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Dossier: Le Polisario encourage à commettre des attentats au Maroc… Le ton semble avoir été do

Le Polisario encourage à commettre des attentats au Maroc… Le ton semble avoir été donné par Alger …

Le Polisario encourage les Sahraouis à commettre des attentats dans le sud du Maroc. L’appel porte la signature de Mohamed El Ouali Akeik, le chef de la milice armée du Front polisario.

«La décision de reprendre la lutte armée n’a exclu aucune région. Tous les territoires sahraouis sont une cible légitime pour les combattants de l’armée sahraouie», a-t-il souligné dans des déclarations à la presse à l’occasion de la commémoration d’une fête du Polisario.

«A l’avenir, la guerre inclura les villes occupées où s’activent des milliers de jeunes sahraouis imprégnés de l’esprit patriotique et pleinement préparés à mener des opérations de commando à l’intérieur des villes occupées contre des cibles marocaines», a annoncé Akeik.

Des propos condamnés par l’Association sahraouie de défense des droits de l’Homme (ASADEH).

«C’est une incitation directe à la jeunesse du Sahara de commettre des attaques commandos contre nos villes. Cette grave déclaration confirme l’objectif principal de la direction du Polisario. L’objectif principal est d’instaurer un climat de haine et d’instabilité au sein de la population de notre région», s’indigne l’ONG dans un communiqué.

L’Association sahraouie de défense des droits de l’Homme considère cet appel comme «une apologie à la commission d’actes terroristes».

Le séparatisme et le terrorisme sont les deux faces d’une même médaille (M. Bourita)

Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, M. Nasser Bourita, a mis en avant, mercredi à Marrakech, les liens pernicieux entre terrorisme et séparatisme, y voyant “les deux faces d’une même médaille”.


Le séparatisme et le terrorisme sont très souvent les deux faces d’une même médaille”, a-t-il souligné à l’ouverture des travaux de la réunion ministérielle de la Coalition mondiale contre Daech.

Une tendance inquiétante s’est développée sans susciter l’attention nécessaire : le lien entre terrorisme et séparatisme”, a-t-il mis en garde.

Et M. Bourita de soutenir que “la collusion contre la souveraineté et la stabilité des Etats, outre la convergence des moyens financiers, tactiques et opérationnels, créent une alliance objective entre les groupes terroristes et séparatistes”.

Cela a été confirmé par le nombre croissant d’individus passant des groupes séparatistes aux groupes terroristes et vice-versa, a fait remarquer le ministre, précisant que “ceux qui financent, abritent, soutiennent et arment le séparatisme contribuent en fait à la propagation du terrorisme et compromettent davantage la paix et la sécurité régionales”.

Ne nous y trompons pas : encourager le séparatisme équivaut à une complicité avec le terrorisme”, a averti M. Bourita, lors de ce conclave, qui connait la participation des représentants de plus de 80 pays et organisations internationales.

Cette première réunion de la Coalition mondiale contre Daech en Afrique se tient à l’invitation conjointe du ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’Etranger et du chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken.

La réunion, qui décortique les défis imposés par le terrorisme sous toutes ses formes et le repositionnement de Daech en Afrique, passera en revue les actions entreprises en termes d’efforts de stabilisation dans les zones précédemment impactées par Daech, dans le domaine de la communication stratégique contre la propagande de radicalisation de ce groupe terroriste et de ses affiliés, et la lutte contre les combattants terroristes étrangers.

L’accueil par le Maroc de cet événement international reflète la confiance dont jouit l’approche singulière mise en œuvre par le Royaume sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI en matière de lutte contre le terrorisme.

Ce conclave confirme aussi la ferme détermination du Maroc à coordonner étroitement avec ses partenaires pour éradiquer la menace émanant de Daech, qui vise la sécurité et la stabilité régionales et ainsi lutter contre les sources du terrorisme et d’extrémisme dans le continent..

Le Département d’Etat américain publie sur son site officiel les résultats de la Conférence de Marrakech de la Coalition internationale contre Daech, au cours de laquelle les pays réunis adoptent la proposition du Maroc de considérer les mouvements séparatistes en Afrique comme déstabilisants et favorables au terrorisme.
Les services de renseignements marocains disposent des preuves

Les menaces du polisario ne font que confirmer que c’est une organisation terroriste dont les liens avec les groupes djihadistes au Sahel sont avérés. Les services de renseignements marocains disposent des preuves qui prouvent l’implication des milices du front séparatiste dans des activités djihadistes au Sahel. Habbouh Cherkaoui, patron du Bureau Central d’investigations judiciaires (BCIJ), nous avait confié, dans une interview précédente, que le polisario est devenu un pourvoyeur de djihadistes, formés dans les camps d’Al Rabouni. Le patron du BCIJ avait annoncé que 100 combattants polisariens ont rejoint le groupe Al Qaida

Université d’Agadir : Arrestation de trois individus pour préparation d’agressions criminelles

Trois individus ont été arrêtés lundi par les éléments de la brigade nationale de la police d’Agadir pour possession d’un arsenal d’armes blanches, fabriquées de façon traditionnelle.

Il s’agit d’un chauffeur de taxi et de «deux étudiants » de l’Université Ibn Zohr. ils ont été arrêtés alors que le chauffeur de taxi remettait aux deux étudiants les armes blanches à proximité du campus universitaire. On dénombre environ 23 sabres et coutelas confectionnés dans un atelier tenu par un forgeron de Oulad Taïma, selon l’enquête ouverte par la police après l’arrestation des trois prévenus.

L’un des «deux étudiants» arrêté, est connu des services de police pour ses liens affichés avec des réseaux séparatistes sahraouis (polisario) et qui a déjà publié des photos compromettantes sur les réseaux sociaux pour faire l’apologie des thèses terroristes du polisario . (voir Vidéo)

Selon la police, ces sabres devraient servir dans des «agressions criminelles contre des innocents». Les investigations se poursuivent pour déterminer les conditions dans lesquelles ces armes blanches ont été fabriquées, identifier les éventuels complices et commanditaires des deux étudiants et toutes les personnes impliquées dans cette tentative d’attaque criminelle déjouée.

Un plan machiavélique savamment conçu par le « cerveau », le général, Khaled Nezzar

Le général, Khaled Nizar, le puissant ministre de la Défense sous Chadli Bendjedid, a reconnu dans une vidéo publiée par la chaine algérienne Ennhar Tv que l’Algérie avait préparé un plan volontariste pour pousser le Maroc à abandonner l’idée de construire un mur de sécurité dans son Sahara.

«Plan d’Alger» pour empêcher «le Maroc de construire ses fortifications» ce qui témoigne, s’il en est encore nécessaire, du degré d’implication des militaires algériens, mais qui n’a pas reçu l’ordre d’application de Benjedid.

Avec son collègue de la 3e région militaire, Mohamed Touati, Nezzar met alors en garde son président dans un mémo contenant également des mesures pour empêcher la construction du mur.

Ce plan est basé sur la création d’un état d’instabilité et d’escarmouches à l’intérieur du Maroc avec l’aide des miliciens du Polisario. Pour obliger le Maroc à ne pas déplacer ses forces stationnées à l’époque à Errachidia vers le sud pour sécuriser les étapes de la construction du mur défensif.


Le ton semble avoir été donné par Alger 

La dynamique est claire: Alger pousse le Polisario à intensifier ses actions « militaires – terroristes » contre le Maroc, et lui donne en ce sens une forme de «carte blanche».

Le 5 novembre, dans son émission «Crisis», diffusée sur Al Hayat TV, Mokhtar Mediouni, un officier supérieur du renseignement militaire à la retraite, appelait le Polisario à commettre des attentats à Rabat, à Casablanca et à Marrakech, tandis que l’armée algérienne livrait au mouvement des équipements militaires, dont des véhicules tout-terrain de fabrication russe.

Un ex officie appelle à commettre des attentats, au  carnage et au terrorisme contre le Maroc sur une chaîne de télévision algérienne.

« Déplacez la guerre sur le territoire marocain pour semer le chaos et la terreur à Casablanca, à Marrakech. Si vous voulez l’indépendance, vous devez mourir en martyrs« , a lancé ce colonel aux milices séparatistes du Polisario.

Le colonel algérien, qui appelle les milices du Polisario à commettre des actes terroristes contre le Maroc, est poursuivi pour viol.

« Déplacez la guerre sur le territoire marocain pour semer le chaos et la terreur à Casablanca, à Marrakech. Si vous voulez l’indépendance, vous devez mourir en martyrs« , a lancé ce colonel aux milices séparatistes du Polisario.

Après l’appel au terrorisme dans le Nord du Maroc, des journalistes algériens appellent au terrorisme au Sud du Maroc.Le journaliste et directeur des deux médias Radio M et Maghreb Emergent, Ihsane El Kadi, appelle au terrorisme au Sud du Maroc.

«L’escalade, ce serait d’empêcher le commerce entre le Maroc  et sa profondeur africaine. Donc, mettre en danger la sécurité des commerçants Marocains»

صحفي جزائري آخر يدعو بكل وضوح إلى قتل التجار و السائقين المهنيين المغاربة في #الكركرات. مثل هذه الأمور لا تمر بدون عقاب الا لدى الجماعات الارهابية و العصابات. على #المغرب اتخاذ الاجراءات القانونية و مراسلة الجهات الدولية المختصة.#الجزائر #الصحراء_الغربية #البوليساريو pic.twitter.com/ODyhngDePj — For Western Sahara (@WesternSaharaQ) November 5, 2021

Le chef de l’armée du groupe séparatiste armé Polisario, Mohamed El Ouali Akeik, a déjà été condamné en 1975 par la justice espagnole, pour sa responsabilité dans le sabotage à l’explosif contre le tapis convoyeur de phosphate au Sahara marocain. 

« Une nouvelle menace de la bande armée du Front Polisario qui démontre son caractère fasciste de « Toute personne qui a des intérêts dans le Sahara peut être une cible » » Pedro Ignacio ALTAMIRANO…

Quelques semaines après sa nomination, le 1er novembre 2021, en tant chef de l’armée du Polisario, Mohamed El Ouali Akeik avait annoncé, dans des déclarations à un journal britannique, que «les entreprises et les consulats, les compagnies aériennes et d’autres secteurs (au Sahara) sont tous des cibles potentielles de l’armée sahraouie».

«Toutes les cibles sont légitimes»

Déstabilisé par le coup de massue de la dernière résolution du Conseil de sécurité, le polisario a désespérément opté pour l’option terroriste pour continuer sa croisade contre le Maroc. Le front séparatiste a officiellement menacé le Royaume de commettre des attentats terroristes. Détails.

Si Brahim Ghali « Benbatouch » a alors promis une «intensification des hostilités», son nouveau chef militaire, lui, est allé plus loin en estimant, dans les colonnes du journal britannique The Economist, qu’une «attaque plus profonde» devait être «lancée sur le territoire marocain».

Selon Mohamed El Ouali Akeik, il s’agirait bien plus «qu’une simple possibilité» non pas des «menaces en l’air» ou des «fanfaronnades», précisant que «les entreprises, les consulats, les compagnies aériennes ainsi que d’autres secteurs sont tous des cibles potentielles».

Après sa faillite sur le plan politique et sa débâcle aux Nations unies, le polisario semble vouloir se convertir officiellement en organisation terroriste. Encouragé par la junte miliaire algérienne, le font séparatiste a ouvertement menacé le Maroc de commettre des attentats terroristes sur son sol.  Ces menaces ont émané de Mohamed El Ouali Akeik qui a fait part au magazine britannique « The Economist », de la prédisposition du polisario de perpétrer des actes terroristes pour attaquer plus profondément dans le sud du Maroc.

El Ouali Akeik a menacé de cibler les consulats et les entreprises qui constituent le cœur battant de l’économie marocaine. En effet, les nouvelles menaces interviennent quelques jours après les déclarations belliqueuses du régime algérien et sa caste médiatique qui ne laisse échapper aucune occasion sans inciter le polisario à s’en prendre au Maroc, tout en véhiculant le mythe d’une guerre fictive au Sahara, depuis la libération d’El Guerguerat par les forces armées royales le 13 novembre 2020.

Depuis la création du polisario, la race ethnique a joué un rôle prépondérant dans la hiérarchie de la gouvernance et a toujours était au centre des débats pour désigner une quiconque personne dans un poste de haut rang

Dans cette lignée d’idée qui véhicule la pensée polisarienne, il était évident de voir se développer une certaine concurrence au sein des membres du polisario afin de jouir de la préférence qui se veut légitime

Parmi les plus favorisé, un certain Mohamed Ouali Akeik, né à Laâyoune en 1951, qui faisait partie lui aussi des premiers «miliciens à rejoindre le polisario».

Mohamed Akeik a eu sa plus grande chance dès la mort de Mohamed Abdelaziz puisqu’une fois nommé président de la pseudo « rasd », Brahim Ghali l’a vite projeté en tant que premier ministre en remplacement de Taleb Ould Oumar car il appartient à la tribu Izzarguiyines Tekna, la plus influente au Sahara Marocain aux dépens des Reguibat, Ouled Dlim, Ouled Tidrarine, Ait Baàmrane…Il a donc eu cause à cause de sa lignée tribale, il ne faut pas oublié qu’il a occupé plusieurs postes administratifs mais n’a jamais été au devant de la scène bien qu’il fut du temps du colonialisme espagnol un leader incontesté sinon l’un des fondateur d’un mouvement secret contre l’occupant espagnol.

Akeik, revit de nouveau grâce à Brahim Ghali et peut donc jouir de son nouveau poste de «premier ministre» honorifique, tant qu’il n’a pas assez de capacités intellectuelles pour le diriger, lui qui a continué sa formation militaire en Algérie dans la célèbre caserne de Churchill à Alger

Objet d’un mandat d’arrêt émis en novembre 2016 par le magistrat de l’Audience nationale, José de la Mata.

Mohamed Ouali Akeik, était l’un des sept auteurs de l’attentat terroriste commis, le 19 octobre 1974, contre Phosboucraa et qui s’est soldé par la mort d’un soldat et le rapt de deux civils espagnols.

« Une nouvelle  menace  de la bande armée du Front Polisario qui démontre son caractère fasciste de « Toute personne qui a des intérêts dans le Sahara peut être une cible » » Pedro Ignacio ALTAMIRANO…

L’un des actes les plus saillants à mettre au pedigree de ce sanguinaire, est l’attentat terroriste qu’il a co-commis avec six autres éléments d’un commando du Polisario, le 19 octobre 1974, contre une unité de Phosboucraa alors administré par l’occupant espagnol.

En octobre 2015, le journal canarien La Provincia a publié un reportage marquant l’anniversaire de l’attaque terroriste contre des civils espagnols. La Provincia a également publié un article de presse du journaliste Diego Talavera. Le reportage comprenait des articles de presse sur les auteurs des actes terroristes, dont Ouali Akeik, lauréat de l’Académie militaire Churchill à Alger.

Dans son récit, le journaliste espagnol accorde un intérêt particulier au pedigree de Mohamed Ouali Akeik, qui vient d’être nommé « premier ministre » par le chef du Polisario, objet d’un mandat d’arrêt émis en novembre 2016 par le magistrat de l’Audience nationale, José de la Mata. A ce sujet, notre confrère espagnol énumère les différentes fonctions exercées par ce dernier au sein de l’organisation séparatiste. Entre autres postes de responsabilité, il était « gouverneur » et membre relevant du département de l’intérieur de la présente « RASD », haut responsable de « la 3e région militaire », exerçant la fonction du coordinateur général de « l’armée sahraouie », ancien chef de la sécurité et soi-disant « ministre chargé du territoire et de la diaspora sahraouie ».

Les rapports de « La Provincia » visaient à déterminer à la fois les circonstances exactes de l’attaque et la libération des sept terroristes présumés, qui ont été détenus dans une prison de Las Palmas en octobre et novembre 1975.

L’auteur du rapport précise que les sept membres du Polisario « ont été libérés dans le cadre de l’échange de détenus, entre les autorités espagnoles au Sahara et le Front Polisario« .

Les sept membres du Polisario ont été remis par le colonel Diego Aguirre le 21 novembre 1975 à Ibrahim Ghali et Mahfoud Ali Beiba, à la frontière algérienne avec le Sahara marocain.

En janvier, l’Association canarienne des victimes du terrorisme (Acavite) été reçue par le roi Felipe VI d’Espagne pour l’informer de l’histoire des attentats commis par le groupe séparatiste pendant la colonisation espagnole.

Les attaques de guérilla du Polisario ont repris tout au long des années 70. La présidente Acavite, Lucia Jimenez, a également discuté avec le roi de la situation des veuves et des orphelins aux Canaries à la suite des attaques de guérilla du Polisario.


« Une nouvelle menace de la bande armée du Front Polisario qui démontre son caractère fasciste de « Toute personne qui a des intérêts dans le Sahara peut être une cible » » Pedro Ignacio ALTAMIRANO…


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