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DERRIERE LES MASQUES EN VITRINE MEDIATICO-NUMERIQUE LE « CLAN DES AS » DE L’USURPATION INTELLECTUEL

DERRIERE LES MASQUES EN VITRINE. MEDIATICO-NUMERIQUELE «CLAN DES AS» DE L’USURPATION INTELLECTUELLE. By Karima kaddouri ©…

Mon intégrité intellectuelle m’empêche de me «fausser compagnie».Aussi, tant pis, j’aborderai les questions légères dans un autre «à propos».

Je reviens tout naturellement sur le constat alarmant des actualités, de l’actualité où persiste une dissonance dans le fondement des résonnances d’audience diffusées sur les médias écrits, numériques, visuels ou télévisuels…

La communication numérique, l’information automatique, la presse, nos responsables, nos organisateurs devenus désorganisateurs par ce fait, dérogent ou ignorent sciemment les questions de «propriété intellectuelle».

Cette question est très importante :

  1. Si je me place du côté du réel expert qui s’est exercé sur un travail long de recherche et d’expérimentation,

  2. Si je me place du côté d’un analyste qui a synthétisé un nombre conséquent d’information.

Leur travail leur échappe sous le couperet de faussaires intellectuels, le travail, les idées même de ce travail, se retrouvent «banderolés» par des usurpateurs d’idées, optant pour des circuits courts pour prendre « possession de l’ingénierie intellectuelle« .

« Maitre corbeau sur un arbre perché, tenait en son bec un fromage… »

Eh bien effectivement, tout flatteur dépend de celui qui l’écoute, au dépend de celui qui le lit !

Et les conséquences peuvent être lourdes si nous ne prenons pas en considération les violations de «propriétés intellectuelles matérielles et immatérielles» !

  1. Le vol de la propriété intellectuelle ne gêne pas les escrocs de l’information, ils en vivent.

Cette pratique devrait atteindre les oreilles devenues plus sourdes de nos institutions et services de diffusions de l’information.

Ces derniers doivent urgemment opter pour une recherche source afin de disqualifier nos usurpateurs des idées car au-delà d’une recherche scientifique identifiée, d’appartenance et référencée, scientifiquement, une idée aujourd’hui prend aussi le sens de la propriété intellectuelle.

La primeur d’une idée est aussi un gage d’une acuité scientifique et intellectuelle qu’il faut absolument reconnaitre et saluer à juste titre, autrement que par la rafle de leur travail.Il faut noyer les galipettes médiatisées «honorablement» de nos faussaires de prestations, qu’ils n’auraient nullement concrétisé , sans cet acte de «copier-coller» pour la plupart du temps car cette facilité est leur seule rigueur !

Nos fameux institutionnels de l’info, les cadres de la discipline sont quasi tenus responsables de ces « tricheries opportunistes« , qu’ils valorisent par tout l’apparat médiatique et financier alors que le mérite revient aux précurseurs, aux initiateurs de l’idée.

Nous avons un nombre important d’experts dont l’expérience doit être valorisée qui se désolidarisent du système tout simplement et pourtant leurs travaux sont les réelles ressources pour lesquelles nous devons nous baser pour transformer un modèle de développement en un bilan positif et encourageant.

  1. Nombreuses «visio-conférences honteuses» (je me permets) en cette longue période de Covid ont ainsi éclipsé les initiateurs de la recherche, les analystes, les donneurs d’alertes car ces derniers ont à tout égards la propriété intellectuelle!

  2. Des articles, des essais scientifiques, synthèses, analyses… diffusés sur le net ou par espace de vie intellectuelle interposé…sont repris sans aucun complexe au compte de « clans de l’imposture »!

Nos «canaux-diffuseurs de l’info populaire», de la «presse générique» semblent à court de ressources, et tiennent pour acquis, un ensemble de lignes confuses, éraillées par des ignobles faux spécialistes en tout, dont l’opportunisme est la seule locomotive.

La reprise en «copier-coller» les absout apparemment, de toute reconstruction de l’information, d’en trouver les sources et ses ressources, et ainsi, ils diffusent des images associées à un discours.

Le « sachant » reste perplexe tant les oublis et les erreurs sont grotesques et s’aperçoit que la soif du remplissage de l’espace information écrite et visuelle devient une priorité scandaleuse.

Nous autres lecteurs, voyeurs naïfs, tous autant que nous sommes, nous sommes noyés face à cette absence de considération, et de discernement qui ne vont pas du tout dans le sens de pouvoir enfin obtenir les « glissements ascendants des apprentissages » pour toutes les strates socio-économiques.

Le schéma de l’information usurpée à autrui, n’est autre qu’une photographie de notre indulgence à accepter la dévalorisation «intellectuelle» par la médiocrité :

  1. Une médiocrité car les sources sont noyées par les envasements d’eaux troubles masqués de certains clans qui prospèrent sur le travail d’autrui (apparemment ils sont les seuls visibles) et légitimés par nos systèmes institutionnels «d’accréditation de l’information» devenus trop aveugles pour voir.

  2. Mdm, marocains des rives de la méditerranée, souhaitent œuvrer pour un idéal de construction du Maroc de demain, où les individualités veulent emprunter les chemins d’une citoyenneté émérite mais dont l’énergie est amputée par les faussaires, les usurpateurs d’idées, les faux experts qui noient le paysage (médiatique, numérique), des réelles énergies vives marocaines.

By Karima Kaddouri ©

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