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Algérie: Des documents «top secret» prouvant la Connivence polisario-Hezbollah


Le Maroc rompt avec l'Iran pour ses liens supposés avec le Front Polisario

Le Maroc avait annoncé, la rupture de ses relations diplomatiques avec l'Iran, qu'il accuse d'avoir facilité une livraison d'armes au miliciens du polisario, via son allié du Hezbollah libanais.

Lors d'une conférence de presse à Rabat, le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a assuré qu'une "première livraison d'armes avait été récemment fournie au Polisario", les milciens du polisario soutenus par l'Algérie, via un "élément" - "Amir Moussaoui," à l'ambassade iranienne à Alger.

"Le Maroc dispose de preuves irréfutables, de noms identifiés et de faits précis qui corroborent cette connivence entre le Polisario et le Hezbollah contre les intérêts suprêmes du royaume", a affirmé le chef de la diplomatie marocaine.

Nous avons pu nous procurer des documents qui comprennent des renseignements classifiés Secret et Très Secret...👇👇
Exemple: Tunnels, modus operandi similaire à celui du Hezbollah

Une équipe de journalistes du site «Vice Media», filiale de la compagnie américaine «Vice Media LCC», basée à New-York, a rediffusé, simultanément avec la crise orchestrée dans la zone tamponsimilaire à celui du Hezbollah, un reportage sur les tunnels creusés par le polisario au-delà du dispositif de défense marocain.

Amir Moussaoui, agent secret iranien dans la peau d’un diplomate

Amir Moussaoui, le frénétique diplomate iranien qui vient de quitter précipitamment son poste à Alger, suites à ses activités occultes, dont le rôle d’intermédiaire dans la livraison d’armes par le Hezbollah libanais au mouvement séparatiste du Front Polisario n’est pas le moindre, selon des sources bien informées.

Sans nommer Amir Moussaoui, le chef de la diplomatie marocaine, Nasser Bourita avait annoncé, début mai dernier, que le Maroc avait décidé de rompre ses relations avec l’Iran à cause de la « connivence avérée » et du soutien militaire de son allié le Hezbollah au polisario, le mouvement séparatiste soutenu par l’Algérie.

Une connivence dont la cheville ouvrière était justement Amir Moussaoui en personne. Déjà épinglé pour diverses activités de prosélytisme chiite en Algérie, le controversé diplomate iranien avait dû démentir, en mai dernier, des rumeurs de son expulsion d’Alger.

Des rumeurs qui avaient enflé après l’appel lancé à Amir Moussaoui par Adda Fellahi. Cet ancien chargé de communication du ministère algérien des Affaires religieuses, avait demandé à l’insidieux diplomate iranien de quitter l’Algérie, l’accusant de mener des activités qui avaient peu de liens avec son statut officiel.

Ce départ peu glorieux du diplomate confirme a posteriori les accusations du Maroc contre l’Iran pour les liens fourbes entretenu par Téhéran avec le polisario par le biais du Hezbollah. Il dévoile de surcroît, les opérations de subversion et les tentatives de déstabilisation iraniennes menées non seulement au Moyen-Orient, mais également en Afrique du Nord, estiment les mêmes sources.

L’Iran réagit. Téhéran a choisi l’ancien attaché culturel de son ambassade à Alger, Amir Moussaoui, pour donner sa version.

L’ancien diplomate, qui avait été prié de quitter l’Algérie en raison de ses activités suspectes a avancé, dans des déclarations à la chaîne TV Al Mayadeen, financée par l’Iran et le Hezbollah

Pour rappel, l’Iran a apporté son soutien à la décision de l’Algérie de rompre ses relations avec le Maroc. «Les questions soulevées par Ramtane Lamamra, lors de son point de presse du 24 août, méritent de recevoir une réponse appropriée aux préoccupations de l'Algérie, concernant les menaces sécuritaires et les atteintes à son unité et à sa souveraineté», a indiqué l’ambassadeur de Téhéran à Alger.

Comment l'Iran via Amir Moussaoui finance les actions du Front Polisario contre le Maroc

La chaîne i24 News a diffusé un reportage dans le cadre de l’émission "Défense" qui prouvent l’implication de l’Iran, par le truchement du Hezbollah, dans le financement et l’armement du Polisario, avec l’aide de l’Algérie, pour mener des actes terroristes au Sahel et contre le Maroc.


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