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La tentative du Polisario de masquer la dénonciation de l’ONU pour violation des droits humain

La tentative du Polisario de masquer la dénonciation de l’ONU pour violation des droits humains, faute de nourriture et de médicaments à Tindouf, échoue à Madrid.

Un cirque, sans doute monté avec l’intention de boucher ce qui est affirmé dans la même résolution 2602, dans laquelle il est dit « se félicitant à cet égard des mesures et initiatives prises par le Maroc, et du rôle joué par les commissions du Conseil national des droits de l’homme à Dakhla et Laâyoune, et de l’interaction du Maroc avec les procédures spéciales du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies« 

Pedro I. Altamirano. 13 novembre 2021.- Lors d’un rassemblement pitoyable organisé par le CEAS à Madrid, où ils ont à peine réussi à rassembler 1.200 personnes venues des collectifs de soutien à la bande armée du Polisario de toute l’Espagne, des Sahraouis d’origine algérienne, ont tenté de couvrir l’échec reçu par la RASD illégale dans la dernière résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies S/RES/2602 (2021).

Le rassemblement, qui sous le slogan « Non aux accords tripartites de Madrid » et qui demandaient « Stop à la violation des droits de l’homme au Sahara occidental« , a oublié de faire référence au paragraphe de la dernière résolution de l’ONU qui dit littéralement « Notant avec une profonde préoccupation les souffrances que continuent de subir les réfugiés sahraouis et leur dépendance à l’aide humanitaire extérieure, ainsi que les effets de la pandémie de Covid-19, et notant avec une profonde inquiétude […] les risques que comporte la réduction de l’aide alimentaire », sans qu’aucun responsable des CEAS n’ait demandé où allaient les millions d’euros destinés à l’aide humanitaire qui sont destinés à Tindouf, et que pourtant l’ONU dénonce les conditions de vie déplorables dans les camps de Tindouf.

L’acte n’a pas compté de représentation officielle au delà des « amis connus de toujours » comme certains dirigeants du PCE, Izquierda Unida, CCOO, PNV et le gang d’Iruña. Pour couronner le tout, l’événement culturel de Rivas a été suspendu, tandis que le repas de convivialité dans le parc d’Athènes a attiré à peine un tiers des manifestantes.

Un cirque, sans doute monté de toutes pièces avec l’intention de boucher ce qui est affirmé dans la même résolution 2602, dans laquelle il est dit « se félicitant à cet égard des mesures et initiatives prises par le Maroc, et du rôle joué par les commissions du Conseil national des droits de l’homme à Dakhla et Laâyoune, et de l’interaction du Maroc avec les procédures spéciales du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies »


Il est donc plus que surprenant que ceux qui sont pointés du doigt par l’ONU pour leur manque de ressources et de droits fondamentaux dans les camps de Tindouf, osent signaler au Maroc qu’elle est louée pour sa gestion des droits de l’homme par l’ONU elle-même. Mais on va plus loin, on dénonce le traité tripartite et on demande un référendum d’autodétermination, alors que l’ONU dans la même résolution critique et exige de la RASD qu’on procède au recensement à Tindouf, recensement auquel on a refusé dès la première minute. Au contraire, le Maroc a recensé tous les Sahraouis du sud du Maroc, comme cela a pu être confirmé lors des récentes élections municipales et législatives, où les provinces du sud ont connu le taux de participation le plus élevé.

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