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Complément d'enquête: La connivence entre l'Iran et l’Algésario - l'Axe du mal - désormais bien connues de tous... [Détails]


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La connivence entre l'Iran et l’Algésario - l'Axe du mal - est désormais largement présent dans tous les moyens de communication.

Parmi les déclarations de Feu le Roi Hassan II qui sont régulièrement partagées à grande échelle sur les réseaux sociaux, celle-ci retient particulièrement l’attention dans le contexte actuel :« لا ننتظر من العالم أن يعترف بصحرائنا المغربية بل كنا نريد أن يعرف الناس مع من حشرنا الله في الجوار »

Traduction : « Nous n’attendons pas du monde qu’il reconnaisse notre Sahara marocain. Nous voulions plutôt que les gens sachent avec quels voisins Dieu nous a réunis ».

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Le Maroc rompt avec l'Iran pour ses liens supposés avec les miliciens du polisario
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Le Maroc avait annoncé, la rupture de ses relations diplomatiques avec l'Iran, qu'il accuse d'avoir facilité une livraison d'armes au miliciens du polisario, via son allié du Hezbollah libanais.

Lors d'une conférence de presse à Rabat, le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a assuré qu'une "première livraison d'armes avait été récemment fournie au Polisario", les milciens du polisario soutenus par l'Algérie, via un "élément" - "Amir Moussaoui," à l'ambassade iranienne à Alger.

"Le Maroc dispose de preuves irréfutables, de noms identifiés et de faits précis qui corroborent cette connivence entre le Polisario et le Hezbollah contre les intérêts suprêmes du royaume", a affirmé le chef de la diplomatie marocaine.

Le polisario impliqué dans des réseaux armés iraniens en Syrie, selon le Washington Post

Dans un rapport récent, le quotidien américain The Washington Post a dévoilé des révélations troublantes sur l’implication du Front Polisario dans des réseaux armés soutenus par l’Iran en Syrie ces dernières années. S’appuyant sur des données de terrain provenant de régions telles que Palmyre et El Qousseir, le journal qualifie le polisario de « groupe armé » et affirme que plusieurs de ses membres sont actuellement détenus par les nouvelles forces de sécurité syriennes.

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Le rapport indique qu’au fil des années, l’Iran a appuyé un large éventail de groupes armés afin d’étendre son influence régionale, parmi lesquels figure le Front Polisario, basé en Algérie. Intitulé « La Syrie s’efforce de démanteler les dernières filières de contrebande d’armes et de fonds liées à l’Iran », l’article précise : « Au cours des années, l’Iran a renforcé un vaste réseau de groupes affiliés pour servir ses intérêts. À titre d’exemple, il a formé des combattants du Front Polisario, établi en Algérie », ajoutant que des centaines d’entre eux sont actuellement détenus, selon un haut responsable régional et un diplomate européen.

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Le rapport souligne que la chute du régime de Bachar el Assad a permis au nouveau gouvernement syrien, dirigé par le président intérimaire Ahmad al-Charaa, de démanteler ce qu’il restait du « pont terrestre » iranien. Ce réseau permettait à Téhéran d’acheminer armes et financements à ses alliés dans la région, notamment le Hezbollah libanais. Les opérations de démantèlement ont conduit à la fermeture de points de passage stratégiques utilisés pour la contrebande, ainsi qu’à la découverte d’importants dépôts d’armes et d’usines de production de captagon – une drogue amphétaminée qui constitue l’une des principales sources de revenus du Hezbollah et de l’ancien régime syrien.

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«La Syrie cherche à couper les derniers réseaux de contrebande d’armes et d’argent liés à l’Iran», The Washington Post souligne que le Polisario s’inscrit désormais dans la liste croissante des groupes identifiés comme affiliés à l’axe pro-iranien.

Le quotidien note que, ces dernières semaines, les forces du nouveau gouvernement syrien ont intensifié leurs efforts pour neutraliser les routes de contrebande traversant les montagnes accidentées à la frontière libanaise, longue de 375 kilomètres. Ces routes représentent les derniers vestiges du fameux « pont terrestre » – un réseau logistique qui traversait la Syrie et permettait le transfert d’armes, de fonds, de drogues et de carburant au profit de l’Iran et de ses milices alliées.

« Aujourd’hui, la donne a radicalement changé, depuis que les islamistes armés ont renversé Assad en décembre dernier – un coup dur pour l’influence régionale de l’Iran, désormais largement isolé du Hezbollah », souligne The Washington Post.

Selon le journal, la région frontalière avec le Liban a constitué, durant treize années, un bastion stratégique pour le Hezbollah – un centre de production de drogues et un point de passage clé pour le transport d’armes et de combattants. Lors de leurs récentes opérations dans plusieurs villages frontaliers, les forces syriennes ont découvert pas moins de 15 usines de fabrication de captagon. Cette drogue, proche des amphétamines, a alimenté un commerce lucratif dont ont bénéficié à la fois le régime Assad et le Hezbollah. Des sources sécuritaires locales estiment que ce trafic génère des dizaines de millions de dollars.

Encadrement militaire iranien

Basé en Algérie, le front séparatiste du polisario a bénéficié d’un encadrement similaire à celui offert à d’autres milices opérant au Liban, en Irak ou en Syrie, soutient la même source. Une stratégie bien rodée de Téhéran, visant à constituer un réseau de forces supplétives servant ses intérêts géopolitiques au Moyen-Orient et au-delà.

Exemple: Tunnels, modus operandi similaire à celui du Hezbollah

Une équipe de journalistes du site «Vice Media», filiale de la compagnie américaine «Vice Media LCC», basée à New-York, a rediffusé, simultanément avec la crise orchestrée dans la zone tamponsimilaire à celui du Hezbollah, un reportage sur les tunnels creusés par le polisario au-delà du dispositif de défense marocain.

Amir Moussaoui, agent secret iranien dans la peau d’un diplomate
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Amir Moussaoui, le frénétique diplomate iranien qui vient de quitter précipitamment son poste à Alger, suites à ses activités occultes, dont le rôle d’intermédiaire dans la livraison d’armes par le Hezbollah libanais au mouvement séparatiste du Front Polisario n’est pas le moindre, selon des sources bien informées.

Sans nommer Amir Moussaoui, le chef de la diplomatie marocaine, Nasser Bourita avait annoncé, que le Maroc avait décidé de rompre ses relations avec l’Iran à cause de la «connivence avérée» et du soutien militaire de son allié le Hezbollah au polisario, le mouvement séparatiste soutenu par l’Algérie.

Une connivence dont la cheville ouvrière était justement Amir Moussaoui en personne. Déjà épinglé pour diverses activités de prosélytisme chiite en Algérie, le controversé diplomate iranien avait dû démentir, en mai dernier, des rumeurs de son expulsion d’Alger.

Des rumeurs qui avaient enflé après l’appel lancé à Amir Moussaoui par Adda Fellahi. Cet ancien chargé de communication du ministère algérien des Affaires religieuses, avait demandé à l’insidieux diplomate iranien de quitter l’Algérie, l’accusant de mener des activités qui avaient peu de liens avec son statut officiel.

Ce départ peu glorieux du diplomate confirme a posteriori les accusations du Maroc contre l’Iran pour les liens fourbes entretenu par Téhéran avec le polisario par le biais du Hezbollah. Il dévoile de surcroît, les opérations de subversion et les tentatives de déstabilisation iraniennes menées non seulement au Moyen-Orient, mais également en Afrique du Nord, estiment les mêmes sources.

L’Iran réagit. Téhéran a choisi l’ancien attaché culturel de son ambassade à Alger, Amir Moussaoui, pour donner sa version.

L’ancien diplomate, qui avait été prié de quitter l’Algérie en raison de ses activités suspectes a avancé, dans des déclarations à la chaîne TV Al Mayadeen, financée par l’Iran et le Hezbollah

Pour rappel, l’Iran a apporté son soutien à la décision de l’Algérie de rompre ses relations avec le Maroc. «Les questions soulevées par Ramtane Lamamra, lors de son point de presse du 24 août, méritent de recevoir une réponse appropriée aux préoccupations de l'Algérie, concernant les menaces sécuritaires et les atteintes à son unité et à sa souveraineté», a indiqué l’ambassadeur de Téhéran à Alger.

Comment l'Iran via Amir Moussaoui finance les actions du Front Polisario contre le Maroc

La chaîne i24 News a diffusé un reportage dans le cadre de l’émission "Défense" qui prouvent l’implication de l’Iran, par le truchement du Hezbollah, dans le financement et l’armement du Polisario, avec l’aide de l’Algérie, pour mener des actes terroristes au Sahel et contre le Maroc.


 
 
 

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