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«Rira bien qui rira le dernier»: Pedro Sanchez gagne une première bataille au Parlement espagnol


Après avoir passé de bonnes vacances au Royaume du Maroc

Pedro Sánchez est arrivé à Marrakech pour une visite privée qui l'a conduit dans plusieurs endroits de la ville ocre et de la région de l’Haouz avant de terminer sa visite à Tétouan au nord du Royaume.

Pedro Sanchez gagne une première bataille au Parlement espagnol

Première manche remportée pour Pedro Sánchez. Le Premier ministre espagnol sortant a gagné son pari jeudi lors de l’ouverture de la session parlementaire, en faisant élire à la présidence de l’Assemblée la candidate socialiste, Francina Armengol, grâce à un accord de dernière minute avec le parti représentant l’aile dure de l’indépendantisme catalan.

Francina Armengol, ancienne présidente de la Communauté autonome des Iles Baléares, a obtenu 178 voix sur 350. La socialiste a eu le soutien des députés de son parti, de Sumar, de la Gauche républicaine catalane (ERC), d’Ensemble pour la Catalogne (Junts), de Bildu, du Parti nationaliste basque (PNV) et du Bloc nationaliste de Galice (BNG).

«Rira bien qui rira le dernier»... Acharnement des relais médiatiques de la junte militaire algérienne contre Pedro Sánchez

Les relais médiatiques du régime militaire algérien semblent avoir perdu le nord, en témoigne des articles absurdes publiés lors des élections régionales et municipales..

La candidate du Parti socialiste a été élue jeudi présidente du Congrès des députés, un succès pour le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez qui augure de ses chances d'être reconduit prochainement à la tête du gouvernement.

Francina Armengol, 52 ans, a recueilli dès le premier tour 178 voix, soit deux de plus que la majorité requise, grâce aux voix des sept députés de Junts per Catalunya (JxCat, Ensemble pour la Catalogne), le parti dirigé par le leader indépendantiste Carles Puigdemont, exilé en Belgique et recherché par la justice espagnole depuis l’échec en 2017 d’une tentative de sécession de la Catalogne.

Echec de la droite

Cet accord entre le parti socialiste et celui de Carles Puigdemont est important car il donne une première indication positive sur les chances du Premier ministre d’être de nouveau investi Premier ministre dans les prochains jours et d’éviter ainsi de nouvelles élections.

Le rival de Pedro Sánchez, Alberto Núñez Feijóo, leader du Parti populaire (droite), qui revendique lui aussi le poste de Premier ministre, a connu un échec cinglant lors de cette session d’ouverture du Parlement. Sa candidate à la présidence de l’assemblée, Cuca Gamarra, qui espérait obtenir 172 voix et pensait donc pouvoir l’emporter en cas d’abstention des députés de Junts, n’a finalement recueilli que 139 voix, à savoir celles des 137 députés du PP et celles des élus de deux petits partis régionaux. Les 33 députés de Vox, parti d’extrême droite dont dépendait le PP, ont, en effet, décidé de voter pour leur propre candidat.






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