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Pourquoi aucun pays des BRICs n'a soutenu l’adhésion de l’algérie à ce bloc géostratégique‼⁉


L’Argentine rejoint les Brics, soutenue par l’Afrique du sud, le Brésil et l’Inde

Selon l’ambassadeur indien à Buenos Aires, trois des cinq pays composant les BRICs (Brésil, Inde, Chine et Afrique du Sud) étaient favorables à une adhésion de l’Argentine à ce groupe de puissances économiques émergentes.

« Il existe un consensus croissant pour que l’Argentine rejoigne ce groupe d’économies émergentes » , a en effet expliqué l’ambassadeur indien à Buenos Aires Amarenda Khatua sur la chaîne de télévision Telesur.

Chose promise, chose due

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Candidature de l’algérie...Les BRICs opposent un niet catégorique

Si le rejet de la candidature algérienne était attendu, il n’en constitue pas moins un échec pour le président Tebboune, qui avait fait de l’adhésion de son pays aux Brics son cheval de bataille..

Les BRICs opposent un niet catégorique. La demande de l’Algérie de faire partie des Brics n’a pas été retenue. Le président sud-africain, Cyril Ramaphosa (Ami intime de l'algérie), a annoncé ce 24 août, lors du sommet des principales économies émergentes qui se tenait à Johannesburg, l’adhésion de:

  • l’Iran;

  • l’Argentine;

  • l’Égypte;

  • l’Éthiopie;

  • l’Arabie saoudite;

  • l'Émirats arabes unis.

aux BRICs (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) à compter du 1er janvier 2024.

Une question revenait sur toutes les lèvres: selon quels critères les dirigeants du groupe ont fait leur choix ? Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a donné la réponse.

Lors d’une conférence de presse tenue hier (jeudi 24 août) à l’issue du sommet des BRICS en Afrique du Sud, le MAE russe a ainsi indiqué que « les considérations les plus importantes pour accepter l’adhésion d’un pays candidat étaient son prestige, son poids (politique), et bien sûr, sa position sur la scène internationale ».

Dans un discours, Ramaphosa a déclaré que l'Argentine, l'Égypte, l'Éthiopie, l'Iran, l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis seraient invités à rejoindre l'alliance des BRICs, composée du Brésil, de la Russie, de l'Inde, de la Chine et de l'Afrique du Sud. À compter du 1er janvier 2024, ils deviendront membres.

La nouvelle du refus de l’algérie était plutôt attendue dans la mesure où Abdelmadjid Tebboune avait décidé de ne pas participer à l’événement, préférant y dépêcher son ministre des Finances. Le chef de l’État algérien avait pourtant fait de la candidature de son pays l’une de ses priorités politiques et diplomatiques.

L’optimisme de Tebboune était d’ailleurs tel qu’en décembre 2022, il déclarait aux médias locaux que « l’année 2023 sera couronnée par l’adhésion de l’Algérie aux Brics ».

Le stand algérien organisé par le ministère du Commerce et de la Promotion des exportations algérien en Afrique du Sud, dans le cadre du 15e Sommet des Brics
Abdelmadjid Tebboune, a affirmé jeudi 22 décembre 2022, lors de son entrevue périodique avec les représentants des médias nationaux, que « l’année 2023 sera couronnée par l’adhésion de l’algérie aux BRICS ».

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