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LE FUMOIR DES CHICHAS AU GAZ HILARANT DU DZERT & UNE CONSANGUINITÉ AUTO-PROCLAMÉE…. By:

LE FUMOIR DES CHICHAS AU GAZ HILARANT DU DZERT & UNE CONSANGUINITE AUTO-PROCLAMEE … By: K Kaddouri

Je déroge, de temps à autre, à mes essais « originels » pour une écriture plus légère et le contexte politico-éco-social et sociétal des deux rives de la méditerranée me rend la « tâche » plus aisée.

 Le menu ne varie pas beaucoup et le crieur du menu tonne quotidiennement « le gaz Hilarant du Dzert »

Le calumet du gaz, euh la chicha au gaz hilarant est le plat principal de ce menu de sable.

AH, quand bien leur fasse, les alternatives à l’énergie sont une préoccupation mondiale et nous n’avons pas attendu les Aghiouls du Dzert.

Les Aghiouls du Dzert, n’ont toujours pas cet ingrédient, l’alternative, aromate indispensable pour atténuer le gout amer des dinars, devenus leurs chiques, leur pâte à mâcher quotidienne dont la salive pétrolée n’a certes pas profité à leur Dzert.

Nos chemins de l’énergie, non hilarant pour le coup, sont mis à jour et revus, revisités pour le bien de notre pays grâce à notre Roi Mohammed VI dont la sagesse et le calme devrait avoir une résonance salvatrice chez les hilarants du Dzert.

Les effets sont terribles car la chicha « gazouze » et la chique ont les effets escomptés :

Le ridicule ne tue pas, ou presque, le gaz à effet des « harragas » est bien une actualité hilarante quand on argue être les rois du pétrole.

Pourquoi ne sont-ils pas à l’image des Émirats, qui ont bâti une oasis rayonnante, moderne, oasis des énergies, juste sur un désert de sable !

City Abu Dhabi UAE in 1960

City Abu Dhabi UAE in 2014

Ces derniers ont-ils été obsédé par leurs voisins !

L’obsession du Dzert détourne l’attention de leurs maux, car leur oisiveté et leur polluants verbaux sont cultivés depuis toujours.

Qu’ont-ils fait des dollars, euh non, des dinars gaz-pétrole, quand même la patate est au prix des billets pour un «Escape Game» !

L’assaisonnement au menu gaz hilarant, est une musique de Wagner, revisitée.

La musique de Wagner a fait fausse route dans un désert qui ne porte que le nom.

La flûte enchantée du Dzert aura pris une musicalité Wagner à résonance slave orientale déjà très discutée lors des périodes sombres de l’Histoire.

Les alliances, les diplomaties, euh non les arrangements musicaux sont incertains, souvent hâtifs car leur obsession du Maroc les ridiculise au-delà de l’espace méditerranéen.

Faut-il rappeler que Le Maroc a trouvé un mix pour ses orientations climat durable, et notre challenge, depuis plus d’une décennie est de  répondre par des solutions aux défis climatiques , par de nouvelles technologies:

  1. biomasse,

  2. biocarburant,

  3. photovoltaïque,

  4. éolienne,

  5. prospection off-shore,

  6. énergie nucléaire et solaire Noor,

  7. centrale photovoltaïque flottante( Sidi Slimane)…

et voire  même, je me risque à dire , que nous effaçons l’histoire de Vichy à Tendrara  (région de l’Oriental Maroc) en  souhaitant vivement lui donner un autre goût plus en phase avec les réalités de l’efficacité Marocaine, une efficacité énergétique au gaz plus généreuse, propre et humaine.

Les nouveaux challenges sont aussi le déploiement sous atlantique qui laissent encore un goût d’amertume à nos larcins du Dzert : à savoir notre actualité, où on prévoit plus de 3800 km de câblage électrique entre le Royaume du Maroc et la Royaume Uni, une énergie propre donnant de l’électricité à partir de nos productions éolienne et solaire du Maroc.

Les milliards de dollars dépensés pour nuire à l’intégrité territoriale du Maroc est une absurdité du Dzert qui souligne un curseur des priorités disproportionné et ridiculisant davantage les acteurs de leur histoire Dzertique.

Les séquelles de gaz-hilarant sont les témoins d’une réelle affection identitaire.Le ridicule peut de ce fait être un chemin pour s’excuser d’une identité mal assumée. Leur crise identitaire est à l’égale de la revendication de l’outsider schtroumpf Gargamelle.

Nous sommes devant un tel constat de déficience intellectuelle, d’une amnésie culturelle et le diagnostic est sans appel: un constat abject où sans aucun doute, la consanguinité et l’appartenance à un court-circuit émanant du gaz hilarant du Dzert a toute son importance et cela génère de grands dégâts psychiatriques.

Les esprits s’échauffent aux déclarations du fou Gargamelle, à l’égal de ses « Alter-Egos » du Dzert hilarant.

Il semble oublier que son physique, son patronyme sont autant de traces ADN indiscutables par lesquelles je suppose que la consanguinité et par effet des gaz hilarant, nous sommes devant un cas d’expertise psychiatrique non unique, non isolée puisqu’il ergote, palabre à l’identique des propos des chefs de clan du pays dont il est originaire, le Dzert hilarant.

Il se présente avec une singularité maladive, tant dans ses propos révisionnistes que sur sa capacité à charger ses propres frères dans des interviews orientées et infâmes.

Le produit-témoin du gaz hilarant du Dzert est ce génome déficient, représenté par ce petit Gargamelle, Polygame comme décrit dans les médias.

Il est une confirmation ou par tautologie, le résultat des effets de gaz Dzert hilarant où les défaillances psychologiques par déploiement de consanguinité trouvant leur source dans un patrimoine génétique indiscutablement non assumé.

Alors le rififi autour du gaz-pétrole du Dzert nous laisse stoïques. Bref le gaz du Dzert hilarant et les hostilités du Dzert sont aussi nos sources d’énergie durable, pour nous Maroc et notre rayonnement Sud-Sud-Africain. Nos ambitions d’une économie de développement smart, inclusive, privilégiant le tout utilisation durable, rationnelle, d’un urbanisme smart …sont de toute évidence nos priorités exclusives et l’intégrité territoriale du Maroc n’est pas une option !

By: K Kaddouri

NB /je fais aussi réflexion sur quelques élans de nos observateurs du dimanche (e-café)/La crise énergétique et la pandémie mondiale sont des éléments importants dans la hausse des prix énergie notamment et ne pas confondre, ne pas expliquer naïvement la montée des prix avec les orientations ou un pseudo  dysfonctionnement politique.

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