top of page

Tunisie - Algérie: la chasse aux migrants subsahariens lancée. L'omerta du parlement européen


Algérie-Tunisie : Un racisme très contagieux ! Les masques sont désormais tombés.

Nourri par l’histoire et les difficultés sociales, aggravé par les autorités, le rejet des migrants subsahariens reste prégnant en Algérie et en Tunisie.

Tunisie

Quand ces ONG publiaient ce communiqué, appelant les «autorités tunisiennes à lutter contre les discours de haine», elles ne se doutaient certainement pas que le discours raciste allait être porté, quelques jours plus tard, par le président tunisien, himself. Cela procède d’un racisme d’Etat.

Kais Saied met ses menaces à éxécution, des ressortissants d'Afrique subsaharienne ont commencé à être expulsés de leurs domiciles.

"Nous voulons rentrer au pays"

Algérie

Des ONG européennes et des organismes de défense des droits de l’homme ont saisi, les instances onusiennes et la communauté internationale pour dénoncer le traitement dégradant et inhumain infligé par les autorités algériennes aux migrants subsahariens.

Rappelons qu’il y a quelques années, l'Algérie avait organisé une vaste opération d'expulsion de migrants subsahariens, «dans un contexte de violence et de brutalité qui choque la conscience universelle», dénonçait une coalition d’ONG africaines actives à Genève. Des ONG européennes et des organismes de défense des droits de l’Homme avaient même saisi les instances onusiennes et la communauté internationale pour dénoncer le traitement dégradant et inhumain infligé par les autorités algériennes aux migrants subsahariens. Dans des opérations menées de manière organisée par les autorités algériennes, des centaines de migrants arrêtés arbitrairement avaient été abandonnés en plein désert dans la zone frontalière au sud du pays pour les inciter à quitter le territoire.

L'omerta honteuse du parlement européen... "Paroles de Le gaz"

Le Parlement européen, si prompt à brailler et à s’immiscer dans les affaires internes du Maroc, a bien là de quoi s’occuper.

  • Alors, fustigera-t-il la Tunisie et les propos honteux portés par son président ?

  • Condamnera-t-il les violations des droits de l’Homme dont sont victimes les Subsahariens dans ce pays ?

  • Dénoncera-t-il les violations des conventions internationales par ce pays ?

Permettez-nous d’en douter. Simplement parce que l’alliée de circonstance actuel de la Tunisie, l’Algérie pour ne pas la citer, fait autant, sinon pire. Et en toute impunité, sous le regard approbateur de ces eurodéputés qui veulent s’ériger en donneurs de leçons.



bottom of page