top of page

L'expansionnisme algérien: La Tunisie, «une province algérienne».Une thèse qui se confirme.(Dossier)


Rare vidéo d'archives: L'expansionnisme algérien.... L’affaire de la borne 233

C'est ainsi que le leader tunisien, Habib Bourguiba, réclamait le Sahara tunisien, que la France avait annexé à ses terres en Algérie (l'Algérie française).

Un exploit méconnu des soldats tunisiens: comment la borne 233 a été prise aux Français le 20 juillet 1961

Quand on évoque la crise de Bizerte et ses centaines de victimes, on oublie que le 20 juillet 1961, à un millier de kilomètres de là, des soldats tunisiens conduits par le capitaine Abdallah El Abaab prenaient d'assaut, dans des conditions climatiques très difficiles, il faisait 52° à l'ombre, et sous les bombes des B 26, la fameuse borne 233 où stationnait une centaine de soldats français. L'attaque couronnée de succès s'est soldée par la mort de 60 soldats du côté français et 19 du côté tunisien.

L'occupation de ce poste a duré trois jours. Le 23 juillet, le Conseil de sécurité adopte une résolution réclamant cessez-le-feu. Le lendemain, le capitaine El Abaab reçoit un télégramme du haut commandement de l'armée tunisienne lui intimant l'ordre de se retirer. 24 heures plus tard, il reçoit un contre-ordre: pas d'évacuation. Il était trop tard, les soldats français avaient repris le poste après le retrait des soldats tunisiens.

L’affaire de la borne 233 (Mémoire DES de Droit Public Faculté Droit de Tunis Ben Salem Mohamed 1971-1972)

Bourguiba avait eu un moment de déception (et d’irritation) lorsqu’il s’est rendu compte que le colonel Boumediene n’était nullement disposé à prendre à son compte les promesses plus ou moins fermes que lui aurait faites Ben Bella, avant d’être renversé, à propos de la fameuse borne 233.

En effet, l’indépendance acquise, l’héritage colonial des frontières devient une plaie dans les relations de ces Etats. Des conflits, des revendications territoriales, des demandes de rectification. La gravité du problème atteint des dimensions telles qu’il a été soulevé par la plupart des chefs d’Etats africains au cours de la conférence constitutive de l’OUA (25 mai 1963) et dans les différentes conférences qui l’ont suivies.

En Afrique au Sud du Sahara, des conflits frontaliers ont éclaté partout, conflits qui ont donné souvent lieu à des affrontements armés (ex : Somalie et Ethiopie, Somalie et Kenya). Au Maghreb, le problème des frontières a été général. C’est un élément qui est venu enrichir le patrimoine commun des trois pays (Maroc, Algérie et Tunisie). Au mois de Décembre 1963, un conflit armé éclaté entre l’Etat marocain et l’Algérie.

La colonisation de la Tunisie est lancée!!!
«... Pour le dire franchement, la Tunisie est une province algérienne très importante » l’expert algérien El Houari Tegersi

Tout le monde se rappelle de cette déclaration claire et sans équivoque. Enefft, l’"expert" algérien El Houari Tegersi, a déclaré que la Tunisie est l’une des « Wilayas » » relevant de l’Algérie, ce qui a déclenché une vague de condamnations parmi les Tunisiens.

Plusieurs internautes des médias sociaux ont demandé aux autorités algériennes de s’excuser pour cette déclaration considérée comme une insulte à la Tunisie. . Cette phrase prononcée, sur une chaîne télé arabophone, par un « expert, docteur en économie, spécialiste de la géo-politique et tout et tout…» algérien a fait trembler la toile tunisienne.

Cet "expert" avait indiqué, dans une déclaration à Sky News Arabia, que les autorités algériennes considèrent la Tunisie comme la sœur cadette, ajoutant : «pour le dire franchement , la Tunisie est une province algérienne très importante».

Cette déclaration, qui intervient après l’annonce de l’ouverture de la frontière algéro-tunisienne après une fermeture de plus de deux ans, a suscité un tollé de nombreux Tunisiens, qui l’ont considérée comme une insulte à la Tunisie.

Mais dis donc, il n’a pas de freins, le type! Enfin, les militaires d’Alger on connaît. Et on n'a encore rien vu!

Le petit pays, coincé entre une Lybie en proie au chaos, après la chute de Mouammar Kadhafi, et une Algérie gouvernée par une mafia militaro-politico-financière, a vu défiler les islamistes purs et durs dans de véritables tentatives de faire main basse sur le pays finissant avec le peu de liberté dont rêvait le peuple tunisien. Ce dernier paie depuis 2011 un lourd tribut aux conflits politiciens, aux idéologies assassines et le noyautage systématique des services algériens qui ont réussi en dix ans de faire de la Tunisie une simple province algérienne inféodée au régime d’Alger.

Pourquoi l’Algérie devrait absorber définitivement la Tunisie et créer une République Unie

"Le régime algérien a réussi à vassaliser la Tunisie au point où les dirigeants tunisiens ne peuvent prendre aucune décision stratégique sans consulter préalablement Alger. Cette forte dépendance de la Tunisie vis-à-vis de l'Algérie entraîne de nouvelles perspectives d'avenir pour le Maghreb qui n'augurent rien de bon pour la démocratie et les Droits de l'Homme. La domination algérienne au détriment de la souveraineté de la Tunisie rappelle tristement la mauvaise expérience de la République Arabe Unie entre l'Egypte et la Syrie." Abdou Semmar

La Tunisie une simple province algérienne inféodée au régime d’Alger.

Un Tunisien estime que la wilaya de Kasserine fait partie de l’Algérie. Celte information a été largement relayé par les médias, comme l'atteste l'article du quotidien algérien "Dzair Daily"

En effet, jeune Tunisien issu de la ville de Kasserine estime que cette région fait plutôt partie de l’Algérie et non de la Tunisie. En effet, s’exprimant au micro d’une chaîne locale tunisienne, l’intervenant a expliqué qu’il ne se considère pas comme habitant de la Tunisie. Ses concitoyens et lui se disent plutôt appartenir à l’Algérie. Étant donné que la majorité des produits de première nécessité leur viennent du territoire DZ, dit-il.

Dans ce sens, le citoyen tunisien a souligné qu’ils consomment du lait, du sucre et de l’huile tous issus de l’Algérie. Il a ajouté que tout était disponible en quantités suffisantes au niveau de ladite région du centre-ouest du pays voisin contrairement aux autres villes tunisiennes. De ce fait, il estime que cette dernière ne fait pas partie de la Tunisie.

Ainsi, ce Tunisien a ajouté que de nombreuses autres villes rencontrent des pénuries quant à des produits alimentaires. Cela contrairement à Kasserine où l’on peut retrouver des stocks plus que suffisants. Elles répondent, explique-t-il, aux besoins de l’ensemble des habitants. Cela dit, toutes ces marchandises leur viennent de l’Algérie et sont produites également produites là-bas, de son avis.

En sus, le jeune intervenant a estimé que leur pays les a totalement marginalisés. D’autant plus que certaines conditions sont mises en place pour l’achat des produits locaux. Dans ce sens, il a expliqué que pour acheter du lait, il faut prendre avec six (6) boites de yaourt. Chose qui peut ne pas être à la portée de tous.

Un Tunisien estime que la wilaya de Kasserine fait partie de l’Algérie (vidéo)
Kais Saïed moqué à la télévision algérienne

Une série télévisée diffusée sur la chaîne de télévision privée Echourouk (le média de propagande algérienne proche du pouvoir algérien) a fait vivement réagir les tunisiens qui se sont empressés de répondre à leur tour très durement à ce qu’ils considèrent comme étant une «humiliation» à l’égard de leur président.

Cette série, intitulée "Dar Laadjab" a dernièrement consacré l’un de ses feuilletons à un «épisode» politique qui avait fait grand bruit en Algérie et qui n’est autre que le dépôt de 150 millions de dollars effectué par Abdelmadjid Tebboune à la banque centrale tunisienne.

Les faits se sont déroulés au début du mois de Février dernier. Kaîs Saîd qui avait réservé son premier voyage à l’étranger à l’Algérie se trouve alors dans le pays pour féliciter son homologue algérien fraîchement élu et ce dernier procède, dès le départ de son hôte, à l’annonce officielle du geste effectué en direction du voisin. La nouvelle est mal prise par une partie des algériens qui enflamment la toile en postant des commentaires où la critique se mêle à l’étonnement. Abdelmadjid Tebboune intervient à nouveau pour clarifier la situation rappelant les liens unissant les deux pays.

Echourouk a rebondi sur ce sujet pour le mettre donc au centre d’un épisode de l’une de ses séries les plus suivies. Les faits ont été caricaturés dans scénario dans lequel on peut voir un père de famille au revenu très modeste offrir tous ses maigres gains à son ami…un vieux tunisien démuni.

La suite est facile à deviner, le reste de la famille réagit, s’interroge, s’insurge… Le message est évident, à la portée de tous…

Kaïs Saïed a de transformé la Tunisie en une annexe de la caserne des services secrets algériens

« Nous sommes interdits de coopérer avec le Maroc », s’est-il insurgé une fois au micro d’une radio, déplorant que les dirigeants de son pays évitent de froisser l’Algérie en osant coopérer avec le Maroc.


Charité bien ordonnée commence par soi-même. Crise alimentaire en Algérie : L’heure est grave

Rien ne va plus du côté d’Alger où les crises se suivent, apportant chacune son lot de privations, de peur, d’angoisse et d’instabilités. Et ce, à tous les étages de la société algérienne, qui traverse l’une de ses pires crises depuis plus de 60 ans.

Mais, aujourd’hui, c’est la crise alimentaire qui est très préoccupante, puisque les populations dans les grandes villes comme dans les zones reculées manquent presque de tout, à telle enseigne que les prix ont flambé et que des denrées comme l’huile de cuisson ou le lait sont introuvables. Certains produits sont même interdits d’exportation.

Le sucre, les pâtes, l'huile, la semoule et tous les dérivés du blé sont désormais interdits à l'exportation, précise un communiqué issu du Conseil algérien des ministres.

Le ministre de la Justice a même déclaré qu’il va élaborer un projet de loi pour pénaliser l'exportation de ces produits qui sera prochainement considéré comme «un acte de sabotage de l'économie nationale».

C’est dire toute la gravité de la situation alimentaire. A tel point que les citoyens sont parfois privés du strict minimum, puisque pour certains produits, il faut amadouer les vendeurs pour en avoir un peu, comme l’affirment certaines ONG.

Acculé par la crise alimentaire en Algérie le Premier ministre présente ses excuses

L’Algérie sombre dans l’insécurité alimentaire poussant le Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, à présenter des excuses publiques au peuple algérien. Mais en même temps, les responsables nient la crise.

Devant l’Assemblée populaire nationale (APN), Aïmene Benabderrahmane a répondu aux questions des députés dans le cadre du débat sur la déclaration de politique générale de son gouvernement.

«En ce qui concerne la disponibilité des produits de large consommation et des prix, on ne peut pas parler de la situation économique et sociale d’un pays sans évoquer le pouvoir d’achat qui est au cœur des politiques publiques. (…) Je présente mes excuses à tout père ou mère de famille qui a trouvé des difficultés à se procurer des produits de large consommation», a-t-il déclaré devant les députés et les ministres.

L'Algérie souffre gravement de ce dangereux mal.

«Certains se déplacent avec des jets privés alors que d'autres, la majorité, courent derrière un sachet de lait», a noté Tebboune lors lors d'une interview accordée le jeudi 22 décembre 2022, à la télévision publique algérienne qu'elle a diffusé, en différé.

Il faut rappeler que le "président" Abdelmadjid Tebboune avait présidé, dimanche 10 avril 2022, une réunion du Conseil des Ministres. La rencontre a été consacrée à l’examen de plusieurs dossiers, dont celui de la hausse des prix de certains produits de nécessités.

Lors de la réunion, le chef de l’État Abdelmadjid Tebboune a donné plusieurs instructions ; relatives à l’amélioration du pouvoir d’achat, mais aussi pour faire face aux crises de lait et de blé.

A lire aussi>>> L’affaire de la borne 233



bottom of page