Décès du Premier Ministre ivoirien: L’Ambassade de Côte d’Ivoire au Royaume du Maroc rend hommage à Amadou Gon Coulibaly.
L’Ambassade de Côte d’Ivoire au du Maroc a abrité ce lundi 13 juillet 2020, une cérémonie d’hommage au Premier Ministre Amadou Gon Coulibaly.
Décédé le mercredi 8 juillet 2020 à Abidjan des suites d’un malaise cardiaque, le Premier ministre ivoirien a reçu les hommages de l’ensemble du personnel de la représentation diplomatique ivoirienne avec à sa tête Son Excellence Monsieur Idrissa TRAORE, Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République de Côte d’Ivoire près le Royaume du Maroc.
Selon les usages en pareille circonstance, le drapeau ivoirien a été mis en berne à l’Ambassade. De même, une gerbe de fleurs a été déposée et un cahier de condoléances a été ouvert à la Chancellerie.
Le Premier Ministre Gon Coulibaly, sera inhumé le vendredi 17 juillet 2020 à Korhogo (nord ivoirien).
L’équipe de »Afrique L’Adulte « s’associe à l’immense tristesse du Peuple ivoirien et présente ses condoléances au Président Alassane Ouattara au peuple ivoirien et à la famille du Premier ministre Amadou Gon Coulibaly.
Amadou Gon Coulibaly était un leader exemplaire, un homme humble, un homme désintéressé. un homme fidèle, une lumière resplendissante. Cet homme qui avait servi sa nation si loyalement et avec tant de dignité était décédé, alors qu’il était au travail.
Les dernières messages d’Amadou Gon Coulibaly
« J’ai pris part, ce jour, au Conseil des Ministres présidé par le Président de la République, S.E.M. Alassane OUATTARA . Abidjan, le 8 juillet 2020. Respectons les mesures de prévention. » Amadou Gon Coulibaly
« Vous imaginez aisément le plaisir qui est le mien de revenir à la Primature ! À présent, nous devons tous retrousser nos manches pour faire face aux défis auxquels notre pays est confronté. » Amadou Gon Coulibaly
Affecté par le décès du Premier ministre Amadou Gon Coulibaly: les témoignages de SEM. Abdelmalek Kettani, Ambassadeur du Royaume du Maroc en Côte d’Ivoire.
Amadou Gon. Reposez en paix.
La rédaction