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JOKER, « Les vertus sont sœurs et les vices sont camarades ». By K. Kaddouri©®


JOKER, « Les vertus sont sœurs et les vices sont camarades ». By K. Kaddouri©®

Le « joker » est à mon sens, la seule posture dont les valeurs le rendent aux yeux de tous souvent incontrôlable car sa liberté est un déterminant, une essence nécessaire, il est le joyeux farceur, parfois blagueur et demeure cependant l’éternel atout du jeu.

Sortons de notre tourmente médiatique, pour plus de légèreté et tentons de «gribouiller» une petite analyse psychologique ou psychiatre, autour de nouveaux prédateurs «auto-proclamés lead» dont les tentatives d’organisations, ou de tentatives de «désorganisations communautaires» font plus de mal aux liants indispensable aux relations humaines que n’importe quelle altération économique.

Il est fréquent que chacun de nous se pose enfin, pour se ressourcer, repos nécessaire pour une introspective face aux «turbulences» extérieures.

Apparait une étrange sensation, «d’être agressée», qui me conforte dans l’idée que tout corps apparemment étranger, désinvolte et inopportun est, non pas une collision de hasard, mais bien une étrange force déployée pour draguer les étranges apparences, les «hors-piste».

J’étaye mes propos avec la ferme conviction que «les vertus sont sœurs et les vices sont camarades».

  1. Les personnes vertueuses n’ont pas besoins d’exhibition pour établir ou rétablir le lien, dont les codes et la communication sont respectivement, les toiles d’un réseau de confiance commun.

  2. Les (personnes) vicieuses empruntent des chemins inversés où elles utilisent les mauvais codes d’usages et de déséquilibres relationnels, masquant les codes de références, pour exercer une collision, calculée et trop fréquemment mal jaugée.

Et la politique des mots, la politique des sens, et les prétentions d’organisation autour de l’absolu nécessaire est le «paraître», dont le seul bagage est leur apparence d’un jour.

Les tournures erronées dans des espaces calfeutrés, sont choisi aux travers des nouveaux réseaux de communications, pouvant ainsi véhiculer des faux, de l’usager, des infos reconditionnées, des erreurs ou des brouilles-pistes dont le repas quotidien devient un récurrent indigeste car les ingrédients y sont  toujours mal associés, ou dissociés ou … ne connaissant pas la recette des organisations et des référentiels les plus basiques.

Ici encore, «il y a ceux qui comprennent, ceux qui ne veulent pas comprendre, ceux qui ne peuvent pas comprendre».

Je suis encore persuadée que chacun de nous, fait de la politique sans le savoir, à nos échelles de vie différentes, dans nos domaines respectifs et que les chemins empruntés sont souvent parallèles et malheureusement rarement concourants.

Néanmoins, pour rappel, une politique associative ne peut être assise sur un socle de politique politicienne !

Les politiques, si tant soit peu nous prenions au sérieux la notion de la politique, sont étrangement colportées par les mauvaises pratiques de connections,  de mauvais reflexes, négligences et souvent copiés, s’entourant en général par  les mauvais réseaux professionnels et personnels, par absence et méconnaissance de négociations, par manque de stratégies de communication ou même de stratégies simples, les éloignant  progressivement, de cette mesure indispensable à l’organisation, qu’englobe la notion d’indice de confiance.

Alors certains diront que la vanité les rend aveugles, loin de toute théorie politique politicienne.

Leur volonté n’est plus de rassembler et d’organiser pour une cause personnelle ou collective, mais bien une course individuelle, dont la disgrâce, est majoritairement définit par le critère de la dorure financière et fictive.

Quand je vois toute l’énergie déployée pour satisfaire leur ego démesuré, je ne peux m’empêcher, du coup, de faire un parallèle avec une jeunesse en mal de repères. Je les vois, préparer leurs «campagnes d’exister» de la même manière qu’une photo dont le canevas de préparation demeurera finalement l’ouvrage final.

Ils redoublent d’énergie, pour ruser, avec des «scribes de campagne superficiels», confirmant ma ferme idée que la dévalorisation de certaines unités d’études vient du fait que de nombreux étudiants, obtiennent un diplôme en préparant leurs antisèches de fortune.

Il aurait été plus rapide d’apprendre les bonnes pratiques !

Nos jeunes et moins jeunes politiques, en vertu d’exister au travers de l’image, ont saboté les illusions de nombreux partisans de l’espoir car les perversités persistent, les fossoyeurs de toujours s’incrustent dans toutes les rives, comme un éternel ou énième coup d’essai, voguant ainsi sur les vagues politiques, quelque soient les fondements.

Les «paraître», sont aujourd’hui les empreintes de cette dissonance sociétale qui envenime les relations et freinent les appétences aux engagements et aux réalités «politiques», enfin d’organisation sociétale.

Sans fond, il n’y aura que du bruit et non pas une musique accordée et de circonstance.

  1. Les chemins empruntés sont souvent parallèles et rarement concourants car les bruits et les sons de la figuration sont étrangement plus en dissonance dans nos cultures où le tout paraître et le bruit de fond deviennent des référentiels et des raccourcis pour esquiver un travail de fond plus long.

  2. Le travail en profondeur, est plus long et l’appel de la rumeur est un procédé plus court dont les disgrâces se sculptent dangereusement dans nos sociétés.

Le «joker» nous rappelle que la liberté reste maîtresse dans cet univers de fossoyeurs, s’insurgeant dans nos vies, par excès de vanité, de surcroit d’intérêts déplacés, orientés et obsédés par leur image de podium, dont les bases d’assises sont non abouties. By K kaddouri©®.

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