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La mafia militaro-politico-financière algérienne, arme sa presse... contre Le Mali


  • Al Khabar :«Le putschiste sanguinaire Goita joue avec le feu»

  • Le Soir Algérie: «Le jeu suicidaire du putschiste Goita»...

Une dangereuse conspiration ciblant le Mali, fomentée par la junte militaire algérienne dévoilée

L'apologiste et porte voix de la junte algérienne Bensedira, fait une annonce de Guerre prochaine dans le Nord du Mali.

  • Les révélations de Bensedira nous plongent dans l'ombre des plans belliqueux de la junte d'Alger.

  • Le Nord Mali pourrait être le théâtre d'une nouvelle occupation algérienne!

  • La junte algérienne ne cache plus ses intentions avares! Son apologiste Bensedira dévoile le plan sinistre pour s'emparer de l'or du pays voisin.

Algérie: jalousie pétrolière ou diplomatie sournoise ?

Le Mali et l'Algérie partagent un bassin pétrolier commun, qui est l'un des plus grands d'Afrique. En 2007, la société algérienne Sonatrach avait signé un accord avec le Mali pour l'exploration de ce bassin. Cependant, cet accord a été suspendu en 2012, en raison de la crise au Mali. Selon des sources maliennes, la véritable raison de cette brouille diplomatique entre les deux pays serait que l'Algérie souhaite reprendre l'exploration et l'exploitation du bassin pétrolier. Les autorités maliennes, qui ont récemment renforcé leur contrôle sur le nord du pays, souhaitent exploiter ce potentiel énergétique par elles-mêmes.

Quand l’ancien régime vend le Mali

Lorsqu’un ancien ministre tient de tels propos, cela donne à réfléchir. Est-ce une confession de sa part ou est-ce parce qu’en son temps, il était obligé de se taire pour…recevoir lui aussi sa «part du gâteau» issue de cette vente ? Ou bien l’ex- ministre trouve-t-il que le moment est enfin venu pour lui de dénoncer la mauvaise gestion dudit régime dont il a pourtant fait partie? Ce qui ne lui confère ainsi aucune crédibilité : c’est plutôt une trahison envers le peuple malien.

Mais au fait, quelles sont les motivations réelles qui ont poussé les autorités d’alors à céder cette partie de Kidal à l’algérie ? Quelle était l’origine de ce deal entre les deux Chefs d’Etat malien et algérien ? On ose croire que l’ex-ministre Seydou Traoré aura à fournir plus de détails sur ces questions car avec sa «confession» du ministre, il est indiqué de revoir à fond les contrats de partenariat signés entre les deux pays à l’époque. Si cette affirmation de l’ex-ministre de l’Agriculture s’avérait fondée, ATT et ses collaborateurs doivent rendre des comptes aux Maliens à qui, ils n’ont jamais fait le bilan des précédentes privatisations.

maliweb.net, le premier Portail de débat et d’actualité sur le Mali, avait dévoilé dans un article publié le 06 Février 2013, une déclaration (une confession) de l’ancien ministre Seydou Traoré [une partie de la région de Kidal a été vendue à l’algérie.]👇

Comment peut-on vendre une partie d’un pays souverain à un autre pays ? Difficile d’y croire ! Mais lorsque cela a été publiquement affirmé et par un ancien ministre de surcroît, cela donne vraiment matière à réflexion. En tout cas, l’ex-ministre Seydou Traoré l’a affirmé au cours des échanges sur la problématique de sortie de crise organisée par le COREN dans la salle de réunion du Haut conseil des collectivités.

Avec cette déclaration, on comprend aisément pourquoi l’algérie n’a jamais voulu être au premier plan dans la crise malienne de peur de voir ses intérêts (fictifs) au Mali lui échapper. Au cours de son exposé, le ministre n’est pas passé par quatre chemins pour affirmer haut et fort qu’une partie de la région de Kidal a été vendue à l’algérie et que cette partie regorge de ressources naturelles telles que le gaz et le pétrole. «Oui, je faisais partie de ce gouvernement et j’assume mes propos…», ajoute l’ancien ministre Seydou Traoré sans frémir. Mais de quoi s’agit-il en fait ?

Les patrons algériens se frottent les mains

Si la crise malienne prenait une autre tournure, l’algérie allait simplement crier sur tous les toits que le Mali lui doit de l’argent, à défaut de dire qu’il a déboursé une faramineuse somme pour un deal avec l’ancien régime. Les Maliens doivent des milliards de FCFA à l’Algérie. Et comme aucun Malien ne sait exactement ce qui se passe dans les couloirs de la diplomatie, ils n’auront que leurs yeux pour pleurer les dégâts. Malgré la présence des terroristes sur le sol malien, le régime déchu n’avait pas daigné mettre la pression sur l’algérie afin que ce pays s’implique davantage dans la rébellion touarègue du MNLA et l’aider à combattre les éléments d’AQMI qui, en réalité, ne sont que des Algériens de l’ex-GSPC (Groupe salafiste pour la Prédication et le Combat) et du FIS (Front Islamique pour le Salut). Le silence entre les deux Chefs d’Etat (malien et algérien) pourrait se résumer dans ces propos de l’algérie : «Nous sommes très contents de la collaboration entre nos deux pays parce que le Mali va nous faire gagner beaucoup d’argent et en contrepartie, nous lui fournirons des aides dans le volet humanitaire et des prêts en échange d’une partie de la ville de Kidal».

«L’accord d’alger, un accord mort-né...?»... Etre à la fois juge, jury et bourreau....  L'accord pour la "paix [guerre]" 

L’accord pour la paix et la réconciliation au Mali signé à alger en 2015 est paralysé et ses signataires paraissent de plus en plus s’écarter de son esprit. L'accord pour la "paix [guerre]" au nord-Mali élaboré à alger mais restant à signer par les rebelles semble assez mal accueilli à Kidal, leur place forte.

«L’accord d’alger entre Bamako et les rebelles armés a créé plus de problèmes qu’il n’en a réglés» Pour Nicolas Normand, ancien ambassadeur de France au Mali, «il est urgent de réviser le compromis signé en 2015».

Depuis plusieurs années, l’armée française combat au Mali des bandes djihadistes qui contrôlaient le nord du pays en 2012. Et voici sept ans qu’un accord issu d’une négociation à Alger avec une partie des groupes armés est censé ramener la sécurité dans la région avec l’appui de trois forces: les 12 000 casques bleus des Nations unies, les 5 100 hommes de la force offensive française « Barkhane », et la Force conjointe du G5 Sahel d’environ 5 000 soldats africains. Cependant, la situation n’a cessé d’empirer, l’insécurité s’étant même étendue à de nouveaux territoires. Il y a de quoi s’interroger...

Dans un article publié dans le quotidien algérien "ElKhabar"... L'auteur de l'article se demande dans cet article "Qui fait obstacle à la mise en œuvre de l'accord d'Alger dans le nord du Mali?"
Les Maliens ne sont pas dupes.!!! ... Vous trouverez la réponse ci-dessous (quelques commentaires)

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