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Une monnaie arabe unique: la question intelligente de Poutine et la réponse idiote de Tebboune


Le temps remet chacun à sa place:
  • Les Rois sur leur trône;

  • Les bouffons dans leur cirque.

Le "mal élu et décrié" Abdelmadjid Tebboune a affirmé ,à l’occasion d’une rencontre à Kremlin avec son le président russe Vladimir Poutine, que l’Algérie souhaitait l’accélération de la procédure de son adhésion au BRICs.

Dans son allocution prononcée lors d’une rencontre avec Poutine, Tebboune a dit que vu la situation trouble à l’échelon international, l’algérie souhaitait qu’il soi accéléré la procédure de son accession au BRICS et sortir de l’hégémonie de l’euro et du dollar.

Le "mal élu et décrié" a insisté, durant toutes ses interventions lors de cette visite, sur la «nécessité d’accélérer le processus d’adhésion de l’Algérie au groupe des BRICS afin d’entrer dans un système autre que celui du dollar ou de l’euro. Cela aura des effets positifs pour notre l’économie».

Une monnaie arabe unique: la question intelligente de Poutine et la réponse idiote de Tebboune

Comment remettre quelqu’un à sa véritable place sans envenimer les choses!!!

"Une place pour chaque chose et chaque chose à sa place." Samuel Smiles

Le "mal élu et décrié" Abdelmadjid Tebboune a exprimé son souhait qu’il y ait des décisions concernant l’établissement d’une monnaie unique arabe, dans sa réponse à une question au Forum économique de Saint-Pétersbourg (Russie).

Tebboune a indiqué qu’il existe de nombreuses monnaies fortes dans le monde arabe, telles que les monnaies saoudienne et émiratie. Le président Tebboune a déclaré : « J’espère qu’il y aura une seule monnaie arabe ».

La valeur du Dinar algérien s’effondre

Depuis l’indépendance de l’algérie, la planche à billets ne s’est jamais arrêtée, conduisant le pays à avoir d’énormes quantités de billets en circulation et une dévaluation graduelle de la monnaie nationale, le dinar, ainsi qu’une l’inflation incontrôlable. Actuellement, 1 euro équivaut à près de 200 dinars.

Le cours du dinar a enregistré une forte baisse ces derniers mois face à la monnaie européenne, sur le marché parallèle des devises (square) en algérie, ainsi qu’à la banque centrale.

Cette dernière affiche que la monnaie européenne unique, l’euro, s’échange contre 144.99 dinars algériens (DZD) à l’achat et contre 145.06 dinars algériens (DZD) à la vente.

S’agissant de la sphère informelle du marché de la devise Square Port-Saïd. , les cambistes échangent l’euro contre 224.00 dinars algériens (DZD) à l’achat et contre 225.50 dinars algériens (DZD) à la vente.

La banque centrale algérienne qui n’a aucun pouvoir puisque sur le terrain ce sont les marchands ambulants du « square » qui déterminent le taux de change du dinar algérien, et cela est connu et même légal.

Tebboune a également exprimé son souhait que l’algérie rejoigne le plus tôt possible l’organisation des BRICS, afin que notre économie soit libérée de certaines pressions.

La réponse à l'algérie de rejoindre ce groupe composé de cinq pays – en l'occurrence le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud – est connue. Une réponse qui n'a toutefois pas tarder!!!. Lors du sommet de ce groupe économique restreint qui s'est tenu les 2 et 3 juin au Cape Town, en Afrique du Sud.

L'adhésion aux BRICS est conditionnée par certaines données économiques.

En effet, les dirigeants de ce groupe économique qui monte en puissance vont devoir examiner, lors de ce sommet, l’éventualité d’élargir leur coalition en intégrant de nouveaux membres. L'algérie n'est pas le seul pays intéressé. Ils sont 19 pays à exprimer leur volonté de faire partie de ce groupe très en vue dans cette conjoncture économique mondiale. Parmi ces 19 pays, seulement 13 ont déposé des demandes officielles (dont l'algérie), selon l’ambassadeur sud-africain au sein des BRICS, Anil Sookal.

Le ministère chinois des Affaires étrangères avait annoncé, début mai dernier, le début d’un processus d’élargissement du groupe des BRICS. Dans ce cadre, des dirigeants de plusieurs pays en développement, dont l’Arabie saoudite, l’Argentine, l’Égypte, l’Indonésie, le Kazakhstan, le Nigeria, le Sénégal, la Thaïlande et les Émirats arabes unis (EAU), avaient participé, le 23 mai, à une conférence virtuelle baptisée «BRICS Plus», et présentée par Pékin comme «une nouvelle phase du processus de l’élargissement des BRICS».


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