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NARC - L’Égypte refuse de participer à un exercice militaire aux côtés des miliciens du polisario...

L’Égypte se retire des manœuvres militaires conjointes en algérie, à cause de la participation des terroristes du Polisario
Nouveau rebondissement dans l’exercice militaire prévu par le Comité de Défense de la Région d'Afrique du Nord (NARC), qui se tiendra du 21 au 27 mai en algérie avec la participation du Polisario. «La République Arabe d’Égypte a décliné une invitation de l’Algérie à participer à une activité militaire aux côtés du Front terroriste du Polisario», a révélé ce dimanche 4 mai l’Observatoire de Défense Atlantique sur la plateforme X.

Dans un nouvel acte de provocation caractérisé, le régime militaire algérien, fidèle à ses méthodes belliqueuses et déstabilisatrices, a tenté d’impliquer l’Égypte dans une mascarade militaire inacceptable en organisant des manœuvres sur son territoire, baptisées «Africa Peace 3», prévues du 21 au 27 mai 2025. Mais ce scénario a tourné court : l’Égypte, lucide et ferme, a refusé de participer à cette manœuvre après avoir découvert la présence des miliciens du Polisario parmi les forces invitées. Une gifle retentissante pour le pouvoir d’Alger.

Sous la bannière de la North African Regional Capability (NARC) – une alliance militaire régionale regroupant l’Algérie, la Tunisie, la Libye et l’Égypte –, ces exercices militaires étaient supposés renforcer la coordination sécuritaire face aux défis communs de la région. Pourtant, la manœuvre a été pervertie par la décision honteuse du régime algérien d’inviter les séparatistes armés du Polisario, une organisation non étatique, reconnue par aucun organisme international sérieux, et qualifiée à juste titre de menace terroriste par de nombreux experts.

Cette provocation ne peut être interprétée autrement que comme une tentative désespérée de politiser la coopération militaire maghrébine en y injectant le venin du séparatisme. Une manœuvre qui bafoue les principes fondamentaux du droit international, piétine les engagements multilatéraux de neutralité, et constitue un affront grave à la souveraineté du Royaume du Maroc.

Face à cette situation, Le Caire a réagi avec une clarté remarquable. Refusant de cautionner cette manigance dangereuse, les autorités égyptiennes ont décliné toute participation, refusant de se retrouver associées à une bande armée illégitime manipulée depuis alger. Cette décision, saluée au Maroc, met en lumière l’isolement croissant du régime algérien sur la scène régionale et la perte de crédibilité de ses initiatives diplomatiques.

Quant aux autres États invités, notamment la Tunisie, son silence trouble interroge. Sa présence, si elle est confirmée, à côté de miliciens du Polisario, constituerait une grave entorse aux principes d’amitié, de respect mutuel et de solidarité arabe. Elle serait perçue comme une trahison des causes justes et un alignement tacite sur l’agenda agressif d’un régime algérien en perte de repères.

Pour rappel, l’Égypte avait déjà participé, aux côtés du Polisario, à des réunions du Comité de la Défense de l’Afrique du Nord en Algérie, en mai et novembre 2023.

L’algérie, qui assure la présidence de ce Comité, a annoncé par la voix de son Premier ministre, le 21 juillet 2024 à Accra lors de la 6e réunion de coordination du Bureau de la Conférence de l'Union africaine et des présidents des huit Communautés économiques régionales ainsi que des Mécanismes régionaux, qu’elle était prête à accueillir, vers la fin de l'année 2024, un exercice militaire du Comité de la Défense de l’Afrique du Nord (NARC).

 
 
 

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