algérie: l’insoutenable vérité sur les séquestrés dans les camps de Tindouf sur le sol algérien
L'insoutenable vérité sur les séquestrés dans les camps de Tindouf sur le sol algérien réduits à l’esclavage!…
Au XXIème siècle, la pratique de l’esclavage semble avoir été légalisée dans les camps de Tindouf, derrière les miradors de la honte que la sécurité militaire algérienne a hissés pour parquer et enfermer ce qu’elle appelle les « réfugiés » et qui ne sont, en réalité, que des séquestrés
Human Rights Watch a constaté des formes d’esclavage qui persistent au XXIème siècle dans les camps de Tindouf sur le sol algérien. Les victimes sont dans de nombreux cas des Sahraouis ayant la peau foncée.
Un homme, a ainsi monnayé sa libération contre une somme d’argent versée à son « maître ».
Un document légalisé, ayant foi d’acte judiciaire qui accable le polisario.
On eut pu se limiter à ce cas, non isolé, si d’autres témoignages et d’autres drames de ce genre ne venaient étayer ce que nous ne cessons d’affirmer, à savoir l’immense chape de plomb qui couvre les multiples et graves violations des droits de l’Homme dans les camps de Tindouf.
Une jeune fille enlevée par le polisario.. Un cas parmi des milliers d'autres et où l'on peut s'attendre à ce qu'une telle situation se répète encore et encore..
Le Polisario enlève une autre jeune fille dans les camps de Tindouf alors qu'elle allait voir sa famille en Espagne.
Le cas de Filleh mint Chahid mint LAAROUSSIA est juste un parmi des milliers d'autres situations similaires et où l'on peut s'attendre à ce qu'une telle situation se répète encore et encore.
Selon des médias espagnols, une jeune fille sahraouie, nommée Filleh Mint Chahid Mint Laaroussi, aurait été retenue contre son gré par sa famille d’accueil dans les camps de Tindouf, après que le polisario ait brûlé tous ses documents.
Cette nouvelle histoire d’une jeune femme prise en otage dans les camps de Tindouf par des membres du Front polisario a débuté il y a un mois. En effet, Felleh a pu contacter une entreprise espagnole de livraison de nourriture, Butincon, et grâce à cela, elle a pu demander à Hammada de tout mettre en œuvre pour la faire sortir de Tindouf.
Le 10 décembre, Hammada est retournée à Malaga (Espagne), où elle vit, et a parlé avec sa famille espagnole. Ils ont convenu que la famille espagnole paierait les nouveaux papiers de Felleh, c’est-à-dire qu’elle paierait la commission à la police militaire algérienne à Tindouf, c’est-à-dire le sauf-conduit de 2 500 euros dont un Sahraoui a besoin pour pouvoir voyager en algérie.
Avec le sauf-conduit obtenu, ils ont profité du fait que Felleh, qui venait d’atteindre sa majorité, 18 ans en Espagne, était à un mariage et ils l’ont sortie des camps, secrètement dans une voiture Buticon et l’ont emmenée à Oran (algérie). Elle se trouve actuellement à Oran, dans une planque. Elle attend l’arrivée d’un avocat espagnol pour faire une demande d’émancipation en Espagne, car en algérie, l’âge de la majorité est de 19 ans, et Felleh est donc toujours considérée comme mineure, selon le site espagnol suiteinformacion.es, organe indépendant d'information.
Filleh mint Chahid mint LAAROUSSIA a été retenue contre son gré par sa famille d'accueil dans les camps après que le Polisario a brûlé ses documents. Le Mouvement Sahraoui pour la Paix a dénoncé la répression et l'insécurité à Tindouf aux Nations Unies
Il est déplorable de constater que Filleh mint Chahid LAAROUSSIA, une jeune fille, soit retenue contre son gré par le Front polisario
Ces actions indignes démontrent la cruauté du régime de terreur imposé par le polisario dans les camps de Tindouf. Les menaces proférées à l'encontre des civils et des étrangers, qui ont simplement cherché à secourir une jeune femme en détresse, révèlent la nature violente et génocidaire de cette entité terroriste.
L'algérie, en permettant de telles atrocités dans son territoire, doit être tenue responsable de son soutien à ces agissements inhumains. La situation souligne l'urgence d'une intervention internationale pour mettre fin à ces abus et garantir la liberté de ceux qui subissent cette oppression.
Mars 2017 - l''ultime combat d'une famille espagnole pour empêcher le mariage forcé de sa fille adoptive séquestrée
Maloma Morales, admise dans hôpital en algérie après avoir ingéré du poison, (raticides appelés « mort aux rats ») près de 20 mois après sa détention à Tindouf
Maloma Morales, adoptée par une famille espagnole résidant à Séville mais séquestrée depuis 14 mois à Tindouf, devra mariée de force, contre l'avis de son père José Morales, qui appelle les autorités espagnoles à peser de tout leur poids afin d'empêcher cet acte infamant.
La nouvelle a fait l'effet d'un séisme dans l'opinion publique espagnole et à travers elle, à tous ceux qui suivent de près ou de loin le cas de Maloma Morales, empêchée depuis 14 mois de rejoindre sa famille adoptive à Séville suite à un voyage dans les camps de Tindouf. José Morales, son père adoptif, a lancé ce vendredi 3 mars un cri de détresse alertant contre le "mariage forcé" de sa fille Maloma. Il a indiqué avoir reçu cette nouvelle avec une "douleur incommensurable" tout en se disant "impuissant" face à cet acte méprisant la dignité humaine. "C'est avec une douleur et une impuissance infinies que j'ai appris que ma fille, Maloma, sera mariée de force ce samedi 4 mars à Tindouf où elle continue d'être séquestrée", s'est révolté Juan Morales, cité par l'agence de presse espagnole "EFE".
Jose Morales, qui vit à Mairena del Alcor (Seville), a demandé aux autorités espagnoles d'intervenir d'urgence pour empêcher le "mariage forcé" de sa fille, déplorant que la promesse de son retour prévu en décembre dernier n'ait pas été honorée. Le recours à ce "mariage forcé" viserait à verrouiller toute possibilité de retour en Espagne de la victime, au grand dam des Nations unies, des ONG internationales de défense des droits de l'Homme, dont Human Rights Watch (HRW), mais aussi des autorités et de l'opinion publique espagnole.
Jose Morales dit que "Le gouvernement espagnol ne peut pas tolérer cela. Nous ne pouvons croire que Maloma consente à ce mariage", s'est indigné Juan Morales, regrettant que "ce mariage forcé coïncide avec la présence dans les camps de Tindouf des membres du mouvement de solidarité espagnol, d'associations d'amis du peuple sahraoui et de plusieurs délégués du Front Polisario en Espagne, y compris un député de l'Andalousie".
Pour rappel, le maintien en séquestration de la jeune Maloma a provoqué, en avril 2016, une profonde crise entre Madrid et le Polisario. José Manuel Margallo, alors ministre des Affaires étrangères, avait convoqué, à son bureau, la représentante du Polisario, la dénommée Khira Bullahi Bad, pour lui signifier l'exaspération de Madrid en lui demandant de libérer la victime pour lui permettre de rejoindre sa famille adoptive à Séville.
Seulement voilà, la fille est toujours séquestrée. Et pis que pire, elle risque d'être mariée de force ce samedi 4 mars à Tindouf. Ce qui présage une hausse de la tension avec les autorités madrilènes et l'opinion publique internationale qui ne peuvent tolérer que des pratiques dignes de l'époque de l'esclavage puissent avoir encore cours à Tindouf, avec la bénédiction coupable d'alger.
Le cas Maloma rappelle celui de Mahjouba, qui a été séquestrée pendant l’été 2014 et qui n'a été autorisée à rejoindre sa famille adoptive à Valence que grâce à la pression des autorités espagnoles. En revanche, Maloma Morales (Valence), Najiba Mohamed Belkacem (Huelva), ou encore Daria M'barek Salma (Tenerife, Iles Canaries) n'ont pas eu cette chance.
Du moins, cette pratique d'esclavage contre dit-elle clairement et aux yeux de tous la phraséologie du Front Polisario et de son mentor algérien, chantres autoproclamés du "droit du peuple sahraoui à l'autodétermination". Qu'ils laissent d'abord les femmes libres de choisir leur époux avant de lancer de grands slogans.
Le Parle-ment €uro-péen: Deux poids deux mesures
Une liste d’horreurs très longue, mais qui ne parvient pourtant pas à ternir l’image de ce tortionnaire aux yeux du Parlement européen, comme le démontre ce reportage probant.
La bête noire du Polisario fait son entrée sur l’échiquier politique Arrivée, à Bruxelles, Khadijatou Mahmoud s'est exprimée devant les caméras du Parlement européen. Elle a été invitée dans ce haut lieu du pouvoir par des députés, pour témoigner au cours d’une audition publique sur «les violences sexuelles et le viol comme abus de pouvoir», organisée par la Commission des droits des femmes et de l'égalité des genres.
Entourée de précieux protecteurs et conseillers, «c’est une guerre d’influence qui va se livrer sous nos yeux», explique-t-on dans ce reportage où la caméra de i24 l'a suivie.
On suit ainsi le périple de cette jeune femme déterminée à ne rien lâcher, assise dans le bureau d’un parlementaire qui souhaite rester anonyme, auquel elle s’adresse en espagnol, avant que ses propos ne soient traduits par un spin doctor, qui l'accompagnait.
Elle demande si le Parlement européen a déjà traité des abus sexuels commis par des gens de pouvoir envers les femmes. Une question à laquelle le député répond en précisant «qu’il condamne fermement les abus contre les femmes, peu importent les hommes puissants ou non, peu importent les bords politiques».
Une réponse qui rassure la jeune femme. «Ça me donne de l’espérance de vous voir, car la lutte pour nous protéger n’est pas seulement celle des femmes mais celles de tous», explique-t-elle au parlementaire, confiante dans le fait que son message portera enfin.
Tout au long de cette journée, les rencontres vont s’enchaîner pour Khadijatou Mahmoud, pour laquelle ses conseillers «ont préparé un agenda très chargé». Des messages de soutiens, elle en compte beaucoup, que ce soit au Maroc, en Algérie mais aussi au Parlement européen. Ils parlent avec la jeune sahraouie, la rassurent d’un geste ou d’un sourire et se prennent en photo avec elle, à l’instar de Dick Roche, ex-ministre de la Justice d’Irlande et fervent protecteur des droits des femmes, ou encore Henri Malosse, du conseil social et économique européen, Marina Kaljurand, l’ex-ministre des Affaires étrangères estonienne… La guerre d’influence se joue aussi sur les réseaux sociaux, et la jeune femme, qui relaie le déroulement de sa journée sur ses réseaux, en a pleinement conscience.
Mais celle qui est devenue la bête noire du Polisario n’est pas venue jusqu’ici uniquement pour serrer des mains et faire des selfies, elle a aussi la ferme intention de prendre la parole devant le Parlement européen pour raconter son histoire et dénoncer les crimes de son bourreau.
Privée de parole, mais pas de soutiens. Elle découvre pour la première fois l’hémicycle, «guidée par un vieux loup très respecté qui connaît le moindre recoin de cette institution où se joue la vie politique internationale», précise le reporter qui l’accompagne. Mais les choses ne vont pas se dérouler comme elle l’espérait.
«Elle ne le sait pas encore, mais le Polisario a payé des lobbyistes pour faire annuler son intervention publique auprès des députés européens», annonce ainsi le reporter. C’est la douche froide… «Dans ce haut lieu de pouvoir, tous les coups sont permis».
Privée de parole, Khadijatou ne se décontenance pas pour autant et tente de trouver des députés qui accepteront d’aborder son cas dans l’hémicycle. Il y a bien «cette femme voilée, haut fonctionnaire d’un pays musulman (qui) lui apporte verbalement son soutien» mais celle-ci «refuse d’apparaître publiquement, car les dirigeants de son pays soutiennent le mouvement terroriste du front Polisario».
Pour mieux comprendre ce qui se trame, c’est Charlie Weimers, le conservateur réformiste de Suède, qui en parle le mieux, mais hors caméra, comme d’autres. Il confirme d'ailleurs «l’influence du Polisario au sein du parlement européen». Grâce à l'aide financière et diplomatique de son parrain algérien, le Polisario peut compter sur des appuis au parlement européen.
Les soutiens de Khadijatou Mahmoud la rassurent, et lui expliquent que «c’est le jeu politique», et pour la soutenir, certains vont alors accepter de parler publiquement en son nom, dans l’hémicycle. C’est le cas de Willy Fautré, directeur de Droits de l’homme sans frontières, qui, avec calme et sang froid, déclare face à l’assemblée: «l’abus de pouvoir sur les femmes par des leaders politiques, les viols et l’utilisation de la brutalité en période de guerre, je peux vous en donner des exemples. Mais d’abord, parlons de Khadijatou Mahmoud, qui accuse le leader du Front Polisario, Brahim Ghali, de viol. Elle avait 18 ans, elle travaillait comme interprète pour le Polisario. Dans son bureau de l’ambassade, après un chantage pour obtenir un visa pour aller en Italie, il a exigé une relation sexuelle. Elle a refusé, Brahim Ghali l’a violée».
Khadijatou réussit malgré tout à faire entendre sa voix. Son combat n’est pas vain. Dans la conférence de presse organisée ce jour-là par le Brussels Press Club, l’avocate belge Sophie Michez, qui connaît bien les exactions du Polisario, va briser l’omerta devant les caméras.
«A un moment donné il faudra quand même que ça change, que les organisations internationales prennent leurs responsabilités. (…) On va dénoncer ça auprès des Nations unies. On a l’impression de parler dans le vent et à un moment donné, il faudrait quand même que la communauté internationale prenne ses responsabilités. D’accord, il n’y a peut-être pas d’intérêt économique, il y a peut-être moins d’intérêts, mais je pense qu’on est vraiment en train d’oublier qu’il y a des femmes et des enfants qui subissent des sévices extrêmes», a-t-elle déclaré sans langue de bois, en référence aux atrocités commises dans les camps de Tindouf, en Algérie, par le Polisario, dans l’indifférence générale de la communauté internationale.
La journée s'est s’achevée sur un demi-succès pour la jeune femme qui porte le combat pour la protection des femmes saharaouies dans sa chair. Elle ne s’arrêtera pas là, ne se contentera pas de cela, car, a-t-elle confié au reporter qui l’accompagnait, «il faudra la tuer pour qu’elle se taise».
Et le reportage de se conclure sur un message adressé aux «dictateurs, puissants et autres chefs mafieux et terroristes»: «ils ont un nouvel ennemi. Son nom: Khadijatou Mahmoud».
Après avoir snobé Khadijatou Mahmoud, le Parlement européen invite à un séminaire la terroriste Sultana Khaya...
« Des témoignages embarrassants: le vrai visage du Polisario » « Embarassing witnesses: the real face of the Polisario »
Nous sommes en 2010. Khadijatou Mahmoud, au visage de Madone, se présente devant la représentation du polisario à Alger pour obtenir une autorisation de sortie des camps. Une ONG d’aide humanitaire italienne l’avait invitée en Italie, en reconnaissance de l’aide précieuse qu’elle lui avait apportée lors d’une opération humanitaire effectuée dans les camps d’infortune, à Tindouf. A ce moment, Khadijatou prenait du service en tant que traductrice auprès du soi-disant «premier ministre de la rasd». Un sentiment confus de joie et d’impatience à la perspective d’effectuer son premier déplacement à l’étranger l’avait alors saisie. Se pointant à 7 heures du matin, devant la soi-disant «ambassade» de la «rasd» à Alger, dans le but de décrocher un RDV avec Brahim Ghali, elle s’était vue signifier, via le portier de cette «ambassade» de repasser plus tard! «Repassez à 19 heures!», lui avait déclaré l’agent. A la nuit tombée, Khadijatou avait vu, comme prévu, les portes de cette «ambassade» s’ouvrir. Elle s’était alors présentée devant Brahim Ghali, devenu représentant de la «rasd» à Alger, après avoir fui Madrid en 2008, suite à une plainte pour crimes de guerre perpétrés du temps où il était chef des milices armées. Khadijatou ne savait pas qu’elle avait devant elle un monstre, prêt à tout pour satisfaire ses pulsions bestiales. Après un échange de salamalecs, le voici qui fondit littéralement sur elle, comme sur une proie, pour la violer de la manière la plus abjecte et la plus cruelle qui soit. «J’ai quitté les lieux alors que je saignais», se souvient-t-elle aujourd’hui, des sanglots dans la voix. De la douleur physique, mais aussi, et surtout, de graves séquelles psychiques qui ne sont toujours pas près de s’effacer. Près d’une décennie après cet inqualifiable forfait, Khadijatou Mahmoud poursuit inlassablement son combat pour obtenir réparation, notamment auprès de l’Audience nationale, la plus haute juridiction en Espagne, où elle avait déposé plainte pour viol contre celui qui est aujourd’hui le chef du polisario. 11 ans après le viol monstrueux dont elle a été victime, Khadijatou Mahmoud, issue des camps de Tindouf, continue courageusement de se battre pour obtenir réparation de cet incommensurable préjudice. Un espoir de réparation semble se concrétiser, car son bourreau Brahim Ghali est en Espagne, où il fait l’objet d’un mandat d’arrêt.
Dans une vidéo, Khadijatou Mahmoud demande justice à l’Espagne qui accueille en catimini son violeur.
13 ans après le viol monstrueux dont elle a été victime, Khadijatou Mahmoud, issue des camps de Tindouf, continue courageusement de se battre pour obtenir réparation de cet incommensurable préjudice. Un espoir de réparation semble se concrétiser, car son bourreau Brahim Ghali est en Espagne, où il fait l’objet d’un mandat d’arrêt.
Kadijatou Mahmoud, violée par le chef des milices séparatistes du Polisario, Brahim Ghali, rompt le silence dans une vidéo et raconte son calvaire. Elle demande surtout justice à l’Espagne qui accueille son violeur.
«J’ai travaillé, de 2006 à 2010, comme traductrice dans les camps de Tindouf. J’ai été violée par le chef du Polisario », a-t-elle dit dans cette vidéo dans laquelle la victime demande justice à l’Espagne.
«Je suis très reconnaissant à ce pays (l’Espagne) qui m’a donné l’opportunité de porter plainte, mais je serais encore plus reconnaissant s’ils l’arrêtaient pour rendre justice», a fait valoir Khadijatou Mahmoud.
Plusieurs organisations des droits de l’homme ont appelé à l’arrestation de Brahim Ghali, pour viol, torture et autres crimes tout aussi graves. «Je ne comprends pas comment ils l’ont laissé entrer. J’aurais aimé être arrêté et emprisonné », s’en est-elle émue.
En algérie: Le polisario vend des enfants sahraouis à des familles européennes
Vente d'enfants désigne tout acte ou transaction par lequel un enfant est transféré par une personne ou un groupe de personnes à une autre contre rémunération ou toute autre considération.
Sale of children means any act or transaction whereby a child is transferred by any person or group of persons to another for remuneration or any other consideration.
Venta de niños significa cualquier acto o transacción por el cual un niño es transferido por una persona o grupo de personas a otra a cambio de una remuneración o cualquier otra consideración.
Un réseau de trafic d’être humain, dont les tenants et bénéficiaires, sont des dirigeants du polisario et de hauts responsables au pouvoir algérien, a été dénoncé dans les camps du Polisario à Tindouf.
Il s’agirait d’une bande qui, sous couvert d’envois des enfants sahraouis en Europe pour des séjours de vacances, en profite pour vendre certains d’entre eux, à des familles européennes, qui les choisissent sur une liste, pour les adopter.
De fortes sommes d’argent auraient été amassées par ces dirigeants polisariens et algériens, gagnés par les ventes de ses enfants, alors que de maigres rétributions, auraient été reversées aux familles des enfants vendus.
Selon le quotidien Assabah, qui rapporte cette information dans son tirage du vendredi 13 septembre, le réseau avait, des mois auparavant, dressé une liste des familles européennes désireuses d’acheter des enfants pour les adopter, et leur a soumis une liste des enfants à vendre pour effectuer dessus, leurs choix.
L’opération aurait été montée, en total collaboration, avec un réseau international de trafic d’enfants.
Ce dernier aurait été approché par des intermédiaires algériens et polisariens établis en Europe.
Vente d'enfants désigne tout acte ou transaction par lequel un enfant est transféré par une personne ou un groupe de personnes à une autre contre rémunération ou toute autre considération.
Vente et exploitation sexuelle d’enfants sahraouis... Adoption d'un projet de résolution
Aux termes du projet de résolution sur les droits de l'enfant (A/C.57/L.25/Rev.1), adopté par 164 voix
...Dans le cadre de la prévention et de l'élimination de la vente d'enfants, ainsi que de l'exploitation et des sévices sexuels visant les enfants, elle demanderait aux Etats de prendre toutes les mesures voulues pour lutter contre l’usage abusif des nouvelles technologies de l’information et de la communication, notamment l’Internet, pour la traite d’enfants ou toute forme d’exploitation sexuelle et de violence sexuelle, en particulier la vente d’enfants, la prostitution d’enfants, la pédopornographie, le tourisme pédophile, la pédophilie et autres formes de violence et sévices sexuels à l’encontre des enfants et des adolescents. Elle demanderait instamment aux Etats de se prêter assistance, dans toute la mesure possible, à l’occasion des enquêtes ou procédures pénales ou, le cas échéant, des extraditions.
Au titre de la protection des enfants touchés par les conflits armés, l'Assemblée générale condamnerait les enlèvements d’enfants pratiqués dans des situations de conflit armé afin qu’ils participent aux hostilités. Elle demanderait instamment aux Etats et à toutes les autres parties à un conflit armé de cesser d’enrôler des enfants comme soldats, d’assurer leur démobilisation et leur désarmement effectif et de prendre les mesures voulues pour leur réadaptation, leur rétablissement physique et psychologique ainsi que leur réinsertion sociale. Au titre de l'élimination progressive du travail des enfants, l'Assemblée générale demanderait tous les Etats de traduire en mesures concrètes leur engagement d’éliminer progressivement et effectivement les formes de travail des enfants qui sont contraires aux normes internationales acceptées, et les exhorterait notamment à abolir immédiatement les pires formes de travail des enfants énumérées dans la Convention de l’Organisation internationale du Travail de 1999 (Convention No 182).
Des enregistrements audio circulent sur les réseaux sociaux au sujet de la vente des enfants sahraouis
Séquestration-déportation
Des milliers d’enfants sahraouis ont été transférés vers Cuba depuis les années 70 où ils ont subi les pires atteintes á leurs droits humains. La déportation de ces victimes, embarqués manu militari vers l’archipel cubain, est initiée par le Polisario avec un objectif sordide. Ces enfants ont été arrachés à leurs familles, dans le but d’obliger ces dernières à rester dans les camps de Tindouf.
La plainte formulée par certains Sahraouis, qui ont passé leur enfance à Cuba, consiste à dire que les enfants y sont envoyés contre le souhait de leur famille et qu'ils servent de moyen de coercition afin de retenir leurs parents en Algérie dans les camps de Tindouf tenus par le Polisario, ce qui est dénier leurs droits fondamentaux à déterminer eux-mêmes leur avenir personnel. Par exemple, on connaît le cas d'un garçon originaire de la capitale régionale d'Es‑Smara qui, à l'âge de huit ans, a été enlevé de Tindouf, contre la volonté de ses parents, pour être envoyé à Cuba dans une école militaire, où il a passé les seize années suivantes. Durant ce séjour à Cuba, il n'a pas été autorisé à avoir des contacts avec ses parents ni à pratiquer sa foi islamique; il était entièrement coupé de ses proches, restés au Sahara, et de leurs traditions. De manière compréhensible, il voit en son expérience cubaine une atteinte à ses droits fondamentaux d'enfant et à la liberté de religion — en infraction flagrante avec les principes proclamés par l'ONU.
Le Polisario est également accusé de restreindre dans ses camps de Tindouf la liberté d'expression, ainsi que le droit de s'assembler paisiblement, de s'associer ou même de circuler.
Plusieurs ONGs dénoncent
« Stolen » ou les images « volées » d’enfants nés esclaves à Tindouf!
Rappelez-vous: en 2006, deux journalistes du Sydney Morning Herald, Violeta Ayala et Dan Fallshaw, se rendent à Tindouf, à la demande du représentant du Polisario en Australie, un certain Kamel Fadel, pour réaliser un film sur l’aspect humain du conflit du Sahara et mettre la lumière sur le vécu des habitants des camps.
L’idée de départ était de réaliser un film de propagande au profit du Polisario, et son sponsor algérien, sur le calvaire qui serait induit de la séparation des familles de part et d’autre du mur de défense marocain.
Mais une fois dans les camps, quelle ne fut la surprise des deux reporters en apprenant, par la voix même des habitants, que des familles entières étaient mises en esclavage pour l’incroyable raison qu’elles étaient d’une tout autre couleur de peau! Le déclic a été une rencontre avec « une belle fille noire sahraouie », dénommée « Fetim », « la première personne à nous parler sans évoquer la politique ».
Premier témoignage, et voilà que les deux reporters sont complètement sidérés au point de décider de changer de piste d’enquête. Ils apprennent que les camps de Tindouf étaient divisés en deux: d’un côté, les noirs de peau et de l’autre, leurs maîtres blancs, les « Bayden », pour reprendre un terme courant dans les camps! Au fil des témoignages, ils découvrent, à leur grande stupéfaction, que les Noirs, ramenés souvent de Mauritanie (les Harratines), n’avaient pas les mêmes droits que ceux qui dirigeaient les camps. « Fetim nous a dit que les Noires étaient toujours des esclaves, qu’elles n’avaient pas le droit de décider avec qui elles allaient se marier, que leurs enfants pouvaient être enlevés et qu’elles n’avaient pas non plus de pouvoir sur leur destin »!
Ce film a fait l’objet d’une campagne insidieuse de la part des séparatistes du Polisario qui ont usé de tous les moyens pour empêcher sa projection, ce qui a amené les producteurs du documentaire à travailler dans la confidentialité pour en parachever le montage de peur que les bandes ne leur soient volées.Le documentaire (Stolen), réalisé par l’Australo-bolivienne, Violeta Ayala et l’Australien Dan Fallshaw, relate, en 75 minutes, une histoire sisyphienne de l’asservissement dans les camps de Tindouf.
Choc chez les deux reporters qui ont finalement décidé de dévoiler au monde cette réalité monstrueuse et montrer le visage hideux du front polisario (une tache noire sur le front de l’humanité) comptable de véritables « crimes contre l’humanité », comme l’avait clamé haut et fort en avril 2013 le juriste espagnol Miguel Angel Puyol Garcia, après avoir vu le film « Stolen » diffusé en 2009 à l’occasion du Festival international du Film de Melbourne. Le juriste espagnol réagissait alors à une recommandation soumise par les Etats-Unis au Conseil de sécurité, en vue d’élargir le mandat de la Minurso au monitoring des droits de l’Homme au Sahara. Il a saisi cette occasion pour dénoncer l’hypocrisie de l’Administration américaine qui voulait bien ouvrir un oeil sur la situation au Sahara, de loin meilleure que celle prévalant en Algérie tout entière, et fermer un autre sur l’affligeante réalité dans le goulag de Tindouf, où des pratiques d’un autre âge ont toujours lieu sans que personne au monde n’ose encore dénoncer, à plus forte raison agir. Jusqu’à quand?
Vaines tentatives d’enterrer le documentaire
Les sbires du polisario ont essayé, tout d’abord d’empêcher que le documentaire s’achève, usant de tous les stratagèmes pour dénaturer son contenu et faire en sorte que les images choquantes qu’il comporte ne parviennent pas au public. Dans une folle offensive, ils ont rameuté ainsi des journalistes étrangers acquis à leur thèse et les ont soudoyés afin qu’ils leur confectionnent des reportages à leur mesure, où les victimes filmées dans «Stolen» se dédisent et se désavouent en prétendant avoir touché de l’argent des réalisateurs pour assurer des rôles. Mais toutes ces tentatives ont été vouées à l’échec face à la réalité de la pratique de l’esclavage dans les camps de Tindouf. Plusieurs voix se sont élevées, dénonçant cette réalité, en particulier dans les médias australiens. Ainsi Romana Cacchioli, de l’Organisation de lutte contre l’esclavage a affirmé que toutes les scènes du documentaire sont véridiques, confiant au journal « Brisbane Times » que l’existence de cas similaires est attestée par les médias espagnols. Au soir du 11 juin, jour de la projection, pour la première fois du documentaire, les séparatistes ont tenté vainement de faire d’une manifestation de cinéma un événement politique. Ils ont ainsi fait venir Fatem des camps de Tindouf, au cinéma du boulevard June George à Sidney. Profitant de la présence de centaines de journalistes, de cinéastes et d’hommes politiques, ils l’ont présentée devant tout ce parterre pour dire d’une voix apeurée et terrorisée » je suis l’héroïne du documentaire. Je n’ai fait qu’interpréter le rôle ». Fatem, dont les propos étaient traduits par Kamal Fadel, qui n’est autre que le représentant du Polisario à Sidney, a déclaré également aux journalistes : « Comment pourrais-je être esclave, alors que je suis maintenant en Australie en compagnie de mon époux. Les réalisateurs du documentaire se sont moqués de nous et dénaturé les vérités et la réalité dans les camps ». « Nous les avons accueillis parmi nous. Ils ont partagé nos repas et m’ont fait miroiter, comme à des dizaines de personnes qu’ils ont filmées beaucoup de choses, nous ont donné de l’argent, mais menti sur notre vie. Ils ont prétendu qu’ils veulent réaliser un documentaire sur la réunification des familles sahraouies, mais en fin de compte, ils sont partis sans dire au revoir ». Ayala a déploré lors d’une conférence de presse la terreur vécue par Fatem aux mains de ses tortionnaires qui l’ont emmené en Australie la forçant à camper un rôle dans cette misérable pièce de théâtre. « J’ai parlé au téléphone avec sa mère et son frère qui m’ont dit qu’elle a été forcée de quitter les camps. Nous ne voulions pas qu’elle quitte ses enfants et quand nous lui parlions, nous n’entendions que les échos de la peur et de la terreur. Elle a extrêmement peur et ne peut pas s’exprimer », a dit Ayala. Les responsables du festival et plusieurs cinéastes australiens ont soutenu la projection de ce documentaire, en déplorant les vaines tentatives de sa politisation. Le directeur exécutif du festival du cinéma de Sydney, Mark Sarfaty, a affirmé que « le choix de projeter ce film est approprié. Ce n’est pas notre rôle d’agir comme législateur ou censeur ». « Le choix des films est basé sur la qualité, la demande du public et une réelle volonté de présenter des histoires et des expériences inédites « , a affirmé, pour sa part, Claire Stewart, la directrice du festival.
Pour les deux réalisateurs, la projection de ce film au Festival de Sydney constitue » une petite victoire » eu égard à la campagne de propagande et de mensonges menée par des parties hostiles à cette projection et soutenant le Polisario et d’autres parties qui disposent de moyens que les réalisateurs, mus par le seul souci de transmettre la vérité en toute sincérité, ne possèdent pas.
Violetta a critiqué certains organes de presse qui, sans voir le film, ont demandé qu’il ne soit pas projeté et a fait savoir que les responsables du festival ont été avertis que le Polisario va « s’approprier le film et détourner la cause principale, qui raconte la misère des camps, l’esclavagisme et l’asservissement afin d’en faire une question politique ».
« Nous avons mené un travail documentaire de recherche. Il s’agit d’un documentaire réaliste et non pas du fruit de l’imagination. Il décrit des problèmes pénibles vécus dans les camps de Tindouf. Si les Nations Unies n’ont pas été capables de résoudre ce conflit vieux de 30 ans, qui sommes-nous pour politiser ce film ? C’est regrettable que le Polisario cherche à détourner les vérités « , s’indigne-t-elle.
Le film a bénéficié d’un financement de près de 251.000 dollars accordé par l’organisme de cinéma » Screen Australia « .
« Le polisario a su mobiliser ses partisans ici, mais leur cause est perdue », note Tom Zubrycki, le producteur du film qui a une longue expérience dans la production des documentaires, se demandant: « comment peut-on nier les réalités décrites dans ce film ? »
La naissance de l’idée du film
Née en Bolivie, Violetta, qui s’est installée en Australie en 2003, indique que l’idée de réaliser ce film lui est venue après avoir rencontré une Sahraouie alors qu’elle était avec Dan en Mauritanie en tournage. Cette femme l’a approchée et a commencé à lui parler de la question du Sahara et du drame des personnes séquestrées. La vie de cette femme séparée de sa mère séquestrée dans les camps de Tindouf l’a profondément émue. Elle a ajouté, lors d’une conférence de presse tenue en marge du festival, qu’ils ont décidé, après le tournage du film, de se rendre dans les camps de Tindouf pour tourner un documentaire sur les camps et les conditions de vie difficiles des personnes qui y sont séquestrées. Elle ajoute que soutenus et encouragés par les mercenaires du Polisario, « nous sommes allés à Tindouf pour réaliser un film sur les Sahraouis». « Le polisario voulait un film de propagande, mais nous avons découvert des réalités différentes de ce à quoi nous nous y attendions. Ces réalités sont devenues le véritable enjeu et le thème principal de notre film. Les pires moments ont été les souffrances que nous avons vécues quand nous avons été détenus. Nous avons été forcés de cacher les enregistrements et chercher une personne capable de les sortir du Sahara », a-t-elle expliqué. « J’ai encore froid au dos au souvenir de cette période. Nous étions partis pour réaliser un film sur les camps et nous avons découvert que les populations vivaient dans une prison politique », affirme-t-elle. Les deux réalisateurs ont même été détenus pendant six jours avant de pouvoir s’enfuir à Paris, avec l’aide de l’Onu et de l’ambassade d’Australie. A notre retour en Australie, ajoute Violeta, le Polisario a lancé une campagne d’envergue pour inciter les producteurs à empêcher la poursuite du tournage. «Nous avions peur qu’ils ne volent le film» raconte-t-elle sans cacher sa satisfaction que le cauchemar ait pris fin, tout en promettant d’accorder tout son soutien aux familles séquestrées dans les camps de la honte en territoire algérien. «Je promets de réserver 10% des revenus de ce film et des prix reçus pour créer un fonds spécial pour soutenir la réunification des familles souffrant de discrimination, d’esclavagisme et d’asservissement dans les camps de Tindouf et de mettre en place un réseau pour réhabiliter les familles qui ont été libérées», a-t-elle soutenu.
Migration: Des migrants africains dénoncent la torture et l’esclavage en Algérie
Des migrants africains dénoncent la torture et l’esclavage en Algérie.
À Tamanrasset (dans le Sud algérien), des migrants subsahariens, ont affirmé avoir été torturés et vendus comme esclave par des passeurs, qui étaient pour la grande majorité de la même nationalité qu’eux, révèle Reuters. L’agence de presse britannique, a rassemblé une dizaine de témoignages au Niger et cite également une enquête de l’Organisation internationale pour les migrations (IOM), qui a questionné des milliers de migrants ayant quitté l’Algérie.
Ousmane Bah un ouvrier guinéen de 21 ans dit avoir été vendu à deux reprises en Algérie par des ravisseurs qu’il n’a pas pu identifier. «La première fois, ils m’ont vendu pour 100 000 francs CFA (170 dollars ~152 euros)». Un exilé togolais victime de travail forcé dans une ferme, y a été torturé selon ses dires. Abdoulaye Maizoumbou, membre du Catholic Relief Services (association au service des démunis) explique que sur les 30 migrants renvoyés d’Algérie qu’il a rencontrés, une vingtaine a affirmé avoir été esclave.
L’ampleur des abus n’est pas connue, mais une enquête de l’OIM auprès de milliers de migrants a suggéré qu’elle pourrait rivaliser avec la Libye.
L’OIM en Algérie a reçu trois rapports d’amis et de parents de migrants africains retenus en otage et contraints de travailler dans le pays. «C’est probablement juste une indication que cela se produit. On ne sait pas quelle est sa taille», a déclaré son chef de mission Pascal Reyntjens.
Un ancien passeur nigérian, interrogé par l’agence de presse, a un tout autre discours. Selon lui, la situation est plus grave en Algérie mais «les ONG ne le savent pas car elles se focalisent uniquement sur la Libye».
L’article original:⇒ African migrants report torture, slavery in Algeria
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