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Top 10 des pays africains avec le plus de prostituées... Le classement est dominé par L’Algérie


Le classement est dominé par L’Algérie, 1ere pays comptant plus de prostituées en Afrique et 2eme pays sur le plan mondial....

La prostitution, le plus vieux métier au monde, est en constante expansion en Afrique. . Aujourd’hui, le berceau de l’humanité possède un réseau bien structuré de ce commerce florissant avec un chiffre d’affaire proche du PIB de certains pays.

Voici le Top 10:

Tout d’abord, la prostitution est la prestation de service sexuel contre de l’argent et ensuite d’en faire un métier. Ce phénomène a pris de l’ampleur dans le monde en général et particulièrement en Afrique selon le classement mondial. Normalement, cette pratique est illégale en Afrique en raison des coutumes et cultures qui exigent de la jeune fille un minimum de dignité et de respect pour son corps. Mais l’impossibilité des gouvernements a créé de l’emploies, le fort taux de chômage, la famine et bien d’autre ont amené la jeune fille à choisir la prostitution, un moyen plus ou moins facile de s’en sortir de la pauvreté. Brusquement, le fléau tabou est devenu un moyen de subsistance validé par les populations et certaines mères ont commencé par envoyé leur fille en prostitution pour subvenir aux besoins de la famille d’un part. D’une autre part, la prostitution s’est aussi répandue grâce à certains facteurs psychologiques et moraux (paresse, goût de la vie facile).

L’Algérie compte plus de 1,2 millions de filles de joie clandestines.

Le choc mondial, ce qui semble être une grosse plaisanterie est apparemment vérifié par l’ONU. Selon ce dernier, l’Algérie compte plus de 1,2 millions de filles de joie clandestines.

Seulement que la prostitution algérienne est particulière en ce sens que, la fille le fait pour sa famille d’où le nom de "prostitution qui fait vivre". A partir de 16 ou 17 ans, la jeune fille s’engage à prendre le relais des parents et subvenir au premier besoin de sa famille. Alors pour l’algérienne, la prostitution est synonyme d’habiller ses petits frères et les nourrir. L’institut Abassa a effectué un sondage selon laquelle ce type de malaise touche plus de 26% de la population.

Algérie: La Prostitution, "sacrifice institutionnalisé du corps", adopté par les généraux... Analyse

Les Africains et les Chinois relancent l’économie de la prostitution en Algérie

L’Algérie est plongée dans le bourbier de la prostitution depuis le colonialisme turc, qui fut le premier à poser la première pierre de la prostitution sous licence en Algérie afin de divertir les soldats janissaires et en passant par le colonialisme français, jusqu’aux bordels tenus par des hauts responsables…

La prostitution en Algérie à l’époque Ottomane et française

L’histoire de l’Algérie coloniale est souvent abordée du point de vue des bouleversements économiques et politiques engendrés par l’occupation française. Mais cette dernière entraîna un remaniement dans la sphère de l’intime qui fut tout aussi significatif, bien que peu étudié. Dans cet épisode, Aurélie Perrier se penche sur la question de l’évolution des formes de sexualités illicites en Algérie, particulièrement de la prostitution.

Organisée et mise en place par les autorités françaises dès l’arrivée des premières troupes en 1830, la régulation de la prostitution apparait rapidement comme un enjeu médical et social majeur pour les français : il s’agit à la fois d’enrayer le péril vénérien qui sévit au XIXe siècle et d’assurer la pureté de la race « blanche » en limitant les contacts sexuels entre les deux communautés (européenne et autochtone) au cadre prostitutionnel.

Si les courtisanes existaient bien à l’époque ottomane, leur statut était très différent. Nombre d’entre elles étaient musiciennes ou poètes, ce qui leur permettait de contribuer à la vie sociale et culturelle de leur société. Après 1830, la courtisane devient simple prostituée. Par ailleurs, les autorités françaises mettent en place de nouveaux espaces et modalités de contrôle des « filles soumises ». Le bordel et le quartier réservé, jusque là inconnus en Algérie, apparaissent dans une majorité de villes algériennes tandis que médecins et police des mœurs élaborent des règles rigoureuses visant à discipliner ces filles dont la sexualité et le mode de vie sont considérés comme dangereux.

Ecoutez:👇🏿👇🏿

La prostitution, un héritage accepté

Ce phénomène ne cesse, cependant, de s’amplifier, surtout que les généraux l’adoptent et lui assurent une protection.👇👇

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L’Algérie compte plus de 15 845 maisons de prostitution et environ 13 000 d’entre elles entretiennent des relations étroites avec des hauts responsables, ce qui signifie que l’État algérien est complice de ce crime, la situation révèle chaque jour l’augmentation du nombre de personnes impliquées dans ce sale métier, et la preuve est que ces réseaux sont toujours liés à la possession et à la commercialisation d’alcool et de drogues, en plus de l’exploitation des filles dont l’âge n’est pas supérieur à 18 ans.

Par le biais de ces maisons, l’État algérien permet ainsi l’existence d’une prostitution légale, non punie.

Une situation pour le moins paradoxale puisque l’article 343 du Code pénal algérien condamne le racolage d’une peine de 2 à 5 ans de prison et de 500 à 20 000 dinars algériens d’amende. Cette particularité peut s’expliquer selon deux hypothèses, pour le sociologue Abdessamad Dialmy : l’une historique, l’autre religieuse. Un précédent rapport des services de la gendarmerie en Algérie sur les questions de prostitution et le démantèlement du réseau de la prostitution et de la commercialisation des femmes a confirmé la prostitution rampante dans toutes les régions d’Algérie, comme selon les statistiques de l’Institut Abbassa sur le phénomène de la prostitution en Algérie ces derniers temps, y compris sur l’ensemble du territoire national, à travers lesquels des chiffres terrifiants classés dans la catégorie de danger ont été atteints.

En résumé, il existe 1,2 million d´Algériennes qui se prostituent de manière clandestine.
  • 4 millions d´Algériens tirent leurs ressources de ce type d´activité alors que 3 millions vivent de délinquance et autres métiers illicites. Une sombre image de l´Algérie indépendante.

  • Ce n´est plus la sonnette d´alarme qu´il faut tirer puisque le ver est réellement dans le fruit, mais c´est à une véritable thérapie de choc (économique, sociale et culturelle) qu´il faut procéder. Selon le rapport de l´Institut Abassa, frappé du sceau de la confidentialité, nous ne serions pas au bout de nos peines.

  • «Ce sondage ne livre pas non plus les données obtenues "off the record", c´est-à-dire hors questionnaire sur la population des SDF (sans domicile fixe), des errances et mendiants ainsi que sur les populations manifestant des pathologies psychologiques et psychiatriques; plus de deux millions», commente le rapport de l´Institut Abassa.

Selon des sources officielles algériennes confirmant que la raison de l’augmentation du nombre des maisons de prostitution est du à la forte demande, en particulier des travailleurs étrangers africains et chinois, présents par dizaines de milliers dans toute l’Algérie, et c’est ce qui a fait gagner des milliards aux généraux grâce aux maisons de prostitution.

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