Exclusif: L'Algérie, la Mecque de la déstabilisation, la Mecque des groupes terroristes, du séparatisme ... (Le FRAP, le MPAC canarien , l’ETA, le PKK, le Polisario, l'Azawad...) - [Part1]
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- 11 juil.
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Les autorités algériennes n'ont reconnu officiellement la présence de Domingo Iturbe Abasolo, alias "Txomin", sur leur territoire que pour annoncer, sa mort!!!

Le régime algérien a été et est toujours un «sanctuaire» pour les groupes terroristes

Le régime algérien a été et est toujours un «sanctuaire» pour les groupes terroristes, notamment FRAP, le MPAC canarien , l’ETA, le PKK, le Polisario, l'Azawad....,
Le régime algérien a été et est toujours un «sanctuaire» pour les groupes terroristes
souligne l’historien et politologue espagnol, Pedro Ignacio Altamirano. L’Algérie a abrité dans ses camps les entraînements du groupe ETA, qui réclamait l’indépendance du Pays basque, et donné refuge aux séparatistes du polisario ayant commis des attentats terroristes contre des intérêts et des citoyens espagnols, écrit M. Altamirano dans un article intitulé «L’axe Algérie-front polisario-ETA», publié sur plusieurs supports médiatiques espagnols, dont «lahoradeafrica.com» et «voziberica.com». «Le soutien du régime algérien au groupe terroriste ETA est historiquement connu, tant en termes de formation que de soutien diplomatique», souligne l’auteur de l’article, faisant noter que des membres de l’ETA s’entraînaient dans les camps algériens dans le nord du pays. «L’Algérie vit toujours dans la guerre froide. Elle est devenue le véritable sanctuaire des mouvements révolutionnaires armés. Elle a toujours aidé toutes sortes de gangs terroristes, dont l’ETA et le polisario», affirme M. Altamirano. «L’Espagne a toujours su que l’Algérie entraînait, formait, soutenait et appuyait le terrorisme international, le terrorisme en Afrique, et plus particulièrement le front polisario», fait observer le politologue espagnol.


L’Algérie vit toujours dans la guerre froide, et est la véritable Mecque des terroristes. Il a toujours aidé les organisations terroristes, parmi le FRAP, le MPAC canarien d’Antonio Cubillos, la Brigate Rosse italienne et toutes sortes de gangs terroristes, en plus de l’ETA ci-dessus.

« Le Polisario est une organisation terroriste » clame un député espagnol !
Miguel Ángel Gutiérrez, membre influent du parti Ciudadanos, député pour Madrid au Congrès et secrétaire général du groupe parlementaire de son parti n’a pas hésité à appeler le Polisario de son vrai nom, à savoir qu’il s’agit bel et bien d’une organisation terroriste.«Certains ont beau se cacher derrière les belles paroles, telles que les droits du peuple sahraoui, et les bonnes intentions. Mais défendre une organisation comme le Polisario, qui équivaut pour moi à défendre ETA (organisation terroriste séparatiste basque), est une chose que cet hémicycle ne devrait aucunement tolérer. Que l’on ne s’y trompe pas: le Polisario est un groupe terroriste. Ils ont assassiné 289 citoyens espagnols», a affirmé Miguel Ángel Gutiérrez.Le député Ciudadanos, ingénieur de formation, diplômé de l’Université polytechnique de Madrid et plusieurs fois directeur d’institutions publiques et privée en Espagne, a poussé la comparaison entre Polisario et l’ETA plus loin. Pour lui, le Polisario est parfaitement comparable à une organisation comme l’ETA, en cruauté comme en nombre de victimes.
Elu (Ciudadanos) pour Madrid au Congrès des députés espagnol, Miguel Ángel Gutiérrez a qualifié le front séparatiste d’organisation terroriste, qui a du sang espagnol sur les mains. Pour lui, le Polisario est comparable à une organisation comme l’ETA, en cruauté comme en nombre de victimes.
Depuis le changement radical et définitif de position de la part du gouvernement espagnol vis-à-vis du dossier du Sahara, et le soutien désormais clair et ferme à l’offre d’autonomie des Provinces du Sud, les langues se délient de plus en plus en Espagne, s’agissant du Polisario. Le dernier fait en date sur ce registre a eu lieu au sein du Congrès des députés (chambre basse comptant 350 députés, équivalente à notre Chambre des représentants). C’était ce jeudi 7 avril.
Ainsi, Miguel Ángel Gutiérrez, n’a pas hésité à appeler le Polisario de son vrai nom, à savoir qu’il s’agit bel et bien d’une organisation terroriste. «Certains ont beau se cacher derrière les belles paroles, telles que les droits du peuple sahraoui, et les bonnes intentions. Mais défendre une organisation comme le Polisario, qui équivaut pour moi à défendre ETA (organisation terroriste séparatiste basque), est une chose que cet hémicycle ne devrait aucunement tolérer. Que l’on ne s’y trompe pas: le Polisario est un groupe terroriste. Ils ont assassiné 289 citoyens espagnols», a affirmé Miguel Ángel Gutiérrez, 58 ans.
Pour le député Ciudadanos, le Polisario est parfaitement comparable à une organisation comme l’ETA, en cruauté comme en nombre de victimes.
S’agissant des citoyens espagnols tombés sous les balles criminelles du Polisario, Miguel Ángel Gutiérrez a évoqué les marins canariens dont les bateaux de pêche étaient les cibles d’attaques des milices du Polisario durant les années 70 et 80 dans la zone entre le Sahara et les îles Canaries.
Des morts par centaines que l’Association canarienne des victimes du terrorisme (Acavite) continue de défendre à aujourd’hui. L’association s’était d’ailleurs distinguée au moment où a éclaté l’affaire Brahim Ghali, soit l’accueil et l’hospitalisation du chef des séparatistes par l’Espagne, alors qu’il y était accusé notamment de crimes de guerre. L’ONG n’avait d’ailleurs pas hésité, en temps et en heure, à qualifier cette attitude de «blanchiment des actions terroristes perpétrées par Brahim Ghali, sous prétexte de la maladie et de prétendues raisons humanitaires».
Cette sortie appelée à être médiatisée de Miguel Ángel Gutiérrez intervient alors que la nouvelle position du gouvernement espagnol en faveur de l’option d’autonomie est sur toutes les langues dans le landerneau politique espagnol. Invité par le roi Mohammed VI, le chef du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, est d’ailleurs attendu au Maroc ce jeudi 7 avril 2022. Une visite pour «inaugurer une étape inédite dans les relations entre les deux pays», indiquait un communiqué du Cabinet royal, le 31 mars dernier. En prime, «le respect mutuel, la confiance réciproque, la concertation permanente et la coopération franche et loyale» et «des actions concrètes dans le cadre d’une feuille de route ambitieuse et couvrant tous les domaines du partenariat, intégrant toutes les questions d’intérêt commun».
Selon les explications de celui qui a été plusieurs fois directeur d’institutions publiques et privée en Espagne, les citoyens espagnols tués sont les marins canariens dont les bateaux de pêche étaient ciblés par les miliciens du Polisario durant les années 70 et 80 dans la zone entre le Sahara et les îles Canaries. Des propos corroborés par l’Association canarienne des victimes du terrorisme (Acavite) qui a fait de la défense des citoyens espagnols assassinés par le mouvement indépendantiste son cheval de bataille.
Lucía Jiménez est présidente de l’Association canarienne des victimes du terrorisme (Acavite), qui représente près de 300 familles victimes de Brahim Gali et qui attendent depuis 9 ans que le Tribunal national rende justice aux demandes qui non seulement , mais plus d’associations au niveau national, présentées. Après le départ d’Espagne du dirigeant du Polisario, Jiménez a accordé une interview à « El Cascabel » de TRECE. Lucía y explique que son association « regroupe près de 300 familles d’orphelins et de veuves, pour la plupart originaires des îles Canaries, qui depuis les années 1973, nos parents travaillaient comme opérateurs sur le tapis roulant de la mine de phosphate dans l’ancien Sahara espagnol. La décolonisation processus a eu lieu et de nombreux civils ont subi des attaques des miliciens du polisario, mon père a été grièvement blessé et est décédé plus tard des suites des blessures causées par cet attentat à la bombe ».

L’Espagne a toujours traité avec égards le Polisario et ses dirigeants. L’affaire de l’accueil de Brahim Ghali, sous une fausse identité et en catimini, parait si banale comparée à une autre, datant de l’automne 1985, plus grave à cause de son bilan humain et politique.

En effet, le 23 septembre 1985, le représentant du Front en Espagne, Ahmed Boukhari revendique, dans un appel téléphonique avec la rédaction d’El Pais, les attaques survenues trois jours plus tôt dans les eaux entre le Maroc et les Iles Canaries, contre le chalutier El Junquito et le patrouilleur de l’armée espagnole Togomago. Le bilan de ces actes est de deux morts de nationalité espagnole, un civil et un militaire, et une dizaine de détenus dans les rangs de l’équipage du bateau de pêche.
Une revendication qui n’a pas suscité de réaction immédiate du gouvernement socialiste que présidait alors Felipe Gonzalez. L'exécutif a lancé des négociations avec la direction du Polisario en vue d’assurer la libération des marins d’El Junquito, emmenés de force à Tindouf, sur le territoire algérien. Un objectif qui se concrétise le 28 septembre 1985, grâce à une médiation de l’Algérie. Pour rappel, en 1980, le Front avait enlevé 38 pêcheurs des Iles Canaries.
La justice espagnole ferme les yeux sur ces attaques

Au lendemain de cette libération, le gouvernement socialiste décrète l’expulsion du représentant du Front en Espagne, Ahmed Boukahri. L’entrée en vigueur de cette décision accusera du retard, car ce n’est que dans la nuit du 1er au 2 octobre 1985 qu’une escouade de policiers fait irruption dans un hôtel où un dîner est organisé en l’honneur de Boukhari pour le conduire à l’aéroport de Barajas à Madrid et lui signifier l’ordre de son expulsion. Une décision, contestée par le parti communiste espagnol et une partie de l’aile radicale au sein du PSOE.
Malgré cette double attaque, ayant fait deux morts espagnols, la justice n’a pas jugé bon ouvrir une enquête contre les milices du Polisario, se montrant très indulgente avec le Polisario. En revanche, elle a affiché une fermeté avec l’organisation indépendantiste basque ETA. Pire, des médias ibériques ont brillé par leur traitement partial de cette affaire. Dans son édition du 29 septembre 1985, El Pais écrit que le fils du marin tué dans l’attaque contre le chalutier El Juquito «ne garde aucune rancœur contre le Polisario (…) Dans un mois, les choses vont se calmer et tout continuera comme auparavant». Et de prétendre qu'après leur libération, les pêcheurs canariens détenus par le Front «se sont convertis en les meilleurs propagandistes du Front sahraoui».
Les attaques de septembre 1985 du Polisario contre des civils et des intérêts espagnols, s’inscrivent dans une longue liste d’attentas perpétrés par les milices du mouvement séparatiste. L’Association canarienne des victimes du Polisario (ACAVITE), créée en 2006 à Las Palmas, indique que 300 familles canariennes sont affectées par les attentas du Front contre des pêcheurs de l’archipel. Parmi ces attaques figurent le mitraillage du chalutier canarien «Cruz del Mar» en novembre 1978 au cours duquel sept membres d'équipage ont péri, ou la disparition, deux ans plus tard, du «Mencey de Abona» avec à son bord 14 marins pêcheurs.
Après l’expulsion d’Ahmed Boujari, le 2 octobre 1985, la représentation du Polisario en Espagne est restée fermée jusqu’à son réouverture en 1989. Les victimes des attaques d’El Junquito et du patrouilleur Togomago sont, depuis, oubliées.
L’Espagne en tellement qu’elle ne passe pas devant les victimes du terrorisme, qu’elle appartient au groupe terroriste. Vous ne pouvez pas vous permettre d’avoir des victimes de premier et de second ordre. C’est amoral et insoutenable par tout État démocratique moderne. L’Espagne ne saurait faire partie, directement, indirectement ou à distance, de l’axe du mal que constitue l’axe diabolique Algérie – Polisario – ETA. Il doit immédiatement réprimander le chemin de la dignité tracé par Felipe González, et expulser d’Espagne toutes les personnes identifiées comme membres du Front Polisario, et la fermeture de ses bureaux en Espagne, et empêcher leur financement.
Après la "mort accidentelle" du chef de l'ETA militaire Le rapatriement du corps de "Txomin" embarrasse les autorités espagnoles

La levée du corps de "Txomin", le chef de l'ETA militaire (Né en 1943, en plein franquisme, il s’est engagé dans la lutte de libération nationale jusqu’à sa mort à le vendredi 27 février 1987 en Algérie), d'une fracture du crâne à la suite d'un "accident" de la circulation, devait avoir lieu jeudi, en début d'après-midi, à l'hôpital Maillot d'Alger. Le corps devait être embarqué à bord d'un avion d'Iberia, à destination de Barcelone. Vendredi matin 6 mars 1987, la levée du corps n'avait toujours pas eu lieu, de soudaines complications administratives et politiques étant venues, semble-t-il, compliquer le déroulement des opérations. Les dirigeants espagnols craignent apparemment des débordements à l'arrivée du cercueil en Espagne. La famille de "Txomin" est à Alger depuis quelques jours, ainsi qu'une délégation de Herri Batasuna, conduite par M. Inaki Esnaola, député au Parlement basque et ami de "Txomin". Le corps du séparatiste basque doit être inhumé à Montdragon, son village natal, dans la province de Guipuzcoa, mais on ne sait plus très bien quand. Les autorités espagnoles retardent, pour des raisons évidentes de politique intérieure, le rapatriement de la dépouille de "Txomin". Celui-ci, apparemment, est encore plus gênant mort que vivant.
Selon les explications de celui qui a été plusieurs fois directeur d’institutions publiques et privée en Espagne, les citoyens espagnols tués sont les marins canariens dont les bateaux de pêche étaient ciblés par les miliciens du Polisario durant les années 70 et 80 dans la zone entre le Sahara et les îles Canaries. Des propos corroborés par l’Association canarienne des victimes du terrorisme (Acavite) qui a fait de la défense des citoyens espagnols assassinés par le mouvement indépendantiste son cheval de bataille.
Lucía Jiménez est présidente de l’Association canarienne des victimes du terrorisme (Acavite), qui représente près de 300 familles victimes de Brahim Gali et qui attendent depuis 9 ans que le Tribunal national rende justice aux demandes qui non seulement , mais plus d’associations au niveau national, présentées. Après le départ d’Espagne du dirigeant du Polisario, Jiménez a accordé une interview à « El Cascabel » de TRECE. Lucía y explique que son association « regroupe près de 300 familles d’orphelins et de veuves, pour la plupart originaires des îles Canaries, qui depuis les années 1973, nos parents travaillaient comme opérateurs sur le tapis roulant de la mine de phosphate dans l’ancien Sahara espagnol. La décolonisation processus a eu lieu et de nombreux civils ont subi des attaques des miliciens du polisario, mon père a été grièvement blessé et est décédé plus tard des suites des blessures causées par cet attentat à la bombe ».
« Une nouvelle menace de la bande armée du Front Polisario qui démontre son caractère fasciste de « Toute personne qui a des intérêts dans le Sahara peut être une cible » » Pedro Ignacio ALTAMIRANO…
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