Échec et mat à Alger!... les assoiffés de chair et de sang👹 activent le "Plan B" 💣... By- Mohammed Gherrabi
- gherrrabi
- 4 nov.
- 21 min de lecture

Échec et mat à Alger!
Depuis quelques semaines et avec une caractéristique mais rare précipitation, nous assistons à la fin d’un cycle, celui de la clôture – probablement définitive – du dossier du Sahara. Cinquante ans qui ont passé et pesé gravement sur une relation maroco-algérienne plutôt calamiteuse ; voilà aussi cinq décennies plongées dans la brume dont les futures générations – notamment algériennes – auront du mal à sortir, tant il est vrai que le régime militaire qui dirige le pays d’une poigne de fer depuis…1962 ne leur a laissé aucune échappatoire, sinon l’orgueil mal placé et, surtout, comme héritage programmatique la haine du Royaume du Maroc.
Les assoiffés de chair et de sang👹 activent le "Plan B" 💣
Quand l’Algérie ne fait pas l’apologie du terrorisme au Maroc, c’est la révolution qu’elle voudrait y provoquer. Le polisario, la bras armé d’Alger, ne semble pas échapper à la règle puisque l’un de ses responsables a affirmé que les entreprises, compagnies aériennes et les consulats étrangers basés dans les provinces du sud marocain « sont des cibles potentielles d’attaques armées » du polisario.
Le polisario qui publie presque quotidiennement des communiqués de guerre et qui s’est retiré unilatéralement du cessez-le-feu après que certains de ses éléments aient mené des actes de piraterie et avaient bloqué le seul passage reliant le Maroc à la Mauritanie pendant presque un mois en 2020, assume avec assurance sa nature terroriste dans un entretien de Mohamed El Ouali Akik au journal britannique The Economist.
« Une attaque plus profonde doit être lancée sur le territoire marocain », a-t-il menacé, en affirmant qu’il s’agit « plus que d’une simple possibilité ».
Face à ces agressions verbales et ces graves menaces explicites de mener des actes terroristes au Maroc et contre des représentations étrangères ainsi que des groupes privés, le gouvernement algérien n’a pas réagi, dévoilant ainsi sa complicité dans les faits.
Ces menaces ne comptent pas rester sans conséquences puisqu’un groupe de citoyens marocains a saisi Interpol pour ces menaces.

«Marchez vers le palais royal et mettez fin à la normalisation maintenant !»

Dans un discours prononcé face à la presse de son pays le 4 octobre, Abdelkader Bengrina, islamiste algérien et fervent soutien de Abdelmadjid Tebboune, a ainsi lancé un appel aux Marocains, qui lève définitivement le voile sur les sombres desseins poursuivis par le régime algérien en tentant d’instrumentaliser le mouvement GenZ212.
À travers son discours se dessine un cas de plus de l’ingérence scandaleuse dont fait preuve le régime algérien vis-à-vis du Maroc.
N’en déplaise à l’Algérie, à Abdelkader Bengrina et à ses maîtres, la jeunesse marocaine exprime à travers ces manifestations son attachement farouche à son pays, sa Couronne, son désir de s’impliquer politiquement, sa décision d’œuvrer pour un meilleur futur pour tous et son rejet de la fuite vers l’exil.
Le régime algérien appelle les manifestants marocains au chaos
Cet assaut numérique contre le Maroc n’ayant pas abouti, c’est cette fois-ci à visage découvert et de manière très officielle qu’agit le régime algérien. Dans un discours prononcé face à la presse de son pays le 4 octobre, Abdelkader Bengrina, islamiste algérien au service du pouvoir et chef de file du parti Al Bina, fervent soutien d’Abdelmadjid Tebboune, a ainsi lancé un appel aux Marocains, qui lève définitivement le voile sur les intentions de ce régime: «Marchez vers le palais royal et mettez fin à la normalisation maintenant!», a martelé ce sinistre personnage.
Tayeb Zitouni, a appelé lors d’un meeting de parti à « reverser le régime du Makhzen » critiquant le rétablissement des relations diplomatiques entre le Maroc et Israël.

Le président du Rassemblement National Démocratique (RND) -qui fait historiquement partie de la coalition au pouvoir aux côtés du FLN- Tayeb Zitouni, a appelé lors d’un meeting de parti à « reverser le régime du Makhzen » critiquant le rétablissement des relations diplomatiques entre le Maroc et Israël.
Profitant d’une prise de parole lors d’un meeting animé ce jeudi à Tiaret, le patron du Rassemblement National Démocratique (RND), Tayeb Zitouni a appelé le peuple marocain à «renverser le régime du Makhzen, dont la décision est devenue tributaire de l’entité sioniste».
L'apologie du terrorisme et incitation aux actes de terrorisme

L'apologie des actes de terrorisme est un délit pénal défini comme le fait de présenter publiquement des actes terroristes ou leurs auteurs sous un jour favorable, y compris par des justifications. Cette infraction est punie de peines de prison et d'amende, qui peuvent être aggravées en cas de recours aux moyens de communication électronique. Elle est constituée lorsque le message est rendu public par des discours, des écrits, des images ou d'autres supports de communication.
L’appel lancé par, Mustapha Bounif, prétendu rédacteur en chef d'un journal fantôme, Alhiwar, aux séparatistes du polisario sur les réseaux sociaux, visant à commettre des attentats terroristes au Maroc notamment à Casablanca et à Marrakech et de «semer la terreur» chez le peuple marocain.
Le président algérien n’en finit pas de montrer, à chaque nouvelle sortie, qu’il est possédé par la haine du Maroc et des Marocains.

La remise du «Prix de l’excellence journalistique» en Algérie, lors d’une cérémonie que Tebboune a présidée dimanche dernier, au youtubeur Mustapha Bounif, dont la seule spécialité est l’insulte du peuple marocain, apporte une preuve supplémentaire que le régime algérien fonde toute sa politique sur la haine du Maroc.
Dimanche dernier, Tebboune a présidé la 9ème édition de la remise des prix aux journalistes professionnels, au cours de laquelle, Mustapha Bounif, prétendu rédacteur en chef d’un journal fantôme, Alhiwar, a été primé, non pas pour ses écrits, mais pour «la qualité de son contenu incarné dans ses publications qui font face et combattent les écrits hostiles à l’Algérie».
Comment peut-on primer un journaliste qui dit ouvertement qu’il fait de la haine du Maroc son gagne-pain, et qu’il ne serait heureux que quand un malheur frapperait le Maroc? Comment décerner un prix de l’excellence à un youtubeur qui affirme que le peuple marocain «n’a ni dignité, ni fierté, ni savoir, ni mœurs. Le Marocain n’a absolument rien»?
Ceux parmi les Marocains qui doutent encore de la haine pathologique du régime algérien devraient considérer avec toute l’attention que cela requiert les significations de la récompense accordée par le chef de l’État algérien à un «journaliste» spécialisé dans les insultes infâmes contre le Royaume et ses habitants.
Deux événements d’une nature fort délicate, l’un concernant une frappe de drone dans la région des trois frontières, l’autre relatif à l’interception et à la libération de soldats algériens égarés par les Forces armées royales marocaines.

Le Terfès utilisé comme prétexte pour détruire💣 Fès?
Akram Kharief, fondateur du site Menadefense, pourtant réputé proche des premiers cercles algériens, est catégorique: «informations non confirmées.» Nul écho, nul démenti, nul commentaire n’a jusqu’à présent trouvé place dans les colonnes des publications algériennes, pourtant souvent friandes de pareils récits, surtout lorsque ceux-ci leur permettent de nourrir un discours hostiles à l’endroit du voisin marocain. Pourquoi donc se risquer, au Maroc, à des approximations, sans vérifications préalables ni sources officielles ?
Selon des informations (comme celles du site Yabiladi qui reprennent un compte Facebook anonyme sans le citer), «une frappe de drone a ciblé, jeudi 26 décembre, un convoi composé de deux véhicules transportant une vingtaine de personnes dans la région dite des trois frontières, située à l’ouest de Tindouf. Cette attaque aurait fait un mort et cinq blessés, tous de nationalité algérienne. ajoutant que «la victime serait un lieutenant de police issu de la préfecture de Béchar.»

Les passagers du convoi, présentés comme de jeunes prospecteurs, se seraient rendus dans cette zone désertique à la recherche de truffes (Terfès), une denrée très prisée dans cette région. Selon un témoignage cité par le site, «les deux véhicules se déplaçaient en convoi lorsque la frappe a eu lieu, provoquant panique et dégâts matériels considérables.»
S’agit-il d’un seul événement ou de deux événements distincts ?
Par ailleurs, les même sources ont rapporté, quelques heures auparavant, un autre incident qui aurait eu lieu au début de cette semaine. Les Forces armées royales marocaines (FAR) «auraient intercepté [pas arrêté] et relâché cinq soldats algériens, dont un officier, qui s’étaient égarés près de la zone tampon dans le Sahara.»
D’autres supports ont indiqué l’information sous réserve, précisant que ces militaires, à bord d’un véhicule tout-terrain de type ANPA, utilisé pour les patrouilles, «auraient pénétré accidentellement sur le territoire marocain lundi 23 décembre, aux alentours de 9 h 50, à proximité de M’hamid El Ghizlane, une région située non loin des dunes de l’erg Chegaga. Après vérification de leur identité, les soldats auraient été autorisés à partir vers 11h05 pour regagner le territoire algérien.». Ils soulignent, par ailleurs, que «cette démarche a été perçue comme un geste d’apaisement de la part des autorités marocaines, malgré les tensions persistantes entre Rabat et Alger.»

Les truffes des sables qu’on trouve en Afrique du nord sont des Tirmania ou des Terfès ; Nom scientifique: Terfez leptoderma Tirmania pinoyi. C’est comme pour les truffes il y a environ une trentaine d’espèces.Terfès utilisé comme prétexte pour détruire Fès?

Les investigations menées par le Bureau central d’investigations judiciaires ont permis de localiser une cache d’armes dans une zone isolée d’Errachidia, près de l’Oued Guir. Les recherches ont abouti à la découverte de fusils d’assaut et de chasse, de pistolets et d’une grande quantité de munitions, dissimulés dans des sacs en plastique et des journaux maliens. Ces armes étaient destinées à des actes terroristes que devait mener le réseau affilié à Daech au Sahel, démantelé hier mercredi par les services marocainsLes investigations et enquêtes menées par le Bureau central d’investigations judiciaires, relevant de la Direction générale de la surveillance du territoire, dans le cadre de l’enquête en cours sur le démantèlement d’un réseau terroriste affiliée à l’organisation Daech dans la région du Sahel, ont permis de recueillir des informations de terrain, renforcées par des données techniques, concernant une zone montagneuse suspectée d’être utilisée comme base arrière pour le soutien logistique en armes et en munitions destinées aux membres de ce réseau, en vue de l’exécution de leurs projets terroristes, indique un communiqué du pôle DGSN-DGST.

L’expertise technique et la localisation par satellite, réalisées à l’aide des coordonnées et des données géographiques saisies dans le cadre de l’enquête, ont permis d’identifier la zone suspecte dans la province d’Errachidia, plus précisément sur la rive orientale de l’Oued Guir, au niveau de «Tel Mzil», dans la commune et circonscription de «Oued N’aam», située dans la région de Boudenib, à la frontière orientale du Royaume.

Les inspections de terrain et les opérations de cartographie ont révélé que la zone suspecte se trouve au pied d’un relief rocheux difficile d’accès en raison de sentiers escarpés non aménagés. Cette situation a nécessité le déploiement de moyens logistiques adaptés afin de faciliter l’accès au site et de mener les fouilles nécessaires ainsi que les enquêtes préliminaires requises.
Conformément au protocole de sécurité et de sûreté applicable aux menaces terroristes, en particulier dans les endroits suspectés de contenir des armes et des matières explosives, le BCIJ a mobilisé des unités cynophiles spécialisées dans la détection d’explosifs, des dispositifs de détection de métaux, un appareil d’analyse et d’identification des substances suspectes, des robots de détection d’engins explosifs ainsi qu’un système de balayage par rayons X.
Les opérations de fouille et de ratissage, qui ont duré environ trois heures, ont permis de découvrir une cargaison d’armes et de munitions enfouie dans un endroit isolé au pied du relief rocheux. Les armes étaient emballées dans des sacs en plastique et des journaux imprimés au Mali, parmi lesquels figuraient des hebdomadaires datés du 27 janvier 2025.
Les armes saisies dans le cadre de cette opération comprennent deux fusils d’assaut Kalachnikov avec deux chargeurs, deux fusils de chasse, dix pistolets de différents calibres ainsi qu’une importante quantité de cartouches et de munitions de divers calibres.

L’ensemble des armes et munitions saisies a été placé sous scellés et inventorié de manière détaillée, en vue de leur transmission au laboratoire national de la police scientifique pour être soumis aux expertises balistiques et techniques nécessaires, lit-on.
Les investigations menées jusqu’à cette phase de l’enquête indiquent que les armes et équipements saisis ont été fournis et expédiés par un haut responsable de Daech dans la région du Sahel, chargé des relations extérieures, via des réseaux et circuits de contrebande illégaux.
Après avoir sécurisé l’acheminement des armes et munitions et assuré leur dissimulation dans cette base arrière logistique, le dirigeant de Daech a transmis les coordonnées du lieu à l’équipe des «coordonnateurs» du réseau terroriste démantelé hier, mercredi, afin qu’ils s’y rendent pour les récupérer et les utiliser dans l’exécution de leurs projets terroristes.
Parallèlement à ces opérations de terrain, les enquêtes et investigations menées par le Bureau central d’investigations judiciaires se poursuivent sous la supervision du parquet compétent, afin de dévoiler toutes les ramifications de ce réseau terroriste et d’identifier ses liens avec la branche africaine de Daech dans la région du Sahel, conclut le communiqué.
Évidemment, les malfrats se reconnaissent entre eux. C'est pour ça que ça s'appelle un réseau mafieux.

Criminalité organisée, deux personnes: un qui fait le guet, l’autre qui va commettre le larcin
Un qui vole, l’autre qui guette

L’Algérie cherche désespérément un conflit avec le Maroc… Pedro Ignacio Altamirano

Les problèmes internes du régime militaire totalitaire qui gouverne l’algérie s’effondrent sans aucune solution. La pression du Hirak, la pression de la Kabylie et la misère sociale galopante deviennent de plus en plus insupportables, malgré la répression continue inhumaine contre les militants et, plus grave, contre les journalistes qui osent dénoncer la putréfaction et la corruption du régime.
Comme tous les régimes totalitaires en retraite, il a désespérément besoin d’un conflit pour couvrir sa propre honte. On se souvient du chant de Franco à la fin du régime, lorsque la pression sociale dans les rues s’aggravait, ils recouraient toujours au «Gibraltar espagnol»; On se souvient aussi que l’Argentine de Jorge Rafael Videla Redondo n’a pas pensé à autre chose qu’ attaquer l’Angleterre en occupant les îles Falkland, pour camoufler le régime fasciste insoutenable qu’elle imposait dans ce pays d’Amérique du Sud. Il n’est donc pas surprenant que l’Algérie suive les dernières étapes des totalitaires. Finir de couler et de ruiner tout un pays avant d’abandonner le pouvoir « Après moi le déluge », et donc les privilèges de ses dirigeants et de ses proches au prix de la misère des peuples pour lesquels ils devraient travailler et développer. L’Algérie a désespérément besoin d’un conflit pour détourner l’attention internationale, mais qu’elle choisit comme victime nécessaire pour ses intérêts.
La Tunisie? Ça ne peut pas, ça serait une attaque incompréhensible au niveau international qui aurait de graves conséquences internationales.
La Libye ? Impossible est déjà en conflit.
Mali, Mauritanie, Burkina Faso ? Impossible.
Attaquer n’importe quel pays européen ? L’OTAN lui tombe dessus.
Qui te reste-t-il ? Exactement le Maroc.
Le Maroc a toujours été l’ennemi à battre sous n’importe quel prétexte, puisqu’il est le miroir où se reflètent les échecs sociaux, la corruption, le chaos économique et l’extrémisme algérien, contre le développement social, culturel, économique, les droits de l’homme, la démocratie et la modération du Royaume de Maroc. Le régime algérien ne peut pas exister avec un voisin démocratique, dans lequel la société civile grandit et se développe. C’est la vraie raison de la provocation historique et continue de l’Algérie avec le Maroc. Cela justifie comment, déjà dans les années 70, l’Algérie a fait sien le problème de la désastreuse décolonisation du Sahara Occidental par l’Espagne. Il a su voir l’opportunité unique et historique et a su, à travers le prétendu génocidaire Brahim Ghali et ses sbires algériens, réaliser un coup sanglant dans le Front Polisario et le mettre au service des intérêts bâtards algériens, contre les intérêts légitimes marocains. Depuis, il n’a cessé d’utiliser le mouvement armé et terroriste du Front Polisario pour attaquer le Maroc.
Ce jeu de marionnettes (RASD et Polisario) vient d’être détruit aux Nations Unies avec la résolution 2602 (2021) approuvée par le Conseil de sécurité de l’ONU lors de sa session 8890 tenue le 29 octobre 2021, par laquelle la MINURSO a été mandaté un an de plus. Il est important qu’une solution soit «réaliste, viable, durable et acceptable» telle que reflétée dans la même résolution, mais c’est aussi que la même résolution salue «les mesures et initiatives adoptées par le Maroc, et le rôle joué par les commissions de le Conseil national des droits de l’homme de Dakhla et Laâyoune, et l’interaction du Maroc avec les procédures spéciales du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies».
La résolution recueille de la même manière, mais en sens inverse, elle déplore avec énergie «les souffrances que continuent de subir les personnes détenues dans les camps de Tindouf, et dépendent de l’aide humanitaire extérieure, ainsi que les effets de la pandémie du Covid-19 » , et note avec une profonde préoccupation l’insuffisance des financements pour ceux qui vivent dans les camps, et les risques liés à la réduction de l’aide alimentaire. »

.Une résolution 2026/2021 dévastatrice pour les intérêts d’une Algérie de plus en plus acculée à l’international. L’Algérie n’a cessé de chercher à provoquer le Maroc. D’abord avec la fermeture unilatérale de ses frontières, malgré les appels à une entente politique pacifique lancés par SM le Roi Mohammed VI dans ses derniers discours, il a fermé unilatéralement l’espace aérien pour les vols des compagnies aériennes marocaines, et maintenant il invente une prétendue attaque marocaine contre deux camions en Mauritanie, et menace de riposter. Ce dernier recours et invention algérienne de provoquer le Maroc, basé sur un attentat inventé, veut être utilisée par l’Algérie pour déchaîner la bande armée du Front Polisario et forcer le Maroc à riposter. Celui-ci serait utilisé par l’Algérie pour désigner le Maroc comme coupable d’une escalade de la guerre, sans se soucier du tout des pertes prévisibles dans les rangs du Polisario et des souffrances des familles.
Les algériens, qui appellent à commettre des actes terroristes contre le Maroc

Inciter les milices du polisario à attaquer le Maroc, un plan machiavélique conçu par le général, Khaled Nezzar, impliqué dans des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité par le ministère public Suisse.
Mohamed Lahcen Zeghidi, professeur d’histoire à l'Université d'Alger incite le Polisario à attaquer le Maroc

Dans une vidéo postée sur le réseaux sociaux, Mohamed Lahcen Zeghidi, professeur d’histoire à l'Université d'Alger, ancien directeur du Musée national du moudjahid, apparaît appelant les mercenaires du Polisario réunis à l'université d'été à prendre les armes contre le Maroc, et de ne pas attendre que les Algériens les libèrent.
La wilaya de Boumerdès, en Algérie, est aux couleurs du Polisario jusqu’au 14 août. Sauf que cette année, la séance d’ouverture de l’université d’été du mouvement sécessionniste n’a vu la présence d’aucun officiel algérien. La situation interne marquée par la guerre des clans et les défis sécuritaires en lien avec l’accès des militaires à la tête du Niger expliqueraient le désintérêt de la nomenklatura algérienne.Après la fin de la pandémie de la Covid-19, le Polisario a repris l’organisation de son université d’été à la wilaya de Boumerdès, en Algérie. Fait rare, l’édition de cette année, qui se poursuit jusqu’au 14 août, n’a connu la présence d’aucun officiel algérien lors de la séance d’ouverture.
En 2019, Alger avait envoyé le président de la Chambre basse du Parlement, l’islamiste Slimane Chenine, pour représenter l’Etat algérien à l’évènement. Des ministres et des chefs de partis politiques algériens, traditionnellement conviés aux travaux de l’université, ont brillé cette année par leurs absences. Pour rappel, en 2018, l’ancien secrétaire général du FLN (Front de libération national), le très controversé Djamel Ould-Abbès, avait pris la parole devant les participants à ce conclave.
Plus marquant encore, le chef de la milice Polisario n’a pas fait de déplacement à Boumerdès, pour prononcer son traditionnel discours lors de la séance inaugurale. La présence officielle du parrain algérien à ce forum se résume à des conférences données, quotidiennement, par des universitaires algériens.
Encore une fois, l’Algérie se substitue officiellement au Polisario et prouve le caractère fantomatique de la RASD
Les autorités algériennes mettent une nouvelle fois en évidence la négligence du Front Polisario et de la (RASD). La direction des médias du ministère algérien de la Communication a envoyé une lettre officielle aux journaux et médias algériens, les invitant à couvrir une activité interne de la RASD et du Front Polisario.

Comme le rapporte Maghreb Intelligence, l'invitation, datée du 31 juillet 2023, concerne la onzième édition de l'université d'été des cadres de la RASD et du Polisario, prévue du 1er au 15 août à Boudouaou, en Basse Kabylie, dans la wilaya de Boumerdes.
Dans ce cas, la direction des médias demande la couverture médiatique d'un événement qui, théoriquement, ne relève pas de sa compétence. Cette démarche renforce involontairement les revendications marocaines, affirmant que l'Algérie est le principal acteur dans le conflit du Sahara occidental, plutôt que le Front Polisario ou la RASD, qui n'ont pas de structure administrative viable malgré plusieurs décennies d'existence.
⛔L'algérie une couveuse du terrorisme
⛔Un ténor du FLN appelle le Polisario à commettre des attentats sur le territoire marocain

Abderrahmane Belayat, ancien ministre algérien et ancien activiste du parti unique déchu du front de libération nationale (FLN)), a appelé le Polisario à commettre des attentats terroristes sur le territoire marocain, et prendre l’exemple sur la résistance algérienne, qui frappait le colonialisme sur le territoire français, dans l’hexagone.
Ancien député et ancien ministre, Belayat a appelé le polisario à frapper à l’intérieur du territoire marocain, pour déstabiliser le pays. Un appel solennel et public au terrorisme et au meurtre de la part d’un responsable algérien, par ailleurs ancien idéologue d’un parti déchu, à l’adresse d’un groupe terroriste, qui est hébergé sur le territoire algérien et armé par la junte militaire algérienne.
Il n’est pas le premier Algérien à émettre cet appel en direction du polisario. Un ancien officier de l’armée de l’air algérienne, qui s’est converti en pseudo-analyste pour les télévisions locales, Mokhtar Médiouni, avait appelé sur la chaine de télévision algérienne Al Hayat en novembre 2021, le polisario à commettre des attentats partout au Maroc, dans les villes marocaines, pour déstabiliser le pays. Belayat s’est même dit convaincu que la république sahraouie serait sur le point de voir le jour et qu’il avait effectué un voyage à Tifariti, dans «les territoires libérés », sans toutefois nous confier s’il avait passé la nuit sur les lieux et s’il avait surtout réussi à avoir sommeil.
Belayat appartient à ces premiers régiments du FLN qui vivaient gracieusement en Algérie, tirant profit des immenses privilèges que leur offrait leur position au sein du parti unique (villas, limousines, voyages à l’étranger), lorsque la majorité de leurs compatriotes étaient interdits de voyager à l’étranger et vivaient dans des situations précaires d’austérité et de marginalisation. Cet appel au meurtre et au terrorisme devrait absolument être notifié aux instances onusiennes chargées de la lutte contre le terrorisme, aux juridictions internationales compétentes et à Interpol.
Tout le monde sait que l’Algérie accueille sur son territoire un groupe terroriste qui attaque depuis le territoire algérien le Maroc et qui est armé par l’Algérie, l’Iran, Cuba et le Hezbollah libanais. L’Iran a confirmé officiellement qu’il vendait des armes à l’Algérie, destinées au polisario et qu’il prenait également en charge les entrainements des milices du polisario.
Le FLN continue, à l’image de l’ANC en Afrique du sud, dont les plus hauts responsables sont plongés dans des scandales de corruption et de mœurs, d’exploiter la guerre de libération comme un fonds de commerce, pour maintenir sa main mise sur le pouvoir et perpétuer la corruption, la dilapidation des richesses du pays et assouvir l’instinct de ses dirigeants à perpétuer leurs domination sur le peuple algérien frère.
⛔Un ex-colonel algérien incite le Polisario à attaquer le Maroc

Dans une intervention télévisée, un ancien militaire à la retraite (le colonel à la retraite, Mokhtar Mediouni, converti en animateur principal de l’émission «Crisis», diffusée sur la chaîne algérienne, Al Hayat TV), a appelé les milices du Polisario à commettre des actes terroristes dans le centre du Maroc.

L’ex-colonel algérien s’est présenté sur le plateau de l’émission. Durant son intervention télévisée, cet ancien militaire à la retraite, a appelé les milices du Polisario à commettre des actes terroristes dans le centre du Maroc afin d’avoir plus de possibilités à déstabiliser l’ordre régional.
«Attention, pas sur le territoire occupé (Sahara occidental, ndlr), mais je parle de Casablanca, Marrakech et Rabat. Vous pourrez y mener des actions qui sèmeront le désordre et la terreur dans la société marocaine. Vous aurez de bons Marocains qui seront de votre côté».
«Déplacez la guerre sur le territoire marocain pour semer le chaos et la terreur à Casablanca, à Marrakech. Si vous voulez l’indépendance, vous devez mourir en martyrs», «Ô Sahraouis, vous qui voulez votre indépendance, mourez en martyr pour votre pays et déplacez la guerre jusqu’au Maroc, en plein territoire marocain» a lancé Mokhtar Said Mediouni, dans une déclaration aussi irresponsable que les déclarations du régime algérien les jours derniers.
Un «terroriste» à la tête du plus grand aéroport d’algérie

Mokhtar Saïd Mediouni, l’une des étoiles filantes de la marocophobie dans le paysage audiovisuel et sur les réseaux sociaux en Algérie, est devenu le nouveau PDG de la Société de gestion des infrastructures et des services aéroportuaires (SGISA), qui gère l’aéroport international d'alger Houari Boumediene. Ceci, en remplacement de Mohamed Salah Kaouach, qui n’aura pas tenu longtemps à ce poste puisqu’il avait été nommé en novembre 2022.

L’ex-militaire a également minimisé l’importance du projet de l’ONU pour mettre fin au conflit du Sahara occidental. "Si vous pensez que l’ONU vous aidera à obtenir l’indépendance, oubliez-la", a-t-il déclaré. Outre ces déclarations incitant au terrorisme contre le Royaume alaouite, Mediouni a tenu plusieurs propos controversés, y compris l’utilisation d’insultes, contre le gouvernement et l’armée marocains. Il a également accusé le Maroc de vouloir "imposer son hégémonie".
L'ancien officier a également été accusé d'avoir participé au massacre de civils pendant la "décennie noire", l'un des épisodes les plus violents de l'histoire de l'Algérie. Par ailleurs, en août 2020, une plainte contre Mediouni pour agression sexuelle et tentative de viol a été révélée. Comme le rapporte Algérie Part, en 2015, une femme l'a accusé d'avoir tenté "d'initier une relation sexuelle" avec elle dans l'ascenseur d'un immeuble à Sidi Fredj. La victime a été secourue par trois hommes qui sont intervenus après avoir entendu ses cris.
Selon « Algérie Part », ce dossier a été étrangement étouffé au niveau de la justice algérienne car le colonel a fait intervenir son « réseau » au sein de certaines institutions sécuritaires pour dissimuler ce scandale de mœurs dans les tiroirs des bureaux des juges algériens.
Une plainte pour apologie du terrorisme vise l’algérien Mokhtar Saïd Mediouni, ex-colonel de l’armée de l’air algérienne


⛔«Toutes les cibles sont légitimes...» Mohamed Wali Akeik

Mohamed Wali Akeik revient à la charge. Quelques mois après avoir appelé, dans l’hebdomadaire britannique The Economist, à des attaques terroristes contre des “entreprises et consulats, compagnies aériennes et autres secteurs”, l’ancien “premier ministre” de la soi-disant (rasd), au nom de laquelle le mouvement séparatiste sahraoui du Polisario revendique la partie du Sahara marocain anciennement colonisée par l’Espagne, vient de reprendre le même propos dans des déclarations à la presse largement répercutées. “La jeunesse sahraouie est prête à se battre par tous les moyens disponibles au Sahara [marocain],” a-t-il notamment déclaré. Ce qui a notamment fait réagir l’Association sahraouie de défense des droits de l’Homme (ASADEH) qui, dans un communiqué, a condamné la sortie de M. Akeik et l'a considérée comme étant “une incitation directe à la jeunesse du Sahara de commettre des attaques commandos contre nos villes”. Et d’estimer que “cette grave déclaration confirme que l'objectif principal de la direction du Polisario est d’instaurer un climat de haine et d'instabilité au sein de la population de notre région”..
Objet d’un mandat d’arrêt émis en novembre 2016 par le magistrat de l’Audience nationale, José de la Mata.
Mohamed Ouali Akeik, était l’un des sept auteurs de l’attentat terroriste commis, le 19 octobre 1974, contre Phosboucraa et qui s’est soldé par la mort d’un soldat et le rapt de deux civils espagnols.
«Une nouvelle menace de la bande armée du Front Polisario qui démontre son caractère fasciste de «Toute personne qui a des intérêts dans le Sahara peut être une cible»» Pedro Ignacio ALTAMIRANO…

L’un des actes les plus saillants à mettre au pedigree de ce sanguinaire, est l’attentat terroriste qu’il a co-commis avec six autres éléments d’un commando du Polisario, le 19 octobre 1974, contre une unité de Phosboucraa alors administré par l’occupant espagnol.
Selon le média marocain Le360 , le soi-disant Premier ministre de la république autoproclamée, qui vient d’être nommé à ce poste par le leader séparatiste Ibrahim Ghali le 5 février 2018, a été impliqué dans une série de crimes graves présumés, y compris les enlèvements. de citoyens espagnols travaillant sur le site de . A l’époque, le site était administré par l’Espagne à l’époque de la colonisation. L’un de ses exploits fut d’attaquer le tapis roulant de Phosboucraa en octobre 1974. Trois semaines plus tard, il a été arrêté à Laayoune et est resté dans une prison de Las Palmas pendant un an.
Ces attaques ont causé la mort d’un soldat espagnol, Angel del Moral, de deux citoyens espagnols, de l’entrepreneur canarien Antonio Martin et du médecin José Sastre Papiol. La série d’attaques a été ordonnée par Ghali, qui était alors le chef de « l’armée sahraouie ».
En octobre 2015, le journal canarien La Provincia a publié un reportage marquant l’anniversaire de l’attaque terroriste contre des civils espagnols. La Provincia a également publié un article de presse du journaliste Diego Talavera. Le reportage comprenait des articles de presse sur les auteurs des actes terroristes, dont Ouali Akeik, lauréat de l’Académie militaire Churchill à Alger.
Il va en tout cas sans dire que M. Akeik a, de la sorte, encore confirmé le caractère à proprement parler terroriste du Polisario; ce dont, depuis belle lurette, avertissent les autorités marocaines. Ces dernières mettent en effet en évidence les liens que le mouvement séparatiste entretient avec les organisations jihadistes du Sahara et du Sahel, notamment Daech, dont la section dans le Grand Sahara a longtemps été dirigée par l’ancien polisarien Adnane Abou Walid al-Sahraoui, jusqu’à sa neutralisation en août 2021 par l’armée française au cours d’une opération militaire.
Ainsi, l’appel à la violence de M. Akeik, récidiviste comme on le voit et dont ses acolytes n’ont jamais pris leurs distance, remet sur la table la question du classement du Polisario comme organisation terroriste, loin donc d’être le représentant de la population du Sahara marocain comme il se présente aux yeux de la communauté internationale.
⛔Un plan machiavélique savamment conçu par le «cerveau», le général, Khaled Nezzar

«Plan d’Alger» pour empêcher «le Maroc de construire ses fortifications» ce qui témoigne, s’il en est encore nécessaire, du degré d’implication des militaires algériens, mais qui n’a pas reçu l’ordre d’application de Benjedid.
Le général, Khaled Nizar, le puissant ministre de la Défense sous Chadli Bendjedid, a reconnu dans une vidéo publiée par la chaine algérienne Ennhar Tv que l’Algérie avait préparé un plan volontariste pour pousser le Maroc à abandonner l’idée de construire un mur de sécurité dans son Sahara.
Avec son collègue de la 3e région militaire, Mohamed Touati, Nezzar met alors en garde son président dans un mémo contenant également des mesures pour empêcher la construction du mur.
Ce plan est basé sur la création d’un état d’instabilité et d’escarmouches à l’intérieur du Maroc avec l’aide des milices du Polisario. Pour obliger le Maroc à ne pas déplacer ses forces stationnées à l’époque à Errachidia vers le sud pour sécuriser les étapes de la construction du mur défensif.
⛔Arrestation du présumé terroriste proche du Polisario
Ce dernier, dont l’identité n’a pas été révélée, avait rallié les camps de Tindouf et avait pour projet de commettre des attentats à l’intérieur du royaume.
Chez lui, la police a découvert un drapeau de Polisario, du matériel électronique, une carte d’identité délivrée par la « République Arabe Sahraouie démocratique » (RASD) et un habit militaire.
Voici la vidéo de son arrestation diffusée par la chaîne Medi1.
⛔Un étudiant pro-Polisario interpellé en possession de 23 machettes à Agadir…

⛔Arrestation de trois individus pour préparation d’agressions criminelles
Trois individus ont été arrêtés par les éléments de la brigade nationale de la police d’Agadir pour possession d’un arsenal d’armes blanches, fabriquées de façon traditionnelle.
Il s’agit d’un chauffeur de taxi et de « deux étudiants » de l’Université Ibn Zohr. ils ont été arrêtés alors que le chauffeur de taxi remettait aux deux étudiants les armes blanches à proximité du campus universitaire. On dénombre environ 23 sabres et coutelas confectionnés dans un atelier tenu par un forgeron de Oulad Taïma, selon l’enquête ouverte par la police après l’arrestation des trois prévenus.
L’un des «deux étudiants» arrêté, est connu des services de police pour ses liens affichés avec des réseaux séparatistes sahraouis (polisario) et qui a déjà publié des photos compromettantes sur les réseaux sociaux pour faire l’apologie des thèses terroristes du polisario .
Selon la police, ces sabres devraient servir dans des «agressions criminelles contre des innocents». Les investigations se poursuivent pour déterminer les conditions dans lesquelles ces armes blanches ont été fabriquées, identifier les éventuels complices et commanditaires des deux étudiants et toutes les personnes impliquées dans cette tentative d’attaque criminelle déjouée.
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