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Affaire George Floyd, le mystérieux Silence Radio du « justicier » Kerry Kennedy

Affaire George Floyd, le mystérieux Silence Radio du « justicier » Kerry Kennedy .

Le médecin légiste officiel a rendu son rapport final : George Floyd, 46 ans, a bel et bien été victime d’un homicide le 25 mai dernier, à Minneapolis. L’événement a ému les États-Unis : de nombreuses manifestations sont toujours en cours sur place. Un couvre-feu a été décrété à New York.

Il s’agit donc d’un « homicide ». La médecine légale américaine a rendu son verdict ce mardi 2 juin, en ce qui concerne la mort de George Floyd. Le citoyen américain, décédé après son interpellation à Minneapolis le 25 mai dernier, n’a pas succombé des suites d’une « combinaison de facteurs », comme l’avait conclu l’autopsie officielle préliminaire, qui énonçait des problèmes de santé sous-jacents. Le quadragénaire a bel et bien été victime d’un « homicide ».

Affaire Haïdala, quand Kerry Kennedy se découvre la vocation du « justicier » !

Les pétrodollars algériens, le business qui rapporte beaucoup d’argent L’affaire Haïdala, en effet, le jeune Sahraoui marocain décédé, rappelons-le, le 30 janvier 2015, suite à une bagarre violente avec deux autres habitants de Laâyoune. Une simple altercation dont les rubriques «faits divers» regorgent à longueur d’année et dont l’un des protagonistes, en l’occurrence Mohamed Lamine Haïdala, avait coutume d’en provoquer, tellement son casier judiciaire est noirci de délits de droit commun.

Mais ce n’est pas de cet œil que le voit Kerry Kennedy, qui se découvre cette curieuse vocation de détective privée. Normal quand on sait que ce fait divers peut lui servir de prétexte pour reprendre du service auprès du binôme algéro-séparatiste à la faveur d’une énième campagne mensongère.

«Mohamed Lamine Haïdala, d’origine ethnique sahraouie, avait 21 ans quand il s’est vu asséner des coups de couteau par cinq Marocains», écrit Kerry Kennedy, porte-parole des mensonges du Polisario.

Appréciez bien cette «précision» ethnique apportée par l’auteure de l’article, classifiant les concitoyens, non sur la base de leur appartenance marocaine, mais sur le critère insidieux et extrêmement dangereux du tribalisme.

Porte-parole des mensonges du Polisario Mais passons, car il y a une précision, celle-là vraie, qu’il faut aussi apporter à (notre) « preux chevalier du droit-de-l’hommisme. » Les auteurs de l’homicide involontaire sont au nombre de 2 (bien deux) et non de cinq, comme elle le prétend dans un article truffé d’affabulations.

Dans le même article, il est prétendu aussi que les «Sahraouis de souche» sont «constamment victimes des abus commis, aussi bien par les autorités marocaines que par les colons qui jouissent d’une impunité totale» !

A peine si la «justicière» Kerry Kennedy, doublée de médecin légiste, n’a-t-elle pas accusé les autorités marocaines de complicité de meurtre! «Haïdala n’est pas décédé immédiatement. Son traitement fut entrecoupé de visites de police», a-t-elle prétexté, en alléguant, mensongèrement, que les autorités marocaines «ont confisqué le corps de la victime pour l’enterrer dans un endroit inconnu» !

Une version qui contredit les déclarations de la mère même de la victime, qui a reconnu avoir refusé de recevoir la dépouille de son fils «tant que les circonstances de son décès n’auraient pas été élucidées».

Paraît-il, le « cas » de Haïdala ne serait, selon Kerry Kennedy, qu’une «goutte» dans un océan de « violations humanitaires» au Sahara! «Des histoires similaires à celle de Haïdala sont légion au Sahara occidental », allègue la présidente du centre Robert F.Kennedy, dénonçant que « les forces de sécurité aient à chaque fois recours à la violence pour disperser les manifestations pacifiques des Sahraouis ».

«Quand j’ai visité le territoire en 2011, j’ai vu des policiers battre une femme sur le point d’être hospitalisée. Quand nous avons pris et montré la photo de son visage brisé au représentant du ministère de l’Intérieur à Laâyoune, El Arbi Mrabet, il nous a dit que cette photo était truquée», écrit-elle, en tentant d’infirmer cette version pour la seule raison qu’elle est livrée par une source officielle.

Semble-t-il, cette version n’entre pas en ligne de «compte» de la défenseuse des «causes perdues». Elle s’est servie du «cas» de Haïdala pour charger les Nations unies, accusée d’ «ignorer le Sahara occidental» !

Un constat qui dénote l’amertume d’une officine qui veut bien fermer un oeil sur les violations, celles-là vraies, perpétrées dans le goulag de Tindouf, -dernier vestige stalinien au monde-, et ouvrir l’autre sur le Sahara où la situation est en tout cas de loin meilleure.

Affaire George Floyd, Kerry Kennedy la «justicière» un Silence radio:

Les Etats-Unis brûlent et Kerry Kennedy un Silence radio, un business qui rapporte pas. Les Etats-Unis ont déjà connu sept nuits d’émeutes depuis la mort de George Floyd. Une semaine après l’homicide, à Minneapolis, de l’homme noir de 46 ans asphyxié par un policier blanc, New York, Los Angeles et des dizaines d’autres villes américaines ont renforcé leurs mesures sécuritaires, décrétant ou rallongeant un couvre-feu nocturne pour vider les rues

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Kerry Kennedy accusé d’avoir utilisé l’argent de la charité pour avoir un style de vie somptueux

Plusieurs anciens employés anonymes qui ont travaillé pour Kerry Kennedy, le septième enfant de John F.Kennedy, disent qu’elle prétend être une défenseure des droits humains, mais elle traite ses travailleurs comme de la saleté et utilise souvent l’argent de charité pour elle-même.

L’avocate des droits de l’homme, âgée de 56 ans, est patronne du Centre Robert F. Kennedy pour la justice et les droits de l’homme, une entreprise de 48 ans fondée par son père, qui vise à créer un monde pacifique et juste en faisant progresser les droits de l’homme.

Mais ses employés disent qu’elle fait souvent le contraire. L’année dernière, neuf personnes ont démissionné, selon le: New York Post

D’autres accusations allèguent que Mme Kennedy utilise l’argent de la charité de l’entreprise pour voyager pendant des vacances somptueuses, souvent en classe affaires, dans des hôtels chers, y compris celui dans lequel elle séjourne lors de sa visite à Paris, ce qui coûte 500 dollars par nuit, selon le dailymail.co.uk . Il a également écrit: «Le Post rapporte que les déclarations de revenus montrent qu’elle s’est payée la modique somme de 357 340 $ en 2014.»

La vraie raison pour laquelle Andrew Cuomo et Kerry Kennedy ont divorcé

Andrew s’est senti «trahi» par le scandale de la tricherie de Kerry

Même si la campagne ratée d’Andrew Cuomo en 2002 pour le gouverneur de New York aurait joué un rôle important dans le dénouement de son mariage avec Kerry Kennedy, certaines sources affirment que la politique n’était pas la seulement raison pour laquelle leur union s’est effondrée.

Selon The Contender (via Vanity Fair), la campagne du gouverneur « a fait apprécier à Kerry la capacité d’Andrew à travailler dur, et elle ne doutait pas qu’il ferait un bon gouverneur. Son problème avec son mari était strictement personnel. » Le livre affirme qu’elle voulait « plus de temps avec leurs familles (en particulier la sienne): plus d’options de garde d’enfants, plus de camaraderie, plus d’amour et de soutien ».

Peut-être Kennedy a-t-elle trouvé ce qu’elle cherchait chez le joueur de polo professionnel Bruce Colley parce que les tabloïds avaient une journée sur le terrain sur une affaire présumée entre le très marié « jouer au polo Roméo » et « tricher Kerry ». Selon l’avocat du divorce de Cuomo, le politicien s’est senti « trahi et attristé par la conduite de sa femme » avec quelqu’un qu’il avait apparemment considéré comme un ami, par CBS News. Kennedy aurait dit à Cuomo de piler du sel et de déménager.

Alors que leur divorce a marqué la chute proverbiale de « Cuomolot », les répliques ont continué de façonner le discours politique.


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