Sésame du statut de réfugiés, accord d’extradition… Parfum de « Trocs politiques et d’échanges informels »…
L’actualité politique, Les turbulences des « fausses figures politiques de l’est », les mercenaires de l’innommable, les disconvenus de certains transfuges opportunistes …sont à priori une aubaine pour les pays ayant une éventuelle possibilité de délivrer le fameux sésame du «statut de réfugiés».
A priori le fondement de la demande d’asile politique ne semble pas être basé sur une codification uniforme
Car, à la lecture des certains nouveaux nantis du sésame de réfugiés politiques nous n’avons vu aucun fondement politique qui s’y affairent, ou qui puissent nous instruire sur une probable exposition au danger s’ils étaient extradés dans leur pays d’origine.
Nos demandeurs d’asile à travers tous pays n’ont pas le même traitement et cela est regrettable dans l’absolu !
Le rôle de nos organismes internationaux est de protéger tous citoyens, tous exilés politiques, qui se réfèrent aux droits d’asile.
Or l’octroi du statut de réfugiés sembler superposer des motivations floues et peut être bien pour des raisons souvent contradictoires :
Les Exilés demandeur du droit d’asile fuient leur pays, pour des raisons de guerres, d’exécutions arbitraires, liées souvent à une appartenance politico-ethnique, ou appartenance politico-religieuse, …
De fait une fuite, pour des questions de survie, que nous ne remettons nullement en cause bien évidemment.
Alors aux cloches des dernières actualités, nous constatons, qu’il y a des remises de trophées «statut réfugié» dont font échos directement, via les réseaux, leur nouveau média (Lord ADN TV), les nouveaux élus du fameux sésame de réfugiés politique !
Pourquoi les exilés politiques, les migrants politiques n’ont pas le même traitement pour une obtention du statut de réfugiés?
Apparemment, la convention de Genève ne répond pas à toutes les situations subies par les personnes en quête de protection, en quête de réel besoin d’asile.
Certains connus et reconnus, en fuite pour sauver leur vie et celle de leur famille, demandeur d’asile ont eu le privilège d’être reconduit à leurs frontières, extradés à la demande des belligérants «armée politique» de leurs pays d’origine : Et pourtant leur vie est bien en danger !
Et puis nous avons les escrocs financiers, les escrocs du commerce, brefs les escrocs alimentent la presse mensongère, devenus mercenaires de l’information, se livrant à toutes sortes de marchandages avec leurs ennemis d’hier pour échapper à la traque des plaignants !
Ces derniers ont obtenu un trophée d’exilés que nos compères ont brandis sur les réseaux sociaux, sur leur média de fortune, comme pour signifier que la traque qui fait suite à leur escroquerie sur des milliers de pauvres gens, est récompensé par le Graal des intouchables, le fameux statut qui les préserve de toute poursuite à leur encontre!
Alors la question est de savoir s’il y a des accords d’échanges de statut réfugié contre faux et d’usages de faux, adossées à leur personne C’est une monnaie d’échange, une contrepartie pas très «Conventionnelle»
Est-ce un troc d’échange d’information informelle, voire un troc pour étayer un discours «partitique du moment» qui pourrait faire peser la balance des négociations inter-gouvernements en cours, telle que pour ceux de l’énergie par exemple.
Deux poids et deux mesures en politique d’asile
Une fortes disparités subsistent d’un cas à un autre dans l’octroi de la protection et dans les formes que celle-ci revêt. La Convention de Genève ne répond pas à toutes les situations subies par les personnes en quête de protection dont la réalité des persécutions.
Une inégalité (favoritisme) de traitement injustifiée. L’asile à deux vitesses.Comment expliquer ces divergences entre deux cas?
Le sergent Mohamed Abdellah a rejoint la gendarmerie en 2013 et, peu de temps après, a été affecté à la frontière tunisienne, où il a opérateur des caméras de surveillance. Selon son récit, il a découvert un vaste réseau de corruption, de contrebande d’armes et de pétrole commanditée par des officiers de haut rang de l' »armée » algérienne auquel il appartenait. Il a commencé à le dénoncer, cette mafia l’a invité à fermer les yeux ou, mieux encore, à profiter du trafic illicite qu’il a observé.Mohamed Abdellah, un ex-gendarme âgé de 33 ans, a débarqué le 21 août dernier dans le port de Ghazaouet (Algérie) sur un ferry, affrété par le ministère espagnol de l’Intérieur, après avoir été expulsé d’Espagne, où il avait migré irrégulièrement en Novembre 2018. A son arrivée, il a été immédiatement interpellé.
Cet ancien sergent de la gendarmerie (lanceur d’Alerte) faisait partie des «bêtes noires» de la mafia militaro-politico-financière algérienne en raison des scandales de corruption dans les Forces armées de son pays qu’il dénonçait, via les réseaux sociaux. Sur Youtube, il comptait 265 000 abonnés et sur Facebook, près de 130 000.
Mohamed Abdellah extradé (remis) par l’Espagne à l’Algérie, après près de trois ans d’exil entre Alicante et Vitoria, cinq jours seulement avant que le ministre algérien de l’Énergie, Mohamed Arkab, n’informe les autorités espagnoles de la fermeture du gazoduc Maghreb-Europe, par lequel l’Espagne a reçu le l’essentiel du gaz qu’il consomme. Bien qu’elle soit dirigée contre le Maroc, cette décision cause également un grave préjudice à l’Espagne.
La protection subsidiaire
La protection subsidiaire est l’autre forme de protection. Elle est attribuée à l’étranger qui ne remplit pas les conditions d’obtention du statut de réfugié et qui prouve qu’il est exposé dans son pays à l’un des risques suivants : Peine de mort ou exécution. Torture ou peines ou traitements inhumains ou dégradants.
Tapis rouge ou tentes: après les évacuations, questions sur le sort des Afghans à la rue
Deux poids, deux mesures? Au moment où la France offre un accueil « remarquable » pour les évacués de Kaboul, les défenseurs des exilés s’inquiètent du sort des milliers d’Afghans y vivant depuis des mois, voire des années dans le plus grand dénuement. « Il y a une réflexion indispensable à mener sur l’égalité de traitement des Afghans qui arrivent depuis Kaboul et auxquels on aura réservé un accueil remarquable, et ceux qui depuis des mois, des années, vivent ici dans la rue, les squats, dans des conditions déplorables », pose Pierre Henry, président de France Fraternités.
L’opération d’évacuation, lors de laquelle près de 2.700 Afghans ont été exfiltrés vers Paris, aura au moins permis de dresser ce constat, énoncé par tous les interlocuteurs de l’AFP: « Quand on veut, on peut ».
Avant même la chute du pouvoir aux mains des talibans le 15 août, 8.000 dossiers afghans étaient en souffrance à l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides), qui attribue le statut de réfugié. Sans compter les 2.300 recours déposés devant la Cour nationale du droit d’asile depuis le 1er janvier par des ressortissants d’Afghanistan, premiers demandeurs d’asile en France.
Nous reviendrons sur ce sujet dans un prochain article.
By: K.K et Gherrabi Mohammed
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