec les États-Unis, souligne la participation du pays à la lutte internationale contre le terrorisme.

2022 : le Maroc renoue ses relations bilatérales avec l'Espagne, qui avait reconnu l'initiative marocaine d'autonomie, présentée en 2007, comme la solution la plus sérieuse, la plus réaliste et la plus crédible au conflit du Sahara.

2023 : la signature d'accords économiques avec les Émirats arabes unis sur le transport, les infrastructures et la récupération du tremblement de terre d'Al Haouz témoigne de l'excellence des relations du Maroc avec les pays du Conseil de coopération du Golfe.

2024 : le Maroc prend la présidence du processus de Rabat sur la migration avec un roi considéré par l'Union africaine comme le leader thématique en matière de migration.

2024 : La France soutient le plan d'autonomie du Maroc pour résoudre le conflit du Sahara.

La Finlande considère le plan d'autonomie marocain comme une bonne base pour une solution définitive au différend régional sur le Sahara....

Le 31 octobre 2025 - un tournant historique pour le Sahara marocain: Le Maroc entre dans une nouvelle phase de son processus de consécration de la marocanité du Sahara. La Résolution 2797 du Conseil de sécurité de l’ONU reconnaît l’Initiative marocaine d’autonomie comme cadre principal pour le règlement du différend artificiel autour du Sahara, ouvrant la voie à une actualisation du Plan d’Autonomie. Le 31 octobre 2025 restera une date historique pour le Royaume. L’adoption par le Conseil de sécurité de la Résolution 2797 consacre le Plan d’autonomie marocain présenté en 2007 comme référence principale pour résoudre le conflit artificiel autour du Sahara marocain. Dans son discours, le Roi Mohammed VI a souligné qu’après cinquante ans de sacrifices, le Royaume entame «un nouveau chapitre victorieux» et que désormais «il y aura un avant et un après 31 octobre 2025».

L’hostilité algérienne n’est pas liée aux relations maroco-israéliennes
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La position de l’Algérie envers le Royaume ne se rapporte pas à notre relation avec Israël, a indiqué le ministre des affaires étrangères de la coopération Africaine et des Marocains Résidant à l’Etranger, Nasser Bourita, dans une déclaration à Independent Arabia, en marge des travaux du Sommet Arabe, cloturé, mercredi 2 novembre 2022.

En réponse à une question sur la prise de la position de l’Algérie envers la reprise des relations Maroco-israéliennes, Bourita a expliqué qu’il s’agit simplement d’un alibi et que ça aurait pu être crédible « si Alger avait agi de la même manière avec le Bahreïn, la Jordanie, les Emirats arabes unis ou encore l’Egypte, qui entretiennent des relations plus anciennes avec l’Etat Hébreu », ajoutant que « les frontières entre le Maroc et l’Algérie étaient fermées depuis 1994, soit il y a plus de 27 années ».

«On ne peut pas expliquer cette prise de position par des relations bilatérales entretenues avec Israël. D’autant que si l’Etat Palestinien a maintenu son ambassadeur au Maroc et n’a pas pris de position, l’Algérie serait-t-il plus engagée envers la cause Palestinienne que les Palestiniens eux même?», s’interroge le chef de la diplomatie marocaine.

Omar Hilale : Ode au défenseur inébranlable du Maroc à l’ONU
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Dans le tumulte imprévisible et souvent frénétique des relations internationales, où les déclarations résonnent avec intensité et les enjeux se tissent en arrière-plan, il est des hommes qui, par leur éloquence, leur fermeté et leur indéfectible engagement, demeurent des repères solides.

Ce qui ne l’empêche nullement d’être tranchant, cinglant, voire très agressif quand il le faut. Particulièrement quand, du côté de l’Organisation des Nations unies, la diplomatie algérienne se permet des errements et généralités douteux sur la question du Sahara marocain.

Ce Gadiri de 74 ans veille scrupuleusement à la défense des intérêts supérieurs du Royaume. Depuis fort longtemps. Il fut ambassadeur à Singapour, Nouvelle-Zélande, Australie et en Indonésie, mais aussi secrétaire général du ministère des Affaires étrangères entre 2005 et 2008.

En novembre 2008, il devint représentant du Maroc aux Nations unies à Genève. Six ans après, en 2014, il est nommé représentant permanent du Maroc aux Nations unies à New York.

Les subtilités de la diplomatie, il connait bien donc. Son patriotisme, son talent d’orateur, sa parfaite maîtrise du dossier du Sahara marocain et sa riche expérience dans la diplomatie, acquise tout au long de son parcours professionnel, en font un redoutable interlocuteur.

Dans les couloirs des Nations unies, Omar Hilale est l’épouvantail de la diplomatie algérienne. Il ne concède rien aux représentants algériens qui s’aventurent sur un terrain, celui du Sahara marocain, dont ils n’ont ni maîtrise ni connaissance profonde.

Le 11 mai courant à Sainte Lucie, ce diplomate chevronné a ainsi sèchement recadré le chef de la délégation algérienne au séminaire du C24, Nadir El Arabaoui, qui s’en est violemment pris à Bahiya Ghalla, vice-présidente de la région Dakhla-Oued Eddahab, qui a évoqué la situation des droits de l’Homme dans les camps de Tindouf, en Algérie.

Mieux encore, Hilale a donné une savante leçon d’histoire à l’ambassadeur d’Algérie à l’ONU, en réponse à cette tentative d’intimidation et aux mensonges sur la question du Sahara marocain.

«M. l'ambassadeur, vous avez raté une occasion de vous taire et vous avez raté votre première participation au C24», a-t-il lancé, tout en démontant l’argumentaire fallacieux du diplomate selon lequel l’Algérie a un soi-disant «statut d’observateur sur le dossier du Sahara marocain». Morceaux choisis.

⦁ «Je voudrais vous ramener à l'histoire, au cas où vous vous intéressez à l'histoire de votre pays ou si vous ignorez l'histoire de votre diplomatie : dans une lettre adressée par votre Représentant permanent à New York, le 19 novembre 1975 au Conseil de sécurité, il y est écrit noir sur blanc - qu’outre l'Espagne, en tant que puissance administrante, les parties concernées et intéressées dans l'affaire du Sahara occidental sont l'Algérie, le Maroc et la Mauritanie -. À l'époque, l’Algérie ne mentionnait même pas le polisario».

⦁ «Vous dites que vous n'êtes pas partie, pourquoi vous financez le +polisario+ ? Vous dites que vous n'êtes pas partie, pourquoi vous armez le +polisario+? Vous dites que vous n'êtes pas partie, pourquoi vous négociez au nom du +polisario+? Vous dites que vous n'êtes pas partie, pourquoi vous menez une campagne diplomatique et politique pour le +polisario+? Vous dites que vous n'êtes pas partie, pourquoi vous avez rappelé votre ambassadeur à Madrid parce qu'elle a pris position en faveur de l’Initiative d’autonomie ?

⦁ Vous dites que vous n'êtes pas partie, pourquoi vous menez des démarches auprès de chaque pays qui change de position sur le Sahara marocain ? Qui a combattu à Amgala ? Ce sont les soldats algériens qui ont été faits prisonniers…

Quand on fait face à Omar Hilale, mieux vaut avoir une parfaite maîtrise de son sujet.

Succès diplomatiques

Le pouvoir algérien est passablement irrité par la dynamique d’adhésion internationale au plan d’autonomie proposé par le Maroc comme seule et unique solution à ce différend régional. Un conflit artificiel qu’Alger entretient insidieusement depuis plus de 45 ans.

Mais aujourd’hui, plus que jamais, s’inscrivant dans un processus irréversible, il y a un soutien toujours beaucoup plus important à la marocanité du Sahara et à la légitimité des droits du Royaume sur ses provinces du Sud.

Au séminaire régional du C24 pour les Caraïbes, qui s’est tenu du 11 au 13 mai courant, plusieurs pays se sont ainsi mis en orbite pour faire cause commune avec le Maroc. Gambie, Sainte Lucie, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Côte d’Ivoire, Sierra Leone…, tous ont réitéré leur soutien au plan d’autonomie.

Ce soutien massif, qui vient s’ajouter à bien d’autres, agace Alger et le polisario, de plus en plus marginalisés sur la scène internationale.

Il est le reflet des victoires engrangées par la diplomatie marocaine depuis plusieurs mois, et dont l’un des principaux marqueurs aura été la reconnaissance par les Etats-Unis de la souveraineté pleine et entière du Maroc sur ses provinces du Sud.

Amérique, Europe, Asie, Afrique, la diplomatie marocaine scintille partout, quand celle de notre voisin est flétrie et décrédibilisée au fur et à mesure que la communauté internationale embrasse la vérité historique : la marocanité du Sahara. Comme le proclame toujours haut et fort Omar Hilale.

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Omar Hilale recadre un journaliste algérien
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Vidéo. « Merci habibi »: la réponse cinglante d’Omar Hilale à un journaliste algérien

L’ambassadeur et représentant permanent du Maroc auprès des Nations unies Omar Hilale a réservé une réponse cinglante à un journaliste algérien de Sky News Arabia.

« Pourquoi dans tous vos discours et interventions, vous accusez l’Algérie ? Même aujourd’hui, vous avez cité l’Algérie plus que le Front Polisario ». C’est la question posée par un journaliste algérien, travaillant pour la chaine de télévision émiratie Sky News Arabia, à Omar Hilale, lors d’une conférence de presse tenue jeudi à New York, après l’adoption, par le Conseil de sécurité d’une résolution prorogeant le mandat de la MINURSO d’une année.


« Sky News Arabia parle au nom de l’Algérie maintenant et la défend », a d’abord relevé l’ambassadeur et représentant permanent du Maroc auprès des Nations unies. « Pourquoi j’ai parlé de l’Algérie ? Parce que l’Algérie est le seul pays qui a créé le Polisario, l’a armé et l’a soutenu diplomatiquement (…) », a notamment riposté l’ambassadeur marocain, avant de conclure avec un « merci habibi ».

Messages d'Omar Hilale dans Saturday Report
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Invité de l'émission « Saturday Report » diffusée sur la chaîne américaine Newsmax TV, Omar Hilale, ambassadeur et représentant permanent du Maroc auprès des Nations unies, a procédé à une analyse détaillée et rigoureuse du tournant diplomatique que représente la résolution 2797 du Conseil de sécurité de l'ONU sur le Sahara.

Dans son entretien avec la journaliste Rita Cosby, M. Hilale a rappelé que le Maroc, qui avait été le premier pays à reconnaître l'indépendance des États-Unis à la fin du XVIIIe siècle, voit aujourd'hui Washington défendre sa souveraineté sur le Sahara au Conseil de sécurité.

Une dynamique inédite vers la réconciliation régionale

Le revirement diplomatique que représente la résolution 2797 sur le Sahara constitue, selon Omar Hilale, une dynamique que Rabat souhaite transformer, à partir de l'année prochaine, en levier de réconciliation régionale, en espérant la participation de l'Algérie.

Pour M. Hilale, cette reconnaissance, désormais consacrée par le vote du 31 octobre 2025 au Conseil de sécurité, a marqué une réorientation stratégique significative dans le traitement du dossier du Sahara. Il s'agit, selon lui, d'une étape qui doit ouvrir un nouvel horizon régional.

« Nous espérons qu'en 2026, l'Algérie tournera la page et reconnaîtra cette réalité », a ajouté Omar Hilale, appelant à une réconciliation maghrébine longtemps entravée par le conflit régional autour des provinces du sud du Royaume du Maroc.

La Journée de l'unité marocaine

Pour symboliser cette étape importante, le roi Mohammed VI a proclamé la « Journée de l'unité marocaine », qui sera célébrée chaque 31 octobre. À cet égard, M. Hilale considère cette décision comme le « couronnement de cinquante ans d'efforts diplomatiques, de patience stratégique et de développement économique sur le terrain ».

Hilale a souligné que la décision royale reflète également l'expression vivante du lien fort qui unit le peuple au trône dans sa relation avec « la cause sacrée du Sahara ». La réponse immédiate de la population, qui a spontanément envahi les rues de Laâyoune, Dakhla et Smara pour célébrer ce qu'elle perçoit comme une victoire nationale, en est la preuve. « Des milliers de Marocains ont exprimé leur joie dans les rues jusque tard dans la nuit », a ajouté Hilale.

Changement international mené par Trump

L'ambassadeur marocain a souligné le caractère unique des relations entre Rabat et Washington qui, deux siècles après la reconnaissance par le Maroc de l'indépendance des États-Unis, ont été, sous l'impulsion de Donald Trump, le premier pays à reconnaître la souveraineté du Maroc sur le Sahara.

Il a assuré que le rôle de Donald Trump restait central dans le revirement du 31 octobre dernier. Le président américain avait déjà reconnu en 2020 la souveraineté du Maroc sur le Sahara, un geste sans précédent qui, selon M. Hilale, « a brisé la confortable neutralité du Conseil de sécurité » et mis fin à une dynamique d'inaction.

« Trump a cru en la paix là où d'autres ne voyaient que des conflits, il a imposé une vision et déplacé les lignes », a déclaré Hilale, saluant son rôle dans la tentative de réconciliation entre Rabat et Alger et dans la volonté de permettre le retour des réfugiés sahraouis dans leurs villages, après des années passées dans les camps de Tindouf.

Dans ce contexte, le diplomate a publiquement invité Donald Trump à se rendre au Sahara marocain en 2026 à l'occasion de la prochaine Journée de l'unité. Cette invitation a été qualifiée par la presse marocaine de « diplomatique, mais aussi politique ».

Cette avancée diplomatique accélère la réconciliation

Le représentant permanent du Maroc auprès des Nations unies a souligné le caractère crucial du plan d'autonomie marocain, considéré comme la seule option sérieuse pour mettre fin à un conflit qui dure depuis des décennies.

M. Hilale a réaffirmé que « la France, le Royaume-Uni, l'Allemagne et plusieurs autres capitales occidentales avaient confirmé leur position sur le conflit du Sahara », adressant ainsi un message clair et direct de Rabat aux chancelleries qui hésitent encore : « venez voir par vous-mêmes ».

L'ambassadeur marocain les a invités à découvrir un Sahara en pleine transformation, avec des mégaprojets d'infrastructures, des investissements colossaux et une stabilité politique et sociale à toute épreuve. « Venez à El Aaioun, venez à Esmara. Vous verrez ce que signifie le développement pour la paix », a déclaré M. Hilale.

Parallèlement, le message le plus direct a été adressé à l'Algérie, le diplomate marocain exprimant l'espoir que l'année 2026 marque la fin du conflit et le début d'une réintégration du Maghreb, considéré aujourd'hui comme l'un des blocs régionaux les moins intégrés au monde.

« Face à ce différend qui, depuis des décennies, empêche tout rapprochement, nous avons fait notre part et l'histoire nous donne raison. Il est temps de reconstruire », a conclu Omar Hilale, transmettant un message caractérisé par la fermeté diplomatique et la lucidité géopolitique, dans l'attente qu'Alger réponde à l'appel.

La présence de Mohammed Gherrabi pourrait surprendre

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Dans un article publié par Jeune Afrique (ce 12 juillet 2022), intitulé "Algérie: quand l’APS mêle Jeune Afrique à d’obscurs complots" dans lequel "Jeune Afrique" met à nu l'agence de propagande officielle algérienne (APS). On connaît tous la suite... les autres articles sont des copier-coller.

"L’Agence Algérie Presse Service relaie de fausses informations sur notre média. Objectif : laisser entendre que Jeune Afrique nourrit le sombre dessein de nuire à l’Algérie." a martelé jeune Afrique

"Ce 11 juillet, dans un article titré «Le détenu Benhalima révèle les liens étroits entre le terroriste Boukhors et le Makhzen marocain», l’Agence officielle Algérie Presse Service (APS) se fait le relais de prétendus « aveux » de l’ex-caporal de l’armée algérienne Mohamed Benhalima, diffusés le soir même sur la chaîne nationale algérienne." lit-on dans l'article de Jeune Afrique.

Selon les aveux dictés par les renseignements algériens, Benhalima dit avoir dévoilé «la main du Makhzen»

En effet, l’Agence Algérienne de "Presse" a relayé de fausses informations sur ce média. Selon une transcription de ses propos faite par l’agence de propagande officielle algérienne (APS), «(Benhalima) a également dévoilé la relation qu’entretient le terroriste Amir Boukhors avec un journaliste marocain dénommé Ahmed Gharabi, travaillant pour le compte du journal « Jeune Afrique » et auteur d’un article à son sujet en janvier 2021, en plus des relations qu’il entretient avec des partis influentes (sic) en France, par le biais de son avocat juif qui, selon Benhalima, lui aurait demandé de payer 10 000 euros pour faciliter l’obtention de l’asile politique en France», peut on ainsi lire sur l’Agence de "presse" officielle.

"L’APS ne craint pas le ridicule en diffusant ce qu’il faut bien appeler une fake news caractérisée. Amir DZ n’est en contact avec aucun de nos journalistes et aucun journaliste marocain du nom d’Ahmed Gharabi n’a travaillé pour notre média. Il suffit, pour s’en convaincre, d’une recherche sur Google. Une tâche manifestement hors de portée des journalistes de l’APS.

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De même, une courte recherche aurait permis à nos confrères de constater qu’aucun article sur Amir DZ n’a été publié sur notre site en janvier 2021. Nous avons notamment évoqué le cas de ce blogueur dans un article de mars 2021, signé de notre journaliste Farid Alilat. Nous le repartageons ici." ajoute Jeune Afrique

Utilisons notre "quatrième pouvoir" pour donner une voix à ceux qui n'en ont pas.

Mohammed Gherrabi via (lafrique-adulte.com) dénonce avec force et méthodologie, les pratiques les plus sombres de la manipulation de l’information, utilisées par "Médias (vert-kaki) à la botte du pouvoir algérien" (Media in the service of power).

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Ce journaliste s'est fait connaître pour ses dénonciation du régime algérien, que ce soit par des articles, des prises de position publiques. Il a fait l’objet ces dernières années de violentes critiques, liées à ses prises de position très critiques vis-à-vis de la junte militaire algérienne

Sous forme de menaces, d’intimidations, diffamations... elles n’ont visé qu’à détruire sa réputation de journaliste et à le discréditer. Il est devenu ces dernières années l’un des contestataires pamphlétaires les plus suivis.

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"Si les autres aveux de l’ex-caporal Benhalima sont du même tonneau, gageons qu’ils ne convaincront pas grand monde." conclut l'article

Mohamed Benhalima, ancien militaire algérien, ayant fui l’Algérie en septembre 2019 après avoir pris part au Hirak, le mouvement de contestation anti-régime qui avait notamment poussé à la démission l’ancien président Abdelaziz Bouteflika. Arrivé en Espagne, il y avait déposé une demande d’asile.Cet ex-caporal de 32 ans a été condamné par contumace dans son pays en mars 2021 à 10 ans de prison pour «publications de fausses informations». Un mandat d’arrêt international à son encontre avait été émis par l’Algérie.

Mohamed Benhalima a quitté le territoire espagnol en septembre 2021 pour gagner la France où il a demandé asile

Se sentant menacé à la suite de l’expulsion par le ministère de l’Intérieur espagnol d’un autre opposant issu des rangs de la gendarmerie, Mohamed Abdallah, le 22 aout 2021, Mohamed Benhalima a quitté l’Espagne en septembre 2021 pour se réfugier en France.

Les autorités espagnoles ont extradé Mohamed Benhalima

L'avion qui le transportait a atterri à l'aéroport international d'Alger. Sur les premières vidéos diffusées sur les réseaux sociaux, on voit bien l'homme, menotté, descendre d'un avion de la compagnie aérienne espagnole. Il a été accueilli par des agents de la police algérienne qui l'ont ensuite transporté dans leur véhicule.

Dans un communiqué rendu public, l'ONG Amnesty International a appelé l'Espagne à «renoncer immédiatement» à une éventuelle expulsion de Mohamed Benhalima, affirmant qu'il s'agit d'un «lanceur d'alerte» ayant «dénoncé la corruption dans les rangs des hauts gradés de l'armée algérienne».

Amnesty accuse notamment le régime algérien de «torture et d'autres formes de mauvais traitements» contre plusieurs militants du Hirak.

Méthodes de la Gestapo: propos tenus sous effet de barbituriques

👉Mohamed Benhalima a également dévoilé la relation qu’entretient Amir Boukhors avec un journaliste marocain dénommé Ahmed Gharabi, travaillant pour le compte du journal «Jeune Afrique» et auteur d’un article à son sujet en Janvier 2021👎 Erreur: Mohamed Benhalima a quitté le territoire espagnol en Septembre 2021 pour gagner la France où il a demandé asile.

L'Algérie veut faire d'une pierre deux coups

(La patrie news), le média algérien qui vole au secours de l'(APS)

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Ce lot d'articles et de vidéos pourrait n'être qu'un énième lot déversant insultes, désinformations..., habituel chez" Afrique l'Adulte" et son staff depuis le début de son existence. Mais les limites du tolérable ont été franchies... Wait and see

Avec, Autres presses

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