Sahara Marocain: le parquet de Laâyoune ouvre une enquête sur l’ONG fantoche d’Aminatou Haidar.
Le parquet de Laâyoune, chef-lieu du Sahara Marocain, fait allusion au congrès constitutif d’une instance dénommée «Instance sahraouie de lutte contre l’occupation marocaine», et dont les instigateurs sont de notoires séparatistes de l’intérieur.
Suite aux informations véhiculées sur la tenue du soi-disant congrès constitutif de « l’instance sahraouie contre l’occupation marocaine », le parquet a ordonné l’ouverture d’une enquête judiciaire à ce sujet, a annoncé ce mardi le procureur général du Roi près la Cour d’appel de Laâyoune.
Cette enquête judiciaire, qui intervient eu égard à ce que cet acte représente en matière d’atteinte à l’intégrité territoriale du Royaume et comporte des incitations claires à commettre des actes contraire au Code pénal.
A l’issue de cette enquête, il reviendra à la justice de décider de la procédure à suivre pour faire respecter la loi et préserver les constantes du pays, précise le communiqué du parquet de Laâyoune.
L’extravagant train de vie la soi-disant «militante sahraouie des droits de l’Homme» Aminatou Haidar, la marionnette de la mafia militaro-politico-financière algérienne.
Cette pseudo-militante des droits de l’homme, bénéficiant des largesses des services de renseignement algériens, a choisi de dénigrer les valeurs ancestrales de sa tribu et de sa famille qui, au fil de l’histoire, n’ont cessé de manifester leur fidélité au trône alaouite et à l’intégrité territoriale du Maroc. Ses élucubrations auxquelles personne ne croit à part le cercle des «think tank», financés par l’argent du contribuable algérien, reflètent ainsi son niveau de traîtrise et d’inféodation aux officines douteuses qui la manipulent.
Née à Tata, Aminatou Haidar de la tribu (Zerguiyine), qui est connue pour son patriotisme, a obtenu son baccalauréat à Laâyoune. Se faisant passer pour une « victime » des violations passées des droits de l’homme, elle sera indemnisée auprès de l’Instance Équité et Réconciliation (IER). Elle obtiendra même un poste à la municipalité de Boujdour.
Profitant du climat de liberté d’expression et d’ouverture démocratique, cette marionnette d’Alger fait prospérer son fonds de commerce et sillonne le monde avec un passeport marocain, flanquée de sa garde polisarienne et de quelques responsables de l’appareil de propagande algériens, pour déverser son fiel sur le Maroc et ses institutions, en soutenant les thèses séparatistes.
Faire un rappel de l’histoire: Document: General Assembly 670th session (1957) où vous pouvez lire l’engagement du Maroc à récupérer les terres occupées restantes par l’Espagne, y compris le Sahara Marocain.
La visite historique de feu SM Mohammed V à M’Hamid El Ghizlane.
La visite historique de feu SM Mohammed V à M’Hamid El Ghizlane, illustration de l’attachement indéfectible des populations des provinces du sud à leur Roi et à leur patrie.
Le 9 novembre 1957, Balafrej déclare publiquement qu’il existe un Sahara marocain. Le lendemain, le ministère de l’Intérieur crée symboliquement une « direction des Affaires sahariennes et frontalières ». Il faut tout de même attendre l’exécution de l’opération « Écouvillon » en février 1958 par les armées françaises et espagnoles pour entendre Mohammed V s’emparer officiellement du thème des revendications marocaines sur le Sahara. En voyage dans la région de Ouarzazate, il prononce un discours officiel à M’Hamid, au sud de Zagora, aux confins du désert, à égale distance de Colomb-Béchar et Tindouf… Il s’adresse à toutes les tribus sahariennes, « ses fidèles sujets du Sahara », qui réaffirment, « comme leurs ancêtres, […] leur fidélité au trône alaouite et leur attachement à la Nation marocaine, une et indivisible ». Le roi indique solennellement qu’il désire « le retour de notre Sahara dans le cadre du respect de nos droits historiques et selon la vocation de ses habitants». Début mars, un diplomate marocain, Ahmed Laraki, est envoyé en mission à Washington et à New York pour préciser au département d’État et au secrétaire général des Nations Unies, le Norvégien Hammarskjöld, les revendications territoriales marocaines sur le Sahara, et le problème du Maroc méridional. Le 28 mars, Mohammed V reçoit en audience publique quatre hauts responsables mauritaniens qui lui font acte d’allégeance et qui plaident, lors d’une conférence de presse, pour le rattachement de la Mauritanie au Maroc…⇒ Le document
Documentaire: » de Tindouf à Laâyoune, le chemin de la dignité »
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