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Algérie / 54e vendredi du Hirak: (Théorie du complot), Coronavirus ne fait pas peur aux Algériens.

Une semaine après avoir célébré par de grandes manifestations le premier anniversaire de la naissance du mouvement populaire, une foule impressionnante de Hirakistes a envahi ce vendredi 28 février (54e vendredi) du mouvement populaire, la rue Asselah Hocine à Alger, aux premières marches de l’an II du hirak.

54e vendredi du Hirak: (Théorie du complot), Coronavirus ne fait pas peur aux Algériens. comme en témoigne la Mobilisation et le Tsunami humain à Alger.

Le premier vendredi de la deuxième année du Hirak a été marqué par un maintien de la mobilisation à Alger et à travers de nombreuses villes du pays. Les manifestants maintiennent leurs revendications pour une véritable démocratie, une justice indépendante, la libération des détenus…Les Algériens sont sortis à Alger, Oran, Constantine, Annaba, Tizi Ouzou, Bejaia, Bouira, Sidi Bel Abbés, Setif, El Oued, Boussaâda, Khenchela, Médéa, Guelma, Biskra, Saida, Mostaganem, Tiaret…


«Les généraux, à la poubelle, we Dzair teddi l’istiqlal !» (Les généraux à la poubelle et l’Algérie accédera à l’indépendance), «Qolna el îssaba t’roh, ya hnaya ya entouma !» (On a dit que la bande doit partir. C’est nous ou bien vous), ont scandé les milliers de manifestants venus des quartiers de Bab El Oued et la Casbah.

Pendant sa première année, le hirak a dû en effet faire face à toutes sortes d’aléas qui pourraient expliquer les baisses successives de la mobilisation : mauvais temps, grosses chaleurs, ramadhan, blocage de la capitale, répression, arrestation de manifestants et d’activistes…

Le coronavirus n’a pas disperser le Hirak

Théorie du complot: En Algérie, sur les réseaux sociaux, où le principal sujet de discussion est toujours le Hirak, on s’interroge plutôt sur une éventuelle interdiction des marches pour empêcher la propagation du Covid-19.



54e vendredi à Alger : Plusieurs manifestants interpellés.

Au moins six manifestants ont été interpellés vendredi 28 février 2020 à Alger Centre, indique le Comité national pour la libération des détenus (CNLD). Les personnes embarquées ont été interpellées parmi les premiers manifestants descendus pour le 54e vendredi de suite du mouvement populaire.

« Arrestation de Nadjib Benmeddour devant la mosquée Errahma (Meissonier) Alger et cinq autres personnes à Rue Victor Hugo », précise le CNLD sur sa page Facebook.

Les deux ex détenus Toufik Hassani et Mohamed Hellal ont été arrêté à la marche de Saïda.


Plusieurs personnes interpellées autour de la rue

« Plusieurs interpellations à Saïda dans un restaurant où des activistes été en train de dîner à la veille de la marche du vendredi 28 février. La police est venue récupérer les enregistrements vidéo du restaurant pour traquer les activistes. Trois personnes arrêtées pour le moment : Alal Kadri, Ahmed Menasri, Mohamed Attoui », a indiqué hier soir le CNLD.

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