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Sénégal 🆚 Côte d'Ivoire: «Tuez-les. Tuez-les...» Le commentateur🎙algérien Hafid Derradji

Respect, tolérance, paix, générosité, union, sacrifice et réussite, et ce par la magie du football.

Depuis des décennies, le football est considéré comme le sport mondial le plus populaire, associé à une passion inégalée et à une émotion sans égale. Mais ce sport peut-il servir à promouvoir la paix, la tolérance…?

Les mauvaises graines

Le dérapage de trop de l’ambivalent Hafid Derradji, commentateur sportif algérien de beIN Sports: «Tuez-les. Tuez-les...»

De commentateur sportif, Hafid Derradji s’est métamorphosé depuis quelques années en propagandiste à la petite semaine du régime algérien. Ultra-présent sur les réseaux sociaux, le journaliste de la chaîne qatarie beIN Sports franchit à chaque fois une nouvelle étape dans l’abomination et l’insulte à l’encontre du Maroc et même des Marocains.

Cet hurleur de Doha, qui fait preuve de prudence depuis son signalement par plusieurs parties à la direction de la chaîne qatarie a choisi les réseaux sociaux et certains médias «amis» pour faire dans la diffamation et le mensonge. Une ambivalence que le grand public a rapidement identifiée.

"Nos stades se reposent de vos odeurs", le commentaire raciste et choquant d'un média algérien

Le titre d’une rare haine raciste du quotidien algérien arabophone Echourouk "le média de propagande algérienne proche du pouvoir" le plus vendu d'algérie fait le tour du monde, certains médias et plusieurs pages sur les réseaux sociaux ne se privant pas de qualifier l’algérie de pays haineux et raciste.

C’est grave !!!

Frustrée par l’attribution de la CAN 2025 au Maroc et une organisation conjointe en 2027 entre le Kenya, la Tanzanie et l’Ouganda, la page facebook « Echourouk » a déversé sa bile raciste contre l’ensemble des populations africaines.

Le wali d'Oran, Said Saâyoud, avait offert à l'hôte d'Oran, un burnous en signe de bienvenue... Un cadeau empoisonné

Le président de la Confédération africaine de football (CAF) Patrice Motsepe est arrivé à Oran pour assister à la demi-finale du CHAN entre l’algérie et le Niger. Le wali d'Oran, Said Saâyoud, avait offert à l'hôte d'Oran, un burnous en signe de bienvenue.

Un cadeau empoisonné

Le président de la Confédération africaine de football (CAF) Patrice Motsepe, n'a pas échappé à cette tendance.

En effet, le journaliste algérien HAFSI AHMED a insulté Patrice Motsepe en la traitant de Bouc

"Ramene le burnous, Toi Bouc. You goat, bring back the burnous." a tweeté HAFSI AHMED, Journaliste algérien, basé à Londres, ayant travaillé pour plusieurs chaînes de télévision arabes et algériennes, présentateur et producteur d'émissions politiques.

Patrice Motsepe, né le 28 janvier 1962 à Soweto, est un avocat, homme d'affaires et dirigeant sportif sud-africain.

Il est président d'African Rainbow Minerals, qui fait le commerce de l'or, du platine, de fer et du cuivre, ainsi que du charbon. Il possède également le club de football sud-africain Mamelodi Sundowns, dont il est président.

Il est président de la Confédération africaine de football depuis le 12 mars 2021.

Rappel: Voilà comment le journal le plus vendu d’algérie a titré la défaite du Cameroun: « Le Cameroun retourne dans sa jungle… »

Le journal algérien « Echorouk » avait titré « les Camerounais retournent dans leur jungle, sans pois chiche ni haricots » après la défaite des Camerounais à la Coupe du monde 2022. Derrière ce titre raciste, une inimitié héritée de la défaite des Algériens contre le Cameroun, aux barrages de la prestigieuse compétition.

Ils n'attendaient que ça ? Après la défaite du Cameroun dans la Coupe du monde, vendredi 2 décembre au Qatar un journal algérien très populaire, Echorouk, a titré : « les Camerounais retournent dans leur jungle, sans pois chiche ni haricots ».

Un titre largement décrié sur les réseaux sociaux pour son caractère particulièrement raciste. Il a été retiré et remplacé ce mardi par un laconique: « Le Cameroun quitte la Coupe du monde au premier tour. ».

Le lanceur d'alerte et propriétaire du compte Twitter qui a largement diffusé l'information, Carl Johnson, assure avoir été « menacé de mort » depuis qu'il a alerté sur ce titre sur le réseau social.

"Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens"
  • Signification

Formule employée chaque fois que sont indifféremment visés des coupables et des innocents.

Formule censée justifier une action violente menée de manière arbitraire

  • Origine

Que de crimes ont été commis et continuent à l'être au nom d'un dieu quelconque !

Cette expression, dont la forme complète est « Tuez les tous, Dieu reconnaîtra les siens ! », est généralement attribuée à Arnaud Amalric, abbé de Cîteaux et légat du Pape Innocent III, et aurait été prononcée le 22 juillet 1209 lors de la prise de Béziers, dans l'Hérault.

À cette époque, le pape avait décidé d'éliminer les Cathares, ces hérétiques proclamés comme tels en raison de leurs pratiques religieuses non conformes à celles de l'Église catholique et, aussi, du succès de leur doctrine dans le sud de la France. Partie de Lyon, la croisade contre ces hommes commença à Béziers en 1209 et se termina réellement après la prise de la forteresse de Quéribus en 1255, précédée de celle de Montségur en 1244 (même si un traité signé en 1229 était supposé mettre fin à cette chasse aux hérétiques qui continua pourtant à travers l'Inquisition, d'autant plus que le catharisme restait vivace dans le Languedoc).

Mais à Béziers, donc, une fois la ville tombée, alors que de nombreux Cathares s'étaient réfugiés parmi la population des véritables chrétiens [1], lorsque la décision fut prise de tuer tous ces derniers, le baron de Monfort demanda à Amalric comment faire pour différencier les hérétiques des bons catholiques. Et c'est là que ce dernier aurait répondu cette phrase devenue célèbre : «Tuez les tous, Dieu reconnaîtra les siens ! ».

[1] Les catholiques, pour indiquer qu'ils n'entendaient pas céder aux diktats du roi de France et à ses représentants, avaient refusé de livrer les hérétiques à Amalric.


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