Enquête: l'empire des cartels en Algérie... Le Cartel "T"
- gherrrabi
- 19 oct.
- 12 min de lecture

Les cartels algériens sont des organisations criminelles, principalement axées sur le trafic de drogue, qui sont impliquées dans une guerre violente contre d'autres cartels. Parmi les plus importants figurent le Cartel de Tebboune, ce dernier étant souvent considéré comme le plus puissant et dangereux aujourd'hui.
Le Cartel Tebboune jouit d'une choquante impunité
Le Cartel Tebboune s'internationalise, au mépris d'une réponse pénale qui reste souvent confinée au niveau national.

Le cartel de Tebboune est une organisation criminelle algérienne, actuellement active en Algérie et au Sahel. Depuis l'acquittement de Khaled Tebboune le fils du président algérien Abdelmadjid Tebboune, c'est l'un des plus puissants cartels de la drogue algérien avec le cartel des généraux, dont il a dépassé l'activité criminelle (Vidéos).
La flambée des violences liées au trafic de drogue : «narchomicides », règlements de comptes et «jambisation»
Cette violence extrême, qui prend souvent place dans l'espace public, rejaillit nécessairement sur les populations locales qui connaissent une vie quotidienne insoutenable débouchant parfois sur l'assassinat de victimes collatérales. Les scènes de guerre vécues par certains habitants contribuent à ce qu'il est possible d'appeler un «narcoterrorisme» car elles installent un climat de peur et d'insécurité constant pour l'ensemble des habitants, mais aussi des personnes amenées à intervenir pour des raisons professionnelles dans ces quartiers. C'est dans cette ambiance d'ultraviolence que les narcotrafiquants arrivent à prendre le pouvoir dans certains immeubles, quartiers ou territoires.
Le Cartel de Khalid Tebboune particulièrement virulent, considéré comme le plus dangereux par les autorités européenne, dirigé par Khalid Tebboune, le fils du président algérien Abdelmajid Tebboune. Il est impliqué dans une grande partie du trafic de drogue vers l'Europe et avait fait d'une forte opération anti-drogue.
« The Independent »: l’Algérie est devenue une plaque tournante émergente pour la cocaïne arrivant au Royaume-Uni…Pour comprendre, il faut remonter aux origines de cette affaire…

“The Independent”: l’Algérie est devenue une plaque tournante émergente pour la cocaïne arrivant au Royaume-Uni…Pour comprendre, il faut remonter aux origines de cette affaire…
Dans un article intitulé « Vague de drogue « sans précédent » : comment l’Algérie est devenue une plaque tournante émergente pour la cocaïne arrivant au Royaume-Uni » publié le 20 juillet 2021, par le Journal britanique “The Independent”, Fondé en 1986, The Independent est l’un des grands titres de la presse britannique de qualité.
L’Algérie est devenue une plaque-tournante émergente de la cocaïne à destination du Royaume-Uni, a alerté le journal britannique “The Independent”.

Le quotidien rappelle la découverte en juin dernier de près d’une demi-tonne de cocaïne dans des sacs qui flottaient au large de la ville portuaire d’Oran.
Il s’agissait de la deuxième plus importante cargaison de cocaïne découverte en Algérie, souligne la publication, qui rappelle l’autre affaire de cocaïne qui avait éclaté en mai 2018, avec la saisie de plus de 700 kg de drogue sur un cargo censé transporter de la viande congelée en provenance de l’Amérique latine.
Cette saisie avait donné lieu à des arrestations massives en Algérie, fait remarquer le journal.
Ce scandale, connu plus tard sous le nom de « cocaïne-gate », avait éclaboussé les plus hautes sphères du régime algérien, rappelle-t-on.
Affaire des 701 kilos de cocaïne saisis en 2018 à Oran
L'affaire commence le 29 mai 2018, lorsque les gardes-côtes et les douanes algériens interceptent au large du port d'Oran le cargo Vega Mercury en provenance du Brésil. A son bord, dissimulé dans un conteneur de viande congelée, 701 kilos de cocaïne pure sont découverts.
Le fils de Abdelmadjid Tebboune, Khaled, était en détention provisoire depuis 2018, impliqué dans une affaire qui avait fait scandale: la saisie, au port d'Oran, d'une cargaison de 701 kg de cocaïne. Pour rappel: Le fils du « président » Abdelmadjid Tebboune serait
C’est une affaire qui avait fait couler, en son temps, beaucoup d’encre et de salive. C’est un fait sans précédent. Cette énorme quantité de cocaïne était dissimulée dans un conteneur de viandes congelées en provenance du Brésil. C’est à Alicante, où devait s’effectuer le transbordement de la marchandise dans un bateau en partance pour Oran, pour acheminer la marchandise, que fut découvert le pot aux roses. Les services de police espagnols alertent les garde-côtes de la marine algérienne. Ces derniers alertent, à leur tour, les services de la sécurité de l’armée qui prennent l’affaire en charge.
La cargaison de viandes congelés était destinée à une société appartenant à un homme d’affaires anonymes jusqu’ici. Son nom est Kamel Chikhi mais plus connu sous le pseudonyme de « Kamel le boucher » en liaison avec sa première activité. De simple boucher, Kamel devient un grand importateur de viandes congelées mais aussi un grand promoteur immobilier à Alger.
Il sera l’ami de très hauts responsables et de plusieurs généraux de l’armée. Il était un spécialiste de la corruption pour régler ses affaires. Tous les responsables qui touchaient ses pots de vin sont filmés par des caméras discrètes installées dans son bureau et dans tous ses locaux.
Parmi les corrompus filmés, par Kamel le boucher, figure un certain Khaled Tebboune le fils du ministre de l’habitat de l’époque, aujourd’hui président de la République.
L’enquête déclenchée par la gendarmerie, alors qu’elle devait l’être par les services de police, prend une autre tournure. On arrête, Kamel Chikhi, et quatre autres personnes dont l’un de ses frères et un de ses associés. On étouffe l’affaire de la cocaïne qui sera diluée dans une série d’affaires de corruption retenue contre le destinataire de la cargaison de la viande qui dissimulait la cocaïne. Et s’en suit une série de procès contre Kamel Chikhi sans que ne soit évoquée l’affaire des 700 kilos de cocaïne.
Le 26 février 2020, on commence par libérer de prison, Khaled Tebboune, en détention provisoire depuis juin 2018. Son papa occupe, depuis le 19 décembre, le palais d’El-Mouradia. Au cours du procès qui s’était tenu au tribunal d’Alger, Kamel Chikhi, dans le cadre d’un arrangement avec la défense de son co-accusé, déclare au tribunal que le paquet qu’il remettait à Khaled Tebboune, comme on le voyait dans des images vidéo enregistrées dans son bureau ne contenait pas des billets de banques mais deux flacons de parfum qu’il lui offrait à titre amical.
Khaled Tebboune a bénéficié de la relaxe dans le cadre de cette affaire. Une partie de l’opinion publique dénonce la clémence dont a bénéficié le fils du chef de l’État.

L'affaire des 701 kilos de cocaïne saisis en 2018 à Oran en Algérie est une affaire politico-financière qui implique des personnalités dans les sphères politique, militaire et administrative algériennes. Après plusieurs reports, dont le dernier en juin 2025, le procès du principal inculpé, Kamel Chikhi, reste à venir.
En mai 2018, une quantité de 701 kilogrammes de cocaïne pure est interceptée par les gardes-côtes algérien coordonnés avec la Gendarmerie nationale et les douanes du port d'Oran en Algérie. La drogue est trouvée à bord du porte-conteneurs Vega Mercury, dissimulée dans la marchandise de viande congelée importée du Brésil avec une escale à Valence en Espagne. Les sociétés importatrices de la viandes appartiennent à Kamel Chikhi, un promoteur immobilier algérien, surnommé «Kamel El Bouchi (Boucher)» en référence à ses multiples boucheries à travers l'Algérie. La valeur de la cocaïne est évaluée à plusieurs dizaines de millions d’euros, à l'époque il s'agit de la prise la plus importante en Algérie.
Trafic de drogues : « Air Algérie » au cœur d’une vaste enquête en France

La compagnie aérienne Air Algérie est citée dans une vaste enquête sécuritaire menée par la police française et qui a été déclenchée au lendemain de l’arrestation à l’aéroport Paris- Orly d’un steward, membre d’un réseau de trafic de cocaïne opérant entre la France et l’Algérie, selon plusieurs sources sécuritaires françaises.
Citées par «Algérie part plus», ces sources relèvent que cette affaire a éclaté le 18 septembre 2021 lorsque ce steward a été arrêté par des agents de sécurité de l’aéroport Paris-Orly en possession d’une grande quantité de cocaïne.
D’après les mêmes sources, le steward, qui a été recruté récemment par Air Algérie, a été contrôlé à la suite de son passage sous le portique de sécurité. Elles précisent qu’un contrôle minutieux opéré par des policiers français a permis de débusquer plus de 400 grammes de cocaïne, dissimulés dans les chaussettes du steward d’Air Algérie, qui a été ensuite interpellé et placé en garde-à-vue par la Police française.
L’enquête diligentée a permis de découvrir que l’employé de la compagnie aérienne algérienne faisait uniquement la «mule» de tout un réseau sophistiqué de trafic de cocaïne qui a l’habitude d’envoyer d’importantes quantités de stupéfiants vers l’Algérie, détaillent les mêmes sources.
La presse internationale remet les choses en place… [Vidéo]
Après avoir accusé les banques marocaines de « blanchiment de l’argent du haschich », le chef de la diplomatie algérienne a déclaré hier que « Royal Air Maroc, elle transporte autre chose que des passagers », une déclaration révélatrice d’une ignorance totale du secteur de l’aérien, qui est un environnement très réglementé par des instances internationales hautement qualifiées.
La presse internationale remet le ministre algérien Messahel à sa place...
L’affaire remonte au 20 octobre dernier. A Alger, lors de l’université d’été du Forum des chefs d’entreprise (FCE), Abdelkader Messahel a vanté l’attractivité de l’Algérie pour les affaires en la comparant aux autres pays du Maghreb. Il s’est d’abord attaqué aux banques marocaines : « trop souvent, on nous compare au Maroc, mais il n’y a rien. Les banques marocaines, c’est le blanchiment de l’argent du haschisch. Ça, tout le monde le sait. Ce sont des chefs d’État africains qui me le disent ». Ce faucon du régime algérien a ensuite visé la RAM. Sous les applaudissements, il renchérit : « Et la Royal Air Maroc transporte autre chose que des passagers, et cela tout le monde le sait ».
Le chef de la diplomatie algérienne avait cru pouvoir gravement diffamer la compagnie Royal Air Maroc en tenant des propos dénués de tout fondement. Ces déclarations ont été tenues incontestablement dans l’intention de nuire au rayonnement du Maroc à travers sa compagnie aérienne nationale.
Pour le meilleur ou pour le pire, le chemin de la liberté du Venezuela passe par l’Espagne, vers l’Algérie…..

Le jeu de la taupe entre l’Amérique et le Vénézuélien Nicolás Maduro. Après avoir perdu l’accès à la plupart de ses revenus pétroliers, le régime du tyran surmonte les sanctions américaines en se tournant vers le trafic de stupéfiants. Pour briser ce cycle et accélérer la disparition de Maduro, les sanctions américaines devraient viser le pays qui l’aide à s’accrocher au pouvoir: l’Espagne. Certes, jusqu’à présent, les sanctions ont eu un effet considérable, principalement en tarissant les coffres du géant pétrolier public PDVSA. Même Rosneft, partiellement public russe, a fini par vendre ses actifs perdants au Venezuela à l’État russe – l’un des derniers soutiens manifestes de Maduro avec la Chine.
Pour le meilleur ou pour le pire, le chemin de la liberté du Venezuela passe par l’Espagne. L’Amérique devrait sanctionner ses facilitateurs espagnols…
Cependant, Maduro s’est montré têtu et son emprise sur le pouvoir résilient grâce à sa capacité à surmonter les sanctions en trouvant des sources de revenus alternatives. Il a fait principalement ce trafic de stupéfiants et Washington doit encore concevoir une politique qui tient compte de ce caractère insaisissable. Compte tenu de la réticence de l’Amérique jacksonienne à le renverser par une intervention, le seul espoir de le voir partir est d’encourager les défections parmi les hauts gradés de l’armée du Venezuela. Pour y parvenir, les sanctions américaines ont cherché à désactiver le robinet de pot-de-vin – un flux constant de pots-de-vin qui garantit la loyauté des responsables militaires envers Maduro.
L’homme fort sait qu’il ne peut pas se permettre de perdre l’armée, alors face aux sanctions, son régime a maintenu les pots-de-vin en fabriquant la nouvelle huile de cocaïne vénézuélienne. Ce n’est pas tout à fait nouveau – Maduro est connu pour avoir longtemps été entouré par des acolytes voyous désireux de gagner de l’argent sur ce côté. Cependant, cela s’est progressivement accéléré alors que le Venezuela lançait un programme gouvernemental massif qui garantit des parallèles entre Maduro et Eduardo Noriega du Panamá. En 1989, une invasion américaine a renversé Noriega après que sa tentative de trafic de drogue soit devenue connue de la CIA.
C’est là qu’interviennent les récents actes d’accusation du ministère de la Justice (DoJ) pour trafic de stupéfiants. Le 26 mars, les procureurs du DoJ ont promis des montants allant jusqu’à 15 millions de dollars pour des informations conduisant à la capture de Maduro ou de quatorze de ses copains. Cette décision a été lue dans certains coins de la presse comme un clou au bon moment dans le cercueil du tyran qui s’est emparé de manière opportuniste des ravages de COVID à la société déjà émaciée du Venezuela. Les actes d’accusation étaient en fait beaucoup plus longs, leur calendrier étant davantage lié à la chute libre des prix du pétrole à la suite de l’impasse saoudo-russe, selon Ryan Berg de l’American Enterprise Institute.
Le rôle du gouvernement espagnol a été plus subtil que d’acheter simplement la cocaïne de Maduro. Au contraire, cela lui a permis de s’accrocher au pouvoir en lui donnant accès aux marchés européens pour le vendre. Selon Orlando Avendaño du PanAm Post, des membres des forces de l’ordre espagnoles se sont entendus avec des responsables du régime pour canaliser les expéditions de cocaïne de l’État vénézuélien de Sucre vers l’Europe, en utilisant la région nord-est de l’Espagne de la Galice comme point d’entrée.
Ces scoops anonymes cadrent avec un long historique de relations amicales entre Maduro et Podemos, une extrême gauche maintenant au gouvernement espagnol en tant que partenaire junior de la coalition du PSOE de centre-gauche. Ils seraient également cohérents avec l’accès récent de Podemos à l’organe de renseignement le plus élevé d’Espagne, le Consejo Nacional de Inteligencia. Le chef du parti, Pablo Iglesias, a récemment obtenu un siège au CNI .
Dans le reportage révolutionnaire d’Avendaño, Podemos a été le principal bénéficiaire des pots-de-vin de Maduro en échange de la collaboration avec les autorités policières espagnoles pour permettre à la cocaïne de circuler librement. Pendant ce temps, José Luis Rodríguez Zapatero, ancien Premier ministre du PSOE, a travaillé pour légitimer le régime sur la scène internationale par le biais du soi-disant «médiation» aux conditions de Maduro, et les sources d’Avendaño suggèrent que ses backchannels ont peut-être été financés par les profits de la drogue aussi. En outre, Raúl Morodo, ancien ambassadeur d’Espagne à Caracas, fait également face à des accusations pour avoir reçu 34 millions d’euros de paiements pour des services de conseil en grande partie fictifs à PDVSA pendant le mandat de Zapatero en tant que Premier ministre.
L’effet total de cette longue traînée de graissage de la paume a été d’adoucir nettement la position de l’Espagne vis-à-vis du régime de Maduro, une dynamique qui se poursuit encore aujourd’hui. Bien que Madrid ait reconnu Guaidó comme le président légitime du pays – une décision depuis reprise par le Premier ministre Pedro Sánchez -, il a fait pression contre de nouvelles sanctions de l’UE tandis que des membres de haut niveau du cabinet ont été surpris en train de conspirer avec leurs homologues vénézuéliens.
C’était notoirement le cas du ministre espagnol des Transports, José Luis Ábalos, le 20 janvier, lorsqu’il a violé les sanctions de l’UE pour laisser le bras droit de Maduro Delcy Rodríguez atterrir sur l’aéroport de Madrid Barajas – un scandale depuis surnommé «Delcygate». Rodríguez est connue pour avoir saisi l’opportunité de sa présence illégale à Madrid pour faire passer en contrebande quarante bagages à la douane , allégués plus tard par des sources anonymes de l’ambassade du Venezuela à Madrid comme étant remplis de piles d’argent et de documents sensibles.
Le scénario détaillé rassemblant ces événements apparemment discrets pourrait bientôt voir le jour. Il viendra probablement de la bouche de l’un de ses personnages principaux, Hugo Carvajal, surnommé «El Pollo», le chef du renseignement militaire vénézuélien sous Hugo Chávez entre 2004 et 2011. Début mars, un juge espagnol a autorisé son extradition vers l’Amérique pour des accusations de trafic de stupéfiants après lui avoir accordé un refuge sûr en Espagne.
Mais dans l’intervalle, même sans le témoignage révélateur de Carvajal, les États-Unis devraient défier l’Espagne pour les relations amicales de ses dirigeants avec le réseau de narcotrafiquants de Maduro. En octobre de l’année dernière, Bloomberg a rapporté que l’Office of Foreign Assets Control (OFAC) du Trésor américain envisageait des sanctions contre la Banque d’Espagne pour avoir permis aux hauts responsables du régime cherchant à contourner les sanctions américaines à y déposer de l’argent, bien qu’il n’ait pas donné suite à ses mesures. Les arguments en faveur des sanctions contre l’Espagne n’ont cessé de se renforcer depuis.
Sans action punitive contre les responsables de Podemos et du PSOE, Maduro pourrait simplement remplacer les ventes de pétrole par les bénéfices de la cocaïne en tant que principale source de financement renforçant son oppression du peuple vénézuélien. Avec l’activation de la règle tyrannique de Maduro à la vue de tous, le moment est venu pour Washington d’étendre les sanctions à l’Espagne.
Algérie, une saisie record de cocaïne à Oran… Ils ont changé de bateau à Valence, en Espagne

En se basant sur quelques dimensions précises à savoir le lien entre Podemos et la milice du polisario on peut déduire l’origine des 700 kilos de poudre blanche saisies en Algérie.
Kamel Chikhi et Khaled Tebboune, fils d’Abdelmadjid Tebboune « président » de l’Algérie, Khaled Tebboune avait été placé en détention provisoire en juin 2018, un an et demi avant l’élection de son père à la tête du pays…Une véritable mascarade s’est jouée au tribunal de Sidi M’hamed de la capitale Alger quand la cour a tard dans la soirée du février annoncé «l’acquittement» du fils d’Abdelmadjid Tebboune qui répond au doux prénom de Khaled. Le prévenu, était poursuivi dans l’affaire «des promotions immobilières». Le principal accusé, Kamel Chikhi, alias «El Bouchi» (le boucher), a été condamné par contre lui à huit ans de prison ferme.
Plus de 700 kilos de poudre blanche ont été saisies dans un cargo transportant de la viande surgelée. La marchandise appartient à un homme d’affaires au parcours controversé. Récit des événements. Les services des Douanes, de la Marine nationale, des garde-côtes et de la Gendarmerie nationale ont effectué, mardi 29 mai, une saisie de 701 kg de cocaïne au port d’Oran. La drogue était enfouie dans des boîtes rouges avec une inscription « viande halal », chargées dans des containers en provenance du Brésil. Les six containers frigorifiques, en provenance du Brésil, appartiennent à l’homme d’affaires Kamel Chikhi. Ils ont changé de bateau à Valence, en Espagne, pour être rechargés à bord du Vega Mercury, avant de reprendre la mer à destination d’Oran le 25 mai 2018.




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