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algériens, qui appellent les milices du Polisario à commettre des actes terroristes contre le Maroc


Mohamed Lahcen Zeghidi, professeur d’histoire à l'Université d'Alger incite le Polisario à attaquer le Maroc

Dans une vidéo postée sur le réseaux sociaux, Mohamed Lahcen Zeghidi, professeur d’histoire à l'Université d'Alger, ancien directeur du Musée national du moudjahid, apparaît appelant les mercenaires du Polisario réunis à l'université d'été à prendre les armes contre le Maroc, et de ne pas attendre que les Algériens les libèrent.

La wilaya de Boumerdès, en Algérie, est aux couleurs du Polisario jusqu’au 14 août. Sauf que cette année, la séance d’ouverture de l’université d’été du mouvement sécessionniste n’a vu la présence d’aucun officiel algérien. La situation interne marquée par la guerre des clans et les défis sécuritaires en lien avec l’accès des militaires à la tête du Niger expliqueraient le désintérêt de la nomenklatura algérienne.

Après la fin de la pandémie de la Covid-19, le Polisario a repris l’organisation de son université d’été à la wilaya de Boumerdès, en Algérie. Fait rare, l’édition de cette année, qui se poursuit jusqu’au 14 août, n’a connu la présence d’aucun officiel algérien lors de la séance d’ouverture.

En 2019, Alger avait envoyé le président de la Chambre basse du Parlement, l’islamiste Slimane Chenine, pour représenter l’Etat algérien à l’évènement. Des ministres et des chefs de partis politiques algériens, traditionnellement conviés aux travaux de l’université, ont brillé cette année par leurs absences. Pour rappel, en 2018, l’ancien secrétaire général du FLN (Front de libération national), le très controversé Djamel Ould-Abbès, avait pris la parole devant les participants à ce conclave.

Plus marquant encore, le chef de la milice Polisario n’a pas fait de déplacement à Boumerdès, pour prononcer son traditionnel discours lors de la séance inaugurale. La présence officielle du parrain algérien à ce forum se résume à des conférences données, quotidiennement, par des universitaires algériens.

Encore une fois, l’Algérie se substitue officiellement au Polisario et prouve le caractère fantomatique de la RASD

Les autorités algériennes mettent une nouvelle fois en évidence la négligence du Front Polisario et de la (RASD). La direction des médias du ministère algérien de la Communication a envoyé une lettre officielle aux journaux et médias algériens, les invitant à couvrir une activité interne de la RASD et du Front Polisario.

Comme le rapporte Maghreb Intelligence, l'invitation, datée du 31 juillet 2023, concerne la onzième édition de l'université d'été des cadres de la RASD et du Polisario, prévue du 1er au 15 août à Boudouaou, en Basse Kabylie, dans la wilaya de Boumerdes.

Dans ce cas, la direction des médias demande la couverture médiatique d'un événement qui, théoriquement, ne relève pas de sa compétence. Cette démarche renforce involontairement les revendications marocaines, affirmant que l'Algérie est le principal acteur dans le conflit du Sahara occidental, plutôt que le Front Polisario ou la RASD, qui n'ont pas de structure administrative viable malgré plusieurs décennies d'existence.

⛔L'algérie grenier du terrorisme
⛔Un ténor du FLN appelle le Polisario à commettre des attentats sur le territoire marocain

Abderrahmane Belayat, ancien ministre algérien et ancien activiste du parti unique déchu du front de libération nationale (FLN)), a appelé le Polisario à commettre des attentats terroristes sur le territoire marocain, et prendre l’exemple sur la résistance algérienne, qui frappait le colonialisme sur le territoire français, dans l’hexagone.

Ancien député et ancien ministre, Belayat a appelé le polisario à frapper à l’intérieur du territoire marocain, pour déstabiliser le pays. Un appel solennel et public au terrorisme et au meurtre de la part d’un responsable algérien, par ailleurs ancien idéologue d’un parti déchu, à l’adresse d’un groupe terroriste, qui est hébergé sur le territoire algérien et armé par la junte militaire algérienne.

Il n’est pas le premier Algérien à émettre cet appel en direction du polisario. Un ancien officier de l’armée de l’air algérienne, qui s’est converti en pseudo-analyste pour les télévisions locales, Mokhtar Médiouni, avait appelé sur la chaine de télévision algérienne Al Hayat en novembre 2021, le polisario à commettre des attentats partout au Maroc, dans les villes marocaines, pour déstabiliser le pays. Belayat s’est même dit convaincu que la république sahraouie serait sur le point de voir le jour et qu’il avait effectué un voyage à Tifariti, dans «les territoires libérés », sans toutefois nous confier s’il avait passé la nuit sur les lieux et s’il avait surtout réussi à avoir sommeil.

Belayat appartient à ces premiers régiments du FLN qui vivaient gracieusement en Algérie, tirant profit des immenses privilèges que leur offrait leur position au sein du parti unique (villas, limousines, voyages à l’étranger), lorsque la majorité de leurs compatriotes étaient interdits de voyager à l’étranger et vivaient dans des situations précaires d’austérité et de marginalisation. Cet appel au meurtre et au terrorisme devrait absolument être notifié aux instances onusiennes chargées de la lutte contre le terrorisme, aux juridictions internationales compétentes et à Interpol.

Tout le monde sait que l’Algérie accueille sur son territoire un groupe terroriste qui attaque depuis le territoire algérien le Maroc et qui est armé par l’Algérie, l’Iran, Cuba et le Hezbollah libanais. L’Iran a confirmé officiellement qu’il vendait des armes à l’Algérie, destinées au polisario et qu’il prenait également en charge les entrainements des milices du polisario.

Le FLN continue, à l’image de l’ANC en Afrique du sud, dont les plus hauts responsables sont plongés dans des scandales de corruption et de mœurs, d’exploiter la guerre de libération comme un fonds de commerce, pour maintenir sa main mise sur le pouvoir et perpétuer la corruption, la dilapidation des richesses du pays et assouvir l’instinct de ses dirigeants à perpétuer leurs domination sur le peuple algérien frère.

⛔Un ex-colonel algérien incite le Polisario à attaquer le Maroc

Dans une intervention télévisée, un ancien militaire à la retraite (le colonel à la retraite, Mokhtar Mediouni, converti en animateur principal de l’émission «Crisis», diffusée sur la chaîne algérienne, Al Hayat TV), a appelé les milices du Polisario à commettre des actes terroristes dans le centre du Maroc.

L’ex-colonel algérien s’est présenté sur le plateau de l’émission. Durant son intervention télévisée, cet ancien militaire à la retraite, a appelé les milices du Polisario à commettre des actes terroristes dans le centre du Maroc afin d’avoir plus de possibilités à déstabiliser l’ordre régional.

«Attention, pas sur le territoire occupé (Sahara occidental, ndlr), mais je parle de Casablanca, Marrakech et Rabat. Vous pourrez y mener des actions qui sèmeront le désordre et la terreur dans la société marocaine. Vous aurez de bons Marocains qui seront de votre côté».

« Déplacez la guerre sur le territoire marocain pour semer le chaos et la terreur à Casablanca, à Marrakech. Si vous voulez l’indépendance, vous devez mourir en martyrs », «Ô Sahraouis, vous qui voulez votre indépendance, mourez en martyr pour votre pays et déplacez la guerre jusqu’au Maroc, en plein territoire marocain» a lancé Mokhtar Said Mediouni, dans une déclaration aussi irresponsable que les déclarations du régime algérien les jours derniers.

⛔« Toutes les cibles sont légitimes » Mohamed Wali Akeik

Mohamed Wali Akeik revient à la charge. Quelques mois après avoir appelé, dans l’hebdomadaire britannique The Economist, à des attaques terroristes contre des “entreprises et consulats, compagnies aériennes et autres secteurs”, l’ancien “premier ministre” de la soi-disant (rasd), au nom de laquelle le mouvement séparatiste sahraoui du Polisario revendique la partie du Sahara marocain anciennement colonisée par l’Espagne, vient de reprendre le même propos dans des déclarations à la presse largement répercutées. “La jeunesse sahraouie est prête à se battre par tous les moyens disponibles au Sahara [marocain],” a-t-il notamment déclaré. Ce qui a notamment fait réagir l’Association sahraouie de défense des droits de l’Homme (ASADEH) qui, dans un communiqué, a condamné la sortie de M. Akeik et l'a considérée comme étant “une incitation directe à la jeunesse du Sahara de commettre des attaques commandos contre nos villes”. Et d’estimer que “cette grave déclaration confirme que l'objectif principal de la direction du Polisario est d’instaurer un climat de haine et d'instabilité au sein de la population de notre région”.

Objet d’un mandat d’arrêt émis en novembre 2016 par le magistrat de l’Audience nationale, José de la Mata.

Mohamed Ouali Akeik, était l’un des sept auteurs de l’attentat terroriste commis, le 19 octobre 1974, contre Phosboucraa et qui s’est soldé par la mort d’un soldat et le rapt de deux civils espagnols.

« Une nouvelle menace de la bande armée du Front Polisario qui démontre son caractère fasciste de « Toute personne qui a des intérêts dans le Sahara peut être une cible » » Pedro Ignacio ALTAMIRANO…

L’un des actes les plus saillants à mettre au pedigree de ce sanguinaire, est l’attentat terroriste qu’il a co-commis avec six autres éléments d’un commando du Polisario, le 19 octobre 1974, contre une unité de Phosboucraa alors administré par l’occupant espagnol.

Selon le média marocain Le360 , le soi-disant Premier ministre de la république autoproclamée, qui vient d’être nommé à ce poste par le leader séparatiste Ibrahim Ghali le 5 février 2018, a été impliqué dans une série de crimes graves présumés, y compris les enlèvements. de citoyens espagnols travaillant sur le site de . A l’époque, le site était administré par l’Espagne à l’époque de la colonisation. L’un de ses exploits fut d’attaquer le tapis roulant de Phosboucraa en octobre 1974. Trois semaines plus tard, il a été arrêté à Laayoune et est resté dans une prison de Las Palmas pendant un an.

Ces attaques ont causé la mort d’un soldat espagnol, Angel del Moral, de deux citoyens espagnols, de l’entrepreneur canarien Antonio Martin et du médecin José Sastre Papiol. La série d’attaques a été ordonnée par Ghali, qui était alors le chef de « l’armée sahraouie ».

En octobre 2015, le journal canarien La Provincia a publié un reportage marquant l’anniversaire de l’attaque terroriste contre des civils espagnols. La Provincia a également publié un article de presse du journaliste Diego Talavera. Le reportage comprenait des articles de presse sur les auteurs des actes terroristes, dont Ouali Akeik, lauréat de l’Académie militaire Churchill à Alger.

Il va en tout cas sans dire que M. Akeik a, de la sorte, encore confirmé le caractère à proprement parler terroriste du Polisario; ce dont, depuis belle lurette, avertissent les autorités marocaines. Ces dernières mettent en effet en évidence les liens que le mouvement séparatiste entretient avec les organisations jihadistes du Sahara et du Sahel, notamment Daech, dont la section dans le Grand Sahara a longtemps été dirigée par l’ancien polisarien Adnane Abou Walid al-Sahraoui, jusqu’à sa neutralisation en août 2021 par l’armée française au cours d’une opération militaire.

Ainsi, l’appel à la violence de M. Akeik, récidiviste comme on le voit et dont ses acolytes n’ont jamais pris leurs distance, remet sur la table la question du classement du Polisario comme organisation terroriste, loin donc d’être le représentant de la population du Sahara marocain comme il se présente aux yeux de la communauté internationale.

⛔Un plan machiavélique savamment conçu par le «cerveau», le général, Khaled Nezzar

«Plan d’Alger» pour empêcher «le Maroc de construire ses fortifications» ce qui témoigne, s’il en est encore nécessaire, du degré d’implication des militaires algériens, mais qui n’a pas reçu l’ordre d’application de Benjedid.

Le général, Khaled Nizar, le puissant ministre de la Défense sous Chadli Bendjedid, a reconnu dans une vidéo publiée par la chaine algérienne Ennhar Tv que l’Algérie avait préparé un plan volontariste pour pousser le Maroc à abandonner l’idée de construire un mur de sécurité dans son Sahara.

Avec son collègue de la 3e région militaire, Mohamed Touati, Nezzar met alors en garde son président dans un mémo contenant également des mesures pour empêcher la construction du mur.

Ce plan est basé sur la création d’un état d’instabilité et d’escarmouches à l’intérieur du Maroc avec l’aide des milices du Polisario. Pour obliger le Maroc à ne pas déplacer ses forces stationnées à l’époque à Errachidia vers le sud pour sécuriser les étapes de la construction du mur défensif.

⛔Arrestation du présumé terroriste proche du Polisario

Ce dernier, dont l’identité n’a pas été révélée, avait rallié les camps de Tindouf et avait pour projet de commettre des attentats à l’intérieur du royaume.

Chez lui, la police a découvert un drapeau de Polisario, du matériel électronique, une carte d’identité délivrée par la « République Arabe Sahraouie démocratique » (RASD) et un habit militaire.

Voici la vidéo de son arrestation diffusée par la chaîne Medi1.
⛔Un étudiant pro-Polisario interpellé en possession de 23 machettes à Agadir…
⛔Arrestation de trois individus pour préparation d’agressions criminelles

Trois individus ont été arrêtés par les éléments de la brigade nationale de la police d’Agadir pour possession d’un arsenal d’armes blanches, fabriquées de façon traditionnelle.

Il s’agit d’un chauffeur de taxi et de « deux étudiants » de l’Université Ibn Zohr. ils ont été arrêtés alors que le chauffeur de taxi remettait aux deux étudiants les armes blanches à proximité du campus universitaire. On dénombre environ 23 sabres et coutelas confectionnés dans un atelier tenu par un forgeron de Oulad Taïma, selon l’enquête ouverte par la police après l’arrestation des trois prévenus.

L’un des «deux étudiants» arrêté, est connu des services de police pour ses liens affichés avec des réseaux séparatistes sahraouis (polisario) et qui a déjà publié des photos compromettantes sur les réseaux sociaux pour faire l’apologie des thèses terroristes du polisario .

Selon la police, ces sabres devraient servir dans des «agressions criminelles contre des innocents». Les investigations se poursuivent pour déterminer les conditions dans lesquelles ces armes blanches ont été fabriquées, identifier les éventuels complices et commanditaires des deux étudiants et toutes les personnes impliquées dans cette tentative d’attaque criminelle déjouée.

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