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Mali - algérie: «la CIJ n'a pas été saisie d'une introduction d'instance d'une plainte contre l'Algérie» Le Berger mauvais plaisant.

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Depuis juillet 1962, invariablement, obstinément le régime militaire algérien érige le mensonge comme une doctrine d’État. D’abord à l’égard de son propre peuple, ensuite vis-à-vis de la communauté mondiale. Des livres, par centaines, des articles et témoignages par milliers n’ont jamais réussi à avoir raison de l’immense mensonge d’État algérien avéré dans une irréductible détermination à nous fourvoyer, dispendieux pétro-dollars à l’appui, à imposer l’hégémonisme algérien… Mensonge et vanité…

Passe encore que l’Algérie est le pays qui a inventé la démocratie dans le monde comme les Chinois la poudre. Passe encore qu’elle est la première puissance en Afrique ! Qu’elle est la seule à soutenir la cause palestinienne et en mesure de produire chaque jour désormais – promesse solennelle et farfelue de Tebboune devant la 78ème Assemblée générale des Nations unies – 1,3 Milliard de mètres cubes d’eau de mer dessalés, de quoi faire pâmer d’envie toutes les puissances du monde…

L’impudente tradition du mensonge a été la caractéristique essentielle du régime militaire algérien

De quoi susciter moqueries et stupéfaction ou l’ire de son propre peuple. Il n’y manquait, à coup sûr, que les sifflets des rares auditeurs présents dans une salle au cérémonial vidé de sa vocation et de sa dimension habituelle. Mais encore, oui pendant que l’on y est : le délire incandescent, l’ignorance absolue, la falsification des chiffres vrais, leur maquillage, et le mensonge d’État livré à un peuple désabusé.

L’Algérie et le Mali affichent des récits divergents au sujet de l’affaire du drone militaire malien abattu début avril par l’armée algérienne.

Dans la nuit du 31 mars au 1er avril, un aéronef de type drone immatriculé TZ-98D des forces armées et de sécurité du Mali est abattu dans la zone de Tinzawatène frontalière avec l’Algérie. Le gouvernement algérien affirme dans un communiqué que l’appareil avait franchi son espace aérien. Une version contredite par les autorités maliennes qui disent détenir des preuves que l’appareil n’était pas rentré dans l’espace aérien algérien. Elles avaient demandé à leurs homologues algériennes d’apporter des preuves de ce qu’elles avancent. Selon le gouvernement de la transition, cette requête ainsi que plusieurs autres sont restées sans suite. Elles ont don décidé d’amener l’affaire devant la Cour internationale de justice, une juridiction chargée de trancher les différends entre les États.

Alors que Bamako affirme avoir saisi la Cour internationale de Justice (CIJ), Alger dément catégoriquement toute procédure en cours.

L'énergumène diplomatique Ahmed Attaf tente de nier la saisine de la Cour internationale de justice par le Mali contre "l'Algérie nouvelle de Tebboune" dans l'affaire du drone malien abattu en avril dernier par la junte militaire algérienne. Sous prétexte qu'il n'a pas reçu de notification! On n'est pas obligé de le croire: Attaf (le Berger mauvais plaisant) de manière intéressée peut parfaitement recevoir ladite notification et nier publiquement le fait.

Le sinistre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a réfuté ces déclarations lors d’une conférence de presse tenue à Alger samedi.

« Il n’y a absolument aucune saisine de la Cour internationale de Justice. La CIJ n’a jamais été saisie d’aucune demande. Ça n’existe pas », a-t-il affirmé. Selon lui, Alger a directement vérifié auprès de la CIJ, qui n’aurait enregistré aucune requête malienne.

« Lorsque la Cour est saisie, la première démarche consiste à informer le pays concerné. Or, jusqu’à présent, nous n’avons reçu aucune notification officielle », a insisté "le Berger mauvais plaisant".

Le Berger mauvais plaisant.

La fable raconte l'histoire d'un jeune berger qui s'amuse à plusieurs reprises à faire croire aux villageois du village voisin qu'un loup attaque ses moutons. Ceux-ci viennent à son aide, mais à force de venir pour rien leur patience s'amenuise. Le jour où un loup apparaît réellement face au jeune berger, ce dernier appelle à l'aide les villageois qui ne viennent pas, s'imaginant avoir encore affaire à une farce de sa part. Les moutons seront alors mangés par le loup.

Dans un communiqué officiel daté du 4 septembre 2025, le gouvernement de transition du Mali a annoncé avoir déposé auprès de la Cour internationale de Justice (CIJ) une requête contre la République algérienne, accusée de la destruction préméditée d’un drone de reconnaissance malien..

Selon le communiqué du Gouvernement Malien annonçant la saisine de la CIJ, «cette agression flagrante est le summum d'une série d'actes hostiles et démontre clairement une collusion malsaine entre les terroristes et le régime algérien».

Le gouvernement malien affirme vouloir obtenir réparation par les voies du droit international.

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Le lendemain, à l'intention de "l'Algérie nouvelle de Tebboune" qui semble avoir des soucis avec elle-même au sujet du français, le Mali a produit la version anglaise de ce communiqué. Une récidive qui vaut confirmation.

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Une crise diplomatique aggravée

Cet épisode a accentué les tensions entre les deux pays voisins, qui partagent 1 500 km de frontière.

Depuis l’incident, Alger et Bamako ont chacun fermé leur espace aérien à l’autre, le signe d’un climat de défiance persistante.

À ce stade, aucune confirmation officielle de la CIJ ne permet de trancher entre les annonces maliennes et les démentis algériens.

L’affaire illustre la dégradation des relations algéro-maliennes et pourrait, selon plusieurs analystes, peser sur la stabilité régionale si la confrontation diplomatique devait se poursuivre.

Ce qui est sûr, c'est que Tout le monde croit évidemment à la version officielle du gouvernement de la République du Mali

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