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Marocains du Monde: Il faut sauver le « soldat » Ryan

Il faut sauver le « soldat » Ryan

Il faut sauver le « soldat » Ryan (Saving Private Ryan) est un film de guerre américain réalisé par Steven Spielberg, sorti en 1998.

Le temps de travail en Europe : des chiffres difficilement comparables

Chaque pays possédant une législation particulière concernant le monde du travail, l’emploi en général et une économie différente ; il est difficile de comparer de manière concrète les pays les uns aux autres.


Aux Pays-Bas, on travaille en moyenne 30 heures par semaine Le pays, pourtant considéré comme très libéral, mise largement sur les atouts de ces activités non salariées. Le temps libre gagné laisse en outre la possibilité de développer d’autres activités comme l’autoentreprenariat, le travail indépendant ou les engagements associatifs.

Ces heures travaillées permettent, d’après Michaëla Merkus, chargée d’étude chez Movisie, organisme néerlandais de recherche sur le volontariat, d’assurer dans un monde capitaliste de nombreuses activités essentielles non rentables qui reposaient traditionnellement sur la collectivité. Elles offrent la possibilité de reproduire des solidarités locales en recréant du lien social et de la proximité.

Le volontariat, traditionnellement très institutionnalisé aux Pays-Bas, permet de renforcer certaines missions de l’Etat. Il est essentiel au bon fonctionnement de la société néerlandaise, dont l’indice de développement humain (IDH), qui prend en compte le niveau de richesse, de santé et d’éducation, la place au 5e rang mondial en 2014, quand la France n’en occupe que le 22e.

Néanmoins, la crise économique a dévoyé la démarche initiale de réduction du temps de travail. La difficulté à s’insérer sur le marché de l’emploi incite de nombreux jeunes à effectuer du volontariat pour enrichir leur CV et accroître leur employabilité. L’Etat lui-même, dans un contexte d’austérité budgétaire, se désengage d’un nombre croissant d’activités, notamment dans le secteur de la santé, de l’éducation ou de la culture, que des bénévoles doivent donc reprendre.

Faut-il se tuer au travail pour bien gagner sa vie ?Il faut travailler dur pour arriver à survivre en Europe

Consultant, commercial, coiffeur, web designer, traducteur…, les free-lances sont-ils libres de leur temps de travail ou doivent-ils bosser d’arrache-pied pour s’en sortir…des exemples: Sandra T., coiffeuse à domicile Son rythme de travail. « Ma règle d’or, c’est de ne jamais travailler le dimanche. Le reste de la semaine, je dois me montrer hyper disponible pour mes clients. Je peux commencer à 6 h 45 le matin, coiffer entre midi et deux ou le soir tard, parfois jusqu?à 21 h 30, une fois les gens revenus de leur travail. Comme j?aime mon métier, je ne refuse jamais aucune demande. Certains en profitent, il faudrait que j?apprenne à dire non. Parcourir des dizaines de kilomètres pour une coupe hommes à 9,90 euros n’est pas raisonnable. » Emile G., administrateur système, 29 ans Son rythme de travail. « Je n’éprouve pas de culpabilité à prendre des vacances mais j’ai toujours en tête que le client est mon gagne-pain et qu’il n’a que faire que je sois en vacances ou pas. Je ne décroche jamais vraiment, à moins de partir très loin. Dans la semaine, je peux faire des horaires de bureau (de 9 à 19 heures) comme les trois-huit. Je ne travaille jamais le week-end. Profiter de mon épouse et de mes deux enfants de 6 et 8 ans est vital pour moi. » Géraldine R., web designer, 28 ans Son rythme de travail. « J’atteins jusqu’à 70 heures par semaine. Comme je travaille à domicile, je ne vois pas le temps passer, je déborde sur les heures de repas. L’avantage, avec mon métier, c’est que grâce à de bons feed-back de clients, on me confie sans cesse de nouveaux projets. Je me suis lancé en free-lance il y a six ans avec deux ou trois clients et je n’ai plus jamais démarché depuis. Je ne panique pas lors des périodes de creux. J’en profite pour partir en vacances illico ! Je prends au moins deux semaines en août. » Eric D, agent commercial dans l’industrie, 42 ans Son rythme de travail. « Mon activité dicte mes horaires, et non l’inverse. Il y a des semaines à 70 heures comme d’autres à 35 heures. Je fais une centaine de déplacements par an dans toute la France chez les prospects, ainsi qu’en Allemagne, au siège de l’entreprise pour qui je suis agent commercial. Pas un jour qui ne ressemble à l’autre. A mon bureau, je me donne très peu de libertés à l’intérieur de mes horaires de travail. Si je sature, je ne vais pas aller au ciné en cours de journée. Et sauf un déjeuner de prévu, je mange devant mon ordinateur. Par principe, je ne veux pas perdre une minute. »

Sandrine C, traductrice, 35 ans

Son rythme de travail. « Je ?fais du 9 heures-19 heures?. La souplesse inhérente à mon statut me permet toutefois de m’octroyer parfois deux heures dans la journée pour faire une course ou voir une copine. L’inconvénient, c’est que cela peut me rajouter du travail le week-end : il faut bien rattraper le temps perdu. Je prends six semaines de congé par an. Je pose les dates longtemps à l’avance et organise mon planning en fonction, jamais l’inverse. »

Guy Uzan, consultant en management, formation et commercial, 55 ans Son rythme de travail. « J’apprécie de bosser en moyenne douze heures par jour, soit environ six heures de moins que lorsque j’étais salarié. Mais, surtout, dans ?free-lance?, il y a ?free?. J’ai vraiment ce sentiment de liberté. En plus du week-end, je me prends un jour par semaine pour moi et personne d’autre. Je vais au cinéma, je me balade? c’est un vrai temps de respiration. »

Il faut sauver le « soldat » Ryan

Pays-Bas – Chômage:  Ce document vous informe à propos des allocations aux Pays-Bas si vous êtes au chômage.

Dans quelle situation ai-je droit à une allocation ? Si vous êtes devenez chômeur aux Pays-Bas, vous pouvez bénéficier d’une prestation de chômage en vertu de la loi sur le chômage (WW, Werkloosheidswet).

À quelles conditions dois-je satisfaire ? Pour une indemnité WW, les conditions suivantes s’appliquent notamment:

  1. vous êtes assuré pour le chômage. C’est le cas si vous travaillez comme salarié et n’avez pas encore atteint l’âge de la pension (âge AOW);

  2. vous avez perdu au moins 5 heures de travail par semaine (et le salaire correspondant) (dans le cas de travailleurs travaillant un maximum de 8 heures par semaine, la condition est d’avoir perdu au moins la moitié des heures de travail);

  3. vous êtes disponible pour travailler sur le marché néerlandais du travail;

  4. vous devez éviter d’être sans emploi ou de le rester, par exemple, en postulant suffisamment pour un travail adéquat;

  5. vous avez travaillé au moins 26 semaines durant les 36 semaines avant d’être au chômage (si

  6. vous avez travaillé durant cette période dans un autre État membre, cela compte pour l’évaluation du droit à l’indemnité de chômage comme si vous aviez travaillé aux Pays-Bas);

  7. vous n’êtes pas au chômage par votre faute.

Vous n’avez pas droit à une indemnité de chômage si vous:

  1. recevez une allocation de maladie ou d’invalidité;

  2. avez atteint l’âge AOW;

  3. vivez en dehors des Pays-Bas;

  4. ne séjournez pas légalement aux Pays-Bas;

  5. êtes en prison.

À quoi ai-je droit et comment y prétendre ? Vous recevez 75 % de votre dernier salaire par jour (jusqu’à un maximum de 214,28 EUR) pendant les 2 premiers mois, puis 70 % du dernier salaire.

Une année d’emploi donne droit à un mois d’indemnité de chômage après les 10 premières années. À partir de la 11e année, une année donne droit à 1,5 mois d’indemnités de chômage (avec un maximum de 24 mois). Vous avez reçu un salaire pour au moins 208 heures de travail pendant au moins 4 des 5 dernières années avant l’année où vous êtes tombé au chômage ? Vous avez droit à un prolongement de l’indemnité WW.

Il faut sauver le « soldat » Ryan
Les réponses sont là:Une association commerciale qui exerce une activité économique et lucrative

Ryan, depuis 2009, Président du Mouvement des M.R.E. démocrates sans jamais renouveler le bureau de l’association.

Beaucoup de nos compatriotes vivant à l’étranger qui bossent dur, ont du mal à joindre les deux bouts, alors que d’autres sans emploi s’offrent le luxe.

Selon nos sources, certains de nos compatriotes résidant à l’étranger s’adonnent à l' »affairisme » et à des activités douteuses — tout prêt à se donner au diable, —


Un tour du monde tout frais payés.

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