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CHAN 2023: Rachid Oukali se fit remonter les bretelles par Fouzi Lekjaa, Président de la FRMF


  • L'Algérie refuse d'ouvrir l'espace aérien à l'avion marocain

  • Rachid Oukali se fit remonter les bretelles par Fouzi Lekjaa

  • Les affaires dans lesquelles Rachid Oukali est cité

L'Algérie refuse d'ouvrir l'espace aérien à l'avion marocain

La question de la participation de l’équipe nationale marocaine de football des moins de 23 ans continue de susciter de plus en plus de réactions concernant la condition posée par la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF). Cette dernière souhaite, en effet, que l’Algérie ouvre son espace aérien à l’avion des Lionceaux de l’Atlas.

La réponse algérienne à la demande marocaine ne s’est pas fait attendre, et elle est intervenue de manière officielle par l’intermédiaire de Rachid Oukali, chef du comité d’organisation de la compétition. Le responsable algérien a déclaré, lors d’une conférence de presse tenue mercredi, que « le cahier des charges d’un événement sportif tel que le Championnat d’Afrique des joueurs locaux stipule que l’hôte de la compétition a l’obligation de sécuriser les déplacements des délégations des pays participants » sur le territoire national comme les déplacements de la capitale vers Constantine, Oran ou Annaba.

Et le patron du Comité d’organisation de la Coupe d’Afrique des joueurs locaux 2023, prévu du 13 janvier au 4 février prochain, a ajouté qu’« il n’y a aucune obligation de liaison aérienne directe », expliquant que « la majorité des équipes participantes doivent faire des escales ».

Le responsable a conclu que « son pays s’engage à accueillir chaleureusement les équipes participantes, et à fournir toutes les capacités requises pour que les conditions de séjour soient bonnes en Algérie, dès leur arrivée ».

Pour la FRMF, l’accueil des équipes participantes est une condition primordiale. Ainsi, elle a exigé que l’équipe nationale des moins de 23 ans puisse se rendre à Constantine par un vol direct de Rabat à bord d’un avion de Royal Air Maroc (RAM).

Les conditions d’accueil de la sélection nationale ont occupé une grande partie de la réunion du bureau de direction de la Fédération, mardi, au complexe Mohammed VI à Maamoura. Fouzi Lekjaa a expliqué que le Comité directeur a exigé cette mesure et que la FRMF a envoyé une correspondance à la Confédération africaine de football (CAF) pour que cette dernière fasse respecter le cahier des charges de la compétition.

Fouzi Lekjaa: Nous attendons une réponse officielle de la CAF pour régler la participation du Maroc au CHAN 2023

Le président de la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF), Fouzi Lekjaa, a affirmé, jeudi à Rabat, que les cahiers de charge liés à l’organisation d’événements sportifs continentaux et internationaux stipulent que le pays hôte se doit de faciliter pleinement l’arrivée et la participation des sélections prenant part à la compétition.

Lekjaa, qui répondait aux questions des journalistes lors d’un point de presse tenu à l’issue du Conseil du gouvernement, a évoqué la décision unanime du Bureau de la Direction de la Fédération quant à la participation des joueurs locaux au Championnat d’Afrique des nations de football (CHAN), accueilli par l’Algérie entre le 13 janvier et le 4 février 2023, et qui n’aura lieu que si l’équipe nationale se rend à Constantine via un vol direct de Rabat.

Le président de FRMF a indiqué, à cet effet, qu’une décision sera prise quant à la participation à la CHAN, sur la base de la réponse de la Confédération Africaine de Football (CAF) à la demande de la Fédération.

Contrairement à ce qui avait été relayé au cours des dernières 24 heures, « il n’a pas été demandé au pays organisateur de prévoir un vol spécial pour l’équipe nationale, mais plutôt d’autoriser Royal Air Maroc (RAM), le transporteur officiel des sélections nationales, d’atterrir le 10 janvier aux environs de 2H45min à l’aéroport de Constantine, qui accueillera les matchs de la sélection nationale », a clarifié Lekjaa lors de ce point de presse conjoint avec le ministre délégué chargé des Relations avec le parlement, Porte-parole du gouvernement, Mustapha Baïtas.

D’autre part, Lekjaa, en sa qualité de ministre délégué chargé du budget, a présenté des données sur les équilibres économiques pour l’année 2022, soulignant que la situation financière du Royaume durant cette année, et malgré tous les problèmes et fluctuations que connaît la scène internationale, a fourni des conditions pour répondre à toutes les dépenses d’urgence.

Les affaires dans lesquelles Rachid Oukali est cité

Impliqué dans plusieurs scandales, Rachid Oukali n'est éligible au poste de responsable du comité d’organisation de la CHAN. En effet, les scandales auquels Rachid Oukali a été mêlé ont fait couler beaucoup d'encre chez les médias algériens. Voilà quelques exemples d'articles:

Cumul des mandats et transgressions

Les membres de la Fédération algérienne de football (FAF) et plus particulièrement ceux du Bureau fédéral (BF) ont-ils, un jour, consulté les statuts de FAF ? Pas sûr.

Les épisodes, pour ne pas dire les scandales successifs qui ont marqué leur gestion du football durant une année au sein de l’organe exécutif et de supervision de la FAF (définition du Bureau fédéral dans les nouveaux statuts qui seront adoptés prochainement) laissent peu de place au doute. L’article 13 des statuts de la FAF (obligations des membres) stipule que «les membres de la FAF ont les obligations suivantes : observer en tout temps les statuts, règlements, directives et les faire respecter par ses propres membres. La violation de ses obligations par un membre entraîne les sanctions prévues par les présents statuts».

Quatre (4) membres du Bureau fédéral, en l’occurrence Amar Bahloul, Yacine Benhamza, Rachid Oukali et Djilali Touil, ne se sont pas conformés au décret exécutif N°15-340 du 28 décembre 2015 modifié et complété par le décret exécutif N° 60-21 du 8 février 2021 relatif au non-cumul entre la responsabilité exécutive et élective et la responsabilité administrative au sein des structures d’organisation et d’animation sportives. Ils avaient l’obligation de choisir un seul mandat (président de Ligue ou membre du Bureau fédéral) un mois après leur dernière élection. C’est-à-dire au plus tard le 16 avril 2021, 30 jours après l’Assemblée générale élective de la FAF tenue le 15 avril 2021.

Dans une circulaire de rappel, le MJS leur a accordé un dernier délai qui ne devait pas dépasser le 30 septembre 2021. La question qui taraude les esprits est la suivante. Pourquoi le MJS et la FAF n’ont pas pris leurs responsabilités à l’endroit de ces quatre personnes ? Ils ont démissionné de leur poste initial, président de ligue, et ont choisi de rester au Bureau fédéral.

Les lettres de démission de Yacine Benhamza, et de Rachid Oukali (présidents respectivement de la ligue de Saïda et de la ligue d’Alger) sont sur la toile et attestent qu’ils ont démissionné de leur ligue volontairement pour se conformer au décret sur le cumul de mandats. Leur ligue respective, tout comme celle de Annaba pour Amar Bahloul et Chlef pour Djillali Touil, n’ont pas organisé une assemblée générale élective pour élire un nouveau président dans un délai n’excédant pas 60 jours après constat de la vacance du poste.

Malgré la loi, le MJS et la FAF ont fermé les yeux sur cette grave transgression de la loi. Toute honte bue, la FAF s’est fendu d’un communiqué le 29 avril 2022 dans lequel elle annonce : «Dans le cadre de leur mise en conformité avec les lois en vigueur ayant trait au décret ministériel concernant l’interdiction du cumul de fonctions au sein des structures sportives, trois (3) membres du Bureau fédéral, en l’occurrence Benhamza Yacine, Oukali Rachid et Touil Djilali ont annoncé quitter leur poste au Bureau fédéral à l’effet de se consacrer uniquement à la présidence de leurs ligues respectives».

Plus scandaleux que cette déclaration, il n’y en a pas. Où était la FAF durant toute l’année écoulée? Pourquoi a-t-elle fermé les yeux sur cette grave dérive ? Ces interrogations restent sans réponse, malheureusement. Entre le 22 avril et le 25 avril 2022, Yacine Benhamza (Saïda) et Rachid Oukali (Alger) ont organisé une assemblée générale de leur ligue respective dont ils étaient démissionnaires depuis un an.

Par quel miracle ont-ils présidé l’assemblée générale ordinaire et présenté le bilan moral et financier alors qu’ils n’avaient plus la qualité de président (usurpation de qualité et de fonction?).

Ce qui est incompréhensible est que Yacine Benhamza et Rachid Oukali ont présidé l’assemblée générale ordinaire de leur ligue entre le 22 et le 25 avril 2022, fait adopter le bilan moral et financier alors qu’ils étaient démissionnaires en mai 2021 et ont participé à la réunion du Bureau fédéral du 28 avril 2022.

C’est un grave dysfonctionnement dont les intéressés et la fédération portent l’entière responsabilité, et ce, devant la passivité du MJS.

La FAF est devenue à ce point si négligente du respect des lois et des statuts et de ses obligations statutaires. Une dernière encore pour le voyage.

L’ordre du jour de la réunion du dernier Bureau fédéral communiqué aux membres n’a pas été scrupuleusement respecté. C’est un détail, diront certains.

AFFAIRE BICHARI-HAMOUM: La commission d’intégrité de la FAF saisie

Selon une source digne de foi nous apprenons que le président de la FAF, Charef-Eddine Amara a saisi la commission d'intégrité de la FAF afin d'ouvrir une enquête dans l'affaire Bichari-Hamoum.

Lors d'une récente cérémonie privée, l’ex-président de la commission fédérale des arbitres, Khelil Hamoum, avait accusé l’actuel patron de l’arbitrage algérien, Mohamed Bichari, d’avoir trempé dans des affaires de corruption et de marchandage de matches.

Ces accusations ont été proférées en présence du vice-président de la FAF, Yacine Benhamza, et du membre du bureau fédéral, Rachid Oukali. Or, ces deux officiels qui ont le devoir de signalement ont préféré étouffer le scandale avant que la presse ne s'en saisisse.

En effet, le code d’éthique de la Fifa stipule dans son article 17 que “les personnes auxquelles s’applique le présent code qui sont informées d’une infraction aux dispositions du présent code doivent le signaler par écrit directement au secrétariat et/ou au président de la chambre d’instruction de la commission d’éthique.

Tout manquement au devoir de signalement est sanctionné d’une amende d’au moins CHF 10 000, ainsi que d’une interdiction d’exercer toute activité relative au football de deux ans au plus”. Yacine Benhamza et Rachid Oukali risquent donc gros.

Dans un communiqué publié sur son site officiel, la FAF avait annoncé que “le président de la commission fédérale d’arbitrage, Mohamed Bichari, a décidé de déposer plainte auprès du procureur de la République. La Fédération algérienne de football, pour sa part, se réserve le droit d’engager des poursuites judiciaires pour défendre ses droits moraux”.

Benhamza et Oukali au Sheraton au frais de la FAF

Benhamza et Oukali au Sheraton, c’est la FAF qui régale. Malgré la crise, la Fédération algérienne de football (FAF) sait se montrer généreuse. Le président du Comité d’orga- nisation local du CHAN-2022, Rachid Oukali, et son vice- président, Yacine Benhamza, deux anciens membres du Bureau Fédéral sous Charaf-Eddine Amara, continuent de vivre au frais de la princesse. Le duo, qui a soutenu la gestion désastreuse de leur ancien patron jusqu’au dernier moment, en demandant le jour de l’assemblée générale que la démission de Charaf-Eddine Amara soit soumise au vote, est chargé, malgré l’arrivée d’une nouvelle équipe fédérale, dont ils ne font partie, de l’organisation des deux prochains événements que l’Algérie accueille en 2023, le CHAN et la CAN-U17.

Les deux personnes, qui ont pris la place des membres actifs du Bureau fédéral qui sont exclus de ces deux grands événements sportifs, séjournent depuis plusieurs jours à l’hôtel Sheraton du club des pins au frais de la Fédération. Si la présence de Yacine Benhamza peut s’expliquer par le fait qu’il réside officiellement à Saïda, où il est président de la Ligue régionale, celle de Rachid Oukali, président de la Ligue de Wilaya d’Alger et domicilié dans la capitale, laisse perplexe. Miam ! Miam, c’est toujours banania. Le président de la FAF devrait peut-être surveiller de près le coffre-fort de Dely Brahim. Rappelons que la délégation de la CAF, emmenée par Samson Adamu, Directeur des Compétitions de la CAF, est descendue dans le même hôtel.

Le TARLS pointe l’incompétence et l’ignorance d’Oukali

Rachid Oukali doit retourner sur les plateaux de France 24 pour faire son mea-culpa. Le tribunal algérien de résolution des litiges du sport (TARLS) d’Alger a rendu son verdict, hier, dans l’affaire Aïn Taya – El Hamiz et confirme la décision de la Commission de recours de la Ligue inter-régional. Cette dernière avait censuré la décision de la Commission de discipline de la Ligue de Wilaya de football d’Alger présidée par Rachid Oukali ex-memebre du Bureau Fédéral, qui avait lourde- ment sanctionné les deux équipes (rétrogradation + défalcation de points). Une décision prise en l’absence du moindre élément matériel dans une affaire où il est question pour la ligue de wilaya de football d’Alger d’arrangement de match.

BOTOLA avait écrit au lendemain de la décision de la Ligue de wilaya que la sanction avait été prononcée sur la base d’éléments subjectifs au vu des attendus la Commission de discipline de LFWA dans lesquels on pouvait lire que : « Les joueurs de l’équipe de l’ESAT perdent délibérément le ballon en faveur des joueurs de l’équipe de l’ESH, particulièrement dans la zone de réparation. Les joueurs de l’équipe de l’ESAT étaient presque debout sur le terrain et marchaient aussi et ne sont pas allés au-delà du milieu de terrain ».

Le recours déposé par les deux formations auprès de la Commission de recours de la Ligue Régionale d’Alger avait en toute logique annulé la sanction. Une décision qui n’était pas au goût de Rachid Oukali, président du Comité d’orga- nisation local du CHAN-2013, vice-président du comité d’organisation de la CAN U-17 la même année. Et il avait décidé de porter l’affaire auprès du TAS algérien. L’instance arbitrale nationale ne s’est pas embarrassée des certitudes ou de la volonté à toute épreuve de Rachid Oukali d’avoir raison. Elle a tout simplement rejeté son appel et rappelé (voir décision) le caractère définitif de la décision de la ligue inter-région. Elle ne peut donc pas faire l’objet d’un quelconque appel.

Une énième gifle pour Rachid Oukali dans ce dossier alors qu’il n’avait pas hésité à commenter l’affaire qui faisait l’ob- jet d’un recours au micro de France 24, loin très loin du devoir de réserve et de l’indépendance des organes juridictionnels. Rachid Oukali n’avait pas hésité à traiter les responsables des deux équipes « d’ignorants » et de condamner les deux équipes. Une énième réputation surfaite dans notre football qui a hérité de l’organisation du CHAN-2023 mais surtout de l’épineux dossier de la mise en conformité des statuts de la FAF avec ceux de la FIFA sans la moindre expertise juridique ! Qui va sanctionner cette énième bourde ?

Affaire Ahmed Mebrek : Les héritiers vont aller au TAS

Dans un courrier adressé aux héritiers d’Ahmed Mebrek, en date du 30 juillet 2020, la FAF annonce l’extinction des poursuites contre l’ancien président de la ligue régionale de Annaba que la commission de l’éthique de la Fédération a suspendu un an de toute activité liée au football plus une amende de 100 000 DA pour «diffamation à l’encontre d’un officiel de la Fédération», le 17 juin 2020. Ahmed Mebrek avait contesté cette décision.

Le 28 juin 2020 il a succombé à un arrêt cardiaque, «consécutif à la très forte pression qu’il a vécue à cause de sa suspension injuste suite à laquelle son cœur a lâché», affirme un de ses proches. Ses héritiers ont pris sur eux de tout faire pour le réhabiliter à travers l’annulation de la décision de suspension. A cet effet, ils ont introduit un recours auprès de la commission fédérale.

Le 30 juillet 2020, la commission de recours a informé les héritiers d’Ahmed Mebrek qu’après étude du recours, elle a décidé de prononcer «l’extinction des poursuites pour Ahmed Mebrek».

Les héritiers d’Ahmed Mebrek, par la voix d’un de ses enfants, estiment que «la réponse de la commission de recours à notre requête, levée totale de la suspension de notre regretté père, ne répond pas à notre demande. L’extinction des poursuites lorsqu’il s’agit d’un homme décédé est une chose normale, prévue dans le code civil algérien (article 25 : «La personnalité commence avec la naissance accomplie de l’enfant vivant et finit par la mort.»). Nous avons demandé à ce que l’affaire soit réétudiée pour blanchir notre père des accusations infondées portées contre lui. A travers sa décision, la commission de recours à maintenu le premier verdict annoncé par la chambre de jugement de la commission d’éthique qui s’est pourtant déclarée incompétente pour traiter l’affaire sur le premier volet (dysfonctionnement).» Les héritiers d’Ahmed Mebrek vont saisir le TAS (algérien) pour rétablir leur défunt père dans ses droits.

Par ailleurs, ils comptent s’appuyer sur les règlements et les statuts de la FAF et de la FIFA pour obtenir gain de cause. Les articles 5 et 8 des règlements de gouvernance de FIFA, «qui sont contraignants à toutes les associations membres de la FIFA», garantissent l’indépendance des organes juridictionnels (commission de discipline, commission de recours, commission d’éthique). Les membres de la commission de recours, notamment le président et son vice-président, doivent être élus par l’assemblée générale sur proposition du bureau fédéral (tâches, pouvoirs et responsabilités du conseil – bureau fédéral). Les membres des organes juridictionnels sont des élus comme le préconisent les articles 15, 19, 30 et 52 des statuts de la FIFA.

L’alinéa 5 de l’article 52 précise : «Les présidents et vice-présidents des organes juridictionnels sont élus par le congrès (assemblée générale) et ne doivent pas être membres d’un quelconque autre organe de la FIFA (FAF). Leur mandat a une durée de 4 ans et commence à courir à l’issue du congrès (assemblée générale) lors duquel ils ont été élus.

Ils peuvent être révoqués seulement par le congrès (assemblée générale).» Les membres de la commission de recours n’ont pas été élus par l’assemblée générale et deux membres, Rachid Oukali et Mohamed Guernouz, sont membres d’un autre organe de la FAF, président de la ligue de wilaya d’Alger et de la ligue régionale de Blida. Leur présence au sein de cet organe juridictionnel n’est pas conforme à l’article 52 des statuts de la FIFA.

A ce titre, toutes les décisions prises et rendues par la commission de recours sont nulles et non avenues. Mais qui fera respecter les statuts et règlements ? Les héritiers d’Ahmed Mebrek comptent bien le faire en usant des moyens et voies de recours prévus par la loi.

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