Une «idéologie subversive». Du social humanitaire pour masquer les idéologiques des extrêmes. By Karima Kaddouri ©®
Le monde se construit, se reconstruit mais aussi se déconstruit au gré des interférences qui parcourent notre histoire.
Je ne prétends nullement refaire le monde mais je prends une loupe dont la déformation ou le regard professionnel voit les choses avec un attachement particulier pour expliquer les référentiels de notre histoire, mais aussi les conséquences directes sur notre Eco-géographie.
Partialité et impartialité sur les questions de droit et d’espace
Les desseins de notre Histoire, les orientations politiques successives, les traumatismes physiques qui ont atrophié et amputé nos espaces, les planifications socio-économiques sont des éléments essentiels qui impactent sur notre histoire. Pourtant je suis convaincue qu’il faut aussi expliquer notre histoire, ses impacts sur l’espace, avec un réel sentiment que les interférences jouent un rôle important, voire souvent négatifs dans les redéfinitions sur notre espace, dans ses déclinaisons spatiales.
Il s’inscrit donc dans notre schéma intellectuel de la perception de notre histoire, un certain semblant d’essoufflement par effet de perpétuel mouvement d’inertie de nos politiques, principalement internationales, qui s’avère être presque traumatisant intellectuellement avec le temps.
Les interférences, sont présentes au travers de lobbying outrancier, les missionnaires des temps modernes, par une tentative de pénétration par « idéologie subversive » par la présence associée à ces mouvements d’une horde d’associations endimanchée au « socialement -correct » …
Ces interférences sont des soldats masqués aux apparats socialement correct car humanitaire pour entrer en force tel un cheval de Troie.
Ces interférences impactent intellectuellement notre temps et notre espace.
Notre atout, c’est un mur infranchissable mentalement et intellectuellement car notre histoire est fondée sur les piliers millénaires tant culturels et que cultuels fort heureusement indétrônables même sur le plan spatial.
Aussi, comment expliquer ces traumatismes par des interférences «sociales» ayant bonne presse mais dont les raisons idéologiques sont moins perceptibles en première lecture car elles se revêtent d’un manteau idéologique subversive qui porte un «nom ou un non» !
Les combats contre les disparités sociales et le droit serait-il un combat exclusif de la gauche gauchisante ! (Sans les nommer)
Je peux ici encore m’aventurer à dire qu’il y a un combat individuel propre à chacun, au profit d’un ou plusieurs collectifs… mais.
Apparenter un instinct social, ou socialiste humaniste, de droit, qui serait une exclusivité du courant d’idées de « gauche » est un facile détachement et un danger que nous avons laissé s’organiser au profit d’idéologies extrêmes.
Chaque individu pense avoir, au plus profond de soi encore un peu d’humanité. Ce qui nous fait pencher indiscutablement vers des décisions ou des prises de positions louables, des actions humaines et sociales personnelles, si nous jugeons exclusivement l’attrait particulier de nos esprits « humanistes et solidaires ».
Ainsi de nombreuses organisations, souvent attelées avec un caractère de missions religieuses sont dans leur quasi-totalité fondées, organisées, présidées, revendiquées par des pseudos courant d’extrêmes socialo-gauches ou de tonalité de fond religieux, et s’associant souvent ensemble pour exercer un poids et une pression souvent partitique et non rationnelle, se détachant totalement même des supports et des histoires des peuples.
L’exemple du Sahara marocain est saisissant : nos seuls détracteurs sont issus de groupe aux idéologies communistes, assimilées « coréens de l’est », bref, associées à des organisations pour plus de 90 % , à consonance communistes-socialo- gauchistes.
(Nous pourrions ultérieurement édifier un historique de chaque protagonistes, institutions ou associations…)
Les droits de L’homme sont l’affaire de tous les citoyens !Pourquoi nos institutions internationales donnent-elles quasi exclusivement du crédit aux revendications à ces groupes subversif à idéologie communiste.
Sans conteste 90% des ONGs, des associations organisées, sont largement constituées par une hiérarchisation, une organisation en filières-associations pour organiser le financement de leur activité et se caractérisent par des financements très conséquents, complexes et souvent opaques où apparemment la manne -gaz et pétrolifère polisario-algérien- n’est pas étrangère…
Ces associations hiérarchisées, nous emmènent inévitablement vers une référence aux consolidations des sociétés types « sovkhozes » réaménagées pour les temps modernes, exprimées par une hiérarchie sociale communiste comme preuve intangible : la quasi-totalité de ces organisations associatives, soit disant militantes pour les droits humains, ont quasi toutes un parfum historique et pérenne de socialo-communiste.
Il suffit de se replonger dans l’historique, les orientations politiques de leur créations, de leurs créateurs et les personnes associées à ces organisations très structurées qui sont largement déployées pour une idéologie, que j’appellerai très naïvement, pour une «idéologie subversive socialo-communiste».
Et le sauf-conduit pour ces organisations (souvent associatives que de nom), qu’elles mettent en avant pour ouvrir des hostilités orientées, est le cadre onusien, pour mieux s’étendre et répandre librement leur idéologie.
Pour rappel, l’ONU est mandatée pour temporiser militairement la région frontalière de toutes les provinces du Sud marocain.
Ces institutions (ong), ces associations de solidarité ont fait un désordre monumental tout en sachant que leur mission d’éducation quelle portent sur leur étendard d’associations est manifestement pas leur priorité et s’avère être un échec sans conteste.
Ce ne sont aucunement leurs préoccupations premières si nous nous attachons sérieusement aux déficits éducatifs et scolarité depuis des décennies
Déficits d’éducation et scolaire dans la zone Tindouf où les populations sont séquestrées par le Polisario-algérien et où ces organisations sont très présentes et depuis des décennies.
Où la faim les conditions de vie en « tentages-tentes », où vivent femmes et enfants depuis des décennies
Problèmes persistants où les solutions de paix n’ont pas été résolues, dans ces zones séquestrées, et lesquelles zones sont « fortement et fermement représentées et sur représentées » par ces dites associations, ces institutions se revendiquant pour les droits, le développement, l’éducation…( ?)
Ces zones sont aujourd’hui plus fortement armées par des milices armées polisario-algerienne!
Nous pouvons nous poser les questions des réelles vocations idéologiques de ces organisations-institutions et asso-ong dans ces régions fortement embrigadées dans des idéologies militaires suicidaires !
Ils mentionnent et se revendiquent «association pour la paix et la solidarité, en vertu des droits humains ». Dans l’objet de leur activité, minutieusement élaborée pour dorer le blason de leur «subversive idéologie»
Je les cite – «une plateforme de solidarité pour une résolution pacifique…»
De quelle solidarité, de quelle paix parle-t-on, quand on ne peut pas faire autrement que de dresser le tableau noir des affronts, des actes terroristes et de misère pérenne dans ces zones « séquestrées » depuis quelques décennies déjà !
La région n’a jamais été aussi dangereuse, et ces espaces, parrainés et aidés financièrement par les multiples canaux d’organisations financières, filière de ces associations – gauchisantes -socialo-communistes ont eu un effet diamétralement opposé à leur affichage propagandiste externe, vantant les objets de solidarité et de paix (ça prête à sourire).
Ces zones sont un réel vivier du terrorisme aux portes de l’Afrique, aux portes de la zone mauritanienne et malienne qui connait un grand regain de violences inquiétantes pour la région.Notre espace est ainsi jalonné par ces interférences dont la finalité n’est résolument pas que sociale mais à fortiori la situation de notre Sahara marocain pris en étau dans cette mascarade humanitaire fanfaronnée par les illustres faux défendeurs des droits après plus de 40 ans, nous laissant un constat d’inquiétude et d’urgence aux portes du Maroc, car, en tout état de cause, le raccourci de causes à effets est non négligeable dans les traits de notre histoire territoriale. By Karima Kaddouri©®
Comments