Drogues et sensations : le nez dans tous ses états,…Au moment où les effets de la cocaïne diminuent, le nez commence à couler.
Abdelmadjid Tebboune, le président (mal élu et décrié) nommé par la mafia militaro-politico-mediatico-financière algérienne, a été très humilié lors de sa première visite officielle en Turquie. A l’heure où le président turc Recep Tayyip Erdogan reçoit ses visiteurs des chefs d’Etat, la présidence turque a désigné un conseiller à la Cour présidentielle pour recevoir le chef Algérien.
Cette visite intervient immédiatement après que le ministre turc des Affaires étrangères a affirmé à Marrakech qu’Ankara soutient l’intégrité territoriale du Royaume du Maroc, en marge de la réunion de la coalition internationale de lutte contre l’Etat islamique à Marrakech.
Drogues et sensations : le nez dans tous ses étatsLes complications nasales de la cocaïne surviennent en cas d’usage prolongé et intensif.
La muqueuse nasale, richement vascularisée, est un site privilégié de pénétration de médicaments mais aussi de diverses substances psycho-actives (cocaïne, héroïne, solvants). Le “sniff” est préféré à l’injection intraveineuse pour tenter de réduire, entre autres, les risques infectieux. La prise nasale (“snorting”) met des drogues sous forme de solide, comme la cocaïne, au contact de la muqueuse nasale. L’inhalation de colles ou de divers solvants est aisée et procure de puissants effets. Ces pratiques courantes posent des problèmes tant médicaux que sociaux, et chaque intervenant sanitaire peut être partie prenante du traitement en explicitant les risques et les mécanismes des conduites addictives.
Le fait de sniffer de la cocaïne provoque l’occlusion des vaisseaux des narines. Au moment où les effets de la drogue diminuent, le nez commence à couler. Les tissus se détruisent peu à peu et la cloison nasale peut se perforer. Il arrive que le sujet perde une partie de son odorat.
Les complications nasales de la cocaïne surviennent en cas d’usage prolongé et intensif. La cocaïne, outre ses effets euphorisants et psychostimulants, est sympathicomimétique et analgésique. Ses effets vasoconstricteurs provoquent une hyperhémie de la muqueuse nasale avec rhinite réactionnelle et, si les prises se poursuivent, une rhinite chronique associant une rhinorrhée, des reniflements, une hyposmie et des épistaxis récidivantes. La cocaïne exerce un effet délétère sur la muqueuse nasale, mais aussi sur l’os et le cartilage (contraction de la musculature lisse, en particulier une puissante ischémie vasculaire). Elle induit un état prothrombotique avec une stimulation de l’activité plaquettaire, et un déséquilibre entre les facteurs pro- et anticoagulants favorisant thrombose et ischémie.
Quand les algériens se moquent du «président cocaïne»
Cinq pour cent des usagers de cocaïne ont une perforation de la cloison nasale, qui peut s’étendre au palais osseux et/ou mou, et est alors responsable de dysphagie et de reflux oro-nasal. Les infections naso-sinusiennes sont favorisées par l’irritation chronique, par les traumatismes engendrés par le matériel de prise et par les effets délétères de la cocaïne sur le transport mucociliaire nasal. L’état ischémique facilite le développement de germes anaérobies.
Recep Tayyip Erdogan un « dîner officiel » en l' »honneur » d’Abdelmadjid Tebboune, qui effectue une visite de trois jours en Turquie, du 15 au 17 mai.
NB: Le président turc effectuera, ce mardi 17 mai, une visite à Abu Dhabi pour présenter ses condoléances suite au décès du cheikh Khalifa Bin Zayed Al Nahyan, président des Emirats arabes unis, peut-on lire dans un communiqué officiel.
Selon le communiqué publié, lundi, par la Direction des communications de la présidence turque, Recep Tayyip Erdogan tiendra également, au cours de sa visite de mardi, une réunion bilatérale avec son homologue émirati Mohamed bin Zayed Al Nahyan.
Sur les réseaux sociaux, les Algériens furieux