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Libération des deux cyclotouristes marocains enlevés aux frontières Nigéro-Burkinabè... Les détails


Grâce à l’intervention des services de sécurité du Royaume, les deux ressortissants marocains, tous deux des cyclotouristes, qui ont été enlevés aux frontières nigéro-burkinabaises viennent d’être libérés.

Les services de sécurité du Maroc ont tout fait pour parvenir à libérer les deux victimes. C’est désormais chose faite grâce à la coopération entre les services de sécurité marocains et leurs homologues nigériens , qui a duré 4 semaines a permis la localisation des deux Marocains et leur libération samedi sains et saufs.

Au Maroc, On ne badine pas avec la sécurité des citoyens Marocains

Si c'est écrit dans le passeport canadien, "Nous déplacerons notre flotte pour vous". Nous au Maroc nous devons être fiers de ce que la presse internationale avait dit, " Le Maroc a déplacé une montagne pour l'enfant Ryan", et il fera l'impossible pour protéger ses frontières et ses habitants, c'est-à-dire s'il a déplacé une montagne pour un enfant, précieux comme le reste de la population du pays, alors il est en mesure de déplacer ses forces afin de préserver son intégrité territoriale de Tanger à Lagouira, du Nord au Sud, de l'Est à l'Ouest, et de protéger la sécurité du pays, de ses frontières et de ses citoyens à l'intérieur comme à l'extérieur du pays.

Les deux cyclistes sont actuellement dans la capitale du Niger, Niamey, où ils subissent un examen médical, indique la même source, assurant que les éléments de l’ambassade du Royaume sont actuellement avec eux.

Abderrahmane Serhani et Driss Fatihi ont été enlevés le 1er avril 2023 aux frontières nigéro-burkinabè.

A rappeler que les deux cyclotouristes, Abderrahmane Serhani et Driss Fatihi, n’ont pas donné de nouvelles depuis leur entrée au Burkina Faso, en provenance de la Côte d’Ivoire et avaient indiqué avoir pris la direction de la frontière vers le Niger.

L’un des deux cyclotouristes avait posté une vidéo sur sa page Facebook, le 29 mars dernier, dans laquelle il affirmait se diriger vers le Burkina Faso dont les parties Nord-Est, sont prises depuis 2015 dans une spirale de violences attribuées à des groupes armés terroristes liés à Al-Qaïda et à l’organisation Etat islamique (EI).

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