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« Une nouvelle menace de la bande armée du Front Polisario qui démontre son caractère fasciste de « 

« Une nouvelle menace de la bande armée du Front Polisario qui démontre son caractère fasciste de « Toute personne qui a des intérêts dans le Sahara peut être une cible » » Pedro Ignacio ALTAMIRANO…

Depuis la création du polisario, la race ethnique a joué un rôle prépondérant dans la hiérarchie de la gouvernance et a toujours était au centre des débats pour désigner une quiconque personne dans un poste de haut rang

Dans cette lignée d’idée qui véhicule la pensée polisarienne, il était évident de voir se développer une certaine concurrence au sein des membres du polisario afin de jouir de la préférence qui se veut légitime

Parmi les plus favorisé, un certain Mohamed Ouali Akeik, né à Laâyoune en 1951, qui faisait partie lui aussi des premiers «miliciens à rejoindre le polisario».

Mohamed Akeik a eu sa plus grande chance dès la mort de Mohamed Abdelaziz puisqu’une fois nommé président de la pseudo rasd, Brahim Ghali l’a vite projeté en tant que premier ministre en remplacement de Taleb Ould Oumar car il appartient à la tribu Izzarguiyines Tekna, la plus influente au Sahara Marocain aux dépens des Reguibat, Ouled Dlim, Ouled Tidrarine, Ait Baàmrane…Il a donc eu cause à cause de sa lignée tribale, il ne faut pas oublié qu’il a occupé plusieurs postes administratifs mais n’a jamais été au devant de la scène bien qu’il fut du temps du colonialisme espagnol un leader incontesté sinon l’un des fondateur d’un mouvement secret contre l’occupant espagnol.

Akeik, revit de nouveau grâce à Brahim Ghali et peut donc jouir de son nouveau poste de « premier ministre » honorifique, tant qu’il n’a pas assez de capacités intellectuelles pour le diriger, lui qui a continué sa formation militaire en Algérie dans la célèbre caserne de Churchill à Alger

Objet d’un mandat d’arrêt émis en novembre 2016 par le magistrat de l’Audience nationale, José de la Mata.

Mohamed Ouali Akeik, était l’un des sept auteurs de l’attentat terroriste commis, le 19 octobre 1974, contre Phosboucraa et qui s’est soldé par la mort d’un soldat et le rapt de deux civils espagnols.

« Une nouvelle  menace  de la bande armée du Front Polisario qui démontre son caractère fasciste de « Toute personne qui a des intérêts dans le Sahara peut être une cible » » Pedro Ignacio ALTAMIRANO…

L’un des actes les plus saillants à mettre au pedigree de ce sanguinaire, est l’attentat terroriste qu’il a co-commis avec six autres éléments d’un commando du Polisario, le 19 octobre 1974, contre une unité de Phosboucraa alors administré par l’occupant espagnol.

Selon le média marocain Le360 , le soi-disant Premier ministre de la république autoproclamée, qui vient d’être nommé à ce poste par le leader séparatiste Ibrahim Ghali le 5 février 2018, a été impliqué dans une série de crimes graves présumés, y compris les enlèvements. de citoyens espagnols travaillant sur le site de . A l’époque, le site était administré par l’Espagne à l’époque de la colonisation. L’un de ses exploits fut d’attaquer le tapis roulant de Phosboucraa en octobre 1974. Trois semaines plus tard, il a été arrêté à Laayoune et est resté dans une prison de Las Palmas pendant un an.

Ces attaques ont causé la mort d’un soldat espagnol, Angel del Moral, de deux citoyens espagnols, de l’entrepreneur canarien Antonio Martin et du médecin José Sastre Papiol. La série d’attaques a été ordonnée par Ghali, qui était alors le chef de « l’armée sahraouie ».

En octobre 2015, le journal canarien La Provincia a publié un reportage marquant l’anniversaire de l’attaque terroriste contre des civils espagnols. La Provincia a également publié un article de presse du journaliste Diego Talavera. Le reportage comprenait des articles de presse sur les auteurs des actes terroristes, dont Ouali Akeik, lauréat de l’Académie militaire Churchill à Alger.

Dans son récit, le journaliste espagnol accorde un intérêt particulier au pedigree de Mohamed Ouali Akeik, qui vient d’être nommé « premier ministre » par le chef du Polisario, objet d’un mandat d’arrêt émis en novembre 2016 par le magistrat de l’Audience nationale, José de la Mata. A ce sujet, notre confrère espagnol énumère les différentes fonctions exercées par ce dernier au sein de l’organisation séparatiste. Entre autres postes de responsabilité, il était « gouverneur » et membre relevant du département de l’intérieur de la présente « RASD », haut responsable de « la 3e région militaire », exerçant la fonction du coordinateur général de « l’armée sahraouie », ancien chef de la sécurité et soi-disant « ministre chargé du territoire et de la diaspora sahraouie ».

Les rapports de « La Provincia » visaient à déterminer à la fois les circonstances exactes de l’attaque et la libération des sept terroristes présumés, qui ont été détenus dans une prison de Las Palmas en octobre et novembre 1975.

L’auteur du rapport précise que les sept membres du Polisario « ont été libérés dans le cadre de l’échange de détenus, entre les autorités espagnoles au Sahara et le Front Polisario« .

Le360 ajoute que les sept membres du Polisario ont été remis par le colonel Diego Aguirre le 21 novembre 1975 à Ibrahim Ghali et Mahfoud Ali Beiba, à la frontière algérienne avec le Sahara marocain.

En janvier, l’Association canarienne des victimes du terrorisme (Acavite) été reçue par le roi Felipe VI d’Espagne pour l’informer de l’histoire des attentats commis par le groupe séparatiste pendant la colonisation espagnole.

Les attaques de guérilla du Polisario ont repris tout au long des années 70. La présidente Acavite, Lucia Jimenez, a également discuté avec le roi de la situation des veuves et des orphelins aux Canaries à la suite des attaques de guérilla du Polisario.

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