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Analyse: Quand l’Algérie joue avec le feu du séparatisme... N'est-il pas venu le temps pour que le Mali retire sa reconnaissance de la prétendue «RASD»?... By- Mohammed Gherrabi

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Après avoir tenté de diviser le Maroc de son Sahara, l'Algérie se retrouve dans une position diplomatique affaiblie, notamment après le soutien international croissant au plan d'autonomie marocain, y compris le soutien du Conseil de sécurité des Nations Unies.

En 50 ans, l'Algérie a claqué 500 milliards de dollars dans sa guerre d'usure contre le Maroc

Depuis son indépendance, l’Algérie s’est donnée pour doctrine de ne laisser échapper aucune opportunité de nuire à son voisinage: fermeture hermétique de la frontière orientale, invention du « problème du Sahara », appui politique, militaire et logistique à l’entité séparatiste. Ce faisant, le régime algérien semble oublier une vérité stratégique élémentaire : tenter de déstabiliser le Sahara marocain, cette zone frontalière paisible, revient à menacer directement la sécurité nationale de l’Algérie. Dans cette logique absurde, le régime algérien s’apparente à celui qui se tirerait une balle dans le pied.

Depuis 1975, le régime algérien a dépensé la somme colossale de 500 milliards de dollars pour financer la guerre qu’il mène, sur tous les fronts, contre le Maroc.

Les généraux d’Alger puisent des millions de dollars par jour dans la trésorerie de l’Etat pour financer les campagnes d’hostilité contre le Maroc. Le régime militaire a dépensé des centaines de milliards de dollars dans la guerre d’usure qu’il mène, depuis 50 ans, contre l’achèvement de l’intégrité territoriale du Maroc. Une somme colossale qui représente 10 milliards de dollars par an soit 4,7 % du produit national brut de l’Algérie. On comprend maintenant pourquoi le peuple algérien souffre de la pauvreté et des pénuries de marchandises alors que son sous-sol abonde de réserves inépuisables de pétrole, de gaz, de fer et autres minerais.

Au lieu de réserver les produits de ces ressources aux Algériens, les militaires ont, depuis 1975, détourné des milliards de dollars pour armer le Polisario, financer des organisations des droits de l’homme et des lobbys hostiles au Maroc. A titre d’exemple, le budget de l’équipement en Algérie n’a pas dépassé 23 millions de dollars en 2019 alors que le régime a dépensé 8,3 milliards en une année dans sa guerre d’usure contre le Maroc. Le rapport entre ces deux budgets est incommensurable puisque les sommes dépensées généreusement pour contrer le Maroc équivalent à 358 fois le budget alloué à l’équipement.

L’hebdomadaire algérien Al Watan se demande ce que seraient devenues les conditions de vie du peuple algérien si ses richesses n’avaient pas été dilapidées au lieu d’être allouées à la construction des routes, des ponts, des usines et autres besoins vitaux. Il est certain que les infrastructures dans ce pays seraient en meilleur état que celles de l’Espagne et du Portugal. Mais malheureusement, la haine viscérale que vouent les dirigeants algériens au royaume les a aveuglés jusqu’à les pousser à se désintéresser de la situation sociale précaire de leurs concitoyens. Un peuple jeune qui souffre de la pauvreté, du chômage, de la pénurie de marchandises et de la crise aiguë de logement.

Hakim Si-guesmi‎: Ce que l’Algérie aura dépensé au cours de ces dernières années, est alarmant.
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Au total, plus de 1 000 milliards de dollars de dépenses globales (Environ la moitié de cette somme est destinée pour le soutien de l'"entité fantoche" (rasd)), à raison de 50 milliards dépensés par an. Voilà le chiffre qui l’a poussé à m’intéresser aux affaires de finances publiques, en s’appuyant sur des spécialistes pour comprendre la teneur de ce chiffre incroyable.

  • Qu’est-ce qu’on aurait pu faire avec tout cet argent ?

  • Les dépenses liées à cette somme ont-elles été réellement pertinentes ?

  • Ont-elles produit des richesses, la prospérité et l’épanouissement, dont l’Algérie a besoin ?

Les spécialistes disent que les 800 milliards de dollars, dépensés par l’Algérie jusqu’à aujourd’hui, aurait pu construire un nouveau pays et de nouvelles villes avec des millions de logements, des dizaines d’aéroports, d’hôpitaux, de stades, d’hôtels, comme l'algérie aurait pu investir dans l’achat de grandes firmes internationales et en créer d’autres dans tous les domaines, et ce, avec moins que ce qui a été dépensé.

  • L’Algérie aurait pu faire sortir du néant trois villes modernes de la taille de la ville du Roi Abdellah d’Arabie Saoudite, comprenant un complexe industriel, des banques flottant sur l’eau, un centre-ville, une corniche, une ville de sciences. Chaque nouvelle ville aurait pu abriter 500 000 habitants, pour le coût de construction de trois villes de 240 milliards de dollars.

  • L’Algérie aurait pu également édifier la ville magique de Disney Land toute entière, comme l’ont fait Hong Kong, Dubaï et Tokyo. Des villes légendaires avec des lacs artificiels, ainsi que des fleuves, des bois et des centres de loisir pour accueillir 10 millions de visiteurs par an pour un coût de 3 milliards de dollars, et faire de l’Algérie une destination touristique pour ses enfants comme pour les étrangers.

  • L’Algérie aurait pu également choisir de construire 300 gratte-ciel dans ses grandes villes, pour un coût total atteignant les 60 milliards de dollars, ce qui aurait pu hisser l’Algérie au rang des pays possédant le plus grand nombre de gratte-ciel au monde offrant des habitats, des centres commerciaux et des postes de travail.

  • Avec tout l’argent dépensé par l’Algérie, on aurait pu réaliser six villes universitaires pour un coût de 2 milliards de dollars, à l’image des universités saoudiennes qui occupent les premières places du classement des universités arabes, et dont le coût est de 350 millions de dollars par ville universitaire.

  • L’Algérie aurait pu, également, bâtir un aéroport de la taille de l’aéroport de Dubaï, classé quatrième à l’échelle mondiale, et dont le coût de réalisation était de 10 milliards de dollars, ce qui aurait pu être une façade honorable pour l’Algérie, au lieu de l’actuel aéroport qui n’est pas digne d’un pays de la taille de l’Algérie. On aurait pu, par la même occasion, acquérir vingt avions Boeing, avec quatre milliards de dollars et, ainsi, faire d’Air Algérie, l’une des plus grandes compagnies aériennes de la région.

  • Avec 60 milliards de dollars, l’Algérie aurait pu résorber la crise du logement de manière définitive et construire deux millions de logements de quatre pièces chacun, et dont le coût n’aurait pas dépassé trente mille dollars. Ce coût aurait inclut également des services et des installations permettant la création d’espaces de vie meilleurs que ceux d’aujourd’hui.

  • Avec un milliard de dollars, l’Algérie aurait pu construire quatre hôpitaux de l’envergure du Val-de-Grâce, à l’est, à l’ouest, au nord et dans le sud du pays, dans lesquels seraient soignés président, ministres, et simple citoyens ; dans le respect et la dignité, et en faisant l’économie des millions de dollars dépensés annuellement en soins médicaux à l’étranger.

  • Il aurait été possible de créer cinq stades de football de la taille du Stade de France, dont la capacité est de 80 000 spectateurs, dont le coût de construction serait d’un milliard de dollars par stade. Ces stades nous auraient permis l’organisation de grands événements footballistiques, et l’Équipe nationale aurait trouvé des stades adéquats pour accueillir ses invités, les spectateurs trouvant de leurs côtés, tout le confort nécessaires pour suivre les matchs.

  • L’Algérie aurait pu pu également construire cinq grands hôtels à l’image de Burdj Al Arabe, l’un des plus luxueux au monde et l’unique classé sept étoiles, pour la somme de 4 milliards de dollars, tandis que le nombre des hôtels à Alger ne dépasse pas les doigts de la main !

Toutes ces réalisations auraient coûté moins des 800 milliards de dollars dépensés au long de ces années, sans que les signes de richesse, de prospérité, de modernité n’apparaissent pour notre peuple et notre pays.

On ignore la destination de tout cet argent, mais on a compris que nos politiques ne dépassent pas le stade du raccommodage et l’absence de planification alors que la fraude et la spoliation sont, eux, bien présents !

Les seules choses qui ont émergé sont les chiffres observés dans les différents projets qui auront duré toutes ces années. On dira, a postériori, que les rêves ont quittés l'Algérie à jamais. Hélas, pour ce pays qui aurait pu être le Japon de l’Afrique !

Quand l’Algérie joue avec le feu du séparatisme
Le régime d’Alger joue avec le feu. Depuis des années, il protège sur son sol des chefs de factions séparatistes, soutient des mouvements armés déstabilisateurs et sabote les efforts de paix au Sahel. Le double discours algérien, oscillant entre prétendue neutralité diplomatique et activisme sournois, est désormais exposé au grand jour.

«Aucun État n’a le droit d’intervenir, directement ou indirectement, pour quelque raison que ce soit, dans les affaires intérieures ou extérieures d’un autre État. En conséquence, non seulement l’intervention armée, mais aussi toute autre forme d’ingérence ou toute menace, dirigées contre la personnalité d’un État ou contre ses éléments politiques, économiques et culturels, sont condamnées», lit-on dans la résolution 36/103 de l’Assemblée générale de l’ONU en date du 9 décembre 1981.

N'est-il pas venu le temps pour que le Mali retire sa reconnaissance de la prétendue «RASD»?

Rappelons que le 6 avril, le Gouvernement de transition Malien a publié un communiqué sans ambiguïté. Un drone non armé, en mission de surveillance contre les groupes terroristes sévissant au nord du Mali, a été abattu par des tirs provenant du territoire algérien. Bamako est catégorique : l’appareil n’a jamais franchi la frontière. Ce tir n’est donc rien d’autre qu’un acte d’agression flagrant, une provocation calculée d’un régime à la dérive.

Isolé au niveau de la région et dos au mur face à de graves problèmes intérieurs, le régime algérien cherche à rompre ce cercle vicieux en inventant des épouvantails et des complots étrangers. Il joue avec le feu en recourant à la carte du séparatisme et ses tentatives sont vouées à l’échec.

Plus que jamais, ce régime doit comprendre que l’intégrité territoriale de l’Algérie dépend aussi du respect de l’intégrité territoriale des pays voisins.

Le Mali est un et indivisible
"Le Mali ce beau pays que j'aime et les gens que j'y ai rencontrés étaient absolument fantastiques, le Mali est un beau pays, chaleureux, courageux avec de magnifiques sites touristiques à visiter." Gherrabi Mohammed
La raison veut qu’on privilégie l’unité et non pas le séparatisme.
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  • Hier, “Je resterai imam…”

« Je resterai imam, Je ne serai candidat de rien… » l’influent imam malien Mahmoud Dicko.

Mission peut être accomplie pour l’influent imam malien Mahmoud Dicko, à l’origine d’un mouvement de contestation qui réclamait la démission d’Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), depuis trois mois.

L’influent imam malien Mahmoud Dicko qui a dirigé pendant ces dernières semaines les mouvements de protestation contre le président Ibrahim Boubacar Keïta ne nourrit aucune ambition politique. Il l’a fait savoir à maintes reprises et dernièrement par le canal d’une interview qu’il a accordée à Radio France Internationale. De façon assez audible, il indique qu’il ne compte pas briguer un mandat présidentiel dans son pays..

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L’imam se veut clair et n’entends pas briguer la magistrature suprême du pays. C’est ce qu’il a clairement signifié lors d’un entretien accordé à la Radio France Internationale (RFI).

« Ce n’est pas vraiment par malice que je le dis : je suis un imam, c’est ce que je sais faire de mieux. Inch’Allah ! Je resterai imam. Je ne serai candidat de rien » a-t-il dit.
  • Aujourd'hui, L’imam Mahmoud Dicko, candidat

"-L’imam Mahmoud Dicko, candidat consensuel potentiel à la tête de la transition à Bamako après la chute d’Assimi Goïta. Figure clé de 2020, il pourrait rassembler factions et négocier avec la JNIM.-" Algeria Gate

Algeria Gate, une plateforme d'information couvrant l'actualité régionale et internationale d'un point de vue algérien, avec ses dimensions maghrébines et sa profondeur africaine, et un regard algérien sur les enjeux arabes centraux.

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«Pour trahir, il faut d'abord appartenir.» - Harold "Kim" Philby
À l’ONU, le Mali accuse l’Algérie de soutenir le terrorisme international

Lors de son intervention à l'Assemblée générale des Nations Unies, le ministre d'État malien, Abdoulaye Maïga, a adressé une réplique cinglante à l'Algérie, marquant ainsi un tournant dans les relations tendues entre les deux nations.

Cette prise de position intervient dans un contexte où les tensions entre le Mali et l'Algérie se sont intensifiées, notamment autour des questions sécuritaires et frontalières à Tinzawatene.

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"Les plaques "06541 309 11" sont algériennes, 11= immatriculation de la wilaya de Tamanrasset. Bande de terroristes que vous êtes"
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“Le bien a pour tombeau l'ingratitude humaine.” Alfred de Musset

Ingérences flagrantes de l’algérie dans les affaires intérieures du Mali... Pourquoi l'imam Mahmoud Dicko?

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“Les gens se laissent facilement manipuler. La religion est le moyen le plus efficace pour ça...” Michael Moore

L’audience accordée, le mardi 19 décembre, par Abdelmadjid Tebboune à l’imam quiétiste malien, Mahmoud Dicko, au siège de la présidence de la république en présence du général-major Mehenna Djebbar, patron des services de renseignements extérieurs.

Il est à souligner que l’mam Mahmoud Dicko a été reçu seul à El Mouradia alors qu’il avait en face de lui, outre le président de la république algérienne, son directeur de cabinet, son conseiller chargé des affaires religieuses et des relations avec les zaouïas et en présence, surtout, du Directeur Général de la Documentation et de la Sécurité Extérieure, le général-major Mehenna Djebbar.

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La présence de ce dernier, à l’audience, signifie clairement qu’il y a une action menée par une structure de renseignements qui n’a rien à voir avec la diplomatie. D’où l’interprétation d’ingérence dans les affaires intérieures du Mali.

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L'imam DICKO a reçu en audience El- Haouès RIACHE, Ambassadeur d'Algérie au Mali.
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L'Imam Dicko parmi les invités due Tebboune

L’Imam Mahmoud Dicko figurait parmi les invités  de Abdelmadjid Tebboune aux festivités commémoratives du 60ème anniversaire de l’Indépendance de la République démocratique et populaire de l’algérie. Dicko a assisté, le 5 juillet 2022, au défilé militaire organisé à cette occasion, installé à côté du chef de la milice séparatiste du polisario, Brahim Ghali alias Mohamed Benbatouche et du recteur de la Grande Mosquée de Paris, le franco-algérien Chems-Eddine Mohamed Hafiz.

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L’audience accordée par l’imam quiétiste malien, Mahmoud Dicko à l'ex Ministre algérien des Affaires Étrangères, Ramtane Lamamra
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Le Cheikh Imam Mahmoud DICKO a reçu, le 27 Août 2021, en audience le ministre Algérien des Affaires Étrangères. Le ministre est accompagné par une forte délégation dont l'ambassadeur de l'Algérie. L'audience s'est déroulée en présence des collaborateurs de l'imam DICKO.

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Pourquoi l'imam Mahmoud Dicko?

L’Imam Mahmoud DICKO, ancien président du conseil supérieur islamique du Mali et animateur principal du mouvement M5. 

Mahmoud Dicko n’est pas n’importe qui, puisque c’est lui qui a initié et pris la tête d’un vaste soulèvement populaire contre l’ancien président malien feu Ibrahim Boubacar Keita, finalement renversé en août 2020 par un coup d’État militaire.

Le très influent imam Mahmoud Dicko et ses ouailles, ont commencé le job en fragilisant, par de véritables raz-de-marée [les 5 et 19 juin 2020, à l’appel de l’imam, des dizaines de milliers de manifestants sortent dans les rues pour réclamer la démission d’IBK], le pouvoir d’Ibrahim Boubacar Keïta, ce qui a abouti de façon imparable à la chute de l’ancien président malien. [Il est arrêté le 18 août 2020 et, dès le lendemain, Assimi Goïta devient président du Comité national pour le salut du peuple.

Depuis le référendum de juin dernier sur la nouvelle Constitution malienne, à laquelle Mahmoud Dicko est vivement opposé, tout comme les mouvements Touaregs qui ont boycotté son vote, Mahmoud Dicko est devenu un adversaire farouche du régime militaire de son pays qu’il qualifie régulièrement d’«arrogant».

Manipulateur ou manipulé

Dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, le chef religieux malien Mahmoud Dicko affirme être victime d'un complot visant à le discréditer. Dicko explique avoir été invité à se rendre en algérie par Abdelmadjid Tebboune pour l’ouverture de la grande mosquée. Il aurait d'abord refusé, puis accepté à la troisième sollicitation. 

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La Grande mosquée d'alger est un projet d'Abdelaziz Bouteflika
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La «pêche» aux informations: Des images limpides pour répondre à nos interrogations.
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Ils monopolise les plateaux en expert du terrorisme ou du djihadisme. Au prix de bourdes et de dérapages. Et au détriment d'historiens, de politologues ou de journalistes légitimes... Enquête sur le règne de ce pseudo-spécialiste.

Il est considéré, comme un "expert français" de référence en matière de terrorisme.

Wassim Nasr, "spécialiste" des réseaux jihadistes à France 24, est parvenu à s'entretenir en "exclusivité" avec l'émir d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), Abou Obeida Youssef al-Annabi. publiée (lundi 6 mars 2023), dans cette interview, Youssef al-Annabi.  a vanté le succès de la "stratégie de recrutement" du groupe terroriste au Sahel. il rejoint France 24 en septembre 2011, et a travaillé à BFM TV, entre 2011 et 2012.

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Le fixeur: Comment le journaliste Wassim Nasr recueille-t-il les informations?

Le fixeur est un collaborateur de l’ombre, c'est celui qui accompagne un journaliste, une équipe de tournage dans son pays dont il maîtrise le terrain, les codes, les enjeux. Il peut aussi servir de traducteur. Le terme vient de l’anglais "to fix", arranger, dépanner.

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Des affinités qu’il entretient avec Iyad Ag Ghali et Amadou Kouffa. Le premier et l’imam Dicko se connaissent bien pour avoir été formés en Arabie Saoudite et viennent tous deux du Nord. Tandis que le second, Amadou Kouffa, et l’ancien président du HCI parlent peul et semblent se connaître. Autant de similarités et de rapprochements qui font que l’imam Dicko serait l’interlocuteur idéal des chefs terroristes.” précise le site d’information Maliweb.

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L’imam Mahmoud Dicko reçu par Abdelmadjid Tebboune

Ingérence flagrante résulte en fait d’un double jeu du régime algérien, qui, tout en ayant peur de l’amplification du séparatisme touareg qui couve dans le Sud algérien, joue à la déstabilisation des pays frontaliers (Maroc, Mali, Niger, Libye et même Mauritanie), en croyant que c’est ainsi qu’elle peut assurer son leadership sur toute la région. Au final, le régime algérien s’est entouré tout seul d’une ceinture de feu qu’il semble craindre. Il est en crise ouverte avec la majorité des pays frontaliers.

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Wassim Nasr et l'"exclusive" avec al-Annabi
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Al-Annabi est un terroriste algérien qui agit en tant qu'"émir" ou chef actuel d’AQMI, un groupe terroriste de la branche d’Al-Qaïda en Afrique du Nord. Ce groupe terroriste opère dans plusieurs pays, dont le Mali, le Niger, le Burkina Faso, la Libye, la Tunisie et la Mauritanie.

Le chef extrémiste a reconnu que le terrorisme constituait une menace dans la région, décrivant le Sahel comme “l’épicentre du djihad aujourd’hui”.

Juste après sa désignation, Abou Oubaïda Youssef al-Annabi a reçu l’allégeance de plusieurs groupes djihadistes actifs au Sahel et rassemblés depuis 2017 au sein du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM, également appelé JNIM) d’Iyad Ag Ghaly.

Passionné des réseaux sociaux

Abou Oubaïda Youssef al-Annabi, dont le nom figure sur la liste noire américaine des « terroristes internationaux » depuis septembre 2015, est un féru des réseaux sociaux. Il dirigeait la branche médias d’Al-Qaïda au Maghreb islamique et apparaît régulièrement dans les vidéos du groupe.

Abou Obeida Youssef al-Annabi, originaire de la région d’Annaba en Algérie.

En 1992 ou en 1993, peu après le début de la guerre civile algérienne, il rejoint les rebelles islamistes. Il intègre ainsi le GIA, puis le GSPC. Il devient vers fin 2011 le chef de la choura, le conseil des notables d’AQMI et donc le successeur d’Abdelmalek Droukdel. Le 25 avril 2013, en réaction à la guerre du Mali, Abou Obeida Youssef al-Annabi appelle au djihad contre la France. Le 10 septembre 2015, il est inscrit sur la liste noire américaine des « terroristes internationaux ».

Outre France 24, le journal français Le Monde s’est également retrouvé au cœur d’une controverse après avoir publié un long article en provenance de Tindouf sur le 16e congrès du "polisario", faisant état des menaces terroristes du Polisario à l’encontre du Maroc.

“Nous ne devrions pas seulement attaquer le mur, mais l’infrastructure économique du Maroc pour l’empêcher de profiter de nos ressources. Les Sahraouis des territoires occupés doivent participer à cette lutte. Il faudra peut-être envisager de s’appuyer sur des kamikazes”, a déclaré au journal Le Monde, Khalihna Mohamed, un milicien du Polisario.

Al-Aanabi avait répondu à 12 questions de France24 en 2019.

Ce n'était pas la première fois que France24 rentre pas en contact avec le chef terroriste Youssef al-Annabi. Cinq mois après l’élimination d’Abou Moussaab Abdel Wadoud par les forces françaises au nord Mali, AQMI annonce que son nouveau chef n’est autre qu’Abou Oubaïda Youssef al-Aanabi son chef du conseil consultatif depuis 2010. Aanabi avait répondu à 12 questions de France24 en 2019.

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17 Questions pour un champion (Wassim Nasr)

Une interview "exclusive" avec le terroriste algérien, Abou Obeida Youssef al-Annabi, l'émir d'Al-Qaïda au Maghreb islamique accordée à Wassim Nasr, journaliste à France 24 suscite tout un émoi et une frustration de la communauté internationale.

L’interview a frustré de nombreux internautes, qui ont demandé des sanctions contre les médias français

Alors @FRANCE24 continue de créer la peur et le chaos dans le but de pousser les citoyens étrangers à quitter Addis-Abeba ? Comment se fait-il que @FRANCE24 ait eu accès à une interview et ait diffusé la propagande d’un groupe terroriste ? Qui leur a donné la permission?”, a déclaré un utilisateur de Twitter.

Apologie du terrorisme: Le Burkina Faso suspend France 24
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France 24 exprime sa vive inquiétude suite au réquisitoire prononcé contre ses anciens correspondant et réalisateur en algérie
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Dans un communiqué, mercredi 8 mars, la direction de France 24 exprime "sa vive inquiétude" après un réquisitoire demandant trois ans de prison ferme à l'encontre de ses anciens correspondants en algérie Moncef Aït Kaci et du réalisateur Ramdane Rahmouni.

Le journaliste et ancien correspondant de France 24 en algérie, Moncef Aït Kaci, était jugé ce mercredi à Alger pour "financement reçu de l'étranger et publication d'informations nuisant à l'intérêt national", selon le procureur.

Moncef Aït Kaci avait été arrêté le 28 juillet 2020 et placé en détention provisoire, avant d'être remis en liberté et officiellement accrédité par les autorités algériennes.

Aujourd'hui, une lourde peine de 3 ans de prison ferme a été requise à l'encontre de Moncef Aït Kaci et du journaliste-réalisateur Ramdane Rahmouni, qui ont toujours exercé leur métier avec professionnalisme et rigueur, en toute transparence.

Dans l'attente du délibéré prévu le 22 mars, la direction de France 24 exprime sa vive inquiétude face à ce réquisitoire, mais a confiance en la justice. Elle apporte tout son soutien à ses anciennes équipes accréditées en algérie.

Une analyse comparative des économies entre l’algérie et l’Émirats Arabes Unis
“Il faut donc choisir de deux choses l’une: ou souffrir pour se développer, ou ne pas se développer, pour ne pas souffrir. Voilà l’alternative de la vie, voilà le dilemme de la condition terrestre.” Théodore Jouffroy
algérie: une économie à bout de souffle.

Le Think Tank Carnegie Middle East Center avait lancé l’alerte, sur l’imminence d’une crise économique en Algérie. En effet, Alger pourrait bientôt se retrouver en cessation de paiement. Pour équilibrer son budget, ce pays, dont les recettes dépendent à plus de 90% des exportations d’hydrocarbures, rappelle le centre établi à Beyrouth.

  • Alger 1960- Algérie française

  • Alger 2030 Algérie des caporaux (ex platons de la junte militaire)

Les Emirats arabes unis préparent l’après-pétrole... Les Emirats Arabes Unis, un nouveau tigre au Moyen-Orient
  • Dhabi UAE in 1960s

  • Dubai UAE in 2023


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