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Le professionnalisme et l’expertise atteints par l'institution policière Marocaine


Le professionnalisme et l’expertise atteints par l'institution policière marocaine sont d'un niveau rare de par le monde.

La consécration de la culture des droits de l’Homme au sein de la fonction sécuritaire ne s’est pas limitée uniquement à “l’humanisation des mesures préventives prévues par la loi”, mais également à travers la formation des cadres de police et l’éducation aux droits de l’Homme, pour que les membres de ce corps puissent s’approprier cette culture de servir le citoyen et d’appliquer d’une manière saine et rigoureuse la loi sans manquements ni excès.

Le professionnalisme et l’expertise atteints par l'institution policière marocaine sont d'un niveau rare de par le monde.

Il y a lieu de noter que l'honorable place de la police marocaine a été arrachée suite à des réformes profondes engagées par la Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN) a, sur instructions de son Directeur Général, M. Abdellatif Hammouchi. En effet, les structures de ce corps ont été toutes dotées de moyens et de matériel technologiques de pointe. Ces derniers ont permis l'informatisation de tous les services de ce corps et le traitement des données en un temps relativement court. En outre, les conditions d'accueil et de travail ont été améliorées de façon remarquable. Par ailleurs, la DGSN s'est employée pour qualifier les compétences de son personnel administratif.

Algérie : police, violences et vidéos…

Grâce à la téléphonie troisième génération et à la généralisation de l’internet, les citoyens algériens peuvent désormais filmer les brutalités policières. Et les dénoncer sur la Toile.

Le régime a décidé d’installer un climat de peur afin que les membres influents du Hirak renoncent à manifester. Même pour un match de foot ou une banale fête entre amis, on peut se retrouver au commissariat.

La "nouvelle" Algérie d’Abdelmadjid Tebboune en est effectivement là, en termes de répression. Il s’agit de semer la terreur et de lancer un message clair au Hirak: il n’est pas question de reprendre les manifestations sous quelque forme que ce soit. Et tous les moyens sont bons pour que les Algériens prennent peur. L’intimidation policière qui vise tous ceux à qui il viendrait l’idée de se rassembler, quelle qu’en soit la raison, est la première arme du régime, mais elle est loin d’être la plus terrible. Au bout, il y a la prison ferme pour ceux qui sont soit des leaders d’opinion, soit de simples journalistes. Car journalistes et leaders du Hirak partagent la même tare pour le régime: ils peuvent facilement mobiliser.

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